Flux RSS

Applications métier

Si vous souhaitez recevoir toute l'information "Mot Clé" de notre feed RSS,Inscrivez-vous

1671 documents trouvés, affichage des résultats 661 à 670.

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >


(17/12/2007 12:36:29)

L'adoption des outils de collaboration va augmenter en 2008

Sur 1 017 responsables informatiques tout juste interrogés par Forrester Research, en Europe et en Amérique du Nord, 15% jugent très prioritaire la mise en place d'une stratégie de collaboration en 2008, tandis que 34% se contentent de qualifier cette stratégie de (seulement) prioritaire. En revanche, 33% des personnes interrogées ne hissent pas au rang de priorité le déploiement d'outils de collaboration l'an prochain et 17% n'ont pas du tout planifié de stratégie dans ce domaine. Ce sont les entreprises de plus de mille personnes qui montrent le plus d'intérêt pour cette démarche. Dans ces structures, la moitié des responsables informatiques sondés compte mettre en place une stratégie de collaboration en 2008. L'intérêt se concentre surtout sur les technologies de Microsoft, ce dernier étant cité dans 55% des cas, dépassant les acteurs traditionnels de ce secteur d'environ 40% (13% des sondés évoquent simplement « d'autres fournisseurs », sans plus de précision, et 9% IBM). Sur ce terrain, Microsoft dépasse encore plus largement les nouvelles offres, comme celle de Google (les Google Apps lancées en début d'année), cette dernière n'ayant pas encore gagné les faveurs des plus grandes entreprises. « Je pense que les outils de collaboration de Google seront plus facilement adoptés par les petites entreprises et sont déjà probablement utilisés de façon informelle et non contrôlée », précise Rob Koplowitz, analyste de Forrester. Messageries et collaboration en temps réel Bien que Forrester n'ait pas demandé aux responsables interrogés à quels produits précis ils comptaient recourir, Erica Driver, l'une des analystes ayant participé à l'enquête, a indiqué que les départements informatiques des grandes entreprises semblaient graviter autour de Microsoft SharePoint, une solution serveur qui inclut une suite d'outils de collaboration, mêlant des solutions de wikis et de blogs. « Microsoft a transformé SharePoint Server en couteau suisse du travail en groupe, proposant des capacités de gestion de contenus, de collaboration et d'analyse de données (business intelligence) que de nombreux clients apprécient. » Interrogées sur le type de technologies qu'elles comptaient acquérir en 2008, les entreprises ont cité à 70% les solutions de messagerie, puis, à 68%, les outils de collaboration en temps réel. Seules 28% veulent investir dans les solutions dites participatives, telles que les wikis, les flux RSS et les blogs. (...)

(28/11/2007 15:23:09)

Dell va revendre les Google Search Appliances

Une première : Google autorise un constructeur, Dell en l'occurrence, à commercialiser ses boîtiers de recherche, les Google Search Appliances (500 000 documents) et le modèle Mini (50 000 documents, pour PME). Rappelons que Google utilise depuis 2006 une base de serveur Dell PowerEdge 2950 pour construire ses Search Appliances. Pour l'instant, cet accord de distribution ne concerne que les Etats-Unis. Par ailleurs, IBM et Yahoo, unis depuis un an pour distribuer gratuitement leur logiciel de recherche en entreprise IBM OmniFind Yahoo Edition, annoncent la disponibilité de la deuxième version de cet outil. (...)

(28/11/2007 09:44:00)

Le gouvernement inaugure Isis, son intranet sécurisé

Laurent Wauquiez (secrétaire d'Etat porte-parole du gouvernement), Francis Delon (Secrétaire Général de la Défense Nationale auprès du Premier Ministre) et Didier Lombard (PDG de France Télécom) ont annoncé le 27 novembre 2007, l'inauguration officielle de l'Intranet sécurisé interministériel pour la synergie gouvernementale (Isis). Son objectif est de permettre le transfert des informations à haute confidentialité dans toutes les circonstances, y compris en cas de crise grave où les infrastructures civiles seraient inopérantes, mais aussi au quotidien. La maîtrise d'oeuvre est assurée par le groupe France Télécom (Orange Business Services notamment) et la maîtrise d'ouvrage par le SGDN (Secrétariat Général de la Défense Nationale) dans le cadre d'un contrat classé (sans véritable appel d'offres pour des raisons de secret défense). Le budget du projet est de 12 M€ pour la création d'Isis et de 1,5 M€ par an pour sa maintenance. Issu d'un projet concernant uniquement la gestion des crises et datant de 2004, Isis a été mis en place ces derniers mois et est aujourd'hui opérationnel auprès de 200 postes, soit 400 utilisateurs répartis sur 10 sites parisiens ou en proche banlieue. A terme, plusieurs milliers d'utilisateurs sont concernés dans toute la France, tous devant traiter des informations classifiées (par exemple : « secret défense ») ou très sensibles : hautes autorités, gouvernement, centres opérationnels militaires... Isis a été testé avec la création du livre blanc sur la Défense Nationale. Pour en savoir plus, lire l'article sur www.cio-online.com (...)

(26/11/2007 17:11:04)

BO ajoute le suivi de la performance financière à son offre Edge

Avec BusinessObjects Edge Planning, application de gestion de la performance financière destinée aux entreprises de taille moyenne, Business Objects complète sa gamme d'offres décisionnelles taillées pour les PME (de 100 à 1 000 collaborateurs), lancée à l'échelle mondiale début 2007 et déjà composée de trois produits. Cette fois-ci, l'éditeur apporte des outils de planification, de gestion de budget et d'analyse prévisionnelle (avec des fonctions de type « what if » - « que va-t-il se passer si ? »). La solution peut s'utiliser seule (à partir de 25 000 $ pour dix utilisateurs incluant la première année de maintenance, le support et la formation). Elle peut aussi venir compléter l'une des trois offres précédemment livrées, BusinessObjects Edge Standard, Professional et Premium, constituées d'outils de requête, de reporting et d'analyse de données. Rappelons que l'un des intérêts de ces « packages » pour PME est de se présenter sous la forme d'une suite de logiciels décisionnels déjà intégrés entre eux, ce qui facilite leur mise en place dans des structures qui ne disposent pas toujours d'une équipe informatique très étoffée. Les trois premières offres Edge se différencient principalement par leurs capacités de déploiement et leurs fonctions d'administration. La troisième, Premium, tout juste livrée, dispose aussi de fonctions de tableaux de bord avancées par rapport aux deux autres. (...)

(22/11/2007 15:25:25)

Une étude confirme l'ampleur croissante d'Oracle

Pas de doute, Oracle prend chaque jour une place plus importante dans les entreprises. Au-delà de ses résultats en forte croissance qui attestent visiblement sa progression, sur le terrain, les analystes prennent concrètement la mesure de l'adhésion des décideurs à son offre, qu'il s'agisse de sa base de données, de ses outils de middleware ou de ses applications. En octobre, l'enquête menée par le cabinet américain ChangeWave Investing sur les prévisions d'investissement en logiciel et sur les solutions installées, auprès de 1 780 membres de son réseau (constitué de 13 000 professionnels et experts issus de différents secteurs industriels), fait apparaître qu'Oracle est le seul fournisseur à gagner des parts dans plusieurs domaines. Principalement sur les applications décisionnelles (ou Business Intelligence, BI), la gestion de la relation client (GRC, en anglais CRM) et les progiciels de gestion intégrés (PGI, en anglais ERP). Par rapport à sa précédente enquête, conduite en juillet 2007, ChangeWave Investing ne note pas de changement dans les prévisions globales d'investissement pour les trois mois à venir : 18% des responsables interrogés prévoient de dépenser davantage sur leur poste « logiciel » et 14 % pensent plutôt débourser moins. En revanche, ce qui frappe le cabinet d'analyse, c'est la proportion croissante d'entreprises prévoyant d'investir dans des solutions éditées par Oracle. Actuellement, dans le domaine du décisionnel, Oracle arrive en tête des logiciels utilisés avec 36% de parts de marché, progressant ainsi de 8 points par rapport à l'enquête de juillet dernier. Microsoft le suit de près avec 35%. Un zoom sur les solutions Hyperion permet de constater une augmentation de cinq points, à 19 %. Le rapprochement opéré entre les sociétés semble donc leur profiter à toutes les deux, rassurant sans doute sur la pérennité des offres. Sur le marché de la GRC, Oracle conserve son leadership (gagné avec le rachat de Siebel). Comme en juillet, 36% des professionnels sondés ont déclaré utiliser une solution vendue par Oracle. SAP, en revanche, perd deux points, à 17%, et Salesforce en perd 4, à 15%. Microsoft, lui, ne bouge pas, à 16 %. Le plus fort potentiel Sur le marché des PGI, ChangeWave Investing note une progression d'Oracle et de Microsoft sur les autres fournisseurs. Evidemment, SAP tient toujours la corde, mais il a perdu huit points depuis l'enquête de juillet, à 38%. Derrière, Oracle gagne deux points, à 32%. Toutefois, sur ce terrain, c'est Microsoft qui réalise la meilleure performance, prenant jusqu'à quinze points de plus, à 29%. Le cabinet d'analyse a également mesuré les tendances dans les domaines du stockage de données et des logiciels d'administration. Là, Microsoft est clairement en tête avec 30%, suivi de Symantec, avec 20%, et d'Oracle et EMC, avec 17% chacun. Mais ce qui surprend le plus ChangeWave Investing, [[page]]ce sont les intentions d'achats à 90 jours des entreprises interrogées. Alors que l'échantillon proposé n'était pas assez large pour englober tous les fournisseurs de solutions verticales pressentis, le cumul des choix désignait clairement Oracle comme l'éditeur ayant le plus fort potentiel, au détriment de Microsoft. Les positions de SAP, elles, ne bougeaient pas par rapport à l'enquête de juillet 2007. La technologie tire les applications et vice-versa Il apparaît nettement que la société de Larry Ellison reprend de la vitesse sur tous les terrains, alors qu'elle avait pu un temps se laisser distancer. Et son fondateur n'entend certes pas en rester là. Ses récentes annonces, à l'occasion de sa conférence OpenWorld (San Francisco, 11-15 novembre) l'ont confirmé : livraison d'une solution de virtualisation de serveurs, Oracle VM, renforcement des solutions middleware, présentation de la nouvelle génération d'applications (Fusion). Parallèlement, Oracle a également indiqué avoir gagné 1 500 clients en un an sur son offre de support autour des systèmes d'exploitation en Open Source Red Hat Enterprise Linux et Oracle Enterprise Linux. « Nous avons dépassé nos prévisions dans toutes les catégories de produits et nous n'avons pas l'intention de nous arrêter là », déclarait Safra Catz, vice-présidente et directrice financière d'Oracle, devant un parterre d'analystes financiers, à l'issue d'OpenWorld. « La technologie tire les applications et les applications tirent la technologie », a-t-elle rappelé pour expliquer comment les différentes gammes d'Oracle autogénéraient des ventes. Et pour justifier la succession des rachats opérés par l'éditeur et qui n'est sans doute pas près de s'arrêter, notamment sur les applications métiers : « Ce que nous faisons est très évident. Nous recherchons ce que nos clients souhaitent que nous prenions en charge pour eux. Et ce qui nous paraît financièrement possible et utile pour eux, nous le faisons. » Ce qui a conduit, notamment, au récent rachat d'Agile, acteur du PLM (gestion du cycle de vie des produits). Ce qui dirige, aussi, les prises de position sur les marchés verticaux avec les rachats de Portal Software, pour les opérateurs de télécommunications, ou d'i-flex, pour les banques. Des produits qui, estampillés Oracle, acquièrent une nouvelle visibilité. En retour, les acheteurs de produits métiers Oracle seront plus enclins à s'intéresser à sa base de données, à ses offres middleware, à sa déclinaison de Linux ou à sa solution de virtualisation. Le 'sondage flash' en cours sur notre site montre toutefois que les entreprises clientes ne sont pas forcément enclines à tout acheter chez le même acteur. Alors s'agit-il vraiment d'un cercle vertueux ? Larry Ellison en est persuadé. Devant le même parterre d'analystes la semaine dernière, il a déclaré ne craindre ni une récession, ni une baisse des prix. « Si les prix baissent, nous nous en sortirons très bien et si l'économie se porte mal, je pense, qu'au pire, nos performances seront étales. » (...)

< Les 10 documents précédentsLes 10 documents suivants >