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Virtualisation

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(02/09/2011 09:50:10)

Samsung s'immisce dans le client léger et zéro client

Le fabricant Sud-Coréen élargit le portefeuille de produits de sa division IT en lançant ses premiers clients légers et zéro client. Dans un premier temps, huit modèles sont proposés, équitablement répartis entre les deux types de produits. Dans la gamme des clients légers de Samsung, dépourvus de boîtiers externes, on trouve notamment le TC190 (écran 19'') et le TC240 (écran 23,6'') qui offre un affichage Full HD. C'est également le cas du zéro client NC240, doté, comme le NC190, de quatre ports USB pour la connexion de périphériques et de sources personnelles. « Nous n'en sommes qu'au début de la constitution de notre gamme. L'an prochain, nous disposeront d'au moins vingt modèles », indique Agnès Van de Walle, la directrice de la division IT de Samsung France. Tous les matériels qui viennent d'être lancés sont certifiés par VMware. Ils devraient l'être aussi par Citrix dans le courant du mois de septembre.

Conquérir 10% de part de marché dès la fin 2011

Bien qu'il ne dispose pas encore d'une gamme aussi large, Samsung fait déjà montre de grandes ambitions sur le marché français d'ici la fin de l'année 2011. Pour Agnès Van de Walle, le fabricant devrait en effet « prendre 10% de parts du marché des clients légers et des zero client d'ici la fin de l'année. » L'objectif est-il ambitieux ? Pour la dirigeante de la division IT de Samsung France, il n'est en tous cas pas aberrant d'espérer se poser rapidement en concurrent sérieux des leaders que son HP et Wyse. Etant numéro un en volume et en valeur sur le marché des moniteurs en France, l'entreprise compte notamment jouer sur cet avantage pour faire une bonne place à ses nouveaux produits. En outre, Samsung a déjà montré que ses ambitions doivent être prises au sérieux : en 2008, l'entreprise déclarait vouloir prendre la première place du marché français de l'impression laser couleur. Partant alors de la sixième place, elle a presque rempli son objectif puisque de récents chiffres publiés par Gfk la créditent de la seconde place juste derrière HP.

Pour arriver à ses fins, Samsung devra compter sur la distribution informatique. D'une part, en amenant ses partenaires actuels à commercialiser ses clients légers, d'autre part en recrutant de nouveaux revendeurs. Pour les servir, Samsung a signé un accord de distribution avec Arrow au second trimestre 2011, ce dernier référençant uniquement  ses modèles de clients légers et zero client. « D'ici la fin de l'année, nous estimons que 200 000 postes de travail vont être renouvelés en France. La moitié le sera par le biais d'un renouvellement de matériel et constitue notre cible principale », conclut Agnès Van de Walle.

(...)

(01/09/2011 14:40:12)

VMWorld 2011 : Paul Maritz dessine les contours de l'ère post-PC

Selon Paul Maritz, PDG de VMware, l'avènement de l'ère post-PC met face à face l'informatique d'entreprise traditionnelle et le fort consumérisme technologique des utilisateurs qui demandent toujours plus de flexibilité pour travailler comme ils veulent, sur le périphérique de leur choix. Cela va provoquer des transformations dans l'usage des terminaux, les smartphone et les tablettes servant de point d'accès aux PC traditionnels, depuis leur lieu de travail. Cela signifie des changements majeurs en matière de développement d'applications et de systèmes back-end, dans la mesure où les bases de données relationnelles classiques ne sont pas capables, compte tenu du niveau de développement et de déploiement nécessaires, de répondre aux besoins des utilisateurs qui attendent un traitement des données en temps réel.

Plaçant le cloud computing au coeur de ce développement, Paul Maritz voit trois défis majeurs pour répondre à ces tendances. « En premier lieu, nous devons trouver, au moins pour un certain temps, un moyen plus efficace pour exécuter ce sous-ensemble d'applications client-serveur que nous ne pouvons pas abandonner et qui préfigure cette nouvelle ère. Il est nécessaire de l'améliorer pour concentrer nos efforts sur de nouvelles applications», a déclaré le PDG de VMware. Ensuite, il faut répondre à la demande d'informations en temps réel, nécessaire pour la prise de décisions. « On ne peut y arriver par un lifting superficiel de nos applications existantes », a déclaré Paul Maritz. Enfin, les utilisateurs veulent être en mesure de choisir le terminal sur lequel ils seront amenés à utiliser ces applications. « Les services informatiques ne peuvent pas contrôler un appareil dont le devenir est dépendant des tendances du marché, » a déclaré Paul Maritz. « Les services IT doivent offrir des applications et des services indépendants du terminal. » C'est ce que VMware appelle l'ère «post-PC ». Et de nombreux produits et annonces faites par l'éditeur pendant le VMWorld vont dans ce sens.

Des expérimentations vers le sans PC en cours


Steve Herrod, CTO de VMware, a déclaré que l'un des objectifs majeurs était de simplifier la gestion pour les administrateurs informatiques. «  Ils doivent gérer les personnes, et non les appareils, » a-t-il déclaré. Ce point de vue a trouvé un écho auprès de l'Université McMaster de Hamilton, Ontario, qui a procédé à un important déploiement de produits VMware il y a 18 mois. Comme l'a déclaré Michael Curwin, directeur de l'information et des services technologiques au sein de l'Université, l'établissement a décidé de ne plus déployer d'ordinateurs de bureau traditionnels sur le campus. « Pour l'instant, nous sommes dans une phase de transition, c'est à dire que nous avons maintenu un certain nombre de postes de travail. Mais désormais, nous pouvons délivrer un desktop virtuel à une machine traditionnelle, et nous pouvons également livrer une VM sur un iPad, ou sur tout type d'appareil mobile choisi par l'utilisateur pour accéder à son environnement de travail, » a déclaré le directeur de l'information. « Je crois que la fin des postes de travail traditionnels est proche. En ce qui nous concerne, nous avons décidé de ne plus déployer de machines de bureau traditionnelles. Cela n'a tout simplement plus de sens pour nous, y compris sur le plan financier. »

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VMware View 5 fait partie des offres qui soutiennent cette tendance. La nouvelle version de l'outil de virtualisation de bureau et de gestion de VMWare apporte les améliorations promises en termes de bande passante, de support pour les images 3D, d'intégration des communications unifiées et de personnalisation de bureau virtuel avec gestion individualisée. VMware Horizon a également été mis à jour pour permettre à son moteur qui gère les identités, la politique et la conformité, de travailler avec des applications Windows virtualisées et de se connecter à des espaces de travail mobiles. Horizon comporte aussi un outil de gestion et de déploiement d'applications, et un autre permettant de déployer les applications virtualisées personnelles d'un utilisateur vers un dispositif tournant sous Android. Grant Aitken, vice-président de VMware pour le Canada, a conseillé aux entreprises de mettre en route des stratégies pour définir ce que le Cloud pouvait apporter à leur activité, et quelles mesures elles devaient prendre pour y arriver. « Cela vaut aussi bien pour une solution en interne, en externe ou une combinaison des deux, » a précisé Grant Aitken. « Ensuite, il faut qu'elles adaptent les éléments nécessaires de leur business plan. Cela signifie la virtualisation du plus grand nombre de leurs applications existantes, comme elles le souhaitent, et aussi rapidement qu'elles le désirent. »

Attention à la nature du terminal


Alors que VMware s'emploie à libérer les responsables informatiques du casse-tête du point d'accès, grâce à une virtualisation indépendante du périphérique, et alors que le PC traditionnel pourrait bientôt devenir minoritaire parmi le nombre d'appareils connectés à Internet, la nature du terminal est loin de devenir indifférente aux administrateurs informatiques, selon Michelle Warren, analyste principal de MW Research & Consulting, basé à Toronto. « La nature du terminal est encore plus pertinent aujourd'hui, » selon elle. «  L'iPad a changé le marché, mais les tablettes existent depuis quelques années. Nous avons eu aussi ces tablettes informatiques avec stylet, il y a plus longtemps encore. Le changement vient de la manière dont nous les utilisons», a estimé l'analyste. « Si l'appareil utilisé n'avait pas d'importance, nous aurions tous la même machine et nous l'utiliserions tous de la même manière. Mais l'utilisateur attendra toujours du responsable IT qu'il fasse en sorte de supporter son matériel, quel qu'il soit. »

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(31/08/2011 16:17:39)

VMworld 2011 : Samsung et LG supporteront l'hyperviseur mobile de VMware

A l'occasion de VMworld à Las Vegas, deux constructeurs de téléphonie mobile, LG et Samsung ont annoncé qu'ils supporteraient l'hyperviseur mobile de VMware. Mais « cela dépendra des opérateurs », a déclaré Srinivas Krishnamurti, directeur des technologies mobiles chez VMware. « Nous avons conclu des partenariats avec certains d'entre eux qui mettront nos produits sur le marché. » Il n'a pas précisé quels opérateurs sont intéressés par la vente de ce type de téléphones, mais l'éditeur pense que des terminaux avec sa technologie seront disponibles dans les prochains mois.

C'est en fin d'année dernière que VMware a commencé à parler de son produit de virtualisation mobile
. L'éditeur en avait ensuite fait la démonstration au mois de février 2011 sur un téléphone de marque LG. Le constructeur coréen a confirmé son intention de proposer des téléphones avec cette technologie, et a fait savoir que les premiers appareils seront disponibles auprès de l'opérateur Verizon.

L'hyperviseur de VMware fonctionne sur les mobiles Android et permettra aux salariés d'utiliser leurs propres téléphones et d'y faire tourner une version distincte du système d'exploitation, dédiée celle-ci aux applications professionnelles. L'idée est d'isoler les applications professionnelles, la messagerie en particulier, des applications que les utilisateurs pourraient télécharger sur leurs terminaux pour leur usage personnel, mais susceptibles de compromettre les données de leur entreprise.

Des performances préservées


Pour utiliser la solution virtuelle, Samsung et LG doivent charger des modules de l'hyperviseur sur leurs téléphones. « Lorsqu'ils achètent un de ces téléphones, les utilisateurs peuvent ensuite télécharger l'application qui permet de créer un profil personnel et un profil professionnel sur le même terminal, » a déclaré Srinivas Krishnamurti. Certains critiquent les modalités de fonctionnement de l'hyperviseur qui suppose de faire tourner deux versions complètes d'Android sur un même mobile et peut affecter les performances. Mais « des tests menés par VMware avec une version bêta privée sur un panel d'environ 100 utilisateurs finaux travaillant pour 10 entreprises différentes, n'ont pas mis en évidence des baisses de performance, » a affirmé le directeur de VMware.

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Cette semaine, VMware a également annoncé avoir développé un logiciel de gestion qui permettra aux entreprises de ne gérer que la section « professionnelle » du téléphone. Ainsi, les responsables informatiques auront la possibilité d'effacer à distance des applications et des données professionnelles, si le salarié perd son mobile ou s'il quitte l'entreprise par exemple. Le logiciel permettra également d'installer des applications et de définir les politiques d'accès pour ce profil distinct. Le logiciel fonctionne avec l'hyperviseur tournant sur le téléphone.

Un SDK pour gérer l'intégration d'applis tierces


Parce que de nombreuses entreprises disposent déjà des outils pour gérer leur parc mobile, VMware prévoit de sortir un SDK (software development kit) qui permettra à d'autres vendeurs d'intégrer le logiciel de gestion mobile de l'éditeur dans leurs produits. Une entreprise pourra ainsi utiliser le logiciel, potentiellement plus fonctionnel, de VMware, avec un produit de gestion plus traditionnel, et gérer les téléphones VMware, depuis la même console. Il espère sortir son SDK peu de temps après le lancement de son logiciel de gestion de périphériques mobiles. « Le logiciel de gestion de parc mobile sera disponible après l'arrivée sur le marché des premiers terminaux compatibles, c'est à dire « dans les prochains mois » précise le spécialiste de la virtualisation.

LG, présent au VMworld pour marquer son intérêt pour la virtualisation mobile, n'a pas non plus indiqué quand ses téléphones « virtualisables » seront lancés. Le constructeur a dit qu'il s'intéressait également à d'autres technologies de virtualisation mobile, mais a convenu que les entreprises seraient probablement plus à l'aise avec la technologie développée par VMware. « Il existe déjà une base d'utilisateurs, familiers avec la technologie de VMware. Si une entreprise utilise déjà les outils de virtualisation dans ses centres de calcul, elle sera probablement beaucoup plus tentée par la virtualisation mobile de l'éditeur, » a déclaré Ki Kim, corporate vice-président de LG Electronics, à la tête des solutions de mobilité pour l'entreprise au niveau mondial.

Une tendance vers le Bring Your Mobile


Ces dernières années, la virtualisation mobile a été au coeur des discussions dans les services informatiques des entreprises, soumis à la pression croissante des salariés qui demandent à pouvoir utiliser le téléphone de leur choix dans leur activité professionnelle. Dans ce domaine, l'offre de VMware n'est pas unique. Open Kernel Labs propose des outils destinés aux développeurs, qui permettent de faire tourner des applications personnelles sur des machines virtuelles. Enterproid a également développé un logiciel qui n'utilise pas la technologie de virtualisation classique, mais qui est néanmoins capable de séparer les applications professionnelles des autres, sur des téléphones tournant sous Android.

Sur cette vidéo, on peut voir, sur un téléphone LG, comment fonctionne la solution de virtualisation mobile de VMware, et la façon dont les utilisateurs basculent entre le profil privé et le profil professionnel.

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(30/08/2011 14:29:43)

VMworld : Paul Maritz présente l'offre VDI View en version 5.0

A l'instar de son concurrent Citrix qui l'a annoncé récemment, VMware ajoute à View, son offre de VDI (virtualisation de poste de travail), des fonctions permettant de personnaliser les interfaces et de les diffuser sur les réseaux étendus (WAN). La version 5.0 de View apporte ces fonctions parce qu'elles ont été spécifiquement demandées par les utilisateurs, a indiqué Paul Maritz, le PDG de VMware, qui a présenté la mise à jour du logiciel sur la conférence VMworld qui se tient en ce moment à Las Vegas.

Typiquement, les solutions VDI sont mal gérées à travers les connexions WAN et leurs fournisseurs ont plutôt mis l'accent sur leur utilisation au sein de réseaux locaux. Avec cette version, VMware a pu réduire de 75% la bande passante nécessaire au streaming d'une VDI, ce qui permet d'emprunter les réseaux longue distance, a expliqué l'éditeur. Cette amélioration résulte de la façon dont VMware a revu son algorithme de compression en PCoIP, le protocole utilisé pour apporter les bureaux virtuels aux utilisateurs des postes de travail. Dans sa version 5.0, View a également augmenté le cache du côté utilisateur afin que celui-ci puisse exécuter certaines tâches localement, les animations Flash, par exemple.

View 5.0 supporte la visualisation 3D

Les capacités de personnalisation de View 5.0 vont permettre aux administrateurs d'embarquer des applications départementales et de configurer des paramétrages particuliers pour les bureaux virtuels, sans que ces derniers requièrent davantage d'espace de stockage. VMware a acquis cette technologie, appelée Persona Management, lorsqu'il a racheté RTO Software en 2010.

Avec cette mise à jour, View supporte par ailleurs la visualisation 3D, ce qui ouvre la voie aux applications de modélisation avancées et permet de tirer parti du rendu de l'interface Aero de Windows 7. VMware est également intervenu sur Horizon, son application de portail lancée en mai. Désormais celle-ci peut également s'adresser aux utilisateurs d'applications Windows. La précédente version du produit ne concernait que les applications cloud. L'éditeur a aussi livré un logiciel associé pour les applications mobiles, VMware Horizon Mobile.

Illustration : Paul Maritz, PDG de VMware, lors d'une précédente manifestation (crédit : D.R.)

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(30/08/2011 09:34:51)

VMworld : VMware veut virtualiser les bases de données pour le cloud

Lors de VMworld, qui se déroule à Las Vegas du 29 août au 1er septembre, VMware a annoncé un service nommé, vFabric Data Director. Postgres sera la première des bases de données portée sur cette solution, mais d'autres SGBD sont prévues, a déclaré David McJannet, directeur cloud et des services applicatifs chez VMware. « De nombreuses entreprises ont des centaines de grandes bases de données qui ne sont pas bien gérées, ni très sécurisés », précise le dirigeant et d'ajouter « en utilisant un conteneur virtuel pour construire une brique unique, elles auront fait un pas de géant pour réduire la dispersion des bases de données ».

VFabric Postgres comprend une copie de la base de données Open Source PostgreSQL intégrée dans une machine virtuelle VMware. Avec ce logiciel, les administrateurs peuvent configurer les bases de données de manière standardisée et proposer des modèles aux développeurs et aux utilisateurs, confirme David McJannet. Ils pourront aussi offrir les SGBD en self-service depuis un portail web. Le dirigeant souligne, par ailleurs, que VFabric Postgres « réduit le temps de travail pour préparer une base de données pour une utilisation dans un cloud reposant sur les solutions VMware. La gamme VFabric fonctionne sur des applications basées sur Spring.

D'autres entreprises sur le sujet


L'éditeur prévoit de publier de nouvelles versions logicielles en même temps que les mises à jour de Postgres. Néanmoins, les administrateurs devront déplacer les données de l'ancienne base vers la plus récente ou  mettre à jour la base de données depuis le conteneur virtuel. Ce n'est pas la première entreprise à offrir une version cloud-ready de Postgres. La semaine dernière, EnterpriseDB a annoncé le prochain lancement d'un logiciel capable de gérer plusieurs instances de Postgres, appelé Postgres Plus Cloud Server.

VFabric Postgres sera disponible sur Cloud Foundry, plateforme cloud de VMware, ainsi que dans un logiciel indépendant.

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(26/08/2011 15:38:12)

HP rénove la gamme 3Par et ajoute la fédération de stockage

Moins d'un an après l'acquisition de 3Par, société spécialisée dans les solutions de stockage virtualisées, HP a présenté le fruit des travaux communs avec les systèmes HP P10000 3Par. Ces solutions haut de gamme comprennent deux modèles les V400 (2 contrôleurs) et V800 (8 contrôleurs). Ils intègrent la dernière version de l'ASIC (circuit intégré spécialisé) qui donne « un haut niveau de performance et permet de mixer les charges de travail transactionnelles, comme les bases de données, avec des flux séquentiels, tels qu'un sauvegarde ou des traitements analytiques » souligne Craig Nunes, directeur marketing de la division HP Storage.

Il ajoute que « le système offre une évolutivité idéale pour les environnements virtualisés ou des datacenters proposant des offres IT-as-a-Service grâce à sa capacité de consolider le déploiement des machines virtuelles au sein d'une seule plateforme. » La gamme P10000 peut automatiquement, en un seul clic de souris, équilibrer la charge des besoins en calcul et en capacité de stockage, ce qui peut augmenter les performances et la disponibilité de niveau de service de tous les volumes sur le système. Les baies HP 3Par seront disponibles à partir du 29 août et les prix débutent à partir de 217 343 euros HT.

Un logiciel de fédération de stockage


En complément des baies 3Par, HP a présenté un logiciel de fédération de stockage, baptisé « Peer Motion ». Il s'agit pour le constructeur informatique de proposer un moyen pour les entreprises de déplacer des données applicatives d'un système de stockage ancien vers un plus récent en toute transparence et sans interruption de service. Par ailleurs, il intègre une fonctionnalité de thin provisioning fédéré, qui assure le déplacement des données des applications vers des systèmes de stockage disposant de ressources non utilisées.

Le logiciel Peer Motion n'est pas sans rappeler l'offre VPlex d'EMC qui permet de fédérer aussi des ressources de stockage au sein d'une même unité. Lors du dernier EMC World, le constructeur avait présenté une version Geo qui fédère des solutions de stockages sur des longues distances. HP reste sur une agrégation de stoskage au niveau local. Il indique que sa solution est disponible pour les systèmes de stockage HP 3Par.

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(25/08/2011 12:13:20)

Citrix personnalise et ajoute l'accès WAN à XenDekstop

Citrix toilette et améliore sa solution de virtualisation de poste de travail, XenDesktop. Il s'agit d'un logiciel serveur de Citrix capable de fournir des bureaux virtuels à des utilisateurs. La version XenDesktop 5.5 qui vient d'être présentée  comprend plus de 150 fonctionnalités et améliorations.

Parmi celles-ci, on notera la  solution de personnalisation du bureau, issue de l'acquisition de RingCube au début du mois d'août. Ce logiciel permet aux utilisateurs de personnaliser leurs propres postes de travail et aux entreprises d'intégrer leurs propres applications métiers. Les versions antérieures de XenDekstop ne permettaient pas de sauvegarder les personnalisations des postes de travail.

Cette technologie est désormais connue sous la dénomination « Personal vDisk » et sera disponible en téléchargement distinct. John Fanelli, vice-président pour les applications et les postes de travail entreprise chez Citrix, explique que cette solution peut être configurée à partir du menu option sur la console de XenDesktop.

Adapté pour les sites distants


La mise à jour du logiciel de Citrix étend l'utilisation de la virtualisation des postes de travail sur le WAN. Les versions précédentes étaient plus appropriées aux réseaux locaux (LAN), car sur de grandes distances les performances se sont avérées trop lentes. L'éditeur a amélioré son protocole de streaming HDX (High Definition User Experience), a expliqué John Fanelli, en priorisant le trafic réseau. Cette extension donnera aux entreprises la possibilité de déployer des postes de travail virtuels dans des sites distants (agences, succursales), mais aussi de développer le télétravail.

D'autres fonctionnalités ont été améliorées. Par exemple, les bureaux virtuels peuvent désormais diffuser du contenu Flash en local, plutôt que d'y accéder via un serveur. Il prend également en charge le streaming voix et vidéo, mais aussi l'interface Aero de Windows 7. Enfin, l'utilisateur peut également imprimer sur des imprimantes locales en téléchargeant les drivers sur son poste.

Citrix a également mis à jour le client serveur, Citrix Receiver. Le programme client dispose maintenant d'interfaces personnalisées pour chaque système d'exploitation. (...)

(24/08/2011 15:46:26)

Oracle VM 3.0 : des capacités de virtualisation multipliées par 4

Oracle a mis à jour son logiciel de virtualisation de serveur, lui conférant un meilleur contrôle des politiques de gestion et davantage de connecteurs pour les systèmes de stockage. La toute nouvelle version, déjà disponible, d'Oracle VM 3.0 comporte « des améliorations qui visent à rendre le produit plus évolutif sur le plan des performances et de la gestion, » a déclaré Adam Hawley, directeur senior product management pour Oracle VM. Au premier rang, ces améliorations concernent les contrôles des politiques de gestion, un meilleur support des solutions de stockage de tierce partie et la possibilité d'exécuter davantage de machines virtuelles par serveur.

Basé sur l'hyperviseur Open Source Xen, Oracle VM est le logiciel de virtualisation d'Oracle pour serveurs x86. Cette version est spécialement adaptée pour exécuter des logiciels Oracle. Son code découle directement de l'acquisition de Virtual Iron par Oracle en 2009. L'éditeur propose 90 modèles pour faire tourner d'autres logiciels Oracle entreprise sur Oracle VM, comme PeopleSoft en particulier. Les utilisateurs peuvent également déployer Oracle VM en tant que gestionnaire de virtualisation autonome basé sur Linux, pour servir d'alternative à d'autres produits, notamment vSphere de VMware. « La virtualisation n'est plus seulement un outil pour la consolidation des serveurs. C'est devenu un moyen de simplifier la gestion des applications, » a déclaré Monica Kumar, senior director du marketing pour la virtualisation chez Oracle.

Un framework pour mieux gérer le stockage

Désormais Oracle VM  supporte jusqu'à 128 processeurs virtuels par serveur. La version 2.2 précédente ne pouvait faire tourner que 32 processeurs virtuels par serveur. À titre de comparaison, VMware a récemment livré la version 5 de vSphere, laquelle peut supporter 32 processeurs virtuels. Oracle VM et vSphere peuvent tous deux supporter jusqu'à 1 téraoctet de mémoire par machine virtuelle. « Les nouvelles fonctionnalités d'Oracle VM 3.0 en matière de politique de gestion vont permettre aux administrateurs de créer des scripts évènements capables de déclencher une action dans une condition donnée, » a expliqué Adam Hawley. Par exemple, les machines virtuelles peuvent être automatiquement déplacées d'un serveur à un autre lorsque l'utilisation de la CPU ou le trafic réseau ont atteint un seuil critique. Ou encore, les charges de travail peuvent être réparties sur un plus petit nombre de serveurs quand le trafic est moins important, de façon à économiser de l'énergie.

Dans cette version, Oracle apporte également un framework pour gérer les systèmes de stockage connectés entre eux, « qui devrait donner aux administrateurs des environnements virtualisés un plus grand contrôle sur les solutions de stockage back-end, » a ajouté le directeur senior. Ceux-ci « peuvent gérer les fonctionnalités de stockage directement depuis notre interface, ce qui leur évite d'utiliser de multiples outils, » a déclaré Adam Hawley.

Des plug-ins pour EMC, NettApp, Fujitsu...

Contrairement aux versions précédentes d'Oracle VM, lesquelles offraient seulement un accès de base aux systèmes de stockage, cette mouture permet d'accéder à des fonctionnalités avancées, comme le clonage de machine virtuelle ou les instantanés, pour enregistrer l'état d'une VM à un moment donné. Oracle propose en outre des plug-ins spécifiques aux solutions de stockage d'EMC, NetApp, Fujitsu, Hitachi, et pour ses propres solutions de stockage. Oracle VM, et le support associé, est gratuit pour les clients actuels de l'offre serveurs x86 d'Oracle.

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