Après avoir posé un premier pied dans le marché des netbooks, avec son Mini-Note 2133 construit autour d'un processeur VIA, HP réitère l'expérience en adoptant, dans son nouveau Mini 1000, le CPU choisi par la majorité de ses concurrents : l'Atom N270 d'Intel. Pour accompagner ce processeur cadencé à 1,6 GHz, le constructeur joue la carte de la modularité en proposant aux consommateurs de bâtir la machine qui correspond le mieux à leurs attentes. Il est ainsi possible de choisir une dalle de 8,9 pouces ou de 10,2 pouces, offrant toutes deux une définition de 1024x600 pixels. Même liberté de choix pour la mémoire vive, les acquéreurs pouvant opter pour 512 Mo ou 1 Go de DDR2. Du côté du stockage, l'offre intègre deux modèles de SSD (de 8 Go ou 16 Go) et un disque dur magnétique de 60 Go, tournant à 4200 tours/minute. La connectivité est assurée par une puce 802.11 g, à laquelle on peut choisir d'ajouter un module Bluetooth et, à partir de décembre, une puce 3G. Au-delà des combinaisons possibles à partir des caractéristiques précédentes, HP déclinera son netbook en trois modèles : Mini 1000, Mini 1000 MIE et Mini 1000 Vivienne Tam. Les deux premiers se distingueront par leur système d'exploitation : Windows XP pour la version de base et une distribution Linux Ubuntu remodelée pour celle estampillée MIE (pour Mobile Internet Experience). Le modèle Vivienne Tam se caractérisera quant à lui par une coque design faisant amplement gonfler la facture finale. Pesant moins de 1,2 kg pour 2,5 centimètres d'épaisseur, le Mini 1000 n'est pour l'heure disponible qu'aux Etats-Unis à partir de 399 $. Il devrait débarquer en France avant la fin de l'année.