De plus, Microsoft a déclaré qu'il s'agirait de la dernière grande mise à jour de Windows Server proposée à la fois en 32 et 64 bits. Assumer les futures applications A l'ère de la virtualisation, « N'importe qui effectuant un déploiement serait fou de ne pas au moins considérer quand et où, un système d'exploitation 64 bits fera l'affaire », déclare quant à lui Al Gillen, vice-président d'IDC. « Il s'agit de se donner les moyens d'assumer les futures applications sur vos serveurs avant qu'ils ne soient retirés dans cinq ans ». IDC est même un fervent partisan de Windows Server 64 bits, appelant le manque d'enthousiasme des entreprises l'« une des plus grandes opportunités ratées ». A la fin de 2007, IDC estime qu'à peine 10% des clients Windows Server utilisaient la version 64 bits de Windows Server 2003. Fin 2010, cette valeur devrait atteindre 50%, grâce à Windows Server 2008. En 2010, 75% des licences vendues devraient être des versions 64 bits de Windows.