Flux RSS
Applications métier
1671 documents trouvés, affichage des résultats 1531 à 1540.
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(21/09/2005 17:58:12)
SAP promet un passage de R/3 à MySAP ERP en 60 jours
Shai Agassi a donné le coup d´envoi de la conférence développeurs SAP Tech´Ed ce matin à Vienne (Autriche). Président du Platform and Technology Group de SAP, Shai Agassi est la cheville ouvrière de la transformation du progiciel intégré monolithique en une plate-forme orientée processus et services, basée sur Netweaver, un ensemble d´outils d´intégration.
Face à la confusion qui entoure les concepts de Netweaver et les notions de ESA (Enterprise services architecture) ou BPP (Business process platform) qui émaillent désormais les présentations de SAP, Shai Agassi s´est attaché à rassurer son nombreux auditoire : il est possible de migrer de R/3 à la nouvelle plate-forme MySAP ERP en 60 jours seulement. Le secret ? Ne pas chercher à migrer instance par instance, mais plutôt (en résumé) identifier les services essentiels et les partager. Un gros travail sur les données, mais aussi sur la composition des centres de compétences, devra être effectué dans le même temps. Et de citer deux clients qui ont déjà réussi cette révolution, dont Veka AG, un fabricant de profilés synthétiques, qui a migré 33 filiales sur 3 continents. Et a pu ainsi réduire ainsi ses coûts opérationnels de 60% de son budget à moins de 40%. (...)
Progiciels métiers : Des offres pour l'industrie et l'agroalimentaire chez Sage
L'éditeur Sage a récemment noué un partenariat avec Alcior, spécialisé dans les progiciels de contrôle et de gestion de production. Les utilisateurs des outils de gestion Sage Ligne 100, Sage Intégrale et Sage 1000 Entreprise se voient ainsi proposer d'exploiter la solution TemPPro d'Alcior, grâce à une interface dynamique d'intégration développée par Sage. TemPPro propose des fonctions pour contrôler les délais de livraison, les coûts de revient et les taux de rendement. Ce progiciel est notamment présent dans les secteurs de l'imprimerie-papeterie, de la chaudronnerie/tôlerie et mécanique de précision, de la plasturgie, du bois-menuiserie industrielle et de l'agroalimentaire.
Dans l'agroalimentaire, Sage propose par ailleurs l'offre de C2G Informatique (qui a rejoint en janvier 2005 le groupe Sage). Adapté à la filière fruits et légumes, le progiciel Frulog s'adresse aux producteurs, expéditeurs, conditionneurs et coopératives, ainsi qu'aux bureaux de vente et courtiers. Il permet notamment de tracer les flux de matières depuis la parcelle jusqu'aux clients. L'offre comprend aussi des fonctions de télévente et de centralisation de la facturation.
Le progiciel Agro XPR est destiné cette fois aux grossistes, importateurs, exportateurs et distributeurs à service complet. Ces deux produits comprennent un nouveau module de chargement, de logistique et d'étiquetage conforme au règlement communautaire lié à traçabilité et applicable depuis le 1er janvier dernier. (...)
Enquête : Les PME changent de progiciel de gestion pour des raisons techniques
C'est ce que confirme la troisième édition du baromètre Oracle/IDC à la suite d'une enquête téléphonique menée en juin 2005 auprès de 250 entreprises françaises appartenant à ce segment. Mieux, elles sont déjà près d'une sur dix (9 % du panel) à prévoir d'investir dans un PGI en 2006, ce qui conduit IDC à estimer qu'environ 1 280 projets seront engagés l'an prochain.
IDC a sondé les PME sur leurs raisons qui les poussent au changement. Dans 44 % des cas, c'est l'obsolescence fonctionnelle du logiciel de gestion en place qui les motive et, pour 42 % d'entre elles, l'obsolescence technique du produit.
Les raisons liées à l'entreprise elle-même pèsent moins lourd. Dans 18 % des cas, c'est la maison mère (lorsque la PME est filiale d'un groupe) qui impose de changer le système de gestion. En revanche, les contraintes métiers ne sont citées que dans 13 % des cas. Enfin, la mise en place de nouveaux processus est mis en avant par 12 % des PME sondées.
Des motivations qui diffèrent suivant l'outil en place
Le baromètre Oracle/IDC révèle par ailleurs que le poids de ces différentes raisons varient suivant la nature du système de gestion en place. Si la PME possédait déjà un PGI (progiciel intégré), IDC constate que la pression de la maison mère a pesé dans 25 % des cas sur la décision de le remplacer par un nouveau PGI. Contre 6 % des cas seulement quand la PME exploitait jusque-là une solution de gestion indépendante (c'est-à-dire un logiciel spécialisé sur la comptabilité, ou bien dévolu à la gestion commerciale ou à la gestion de production).
En revanche, la tendance s'inverse lorsque la diminution du coût d'exploitation des logiciels est invoquée comme cause de changement. Chez les PME utilisatrices de progiciels indépendants, cette raison a compté 12 fois sur cent, contre seulement 9 fois chez celles qui possédaient déjà un PGI. Des proportions que l'on retrouve quand le projet a été induit par la forte croissance de la PME. On se tourne alors davantage vers l'intégré.
Les raisons de changer de logiciel de gestion : Les raisons techniques priment sur les contraintes liées au métier, à l'organisation ou au marché
(...)
IBM peaufine Teton, une offre de BI allégée
IBM WorkPlace for Business Strategy Execution . Tel devrait être le nom commercial de l'offre de business intelligence allégée développée depuis plusieurs mois par IBM sous le nom de code plutôt curieux, du moins en français de "Teton". S'appuyant sur les technologies du portail collaboratif Workplace, notamment les outils collaboratifs, les outils de recherche et de gestion de documents, le nouveau logiciel permet à tout un chacun dans l'entreprise d'accéder à des informations analytiques directement dans le portail (tableaux de bords, analyse de données provenant d'entrepôts de données Oracle, IBM, et Microsoft...).
IBM Workplace for Business Strategy Execution est disponible en bêta et devrait être lancé en version commerciale au mois d'octobre. (...)
Red Hat et Open-Xchange cassent les prix
Les soldes font leur entrée sur le site d'Open-Xchange qui propose en partenariat avec Red Hat trois produits dédiés à la gestion du courrier électronique, de l'agenda, de dossiers et autres services partagés. Pour 1 500 $, on peut acquérir Open-Xchange 5 Advanced Server Edition (OX 5 ASE) avec 25 licences utilisateurs, Red Hat Enterprise Linux 4 ES - Basic Edition - pour un an et Red Hat Application Server. Achetés séparément, ces trois produits reviennent à 2 198 $. Open-Xchange 5 intègre des connecteurs pour Outlook ainsi qu'une interface Web. Multi OS, il est également compatible avec des outils Apple. Cette offre se trouve uniquement sur le site Openexchange.com. (...)
(15/09/2005 17:43:23)PDC : Microsoft met un pied dans le workflow et la gestion de documents
Comme nous l'indiquions déjà hier, Microsoft est bien décidé à renforcer l'intégration de ses produits Office avec ses produits serveurs. L'une des solutions imaginée par la société est de renforcer son offre serveur avec un outil de workflow. Présenté lors de son keynote par Eric Rudder, le vice-président de la division serveurs et outils de Microsoft, Windows Workflow Foundation, permet aux utilisateurs des systèmes Microsoft un contrôle de leurs flux applicatifs. Microsoft entend intégrer son moteur de workflow avec la plupart de ses applications clientes et serveurs. L'objectif permettre aux utilisateurs, mais aussi aux développeurs, de modéliser des processus métiers de façon simple.
L'autre annonce de la matinée a été faite par Steven Sinofsky, le vice-président en charge d'Office. Selon Sinofsky, Microsoft entend à terme offrir une solution complète de gestion de contenus autour de ses produits, même s'il n'a pas précisé quelle forme prendraient les produits finaux. La seule chose certaine est que ces fonctions de gestion de contenus seront intégrées en profondeur avec les outils office. Le côté positif est que cela devrait largement faciliter l'utilisation de ces outils par les utilisateurs finaux. L'inconvénient, et il est de taille, est que l'intégration renforcée des outils serveurs et clients de Microsoft pourrait renforcer la dépendance des entreprises vis à vis de l'éditeur. (...)
Le rachat de Siebel serait une « bonne affaire » pour Oracle
Selon David Bradshaw, analyste chez Ovum, le rachat de Siebel serait une bonne affaire pour Oracle, plaçant l'éditeur à la première place sur le marché de la gestion de la relation client (GRC). Pour James Governor, analyste chez RedMonk, l'opération place Oracle en concurrence frontale avec IBM, et « personne ne peut plus discuter la taille d'Oracle ». Selon Paul Hamerman, vice-président de Forrester, « il s'agit plus d'acquérir des clients que de la technologie ». Et de souligne qu'Oracle s'achète une source de revenus régulière ainsi qu'une position forte sur le marché des applications de GRC hébergées.
Néanmoins, selon Ray Wang, de Forrester, l'avenir est loin d'être totalement radieux. Selon lui, le marché des applications de GRC est en train de mourir : Oracle et ses concurrents « se disputent le marché des PME par qu'il n'y a plus rien à prendre sur les grandes entreprises ». Un avis que partage Bruce Richardson, directeur de recherche chez AMR Research : « le marché des applications tel que nous le connaissons continue d'être en grande difficulté. » Selon eux, la croissance ne peut plus venir que des offres hébergées. Sur ce marché, Salesforce.com fait figure de challenger mais affiche une croissance très rapide. A tel point que David Bradshaw estime que Salesforce.com pourrait bien être la cible d'une prochaine opération d'acquisition.
Parallèlement au rachat de Siebel, Oracle vient de lancer la version Windows de son système de gestion de bases de données Oracle Database 10g release 2. Cette édition intègre les extensions nécessaires à l'interface avec la plateforme .Net de Microsoft. (...)
| < Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |