Dix ans de fonctionnement en technopole, avec les ingrédients habituels de la recherche associée à l'enseignement supérieur et au développement des entreprises, font de Laval Mayenne Technopole un site créateur d'un emploi par semaine (500 emplois au total). Un site catalyseur d'activité par ses trois piliers : une structure de technopole (incubateur, pépinière d'entreprises, etc.), un laboratoire (Clarté, centre de ressources technologiques, oeuvrant pour le transfert de technologies vers l'entreprise), un centre culturel (pour la diffusion des technologies auprès du grand public). De plus, par les trois spécialités qui s'y combinent - à savoir : la réalité virtuelle, la compatibilité électromagnétique, la sécurité alimentaire -, le chef-lieu de la Mayenne se voit également impliqué dans l'activité de trois pôles de compétitivité (Images et réseaux, Ensembles mécaniques et composites complexes ou EMC2, Automobile haut de gamme avec des projets auxquels est aussi associée l'antenne de Laval de l'Estaca (école d'ingénieur des transports)). C'est donc en Mayenne que les textiles Mulliez (la pure tradition textile du nord) invente le prêt-à-porter virtuel. Et que l'aménagement urbain et paysager, ou l'industrie automobile ou encore l'industrie militaire, trouvent des ressources (compétences et équipement) pour des « manip » de modélisation sur-mesure.