Les utilisateurs vont donc contrôler les performances de leurs services RDS à partir de l'AWS (Amazon Web Services) Management Console. Avec l'aide d'un assistant graphique dans leur navigateur, les administrateurs pourront, lancer ou modifier une instance de la base, selon Amazon. Les autres caractéristiques comprennent la capacité de prendre un instantané de la base de données, qui peut ensuite être archivé, ou contrôler la lecture et l'écriture, mais également le niveau de latence et accéder à un espace de stockage gratuit.

Outre RDS, l'AWS Management Console peut être utilisé pour gérer EC2 (Elastic Compute Cloud) et CloudFront, qui est le service d'Amazon pour la délivrance de contenu, y compris audio et vidéo. À l'avenir, l'éditeur prévoit de permettre l'administration de S3 (Simple Storage Service). Les administrateurs seront en mesure de créer et supprimer des boîtes de stockage - et le service SimpleDB. Basé sur MySQL 5.1, Amazon RDS est encore en bêta test.

L'éditeur s'intéresse de plus en plus aux bases de données dans le cloud. Il y a quelques semaines, il avait annoncé une fonctionnalité nommée, Zone de Multi-disponibilité, en rendant accessible et opérationnel depuis le cloud, une copie de la base de données, stockée dans différents endroits.