9 milliards d’€ – soit le montant estimé du chiffres d’affaires du marché français de la dématérialisation à l’horizon 2023 (il était de 5,9 milliards en 2013). Si celui-ci a connu une baisse entre 2019 (8,2 milliards) et 2020 (7,7 milliards), il devrait repartir à la hausse dans les années à venir selon Xerfi (qui prévoit donc une augmentation de plus de 16% entre 2020 et 2023).

 01/07/2024 – à partir de cette date, la facture électronique obligatoire entre en vigueur pour sa réception (date repoussée après une première établie au 1er janvier 2023). Pour l’émission de la facture, cette date a été fixée au 1er janvier 2026.

15 à 20 milliards d’€ – c’est le montant de la fraude à la TVA dont était victime l’Etat français en 2019. L’avènement de la dématérialisation laisse espérer une baisse drastique de ces montants en facilitant bon nombre d’opérations rythmant la vie des entreprises. Les objectifs, en plus de réduire le « Gap TVA » grâce à des déclarations de TVA facilitées par du pré-remplissage, seront de renforcer la compétitivité des entreprises via une réduction des coûts de traitement des factures ainsi que d’améliorer la connaissance de la conjoncture par des remontées d’informations en temps réel.

60 minutes – soit 1 heure par jour… et par collaborateur, à chercher des documents ! Grâce à des technologies comme la LAD (lecture automatique de documents), la RAD (reconnaissance automatique de documents) et l’OCR (reconnaissance optique de caractères), ce temps peut être fortement réduit. Ces notions font partie intégrante de la numérisation documentaire et de la gestion électroniques des documents (GED).

80% – la part des factures reçues en format papier par les entreprises actuellement. Outre l’évident problème écologique causé par une utilisation massive du papier, un des avantages promis par la dématérialisation concerne la sécurité ainsi que l’organisation des données et donc, de fait, leur conformité légale.

5€ – l’évaluation de l’économie générée par facture par la dématérialisation. Un traitement plus efficace et un coût de stockage moindre permettent d’alléger les finances de l’entreprise surtout lorsque les opérations d’intégration, de validation ou de stockage se trouvent sur des sites différents. Pour les entreprises, le calcul est rapide à faire quant au déploiement d’une solution de ce type, d’autant que ces solutions sont faciles à déployer (en moyenne 10 jours) et à prendre en main. Elles promettent ainsi un ROI à percevoir rapidement pour l’entreprise (9 mois en moyenne).

0 papier  il s’agit (ou devrait s’agir) de l’objectif de toutes les entreprises. C’est en tout cas celui de la CCI de Nice, qui utilise les solutions de dématérialisation fournies par Sage. Sa démarche était de poursuivre sa transformation digitale, pour mettre fin à la circulation de plus de 50 000 factures papiers entre ses différents établissements, les ports, les écoles, les centres d’apprentissages, etc.