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(11/04/2006 12:51:39)

Microsoft dope sa base de données gratuite et prépare une version pour terminaux nomades

Microsoft soigne son offre de base de données gratuite. A compter du 14 avril prochain, la firme va enrichir SQL Server Express Edition, la version d'entrée de gamme gratuite de son SGBD pour Windows, avec des outils de reporting. Ces outils seront incorporé dans le Service Pack 1 du logiciel avec pour but de démocratiser l'offre de Business Intelligence de l'éditeur et de la rendre accessible au plus grand nombre. Par ailleurs, Microsoft devrait lancer d'ici la fin de l'année une version gratuite et portable de sa base de données. SQL Server Everywhere sera principalement conçu pour les PDA, terminaux nomades et autres terminaux clients légers. Le logiciel, qui sera lui aussi gratuit, permettra de simplifier les synchronisations de données entre les terminaux nomades et les versions payantes de la base de données serveur de Microsoft. Il proposera aussi un modèle de programmation similaire à l'édition serveur, afin de simplifier le travail des développeurs d'applications nomades déjà familiarisés avec la version serveur de SQL Server. SQL Server Everywhere devrait tenir dans moins de 2 Mo d'espace mémoire et sera disponible en version bêta (CTP Edition) cet été. Il est à noter que, Microsoft prévoit de facturer une licence cliente d'accès au serveur pour compenser la gratuité de la base sur le terminal nomade. (...)

(11/04/2006 12:51:16)

Oracle publie accidentellement les détails d'une faille dans son SGBD

Oracle a semble-t-il involontairement publié des détails sur une vulnérabilité dans sa base de données, ainsi que des exemples de code qui pourraient être utilisés pour exploiter la faille. Les détails ont été publiés jeudi dernier par la firme sur son site de support client, Metalink. L'erreur a été mise en lumière lundi 10 avril par un chercheur en sécurité de la société allemande Red-Database-Secrity, Alexander Kornbrust, sur la liste de diffusion Full Disclosure. Oracle avait retiré l'information litigieuse vendredi après avoir été prévenu en avance des risques de sécurité associés aux informations publiées la veille sur Metalink. Oracle prévoit de résoudre la faille de sécurité dans le cadre d'un prochain jeu de correctif trimestriels, a déclaré un porte-parole de la société lundi 10 avril. Le prochain correctif est attendu le 18 avril. Mais pour Kornbrust, il ne devrait pas traiter le problème mis en lumière la semaine passée. Il est à noter, que pour tirer parti de la faille, il faut déjà posséder un compte sur la base Oracle, ce qui limite les risques d'attaque au travers du web. En revanche un utilisateur authentifié, ou un pirate détournant un compte existant, pourrait escalader son statut, pour prendre le contrôle de la base. Une série de palliatifs est publiée par Kornburst sur son site web à l'adresse : http://www.red-database-security.com/advisory/oracle_modify_data_via_views.html. (...)

(10/04/2006 17:51:33)

Recrutement : Plus de 200 000 postes d'informaticiens dans les dix ans

Les besoins de recrutement ne devraient pas flancher dans l'industrie informatique. Plus de 200 000 emplois d'informaticiens devraient être à pourvoir dans les dix ans qui viennent, à la fois dans les SSII et dans les entreprises d'autres secteurs. Telles sont les prévisions d'emploi qui ont été avancées par le Syntec informatique lors de la présentation de son bilan 2005. Il s'est pour cela appuyé sur les chiffres de la Dares (direction de l'animation de la recherche, des études et des statistiques) qui révèlent que la croissance du secteur « logiciels et services » et des TIC en général va entraîner la création de 149 000 emplois nets d'informaticiens dans les dix ans. Des emplois auxquels il faut ajouter les 56 000 postes qui vont être laissés vacants par les départs à la retraite d'ici à 2015. Ces prévisions concernent à la fois les fournisseurs d'informatiques et les SSII mais aussi les utilisateurs, c'est-à-dire les entreprises d'autres secteurs professionnels qui emploient des informaticiens. Si l'on met ces données en corrélation avec le nombre d'emploi nets créés en 2005 dans le secteur logiciels et services - 8000 à 10 000- on peut en conclure qu'environ la moitié devrait être engendrée par ce secteur dans les dix ans et la moitié chez les utilisateurs. Ces chiffres doivent tout de même être nuancés au regard par exemple de l'étude récente de la Dep (direction de l'évaluation et de la prospective du ministère de l'éducation nationale) sur lesperspectives de recrutement sectoriels à l'horizon 2015. Cette enquête faisait en effet état d'un nombre de départs à la retraite dans le secteur informatique deux fois moins important (de l'ordre de 2000 par an soit 26 000 environ d'ici à 2015) que ceux annoncés par le Syntec. Ce décalage s'explique notamment par la prise en compte de « familles professionnelles » différentes parmi celles qui emploient des informaticiens, estime la Dep. Par ailleurs, rappelons que les 8 à 10 000 emplois créés en 2005 dans le secteur sont notamment le fruit d'une croissance de 7%. Celle-ci devrait se maintenir en 2006 mais rien ne prouve que ces taux de progression perdureront ensuite, comme le rappelait le Munci (mouvement pour une union nationale des consultants en informatique) commentant les prévisions d'emploi. (...)

(10/04/2006 17:51:46)

Recrutement: "Un manque de formation en développement personnel "

La direction des systèmes d'information du groupe Total emploie 2500 informaticiens et autant de prestataires de service. Elle est structurée autour d'une direction groupe composée de 135 personnes et de directions métiers pour chacune de ses 3 grandes branches : raffinage marketing, exploration production et chimie. La direction groupe assure la coordination des directions métier des systèmes d'information, la délivrance de services transversaux pour les branches, l'anticipation des évolutions stratégiques des systèmes d'information pour répondre aux besoins métiers. Lemondeinformatique.fr: quels effectifs sont embauchés chaque année par la direction des systèmes d'information en moyenne et quels profils? Patrick Hereng : Nous recrutons une centaine de personnes par an, essentiellement des jeunes diplômés, plutôt que des personnes issues de nos prestataires de service par exemple, car nous générons notre futur management. C'est la politique de Total pour tous les métiers. 80% des jeunes recrues ont moins de trente ans. Elles évoluent ensuite grâce à nos dispositifs de gestion de carrières et une politique de mobilité qui conduit à changer de postes tous les trois à quatre ans. Les gens entrent et font carrière chez Total. Le taux de démission y est inférieur à 1%.
Deux tiers des embauches de la DSI concernent des jeunes de niveau bac + 5 ayant des profils généralistes issus d'écoles d'ingénieurs, de commerce ou de l'université. Ce sont les mêmes profils qui peuvent être recrutés par nos branches métier. Dans les deux cas ils intègrent des équipes qui gèrent le déploiement de progiciels de gestion. Ils sont formés pour acquérir une double compétence portant à la fois sur la connaissance de nos métiers et des systèmes d'information. Nous embauchons enfin un tiers d'informaticiens purs. Il nous faut des personnes qui seront capables de piloter les projets techniques dont nous sous-traitons l'exécution et le déploiement. Certains sont parallèlement positionnés comme référents sur telle ou telle technologie au sein de la DSI, comme sur les EAI, les portails, les outils collaboratifs, le knowledge management, etc. Comme les personnes de profils plus généralistes, ils pourront être amenés à évoluer vers d'autres métiers de l'entreprise. Un informaticien de 35 ans n'a aucune chance d'entrer chez Total ? Si. Il aura ses chances sur des postes exigeant des compétences pointues, de type expert en infrastructures. Mais c'est vrai que ce ne sera pas l'essentiel de nos recrutements. Quels sont les grands projets en cours et à venir de la DSI? Nous finalisons certains gros projets issus de la Fusion entre TotalPetrofina et Elf comme l'évolution de notre système d'information avec l'implémentation du progiciel de gestion intégré Sap (Projet Template Europe) dans la branche raffinage marketing au niveau européen (12 raffineries, 8 pays, plus de 10 000 stations service et 12 000 utilisateurs). Nous avons parallèlement deux axes de travail dans notre plan "Perspectives 2008", concernant la mobilité et la gestion des flux dématérialisés. Nous devons faire évoluer les infrastructures du groupe pour répondre aux utilisateurs qui veulent accéder à leurs applications où qu'ils soient et via d'autres outils qu'un poste de travail traditionnel. C'est déjà possible en partie. Toutefois, étendre cette possibilité à grande échelle, implique de remettre en question notre architecture de télécommunications pour ouvrir notre système d'information tout en le sécurisant davantage. Nous devons basculer vers des systèmes de sécurité embarqués dans les composants, les centres de données, les ordinateurs portables, les réseaux locaux, etc afin que chacun soit autonome avec son propre dispositif de sécurité. Nous devons parallèlement travailler sur l'interconnexion des systèmes d'information de nos branches avec l'extérieur pour la gestion de flux dématérialisés (factures, achats par voie électronique, etc). Des questions de sécurité se posent également. Là aussi nous allons changer nos infrastructures. Enfin, nous avons un projet de mise en place de la téléphonie sur IP pour l'ensemble du groupe, ce qui représente déjà 10 000 postes, sur notre seul site parisien. Quels sont les besoins en compétences qui en découlent? Le déploiement du progiciel Sap est typiquement le type de projet qui nécessite une double compétence métier et système d'information. Cette solution étant déployée dans nos trois branches (raffinage marketing, exploration production et chimie), nous avons mis en place des centres de compétences SAP dans chacune et cherchons en permanence à les renforcer. Chaque année en effet, une partie de leurs effectifs quitte ces centres pour évoluer vers des fonctions de responsables métier. C'est le cas d'une vingtaine de personnes par an (sur 400 au total) dans la branche raffinage marketing, soit de 5% des effectifs. Elles occupent ensuite par exemple des postes de délégués réseaux pour la gestion d'une zone de stations service, des fonctions marketing, de maîtrise d'ouvrage, de responsables de back-office matières (gestion des stocks), etc.
Pour l'évolution de nos infrastructures, nous avons besoin de compétences assez rares, des architectes d'infrastructures, des personnes ayant des compétences pointues tant sur les technologies de base que sur les plus récentes et qui sont capables de piloter les projets. Nous allons principalement les chercher en interne, dans les branches de la DSI. Les jeunes recrues sont plutôt positionnées sur les postes laissés vacants par ces informaticiens d'expérience qui rejoignent d'autres projets. Les jeunes diplômés vous semblent-ils bien formés? Oui, cependant je pense que les cursus d'ingénieurs manquent de formations en développement personnel. Je parle d'enseignements qui permettent de progresser en terme de communication, de comprendre les relations interpersonnelles, les mécanismes qui les régissent et d'avoir une meilleure connaissance de soi. Car c'est avec une meilleure connaissance de soi et de ses défauts que l'on communique mieux avec les autres. Or c'est une qualité indispensable pour piloter des projets dans lesquels on est en interface permanente avec les responsables opérationnels et les utilisateurs. Nous avons d'ailleurs développé un cursus en interne autour de cela et utilisons des coachs lorsque cela est nécessaire. Quels conseils donneriez-vous aux jeunes informaticiens qui souhaitent entrer dans les grandes entreprises? De passer par un prestataire de service? Je leur conseille d'essayer d'entrer tout de suite dans un grand groupe sans être trop exigeant sur leur premier poste, sachant qu'il y a ensuite de nombreuses opportunités d'évoluer. Le fait de commencer à intégrer une SSII d'abord n'est pas une mauvaise expérience, toutefois, je leur conseillerais dans ce cas d'être plus exigeant sur la qualité du premier poste. Globalement, quelques soient les choix initiaux effectués, il reste essentiel de faire évoluer ses fonctions tous les 3 à 4 ans, pour ne pas s'enfermer dans des technologies. (...)

(10/04/2006 17:50:27)

Azureus, client Bitorrent, couronné projet open source le plus actif

Loin derrière les pharaoniques projets d'IBM, d'Oracle et de Sun. C'est l'application Peer-to-Peer Azureus, client Bitorrent java open source qui récolte le prix de la contribution la plus active lors de la remise des premiers Community Choice Awards, décerné par la communauté SourceForge. Azureus devance certains projets, toutes catégories confondues, comme phpMyAdmin (administration MySQL), Gaim (messagerie instantanée), Zimbra (travail collaboratif), et FileZilla (client FTP). SourceForge.net héberge 117 000 projets et totalisent 1,3 millions d'utilisateurs enregistrés. (...)

(10/04/2006 17:52:23)

Open source : pour Pentaho, la version entreprise passe par le propriétaire

Pour sortir une version professionnelle de son outil de génération de rapports et d'analyse, l'éditeur open source Pentaho, fondé par des anciens d'Hyperion, IBM et Cognos, mêle open source et modèle propriétaire. L'application prend pour l'occasion le nom de Business Intelligence Professional Edition Plateform. "Une petite quantité de code, 10% plus précisément, de la nouvelle offre n'est pas open source", confie un responsable de Pentaho à nos confrères d'IDG News Service. Principalement les modules d'administration et de déploiement. Et cela a désormais un coût: 3 000 $ par processeur, plus 1 000$ de support à l'année. En outre, Pentaho a travaillé à améliorer les fonctionnalités de reporting de son outil. Mais pour répondre au plus près au problématique d'intégration de processus métier des entreprises, l'outil reçoit un moteur de workflow supportant le standard BPEL. (...)

(10/04/2006 17:46:16)

Red Hat acquiert JBoss

Red Hat a annoncé son intention d'acquérir JBoss pour 350 M$ en numéraire et en action. Le numéro un des distributions Linux d'entreprise met ainsi la main sur le numéro un mondial de solutions de middleware J2EE libre. Pour Matthew Szulik, le président et CEO de Red Hat, la décision de racheter Jboss a été prise car "Le marché demande un jeu intégré de solutions open source". Pour Szulik, il est devenu essentiel d'être à même de fournir à la fois le système d'exploitation et une couche middleware agile sur laquelle les entreprises puissent déployer leurs développements Java". Ironiquement, c'était exactement le discours tenu par Novell lorsqu'il a cherché à combiner la distribution Linux acquise lors du rachat de Suse, et les solutions de Middleware ExTend de Silverstream... La seule différence est que Novell s'est longtemps accroché au modèle propriétaire pour SilverStream, condamnant de facto l'union des deux produits. En mettant la main sur Jboss, Red Hat s'assure une capacité de délivrer une pile verticale incluant Middleware et OS à ses clients entreprises, avec un support unique et un modèle de licence unifiée. Szulik se montre même plus ambitieux puisqu'il annonce que Red Hat " va livrer une plate-forme, des outils et des services permettant aux développeurs de proposer aux clients des solutions verticales", une stratégie qui mimique celle d'IBM avec sa pile middleware. [[page]]La montée en puissance de Red Hat pourrait agacer l'un de ses principaux partenaires, à savoir IBM mais aussi des sociétés comme Oracle et SAP. Elle pourrait aussi réaccroitre l'intérêt d'un de ces géants pour Novell, qui détient la seule distribution Linux d'entreprise compétitive avec celle de JBoss. Il est à noter que le rachat de Jboss pourrait avoir des conséquences sur les liens entre le consortium Objectweb et Red hat, mais aussi sur les liens entre Novell et Jboss. Novell revend en effet l'ensemble du catalogue de Jboss à ses clients entreprises. Comme à son habitude, Marc Fleury n'a affiché aucun état d'âme quant à la fusion : "Jboss a choisi Red Hat et je ne commenterais pas les rumeurs qui ont circulé récemment [Plusieurs analystes avaient fait le pari d'un rachat de Jboss par Oracle]. (...) Une large partie des développeurs veulent voir un éditeur indépendant d'outils et de plates-formes open source. (...) Nos business models sont similaires, en fait Red Hat nous a servi de modèle, c'est en quelque sorte notre grand frère." L'acquisition permet en tout cas d'en savoir un peu plus sur l'économie de Jboss. Selon Red Hat, Jboss effectue 70% de son CA avec les activités de maintenance et 30% avec les services. Jboss, qui ne devrait être rentable qu'en septembre, prévoit de réaliser un CA de 40 M$ pour l'exercice 2006 et de terminer l'année avec 60 M$ en carnet de commande. Le tout avec 150 salariés. Par comparaison, Red Hat a réalisé 278 M$ de CA au cours de l'année écoulée avec 1150 salariés. (...)

(10/04/2006 17:52:59)

L'enregistrement passe au tout électronique chez Air France

A l'image des grandes compagnies américaines, Air France continue sa mutation vers le tout numérique en lançant l'enregistrement électronique. Les détenteurs d'un billet électronique émis par Air France, KLM ou une compagnie de l'alliance SkyTeam, peuvent désormais effectuer leur enregistrement sur Internet, ce qui était déjà possible sur certains vols nationaux. L'impression de la carte d'embarquement peut se faire chez soi ou depuis une borne installée à l'aéroport. Ce service est disponible de 24 heures à 30 minutes avant l'heure limite d'enregistrement. Le système offre également la possibilité de choisir son siège. Pour les passagers ayant des bagages en soute, la compagnie met à disposition des comptoirs de dépose rapide. Ce service devrait éviter les files d'attente. Outre ce gain de temps, ce nouveau service offre plus de souplesse quant aux horaires des avions. En effet, il est désormais possible d'avancer son départ ou de le reculer. Une simple connexion et il sera possible de changer son vol pour le précédent ou le suivant - selon les places et le tarif du billet acquis. Gain de temps, souplesse, Air France espère ainsi faciliter le transport pour ses passagers et leur présenter l'avion comme un moyen de transport aussi banal que le train. (...)

(10/04/2006 17:50:57)

Sun supprime 7 % des effectifs de sa division Scalable Systems

Sun vient de licencier 200 personnes travaillant dans sa division Scalable Systems. Cette division s'occupe des serveurs et processeurs SPARC. Selon le porte-parole de Sun, ces licenciements ne changent en rien la politique de l'entreprise, elle devrait tout simplement recentrer l'activité sur quelques projets clés. En fait, Sun semble tirer les conclusions de son partenariat avec Fujitsu, avec lequel il co-développe la prochaine génération de ses grands serveurs Sparc (ligne APL). La firme souhaite aussi concentrer ses efforts sur sa ligne de processeurs Rock qui devrait équiper la génération de systèmes post APL. Tous les projets périphériques sont relégués au second plan ou abandonné, comme Jupiter, un projet de co-processeur de sécurité destiné à compléter Rock. L'équipe Jupiter a ainsi été démantelée. Pour les analystes financiers suivant Sun, cette vague de licenciements témoigne de l'attention particulière qu'attache Sun à ses coûts. La structure de coûts du constructeur a en effet bondi de17% au troisième trimestre 2005 par rapport au même trimestre 2004, notamment du fait de l'intégration des équipes de StorageTek. Sun emploie actuellement près de 38 800 personnes à travers le monde. (...)

(10/04/2006 17:22:18)

Symbole : Jean-Pierre Corniou, DSI de Renault, sur la touche

La rumeur court depuis plusieurs semaines, elle semble se confirmer. Jean-Pierre Corniou, le très médiatique DSI de Renault et président du Cigref (*) depuis 2000, serait sur la touche. En tout cas, la DSI de Renault traverse une période de turbulences. Elle serait passée depuis le 1ier janvier sous le contrôle de Jean-Louis Ricaud, DGA, Qualité et ingénierie. Cette reprise en main de la DSI de Renault a plusieurs explications. Les proches du dossier constatent de prime abord que Jean-Pierre Corniou et Carlos Ghosn, le président du groupe depuis mai dernier, ont des personnalités divergentes. Sur fond de cette opposition de caractères, la DSI de Renault n'obtient pas les résultats attendus du contrat d'infogérance "par silos" de 586,5 M€ signé début 2005 pour 5 ans. Les trois sous-traitants retenus sont HP pour les postes de travail, CSC pour les infrastructures et Atos-Origin pour la partie applicative. Ce contrat et sa gouvernance innovante, une approche en râteau - pas de chef de file dans les sous-traitants qui rapportent directement et séparément à la DSI- semble ne pas permettre de résoudre les conflits entre les sous-traitants qui se renvoient la responsabilité en cas de dérapage. LMI identifie trois écueils: - Qualité de service sur la partie HP, sous-estimation du chantier sur le volet applicatif et, surtout, difficultés à maîtriser les processus inter-contrats. Dans un discours prononcé en septembre dernier, M. Corniou appelait à " inventer une informatique ultra professionnelle mais aussi ultra rapide, qui permette très vite d'amener, parce que nous l'avons bien identifié et architecturé, le meilleur de la technologie dans les pratiques et dans les usages. " (*) Cigref : Club informatique des grandes entreprises françaises. (...)

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