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(06/04/2011 17:27:57)

Dossier : Après les serveurs, des postes de travail virtualisés pour réduire les coûts

La virtualisation des postes de travail VDI (Virtual Desktop Infrastructure)  émerge doucement en France, quelques projets sont en cours de déploiement.... Il est encore aujourd'hui prématuré de mesurer l'impact réel de cette technologie. Cela dit, le VDI intéresse les entreprises qui se posent des questions sur la remise à plat de leur poste de travail, surtout depuis l'arrivée de Windows 7. Faut-il en profiter pour adopter le VDI ?

Au travers de notre enquête, nous avons pu nous rendre compte combien le VDI suscite de nombreuses interrogations notamment sur l'investissement, la maturité de la technologie et sur l'impact des coûts d'exploitation et d'administration. Dans certains cas, une virtualisation des applications n'est-elle pas suffisante ? La question mérite d'être posée...


Pour lire la suite du dossier, cliquez sur le lien (...)

(15/07/2011 14:03:29)

Dell lance un système de gestion de parc informatique pour les PME

« Le Kace M300 va permettre aux entreprises de réduire le nombre de personnes requises pour gérer ces tâches, » a déclaré Marty Kacin, Chief Technology Officer (CTO) de l'unité Kace de Dell. « L'appareil peut être déployé en quelques minutes et son interface web permet de contrôler les PC facilement, » a ajouté le CTO. Au cours d'une démonstration, Dell a montré comment l'appareil suivait les changements matériels, comme l'ajout de RAM, ou comment il vérifiait la conformité des licences Windows sur les machines.

« Du fait de la taille réduite de leurs services informatiques, les PME ont besoin de solutions simples pour assurer le suivi de leur parc. L'utilisation d'un tableur pour lister et suivre les différentes tâches prend beaucoup de temps, » a ajouté Marty Kacin. Pour automatiser la gestion des actifs, le M300 s'appuie sur des agents déployés sur les ordinateurs via Internet, qui renvoient des informations sur la configuration et signalent toutes modifications survenant sur chaque PC. « Par exemple, si des périphériques ne sont plus visibles à partir d'un PC, le Kace M300 va notifier ce changement matériel aux administrateurs système - déjà surchargés de travail, » a déclaré Charles King, analyste principal chez Pund-IT. « Garder la trace des accès utilisateur et des identités peut être aussi un travail ardu et compliqué, » a déclaré l'analyste. « Bien qu'il conserve l'historique des correctifs et des garanties, le M300 ne fait pas de patch logiciel, » explique Charles King. En général, la mise à jour automatique est incluse dans le service pack pour PC fourni par Microsoft. « Si une petite entreprise doit déployer de nombreuses mises à jour logicielles manuellement, l'appareil de Dell est peut-être moins utile, » a estimé l'analyste. « Mais compte tenu de son prix (à partir de 2 500 dollars), le M300 est bien ciblé pour les PME, » a indiqué encore le consultant.

Des ajouts de fonctionnalités envisagés


« Compte tenu de la taille du marché des PME, les perspectives du M300 sont limitées, mais l'appliance pourrait être dotée d'autres fonctionnalités dans le futur, au gré des besoins du client, » a déclaré le CTO. Certains modèles plus sophistiqués, comme le K1000 et le K2000, permettent l'application de correctifs, l'installation de systèmes d'exploitation à distance et la sécurisation des terminaux. « Dell envisage d'ajouter des piles logicielles pour élargir les fonctionnalités du Kace M300, et l'entreprise intensifie ses efforts pour mener des développements en interne. Cela contribuera aussi à identifier un peu plus Dell comme éditeur de logiciels, » a déclare Marty Kacin. « L'appareil actuel peut assurer le suivi des actifs sur un maximum de 200 PC sous Windows au sein d'une infrastructure, » a encore précisé le CTO. Toutefois, le support à d'autres systèmes d'exploitation devrait être ajouté dans le futur.

Cela fait 18 mois que Dell a acquis Kace. Depuis, ce département a élargi sa base installée. Avant son rachat, l'entreprise Kace comptabilisait moins de 1 000 clients, contre plus de 3 500 aujourd'hui, parmi lesquels de grandes entreprises comme la NASA. Dell a également amélioré son support et ses services aux PME. Ainsi, en 2008, l'entreprise a abandonné ses anciennes formules de support pour proposer des solutions personnalisées, dont un certains nombres de solutions de support et de conseil sur une base de pay-as-you-go. Dell a également acquis des sociétés comme Everdream et SilverBack pour renforcer ses capacités de gestion à distance.

Le Kace M300 est disponible sur le site de Dell. Une unité comporte 16 Go de stockage sur disque dur SSD, un port Gigabit Ethernet, deux ports USB et un processeur ARM. Pour l'instant, le M300 ne sera disponible que sur le territoire américain, et aucune décision n'a été prise quant à la vente du produit dans d'autres régions du monde.

(...)

(12/07/2011 14:51:49)

WPC : Microsoft étend les fonctionnalités de Intune

« La première version de Windows Intune n'offrait pas toutes les fonctionnalités dont dispose l'ensemble de nos produits traditionnels, et n'était donc pas assez incitatif pour les grandes entreprises, » a déclaré Alex Heaton, directeur de Intune chez Microsoft. « La nouvelle version beta du service Intune, disponible depuis lundi, permet aux administrateurs de distribuer et d'installer des logiciels tiers à travers leurs systèmes, » précise le responsable. La console peut également être verrouillée pour limiter l'accès en lecture seule. Cela permet aux administrateurs juniors, aux partenaires et aux analystes d'accéder à certaines informations sans avoir un niveau de droits étendu pour effectuer des changements. Le service hébergé de Microsoft a été conçu pour les entreprises disposant d'un support informatique limité. Il met à jour Windows 7 sur les ordinateurs de bureau et les ordinateurs portables. Les abonnés au service peuvent également faire évoluer tous leurs ordinateurs de bureau tournant sous Windows XP vers Windows 7, sans frais supplémentaires.

C'est en mars dernier que Microsoft a officiellement lancé son service hébergé Intune, après une période de beta test de un an. Le service donne accès à une console Internet, à partir de laquelle il est possible de gérer l'ensemble des postes de travail d'une entreprise. Via la console, un administrateur peut appliquer les mises à jour de Windows, déployer des correctifs, surveiller les PC, gérer la sécurité, tenir un inventaire des postes de travail et accéder à un PC à distance pour résoudre certains problèmes. C'est depuis ses propres datacenters que Microsoft met ses mises à jour en file d'attente, et gère tous les logiciels en back-end nécessaires pour les tâches d'administration. Alex Heaton n'a pas voulu révéler le nombre d'abonnés au service Intune, indiquant simplement que l'abonné moyen gérait un parc allant jsuqu'à 250 ordinateurs.

La distribution logicielle et une interface utilisateur revue


Une des récentes fonctionnalités concerne la distribution de logiciels. La version actuelle de Intune peut stocker et déployer des correctifs Windows. La nouvelle version peut faire la même chose pour n'importe quel programme Windows compilé en .exe ou .msi. Cela permet aux administrateurs de télécharger un programme une seule fois, et de l'installer sur toutes les machines. « La fonctionnalité s'exécute depuis le Microsoft System Center, même si elle a une interface totalement différente, » a expliqué le directeur de Microsoft. Parmi les autres fonctionnalités, on trouve la possibilité de scanner une machine pour détecter des virus ou des logiciels malveillants sans l'aide manuelle de l'utilisateur - contrairement à la version précédente - plus la capacité de pointer toutes les copies d'un logiciel tiers donné. Ce dernier système peut s'avérer très pratique pour s'assurer de la conformité des licences logicielles. Enfin, l'interface utilisateur a été revue, de façon à la rendre plus intuitive.

La version bêta du service, qui porte le nom de Intune Juillet 2011, pourra être exécutée séparément de la version commerciale. Au final, « toutes ou partie des prochaines fonctionnalités de la version bêta seront reprises dans la version commerciale du service Intune, sans doute d'ici la fin de cette année, » a indiqué Alex Heaton. Les utilisateurs actuels peuvent essayer la version bêta, mais celle-ci ne peut pas être utilisée pour gérer les mêmes ordinateurs que ceux utilisant la version commerciale de Intune.

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(05/07/2011 15:10:33)

Secteur public : un Disic pour mieux piloter les projets informatiques de l'Etat

Responsable d'une équipe composée d'une vingtaine de personnes, Jérôme Filippini a commencé par expliquer sa mission de directeur interministériel des systèmes d'information et de communication de l'État (Disic) en affirmant qu'il n'était pas là pour simplement émettre des avis et des préconisations, mais bien pour coordonner les différents services. « En France, il a été décidé de créer la Disic, une structure de coordination quand d'autres pays, comme le Canada, on fait d'autres choix avec une DSI unique, une direction informatique centralisée qui alimentera les ministères. »  Nos expériences à l'étranger nous démontrent que la DSI centrale est l'élément clef pour moderniser  les services de l'État » nuance toutefois Silvano Sansoni.

« La Disic est une vraie autorité et pas seulement un outil de coordination, précise adroitement l'amiral Pénillard. Quand il y a une grande réorganisation, un DSI dans chaque ministère me semble préférable. Le Disic conduit l'orchestre».  On revient de loin et on avance, précise le Disic, pour qui 3 choses on radicalement changé :  « placer auprès du 1er ministre, le Disic peut provoquer les arbitrages nécessaires, notre structure est encore légère avec une vingtaine de personnes et je n'anime pas le club des DSI publics. Nous devons auditer, expertiser et recommander des avis qui ne sont pas toujours bienvenus dans les ministères, mais la crédibilité de la Disic dépendra la qualité de ses avis. Nos attributions sont uniques, nous pouvons arrêter un projet ou demander de le faire autrement.» Parmi les programmes supervisés par la Disic, citons la création d'un réseau unique entre les ministères, la rationalisation du parc de datacenters pour préparer le grand cloud privé de l'État... Pour valider ces projets, Jérôme Filippini explique avoir validé une feuille de route non auprès des différents DSI publics, mais directement par leur patron dans les ministères.

Faire mieux avec moins

Au ministère de la Défense, l'amiral Pénillard avoue très adroitement qu'ils leur manquaient un ennemi, un aiguillon intrinsèque pour progresser : « aujourd'hui, je ne vois rien d'autre que la pression financière et la cybercrimalité. C'est une formidable opportunité que nous pouvons exploiter pour avancer. Nos SI ne sont plus défendables sans une simplification de nos systèmes stratifiés ». Une simplification qui est passée par une cloudification des services. « Nous sommes passés de 1500 à une quarantaine de serveurs pour 4500 applications. La virtualisation des applications a permis de les rendre plus mobiles. Nous n'avons pas de grand changement à venir, mais il faut reconnaître que chacun des métiers fait la même chose que les autres. Chorus s'est pas exemple imposé à tout le monde. Il est aujourd'hui nécessaire d'aligner les processus et de mieux formaliser les besoins des métiers.

Mais le principal enjeu dans le secteur public reste la baisse des budgets. « L'obsession comptable est partout et notamment dans la formation des agents publics. La mobilité des fonctionnaires est un des principaux freins dans les ministères, un frein à l'innovation. Il est nécessaire de s'adapter à ce qui va changer de plus en plus, ajoute l'ancien DSI du ministère de l'Intérieur, Jérôme Filippini. Il est également nécessaire d'attirer les talents et d'avoir les moyens de les recruter. De les garder ensuite avec une rémunération au mérite ».

Illustration principale : de gauche à droite, Silvano Sansoni, directeur secteur public chez IBM, Jérôme Filippini, DSI de l'État rattaché Secrétariat général du Gouvernement, et l'amiral Christian Pénillard, Disic du ministère de la Défense.

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(27/06/2011 14:48:56)

Gestion de terminaux mobiles : «Comment garder la main», selon Gartner

La multiplication du nombre d'OS mobiles donne à elle seule une idée des changements nécessaires dans les entreprises. Aujourd'hui, les services informatiques sont non seulement confrontés à plusieurs systèmes d'exploitation mobiles, mais ils doivent aussi faire face aux modifications, à des moments variables, que subissent les différents OS. Les développeurs livrent rarement les nouvelles versions de leurs logiciels pour tous les appareils au même moment. Alors, dans ce contexte, que peuvent faire les responsables informatiques pour rester sereins ? 


Plate-forme MDM de Sybase

Lors d'une réunion interactive sur le web, l'analyste de Gartner, Phillip Redman, a suggéré que l'une des solutions pouvait être d'investir dans les logiciels de gestion de terminaux mobiles ou Mobile Device Management (MDM). Au début de sa présentation, l'analyste a fait valoir que de nombreuses entreprises avec lesquelles il s'était entretenu récemment avaient permis la connexion de plusieurs types d'appareils sur leurs réseaux, sans vraiment disposer de plan global pour les gérer tous. « La complexité des dispositifs et des plates-formes met en évidence la nécessité d'avoir un meilleur contrôle sur le parc mobile, » a-t-il déclaré. « Le BlackBerry Enterprise Service fonctionnait correctement avec un type d'appareils, un type de système d'exploitation et un nombre limité d'applications... Mais peu d'entreprises sont restées cantonnées aux BlackBerry de RIM, et beaucoup ont commencé à assurer le support d'autres dispositifs. »

Un chiffre d'affaires de 200 millions en 2010

Selon Phillip Redman, le secteur de la gestion de terminaux mobiles est devenu une industrie qui affichait un chiffre d'affaires de 200 millions de dollars en 2010. Celui-ci fait remarquer que plusieurs entreprises, notamment Sybase, Good Technology, MobileIron, AirWatch, Zenprise, Symantec et RIM, ont des offres solides sur le marché du MDM. Celui-ci a également comparé l'administration de terminaux mobiles à la gestion des dépenses de télécommunications (TEM) : ces deux secteurs ont ceci en commun qu'ils permettent tous deux aux services informatiques d'avoir le contrôle sur l'utilisation que font les salariés d'une l'entreprise des communications, et d'adapter leur propre politique. Beaucoup de clients MDM peuvent être téléchargés directement depuis les boutiques d'applications en ligne comme l'Android Market et l'App Store d'Apple. Le salarié peut alors se connecter à une plate-forme MDM centrale installée en back-end par le service informatique de son entreprise.

Crédit photo D.R.

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Toujours selon l'analyste de Gartner, en fonction de la puissance du logiciel MDM, les services informatiques peuvent disposer d'une quantité d'options plus ou moins grande pour les aider à sécuriser les appareils mobiles sur des plateformes multiples, notamment des fonctions d'effacement des données à distance, le verrouillage à distance, l'activation d'un accès par mot de passe, le cryptage, l'authentification, la mise en place d'un pare-feu, un antivirus et le VPN mobile. Un bon logiciel de gestion de terminaux mobiles devrait aussi permettre aux services informatiques de surveiller si les utilisateurs n'installent que des logiciels autorisés, à mettre en oeuvre des systèmes de sauvegarde et de restauration des données et à effectuer la mise à jour - l'application de patchs - des logiciels présents sur les terminaux. Selon Phillip Redman, un bon MDM devrait aider les départements informatiques à segmenter l'accès aux données, pour déterminer que tel groupe d'utilisateurs peut accéder à tels types de données, de réseaux et d'applications, en fonction de leurs rôles et de leurs responsabilités au sein de l'entreprise. 

À l'inverse, le département informatique pourrait adopter une politique « ouverte » pour certains utilisateurs et leur laisser la responsabilité quasi totale de la gestion du terminal. Entre ces deux extrêmes, l'analyste estime que les services informatiques des entreprises doivent pouvoir partager la responsabilité de la gestion des terminaux, le département s'engageant par exemple à assurer le support pour l'email, le PIM ou le gestionnaire d'informations personnelles, la navigation web et la téléphonie, mais interdire le téléchargement d'applications tierces sans autorisation. Cela permettrait aux utilisateurs d'opter pour une plus grande variété de plateformes et d'appareils sans exposer le réseau de l'entreprise.

Selon l'analyste, les entreprises ne doivent pas considérer les logiciels de gestions de terminaux mobiles comme une solution qui leur permettra d'économiser de l'argent, mais plutôt comme un outil capable de faire en sorte que la multiplicité des plates-formes n'entrave pas la performance globale du réseau. « Pour l'instant, on ne voit pas beaucoup de retours sur investissement potentiel sur le MDM. Cela ressemble plus à une police d'assurance, » a déclaré Philip Redman. «Sans doute que vous n'aurez pas à l'utiliser très souvent. Mais, si vous l'utilisez, le MDM s'avérera vraiment très important. »

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(24/06/2011 10:37:11)

Boston IT 2011 : Automatisation du datacenter chez Egenera et virtualisation globale avec Sanbolic

Spécialisé dans d'administration d'environnements virtuels avec sa suite PAN Manager, Egenera ajoute le support des serveurs lames de HP après ceux de Dell et de Fujitsu. Le logiciel PAN Manager simplifie et automatise l'administration des datacenters tout en apportant des services intégrés de haute disponibilité et de récupération après sinistre pour les serveurs physiques et virtuels. Le logiciel utilise des serveurs standards et l'interface Ethernet pour créer des pools de serveurs et de stockage qui peuvent être facilement réaffectés. Le logiciel PAN Manager est déployé sur plus de 1 600 sites dans le monde. Le logiciel prend en charge actuellement le matériel d'Egenera, de HP, de Dell et de Fujitsu, et le stockage de Dell, EMC, Fujitsu, HDS, HP/3Par, IBM, NetApp...

Une roadmap ambitieuse


Si l'éditeur ne supporte pas encore les environnements serveurs hétérogènes, il compte bien y parvenir au deuxième trimestre 2012 après avoir intégré les machines d'IBM début 2012. C'est ce que nous a expliqué Scott Geng, Pan manager chez Enegera en nous présentant la roadmap de l'éditeur. « Nous continuons à étendre les plates-formes que nous supportons. Après Dell, Fujitsu et HP, nous allons intégrer le dernier grand acteur marché ». IBM pour ne pas le citer même si le nom de la compagnie était bien présent sur la présentation d'Egenera. Alors que Cisco, le principal concurrent de la compagnie, continue de vendre des machines UCS avec ses outils d'administration, Egenera a définitivement cessé de fabriquer ses serveurs, puisque « les fournisseurs de matériel se multiplient pour fournir les meilleurs prix ».

En attendant de supporter les environnements hétérogènes, Egenera doit donc abandonner son approche silo, c'est à dire une gestion réservée à chacun de ses partenaires(Dell, Fujitsu et HP pour l'instant) et passer à une solution de management multi plate-forme appliquée aux hyperviseurs, au cloud et au stockage.

Virtualisation et automatisation chez Sanbolic


Après cette matinée chez Egenera, nous nous sommes rendus chez Sanbolic pour parler stockage et virtualisation avec l'arrivée de la version 3.5 de Melios, sa suite d'administration et de partage de fichiers. En plus du support des hyperviseurs Vsphere, Xen, KVM et Hyper-V, Melios 3.5 apporte la migration dynamique des volumes de stockage entre des baies ou des serveurs hétérogènes. La suite logicielle Melio prend en charge tout le système de stockage et les infrastructures serveur, pour permettre l'échange de données entre les machines physiques. Selon le CEO de Sanbolic, Michailov Momchil, cela peut contribuer à réduire la nécessité d'acheter un espace de stockage supplémentaire.


Eva Helene, présidente, et Michailov Momchil, CEO de Sanbolic

Système de fichiers en cluster et suite de gestion de volumes, Melio 3.5 propose également des snapshots pour la sauvegarde de données, des mécanismes de contrôle de la qualité de service et d'automatisation de migration de données (multi tiering). « Nous entrons dans l'ère de la virtualisation des charges de travail dans le cloud avec l'agrégation des capacités de stockage et serveurs et le support d'un large éventail d'hyperviseurs » explique encore le dirigeant. Si la précédente génération de Melios ne prenait en charge que l'hyperviseur de Microsoft, la version 3.5 supporte celui de VMware, Xen et KVM.

Récupération du stockage inexploité sur les serveurs et les baies


Les principales fonctionnalités de la plateforme logicielle de Sanbolic comprennent la création d'un seul pool de stockage flexible à partir de multiples serveurs ou baies SAN, la gestion centralisée des volumes en lecture-écriture (en mode bloc) sur tous les serveurs reposant sur Windows. A titre d'exemple, un serveur Cisco UCS est livré avec un espace de stockage interne de 32 To qui peut être récupéré et virtualisé par Melios 3.5 dans un pool unique partagé par différentes applications. « La valeur fondamentale de Melio 3.5 est qu'il répond aux demandes de disponibilité et d'évolutivité dans les environnements physiques, virtuels et cloud pour mieux supporter les charges de travail, poursuit le CEO. Finalement, ce que les entreprises recherchent, c'est l'amélioration de la flexibilité et de l'agilité de leur système d'information et c'est ce que nous offrons. »

 

 

(...)

(07/06/2011 11:46:40)

HP livre un tableau de bord au-dessus de son offre logicielle

Sous la forme d'un tableau de bord destiné aux directions informatiques, le logiciel IT Executive Scorecard, annoncé la semaine dernière par HP, vient chapeauter le portefeuille applicatif de gestion des performances IT constitué par le groupe californien. Un portefeuille que HP a largement étoffé au fil des années, notamment avec les rachats de Peregrine, Mercury, ArcSight, ou encore, Fortify (cf encadré ci-dessous).

A travers le tableau de bord, qui propose plus de 200 indicateurs de performances (KPI), les DSI vont pouvoir faire remonter des informations issues des différentes solutions de HP installées dans l'entreprise : le développement applicatif (ALM), la gestion des infrastructures (Operations Management), les fonctions de sécurité, la planification financière. Ils pourront dès lors bénéficier d'une vision plus claire pour répondre aux diverses questions qu'ils se posent quotidiennement : « Est-ce que je dépense correctement mon budget ? Mes clients sont-ils satisfaits par rapport aux benchmarks de mon secteur d'activité ? Quels sont les projets en retard ? », donne en exemple Claire Delalande, responsable Marketing et Partenaires HP Software France.

HP IT Executive Scorecard
Ci-dessus, quelques indicateurs pouvant être affichés dans l'IT Executive Scorecard de HP (cliquer ici pour agrandir l'image)

Un jeu de données unifié

A partir d'une technologie fournie en OEM par SAP Business Objects, l'IT Executive Scorecard s'appuie sur l'IT Data Model pour intégrer les données provenant de l'ensemble de la suite applicative de HP, désormais regroupée sous le nom de « IT Performance Suite ». L'objectif du logiciel, c'est d'unifier ces informations issues de différentes sources dans un seul jeu de données.

Il est également possible de récupérer des mesures provenant de logiciels édités par d'autres fournisseurs. Le logiciel IT Executive Scorecard propose des rapports préétablis qui peuvent être personnalisés. Il devrait être disponible en juillet prochain. (...)

(06/06/2011 12:06:16)

IBM dote les villes d'un outil de gouvernance IT

Karen Parrish, vice-présidente d'IBM sur l'activité solutions industrielles a annoncé « cette plateforme qui doit permettre aux municipalités de faire des économies et d'avoir une réponse rapide en cas de catastrophe ». Ce logiciel, baptisé Intelligent Operations Center, synthétise un ensemble de données issues d'une grande variété de systèmes IT, tels que les réseaux d'eau, la traçabilité des équipements publics, les transports ou la gestion du trafic routier. Il offrira visuellement un résumé des données recueillies, en utilisant un certain nombre de règles développées par IBM.

IOC proposera une série de tableaux de bord, ainsi que des connecteurs pour les différents systèmes de gestion back-end. Il comprend aussi un certain nombre de programmes IBM, comme le serveur d'applications WebSphere et la base de données DB2.  « Nous avons construit un centre opérationnel qui est capable de récupérer un ensemble de flux en temps réel, travailler et analyser les données et fournir des renseignements essentiels aux gestionnaires afin qu'ils puissent prendre des décisions plus rapidement et de manière plus efficace », précise Karen Parrish.

Intelligent Operations Center IBM

Cliquer sur l'image pour l'agrandir

Du sur-mesure avec des « faisceaux de points communs »


IBM a conçu IOC de façon modulaire. Différents modules seront lancés au cours des 12 à 18 prochains mois. Ces unités complémentaires couvrent des données spécifiques, telles que la gestion de l'eau ou la sécurité publique. « Les responsables locaux pourront donc intégrer ces modules en fonction de leurs besoins les plus critiques », souligne Karen Parrish et d'ajouter « nous allons construire ces modules à partir des expériences de plusieurs projets individuels et en extraire les redondances ».  Aucun d'eux ne sera néanmoins disponible lors du lancement de la solution.

Pour construire ces unités additionnelles, IBM s'appuie sur 2 000 projets qu'elle a réalisés pour des villes comme New York, Memphis, Washington et Dubuque (on peut citer également la ville de Nice qui a emporté en mars dernier le Challenge Smarter Cities pour bénéficier de l'expertise d'IBM en matière de planification stratégique, de gestion des données et de compétences technologiques). Avec ce travail préalable, Big Blue a remarqué des « faisceaux de points communs», comme la gestion centralisée du personnel ou la décongestion du trafic routier.

IBM prévoit le lancement d'IOC à partir du 17 juin prochain. Karen Parrish n'a pas voulu révéler certains détails comme le prix ou la durée d'intégration d'un tel logiciel. Elle a simplement indiqué que le logiciel se connectera facilement à des systèmes IT normalisés et des adaptations particulières seront nécessaires si les systèmes sont plus anciens. La dirigeante a également indiqué que la version initiale du logiciel sera intégrable directement chez le client, mais une offre en mode hébergée est envisagée dans les futures versions.

Illustration: Intelligent Operations Center

Crédit Photo: IBM
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(01/06/2011 11:37:48)

Orsyp Institute dévoile une mesure de la performance des opérations informatiques

Mesurer la performance des opérations informatiques se faisait jusqu'à présent uniquement via la multiplication d'indicateurs parcellaires comme le coût, des indicateurs-clés, des benchmarks ponctuels ou la perception de la qualité de service. Cette situation ne convenait pas à Orsyp Institute. Il a donc réuni une vingtaine de responsables informatiques de tous secteurs en 2010 pour constituer un groupe de réflexion à ce sujet. Le résultat des travaux se nomme le TRS : le taux de rendement synthétique.

Celui-ci s'exprime sous forme d'un pourcentage et est issu des travaux précédents du secteur industriel. Orsyp Institute estime que le TRS comble un manque important pour le pilotage par la performance à l'heure où la production informatique est un facteur déterminant de la survie d'une entreprise. Cela serait d'autant plus vrai que la production, grâce à la virtualisation, peut être aisément externalisée, notamment via l'informatique en nuage.

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(06/01/2011 15:30:23)

Dossier : Virtualisation de serveurs, comment gérer la complexité ?

La virtualisation est un succès. Elle a permis dans un premier temps aux entreprises de consolider le parc de serveurs avec à la clé un réel gain sur les achats de matériels et une réduction sur les espaces et la consommation d'énergie. Résultat : le nombre de machines virtuelles (VM) s'est multiplié anarchiquement dans les entreprises entrainant ainsi plus de complexité dans le système d'information et une explosion des coûts de management due à une sous administration de ces environnements virtuels.  Face à ce constat, l'industrie IT monte au créneau pour apporter des solutions pas toujours simples à décrypter...

>> Sommaire du dossier

1ere partie : La virtualisation des serveurs a-t-elle complexifié le système d'information ?

2eme partie : Le défi des solutions pour industrialiser la gestion des machines virtuelles

3eme partie : Interview Thomas Luquet et Sylvaine Dekeyrel de NEC France



Crédit photo : D.R. (...)

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