En France, pays moins marqué par ces opérations que ceux du nord, les quatre secteurs les plus touchés au cours de la même période sont les télécommunications,comme dans la moyenne européenne (après les transports, l'équipement électronique et la métallurgie -au total 40% des emplois supprimés par restructuration-.) Viennent ensuite la construction automobile et les services financiers. Ces six secteurs représentent plus de la moitié (53 %) des 176 000 emplois supprimés. Toutefois, ces données doivent être examinées avec prudence car elles peuvent être sous-estimées, prévient le cabinet. Il précise que seules les restructurations signalées et identifiées sont prises en compte. Les restructurations discrètes, soit de toute petite taille, soit conduites dans le silence ou sans accident, ont peu de chance d'avoir été repérées.