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(11/05/2012 15:32:00)

Découvrir les travaux issus des projets du Défi H

Pour promouvoir l'insertion professionnelle des personnes en situation de handicap dans les entreprises, Le Monde Informatique s'est associé à Sogeti pour lancer le Défi H. Le challenge était simple : six équipes rassemblant des étudiants en 3ème année ou en master (Polytech /Sup'info /Epita /Epsi /Réseaux Miage) devaient développer une innovation technologique pour favoriser l'intégration des personnes handicapées dans le monde du travail.

Après cinq mois de travail acharné, les 6 équipes encore en lice sont aujourd'hui en mesure de vous présenter leurs travaux. Nous vous invitons à découvrir les vidéos des 6 équipes avant de connaître le 15 mai prochain au Musée de la Légion d'Honneur les noms des trois équipes lauréates qui seront récompensés par les prix du Trophée du Défi H, du Prix de la Meilleure Gestion de Projet et du Prix de l'Innovation Technique.

Les six projets pour le Défi H parmi les 60 établissements candidats à la pré-sélection sont :

- « Oscar des entreprises », SUPINFO Campus de Rennes en partenariat avec l'Association des Paralysés de France, délégation de Rennes
Ce projet est un projet de site web sur la notation des entreprises. Il souhaite donner la possibilité à une personne handicapée de savoir si l'entreprise est équipée pour la recevoir et aussi encourager les entreprises à rendre leurs locaux accessibles.




- « Contrast », SUPINFO Campus de Strasbourg en partenariat avec l'Association des Aveugles et amblyopes d'Alsace et de Lorraine
Ce projet propose aux employeurs, aux responsables de structures, aux architectes, architectes d'intérieur, peintres.., un outil pour répondre à la loi handicap de 2005. Cette loi oblige les Établissements Recevant du Public à être accessibles aux personnes handicapées.




- « AmiWheelchair », POLYTECH' Grenoble en partenariat avec la Fondation Garches
Ce projet concerne l'assistance et le suivi de la personne handicapée se déplaçant à l'aide d'un fauteuil roulant manuel ou à assistance électrique à la propulsion sur ses lieux de vie (logement, travail, site urbain, transport en commun) au moyen des technologies de l'informatique ambiante.




- « PAR ICI », IUP MIAGE AMIENS en partenariat avec l'association Passerelle ESC Dispositif handicap
Ce projet est une plate-forme communautaire et de capitalisation d'informations pour la formation et la mise en relation des personnes valides et en situation de handicap (soutiens scolaires, échange, formation, tutorats, offres d'emplois).




- « Social Handi » EPSI Bordeaux en partenariat avec CAP EMPLOI Bordeaux
Le projet prévoit l'élaboration d'un réseau social professionnel destiné à leur insertion professionnelle de personnes en situation de handicap. Ce réseau a pour objectif de réunir de nombreux acteurs tels que les associations, les entreprises, les candidats en situation de handicap et les organismes.




- « SimpaH », IM2AG MIAGE Grenoble en partenariat avec l'association Tremplin Études Emploi Handicap
Ce programme propose une application pour tablette favorisant un accompagnement, à chaque instant, tant au niveau scolaire et professionnel, qu'au niveau mobilité, aux étudiants en situation de handicap moteur et visuel. Le but est ici de faciliter la vie de ces personnes en leur apportant un outil simple d'utilisation qui leur permette de s'orienter, de communiquer et de se former (supports de cours / documents d'entreprise, affichage des accès aux bâtiments, transport en commun adaptés aux situations de handicap, suggestion d'itinéraires adaptés aux handicaps ...).

(...)

(30/04/2012 10:27:00)

Microsoft et Cisco revoient leurs programmes de certifications

Dans un souci de répondre aux dernières évolutions technologiques dans leurs domaines respectifs, l'éditeur Microsoft et le spécialiste des infrastructures réseaux Cisco ont tous deux annoncé le lancement de nouvelles certifications destinées aux professionnels de l'informatique chargés de l'implémentation et du maintien de leurs solutions.

Le cloud mis en avant chez Microsoft

Chez Microsoft, ce sont les principales certifications de l'éditeur qui font l'objet d'une réorientation complète. Cette refonte, note l'éditeur, reflète l'influence croissante du cloud computing, désormais pris en compte dans les examens de certification. Par la même occasion, l'ensemble des certifications proposées changent de nom. Ainsi, au premier niveau la certification MCTS (Microsoft Certified Technology Specialist) est remplacée par un certificat baptisé MCSA (Microsoft Certified Solutions Associate).

Pour sa part,  la certification MCITP (Microsoft IT Professional) est rebaptisée MCSE (Microsoft Solution Expert), alors que la certification MCPD (Professional Developer) est rebaptisée MCSD (Solution Developer). Enfin, la certification MCM (Microsoft Master), elle s'enrichit d'un «S» et porte désormais le nom de MCSM pour Microsoft Solution Master. Microsoft entend ainsi favoriser le renforcement de la compétence des professionnels dans le domaine de la mise en oeuvre de clouds privés. En conséquence, la certification MCSE est ainsi désormais déclinée en deux orientations: MCSE Private Cloud et MCSE SQL Server 2012.

Gestion des réseaux de nouvelle génération chez Cisco

L'équipementier pour sa part a décidé de lancer une nouvelle certification s'adressant aux ingénieurs réseaux. Baptisée CCNP Service Provider, cette certification est destinée à répondre aux exigences croissantes des clients en termes de services gérés. Elle s'ajoute à une autre certification récemment lancée par Cisco, celle de CCNA Service Provider, et à la certification CCIE Service Provider. Elle complète donc la gamme des certifications Cisco dans le domaine de la gestion des réseaux de nouvelle génération.

ICTjournal.ch (...)

(13/04/2012 10:35:42)

L'efficacité des serious games est-elle supérieure aux méthodes classiques ?

Les Serious Games (jeux sérieux) se sont, depuis quelques années, positionnés parmi les outils de formation dans les grandes entreprises. Construits autour des principes du jeu de simulation, ils permettent à des personnels très variés de s'entraîner à affronter tel ou tel type de situation. Les Serious games sont notamment utilisés en management (y compris en DSI) et en relations commerciales.

Mais peut-on être certain de leur pertinence ? La réponse, en fait, varie selon les cas.
Hélène Michel, enseignant-chercheur à Grenoble Ecole de Management, s'est exprimé sur le sujet lors du Forum des Serious Games 2012 organisé par l'éditeur Daesign. Pour elle, un serious game s'estime selon plusieurs dimensions : la satisfaction de l'apprenant, la capacité d'apprentissage induite, la capacité à influencer les actes (passage du savoir au comportement), le résultat sur l'organisation et enfin le retour sur investissement (est-ce que cela coûte moins cher que d'autres formations ?).

Une expérience avec échantillon témoin

Et Grenoble Ecole de Management a eu la possibilité de mener une véritable expérience. Cet établissement dispose d'un store de jeux sérieux. Au contraire d'entreprises, cette école prévoit un usage en présenciel en cours collectifs sous la supervision d'un enseignant. Ces jeux font partie du parcours pédagogique obligatoire.
Mais l'école a voulu tester l'efficacité de cet outil en mesurant l'écart entre deux groupes suivant une formation sur la vente débutant dans les deux cas par un cours théorique. Un groupe témoin a suivi une formation classique à base de lecture de documents de mises en situation. Le second groupe a suivi la même formation mais avec un serious game à la place des documents. Dans les deux groupes, il y avait des étudiants sans aucune expérience de l'entreprise, avec une petite expérience (stage très court) et avec une expérience longue (stage longue).

Tous les étudiants ont alors passé d'une part une épreuve théorique (questions de cours), d'autre part un entretien de simulation avec un jury professionnel. L'enjeu était de décrocher un stage (voire un emploi) dans les entreprises des membres du jury. Sur les étudiants sans aucune expérience, les deux groupes avec/sans serious game n'ont pas eu de résultats sensiblement différents. Les résultats tant théoriques que pratiques ont été honorables.

Un bonus pour les praticiens

Les étudiants avec une petite expérience ont eu plutôt de moins bons résultats théoriques que le premier groupe mais les résultats pratiques étaient un peu meilleurs que ceux du premier groupe, sans différence notable entre ceux ayant suivi les serious games et les autres.

Par contre, ceux ayant une certaine expérience ont eu de bien meilleurs résultats pratiques avec serious games que sans. Les résultats théoriques ont été excellents dans les deux cas.
« Le serious game sert au renforcement d'expérience, les débutants ne s'intégrant pas à une simulation mais à un simulacre » déduit Hélène Michel.

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Au delà de la formation, les serious games se font aussi une place pour l'évaluation des compétences, notamment managériales. L'éditeur Daesign a ainsi développé Misivias avec le cabinet de conseil RH et de recrutement Arnava. Cet outil sert à mesurer la compétence en management de candidats grâce à un jeu de simulation de gestion de projet (en l'occurrence l'organisation d'une inauguration d'une fondation d'entreprise) avec gestion des équipes (dont des situations conflictuelles). Le but était clairement d'aller bien plus loin que des tests de personnalité avec une immersion situationnelle sans, cependant, engager des frais trop importants.

En fonction des réactions du candidat, il va être évaluer dans une grille de compétence avec une méthode de scoring. En fin de séance, l'outil délivre un rapport précis point par point. Comme dans tous les jeux de rôle, il n'y a pas, a priori, de réponse unique possible mais la révélation d'un profil personnel. Un outil de ce genre a, de plus, l'avantage de n'être influençable par aucun préjugé : le serious game est par nature non-discriminatoire. (...)

(09/03/2012 09:57:01)

L'e-learning pour renforcer les formations chez Vinci Energies

Vinci Energies est issu du rapprochement de plusieurs entités du groupe Vinci et de Cegelec, racheté en avril 2010. Il se comporte comme une fédération de 1500 PME dans 38 pays regroupant 60 000 collaborateurs (soit une moyenne de 40 par entité, dont 30 000 équipés d'informatique). Il génère un chiffre d'affaires consolidé de 8,6 milliards d'euros dans des activités d'ingénierie et de services en électricité/télécoms (courants faibles et forts), climatisation, etc. Il peut être amené autant à poser des pylônes le long de lignes TGV qu'à équiper en réseaux une PME industrielle ou un immeuble d'habitation.

La formation des collaborateurs est pour l'entreprise un élément fondamental. Il dispose pour cela de l'Académie Vinci Energies qui réalise plus de 600 sessions de formations par an. Si l'Académie propose déjà une formation présentielle sur l'entretien de négociation commerciale, elle a souhaité compléter celle-ci par une formation en ligne à distance pour en accroître l'efficacité. Cette formation, tant dans sa partie en ligne que pour sa partie présentielle, est en deux parties : des rappels théoriques d'une part, une simulation d'entretien de l'autre. L'ensemble repose sur « les cinq règles d'or de la négociation » et forme autant à la préparation de la négociation qu'à sa conduite.

La formation en e-learning a été conçue spécifiquement par KTM Advance. Elle simule l'ensemble du processus par le biais d'un jeu de simulation de type « serious game ». Son côté ludique est là pour en renforcer encore l'efficacité. Le coût du projet n'a pas été précisé. (...)

(27/02/2012 10:17:15)

Collège de France : leçon inaugurale de la chaire d'Informatique le 8 mars

Nommé titulaire de la Chaire Informatique et Sciences numériques du Collège de France pour l'année académique 2011-2012, Serge Abiteboul, directeur de recherche à l'Inria, tiendra sa leçon inaugurale le jeudi 8 mars prochain, à 18 heures. Intitulée « Sciences des données : de la Logique du premier ordre à la Toile », cette leçon portera sur la gestion de la masse d'information circulant sur Internet, la manière de trouver une information pertinente au sein de cette masse et la question plus polémique du secret des algorithmes des moteurs comme Google. Serge Abiteboul est le troisième titulaire de la Chaire d'Informatique. Il succède à Martin Abadi et Gérard Berry.

Ingénieur en télécommunications, titulaire d'un double doctorat de l'Université de Los Angeles et de l'Université Paris Sud, Serge Abiteboul a enseigné à Stanford, à Oxford (professeur invité) et à l'Ecole Polytechnique (maître de conférence). Récipiendaire de prestigieux prix (ACM SIGMOD Innovation Award 1998, Prix d'Informatique de l'Académie des Sciences 2007...), il est membre de l'Académie des Sciences et de plusieurs autres instituts à travers le monde. Cofondateur de la start-up Xyleme en 2000, il a été consultant pour plusieurs industriels et organisations comme la Nasa et Technicolor.

Actuellement, il est également membre du laboratoire LSV de l'Ecole Normale Supérieure de Cachan. Au Collège de France, du 14 mars au 30 mai, tous les mercredis à 10 heures, il développera un enseignement autour de sa spécialité, le traitement des données, de la base de données à la recherche sur le web. (...)

(21/02/2012 11:42:45)

L'Epitech s'allie avec deux grandes universités chinoises


L'Epitech vient de signer 2 partenariats avec les établissements chinois Tsinghua University et Tongji University. Ceux-ci accueilleront des étudiants de l'école d'informatique dès la rentrée de septembre 2012. L'Epitech précise que près de 25% de ses élèves choisissent l'Asie pour suivre leur 4e année d'internationalisation.

Située à Pékin, Tsinghua University est souvent considérée comme le « MIT Chinois ».  Reconnue comme la première université du pays, elle  figure en bonne place dans plusieurs classements internationaux (54ème place au QS Ranking 2011 et 71ème rang au Times Higher Education 2012 ).

Ses 26 000 étudiants, dont 1 700 étrangers, répartis sur 14 facultés, bénéficient d'enseignants parmi lesquels un lauréat du prix Nobel (Zhenning Yang), 35 membres de l'Académie des Sciences de Chine ou encore 31 membres de l'Académie du Génie de Chine.

Les cours du programme « Master in Advanced Computing » qui fait partie du département « Computer Science and Technology » seront dispensés en anglais. Les classes mixtes (étudiants internationaux  / étudiants chinois) et les travaux de groupe favoriseront les échanges. Les étudiants de l'Epitech seront logés dans les résidences de l'université. Ils pourront profiter de tous les équipements liés à l'enseignement, à la culture et également au sport au sein d'un campus de près de 400 hectares situé sur les anciens jardins royaux de la dynastie Qing

Tsinghua University est partenaire d'écoles réputées comme Stanford University (USA), McGill University (Canada), et Imperial College (UK).

Master en ingénierie logicielle à Shanghaï

Les étudiants Epitech de 4ème année qui souhaitent s'intégrer sur le marché du travail en Asie pourront également opter pour Shanghaï et suivre des cours au sein de la Tongji University, Cette faculté, qui accueille 70 000 étudiants dont 3 000 internationaux, est particulièrement reconnue dans le domaine de l'ingénierie, domaine où elle est  classée 150e mondiale  (source : classement QS 2011 en ingénierie & IT).

Aux côtés d'étudiants chinois, les français suivront en anglais le programme diplômant « Master Degree in Software Engineering » de la School of Software Engineering (SSE) de Tongji University. Le campus de la SSE d'une superficie de 8 400 m2 compte une équipe d'enseignants composée entre autres de 14 seniors experts en informatique venant  d' entreprises  internationales. Il possède également des  laboratoires de recherche créés en partenariat avec de grandes entreprises telles que IBM et Microsoft.

Tongji University a signé des partenariats académiques avec Carnegie Mellon University (USA), National University of Singapore (Singapour), Waseda University (Japon).

De son côté, l'Epitech a conclu une trentaine d'accords universitaires internationaux en Chine, et également au Québec, en Russie, aux Etats-Unis et en Europe.



(...)

(08/02/2012 14:42:05)

« L'IT aide les salariés handicapés à s'intégrer dans l'entreprise », Marie Pascale Martin, Sogeti

Lemondeinformatique : Quel est votre rôle au sein de Sogeti ?

Marie Pascal Martin: Aujourd'hui, ma fonction englobe un nombre varié de domaines touchant aux Ressources Humaines comme  le recrutement, les relations avec les universités et écoles et   la Diversité. Notre politique sur la diversité s'appui sur des actions de partenariat destinées à rendre visible l'engagement en faveur de la non discrimination  tel que  l'intégration des personnes handicapées, l'égalité homme/femme, la place des seniors, mais aussi la perception du monde de l'entreprise auprès des étudiants

Quel est votre focus sur l'emploi des personnes handicapées ?


Il s'agit d'une action prioritaire pour nous avec plusieurs orientations : la formation, le recrutement, le maintien de l'emploi, et la sous-traitance auprès du milieu protégé et adapté pour créer des emplois indirects.. Sur le premier point, nous misons beaucoup sur l'alternance qui se révèle une action très efficace pour intégrer  les personnes handicapés dans l'entreprise. Nous avons aussi des actions dans le recrutement, sur le groupe Cap Gemini (Sogeti étant une filiale) nous avons un plan d'embauche jusqu'à 2012 de 180  personnes. Nous étions à 110 personnes handicapées recrutées à la fin de l'année 2011.

Est-ce difficile de recruter des personnes handicapées et quels sont les principaux freins ?

Si on peut s'attendre à ce que les freins soient de l'ordre du diplôme, car peu de personnes handicapées sont diplômés BAC + 4,  (rappelons que la population handicapée représente 4% de la population active) les principaux freins restent internes à l'entreprise. Il est nécessaire d'avoir un effort important dans sensibilisation des équipes en interne pour montrer l'apport des personnes handicapées dans une entreprise. Nous réalisons cet effort à travers des vidéos de sensibilisation au monde des aveugles par exemple ( JCPMY / j'en crois pas mes yeux) ). Par ailleurs, nous avons adhéré à la norme « Handi Accueillante » montrant aux personnes handicapées que nous sommes une entreprise sensibilisée.

Que représente pour vous le défi H ?


Il s'agit d'abord d'un formidable travail d'équipe qui apporte des solutions technologiques pour améliorer l'accueil de la personne handicapée dans l'entreprise. Les étudiants des différentes écoles se sont fortement impliqués dans ces projets  et apprennent les besoins d'une entreprise comme la nôtre. De l'autre côté, les coachs, issus de Sogeti, sont très engagés auprès des équipes  pour leur apporter leur expertise sur les plans technologie et de management de projet.

Quels sont les premiers retours des coachs ?


Ils sont très impliqués sur les différents projets. On aurait pu craindre au départ une disponibilité limitée de leur part en raison d'agenda professionnel déjà très chargé. Ils réalisent des points d'étapes une fois par mois avec les différentes équipes. Leur retour est très positif sur l'état d'esprit et le travail des étudiants. Les coachs sont d'ailleurs sollicités en interne pour connaître des avancées des différents projets. (...)

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