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(09/05/2012 12:58:31)

Mise à jour Visual Studio 11 : Microsoft remanie l'interface utilisateur

Les modifications apportées à l'interface de Visual Studio 11 portent notamment sur les couleurs, sur la convivialité du système par icône, et le « look and feel » Metro. Ces changements apparaîtront dans la prochaine Release Candidate de la suite de logiciels de développement pour Windows, dont la disponibilité n'a pas été précisée. Cette mise à jour tourne autour de la couleur et des contrastes audacieux, de l'usage réduit de la capitalisation pour optimiser la lisibilité, et de l'apparence générale, plus vive, pour donner plus de peps à l'environnement de travail, comme l'a souligné un représentant de Microsoft. La nouvelle version de l'IDE porte bien le nom de Visual Studio 11, mais certaines rumeurs laissent entendre qu'elle pourrait prendre la dénomitation de Visual Studio 2012 au moment de la sortie officielle.

Un message posté mardi par Monty Hammontree, en charge de l'expérience utilisateur au sein de la division Developer Tools de Microsoft, décrit en détail les améliorations apportées. « Cette bêta a fait l'objet de nombreux commentaires, et beaucoup pointaient la tristesse de l'interface utilisateur. Nous avons pris en compte ces remarques et nous avons donné plus de vitalité à cette interface. Nous avons fait en sorte de rendre l'expérience utilisateur plus lumineuse et plus claire en introduisant notamment des palettes plus audacieuses et des couleurs d'arrière-plan plus lumineuses. »

Améliorer le contraste de l'interface

Microsoft va éclaircir le gris de l'interface de l'IDE et forcer un peu sur la couleur de la fenêtre chrome pour donner plus de vitalité et de lisibilité au cadre de travail. La barre d'état sera également colorée : « Les variations dans la couleur de la barre d'état vont permettre d'ajouter des informations fonctionnelles sur l'IDE, et indiquer par exemple quand il est en mode debug », a écrit Monty Hammontree. Par ailleurs, Microsoft va enrichir ses thèmes pour permettre une utilisation plus large et plus audacieuse des couleurs, et la personnalisation des outils et des onglets en tête de fenêtre.

Pour ce qui est du « look and feel » Metro, au coeur du système Windows 8 à venir, les changements opérés par Microsoft visent à mieux structurer et à mettre en évidence certaines zones de l'écran, comme les barres d'outils des fenêtres, le masquage automatique des onglets, le regroupement des onglets, et les séparateurs, qui ne nécessitent pas de titres en majuscules. Avec Metro, Microsoft veut proposer un style de navigation qui convient aussi bien aux tablettes tactiles, qu'aux téléphones mobiles et aux ordinateurs. Toujours en ce qui concerne Metro et la Release candidate de Visual Studio 11, Microsoft a supprimé la capitalisation des titres pour les fenêtres, les onglets et les groupes d'onglets. Dans cette version, les capitales seront uniquement réservées aux titres des menus de niveau supérieur.

Plus de Metro dans l'inetrface

Microsoft veut aussi renforcer le style Metro dans les thèmes et permettre la personnalisation de chrome, le terme choisi par l'éditeur pour désigner le cadre qui entoure l'espace de travail dans une fenêtre. « Grâce à cette fenêtre chrome personnalisée, nous avons réussi à rendre l'usage de l'espace de travail plus efficace et à rendre plus présent le style Metro », a encore écrit Monty Hammontree.

Pour répondre à la demande de convivialité, Microsoft a réintroduit la couleur pour la sélection des commandes, IntelliSense et la hiérarchie des icônes dans Solution Explorer. « Dans cette post-bêta, nous avons utilisé un ensemble de règles simples combinant la sélection heuristique des icônes pour les actions courantes et des conventions liées au contenu, avec cinq palettes de couleurs », a déclaré le responsable de l'expérience utilisateur au sein de la division Developer Tools de Microsoft . « L'ensemble de ces règles permet d'appliquer de la couleur d'une manière très simple et très cohérente ».

(...)

(07/05/2012 15:45:33)

Droit d'auteur : pas de protection pour un langage de programmation ou une fonction

La Cour de Justice de l'Union européenne a rendu hier un avis consultatif (décision préjudicielle) précisant la portée du droit d'auteur, tel que protégé par la Directive européenne sur la protection juridique des programmes d'ordinateur. Cet avis se base sur un litige opposant, devant la Haute Cour du Royaume-Uni, la société SAS Institute Inc., inventeur d'un système d'analyse de données nommé «SAS», et la société World Programming Ltd (WPL), auteur d'un logiciel alternatif «WPS» qui est capable d'exécuter des programmes d'application écrits en langage SAS («scripts»).

Interfaces non protégées

Alors que la société SAS accuse WPL d'avoir copié les manuels et les composants de son système SAS, la Cour européenne précise que la directive précitée ne protège que les «formes d'expression» et «la création intellectuelle propre à l'auteur d'un programme d'ordinateur». Alors que ce champ couvre notamment le code source et le code objet d'un programme - qui permettent de reproduire ce dernier dans différents langages informatiques -, «les idées et les principes qui sont à la base de quelque élément que ce soit d'un programme d'ordinateur, y compris ceux qui sont à la base de ses interfaces » ne sont en revanche pas protégés. Il en ressort que la fonctionnalité et le langage de programmation d'un programme ne sont pas protégés en tant que tels.

Prévenir d'éventuels monopoles

La Cour ajoute par ailleurs qu'«admettre que la fonctionnalité d'un programme d'ordinateur puisse être protégée par le droit d'auteur reviendrait à offrir la possibilité de monopoliser les idées, au détriment du progrès technique et du développement industriel». Ainsi, seul un tiers qui se procurerait «la partie du code source ou du code objet relative au langage de programmation ou au format de fichiers de données utilisés dans le cadre d'un programme d'ordinateur», et qui créerait «à l'aide de ce code, des éléments similaires dans son propre programme d'ordinateur», serait susceptible de violer le droit d'auteur.

ICTjournal (...)

(07/05/2012 14:56:09)

Flash Player, Adobe propose les mises à jour silencieuses pour Mac

Depuis quelques semaines, Adobe propose une version bêta de Flash Player pour Mac OS X qui inclut la fonction mises à jour silencieuses.  Si l'éditeur propose depuis fin mars cette fonction pour Windows, il était resté très discret quant à l'adoption de cette technologie sur Mac OS. L'entreprise s'était simplement engagée à créer la même fonction sur OS X, mais sans fixer de calendrier.

Aujourd'hui, la version Mac est identique à celle de l'outil de mise à jour pour Windows. Il interroge toutes les heures les serveurs d'Adobe jusqu'à ce qu'il obtienne une réponse. S'il ne trouve aucune mise à jour prête, l'outil revérifie les serveurs 24 heures plus tard. Les mises à jour trouvées sont entièrement installées en tâche de fond, sans aucune notification sur l'écran. Par défaut, Flash 11.3 inclut les mises à jour silencieuses, mais les utilisateurs peuvent modifier le réglage pour continuer à recevoir sur des alertes à l'écran.

Un bac à sable fait aussi son apparition

Dans les six semaines qui ont suivi la livraison de la version silencieuse de Flash Player pour Windows, Adobe a envoyé plusieurs mises à jour. Vendredi dernier, l'éditeur a ainsi livré une paire de mises à jour, dont un patch pour une vulnérabilité «zero-day » que des hackers ont déjà à exploiter. Ces mises à jour silencieuses n'affecteront pas les utilisateurs du navigateur Google Chrome, qui intègre son propre système de mises à jour automatiques en arrière-plan.

Une autre caractéristique importante de Flash Player 11.3 est la présence d'un plug-in de type  « bac à sable » pour Mozilla Firefox sur Windows Vista et Seven. Un deuxième point important dans la stratégie d'Adobe pour contrecarrer les attaques qui exploitent des bugs Flash non corrigés.

Un bac à sable isole des processus sur l'ordinateur, afin d'entraver ou tout du moins de prévenir la progression des logiciels malveillants qui essaie d'injecter du code sur une machine. Pour développer la sandbox Flash Player de Chrome,  Adobe avait travaillé avec les ingénieurs de Google. Pour celle de Firefox, l'éditeur a refait la même chose avec les ingénieurs de Mozilla. Adobe prévoit de livrer la version finale de Flash Player 11.3 avant la fin du mois de juin. Les utilisateurs qui veulent tester la pré-version peuvent la télécharger sur le site d'Adobe.

(...)

(03/05/2012 12:02:21)

Apple rejette les applications iOS utilisant le SDK de Dropbox

Les applications iOS développées avec le dernier kit de développement fourni par Dropbox, le vendeur d'espace de stockage dans le cloud, ont été retoquées par Apple. Selon Dropbox, le blocage est dû au fait que le SDK inclut une version « Desktop » de son site web à partir duquel les utilisateurs de l'application mobile peuvent créer des comptes et acheter de l'espace de stockage supplémentaire. Comme l'a déclaré Dropbox dans un communiqué, «Apple rejette les applications utilisant notre SDK parce qu'elles permettent aux utilisateurs de créer des comptes. Nous travaillons avec Apple pour arriver à une solution garantissant toujours une expérience utilisateur élégante ».

Sur le forum en ligne de Dropbox, les développeurs n'ont pas manqué de réagir rapidement à ce blocage. L'un d'eux, identifié sous le nom de Goran Demon P., avance qu'Apple a rejeté son application iOS parce que « si l'utilisateur n'a pas d'application Dropbox installée, la liaison se fait via Safari. Quand l'utilisateur est dans Safari, il peut alors cliquer sur « Desktop Version » et naviguer sur le site de Dropbox jusqu'à l'endroit où il peut acheter de l'espace supplémentaire, » écrit-il. « Apple considère que cela revient à « diriger l'utilisateur vers un achat supplémentaire », ce qui est contraire à ses règles ».

Dans l'une des réponses faites au développeur sur son site iTunes Connect, Apple indique que « l'application concernée donne accès à des mécanismes externes d'achat ou d'abonnement destinés à être ensuite utilisés par l'application, ce qui n'est pas conforme aux recommandations d'Apple détaillées dans son Apple Store Review Guidelines ».

Pour l'instant, Apple n'a pas répondu à une demande de commentaires de nos confrères de Computerworld à San Francisco.

 

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(02/05/2012 14:33:33)

Oracle vs. Google : le jury délibère après les plaidoiries

Lundi dernier, le 30 avril donc, le jury du tribunal de San Francisco a pu entendre les plaidoiries des deux parties, dans le procès opposant Oracle à Google au sujet de la violation des droits intellectuels sur Java dans Android, avant de quitter la salle d'audience et entamer ses délibérations. Il est probable que les jurés prendront plusieurs jours avant de se prononcer. Pour qu'Oracle gagne ce procès, il faut que les 12 jurés reconnaissent que l'éditeur de Redwood Shores a fait valoir sa cause par « prépondérance de la preuve », c'est-à-dire que la partie capable de présenter l'argumentation la plus convaincante, même avec peu de différence, est gagnante.

Le procès se déroule en trois phases, et ce premier verdict concerne uniquement la question des droits d'auteur. Dans la prochaine étape, le tribunal examinera les allégations de contrefaçon des brevets d'Oracle. Enfin, la phase finale permettra de déterminer le montant des dommages auxquels Oracle pourrait prétendre. Cependant, c'est dans sa revendication sur les droits d'auteur qu'Oracle dispose des meilleurs atouts. C'est pourquoi ce premier verdict est considéré comme crucial par les deux parties.

L'usage loyal des API de Java en question

Il y a deux ans, Oracle a porté plainte contre Google au motif que son logiciel Android violait les brevets et droits d'auteur de Java, acquis par Oracle avec Sun Microsystems. Google nie toute malversation, affirmant qu'il avait développé une « version propre » de Java. Le juge a pris soin d'informer le jury que les termes et les définitions ordinaires, comme ceux donnés à des méthodes et à des classes dans les API Java d'Oracle ne sont pas protégés par des lois du copyright aux États-Unis. Par contre, le jury devra décider si Google a violé « la structure, l'organisation et la séquence » de l'API Java - en d'autres termes, voir comment elles sont organisées et comment elles sont liées les unes aux autres. Si le tribunal conclut que Google ne viole pas les API, il doit cependant dire si l'usage qu'en fait Google est protégé par un « usage loyal ».

Robert Van Nest, l'un des avocats de Google, a présenté plusieurs arguments pour défendre cette notion « d'usage loyal » dans sa plaidoirie finale lundi matin. « L'un des éléments d'appréciation de l'usage équitable consiste à savoir à quel point le matériel copié emprunte à l'oeuvre originale dans son ensemble, » a-t-il expliqué. Google est accusé d'avoir copié 37 des API Java d'Oracle dans Android, et selon son avocat, cela ne représente qu'une petite partie de Java dans son ensemble. « Pour être pertinent, il faut comparer la structure, la séquence et l'organisation de ces 37 API sur la totalité de Java, » a-t-il ajouté. Robert Van Nest a également soutenu que Google avait transformé l'API pour l'utiliser, dans le sens qu'elle avait créé quelque chose de nouveau et de différent à partir des API. « Android est la première plate-forme Java pour smartphone qui a réussi sur le marché », a encore déclaré l'avocat de Google.

Une affaire compliquée mais très importante pour la Silicon Valley

L'avocat d'Oracle Michael Jacobs ne partage pas ce point de vue, citant la plate-forme BlackBerry de Research in Motion et Sidekick de Danger. « Est-ce qu'on peut dire qu'Android est une plate-forme « cool », novatrice et en vue ? Bien sûr qu'elle l'est », a-t-il déclaré. « Mais apporte-t-elle une transformation dans le sens de la loi ? Non ». Le jury doit également déterminer si les déclarations publiques concernant Java à l'époque de Sun auraient pu amener Google à croire qu'elle n'avait pas besoin de licence pour utiliser sa technologie. En effet, à plusieurs reprises, Google a mis en avant les déclarations de l'ex-PDG de Sun, Jonathan Schwartz, lequel, avant 2007, encourageait et félicitait Google sur la sortie d'Android. « Google est une grande entreprise, ils savent que le business ne se fait pas avec des messages postés sur un blog », a dit Michael Jacobs au jury lundi matin.

L'affaire est compliquée, et le juge William Alsup, qui supervise aussi le procès, a fourni au jury 18 pages de commentaires pour les aider à prendre leur décision. Dans la forme, le verdict doit répondre à quatre questions, dont certaines divisées en plusieurs parties. (Une copie des instructions et du formulaire de verdict est visible ici http://www.scribd.com/doc/91878800/Jury-Instructions-Verdict-Form-in-Oracle-Google. Le Juge Alsup doit également prendre en son nom certaines décisions basées sur son interprétation du droit d'auteur, y compris pour dire si les API d'Oracle sont considérées comme couvertes dans leur ensemble par le droit d'auteur. S'il décide que ce n'est pas le cas, le verdict du jury peut avoir son importance dans le cas où Oracle fait appel ensuite de la décision du juge devant une cour plus élevée.

Le jury sera réuni chaque jour de 8 h à 13 heures au tribunal pour délibérer et débattre du verdict  jusqu'à qu'il parvienne à une décision.

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(25/04/2012 10:17:13)

Microsoft ajoute des pays contributeurs à l'App Store de Windows 8

Pour la phase de pré-lancement de Windows 8, Microsoft a recueilli des projets d'applications Metro via son App Windows Store, afin d'étoffer la pré-version Consumer Preview du futur système d'exploitation qui a déjà pu être téléchargée et testée par des millions d'utilisateurs.
Alors que les projets d'apps étaient jusqu'à présent limités à cinq pays d'origine (à savoir la France, l'Allemagne, L'Inde, le Japon, les Etats-Unis) le fournisseur de logiciels annonce que dorénavant 33 nouveaux pays ont été ajoutés comme marchés de provenance des projets d'applications Metro.

Répondre aux besoins régionaux

A terme, Microsoft prévoit d'impliquer 200 pays pour le lancement de son nouveau système d'exploitation. Comme Antoine Leblond, vice-président du département de Microsoft pour les services web, l'a expliqué, cette approche devrait notamment permettre aux utilisateurs d'avoir accès à des applications qui soient au plus proche des besoins locaux.

Pour soumettre uns app dans le Windows Store, il est nécessaire de s'inscrire et de payer une  cotisation de 37 euros pour les personnes privées, 75 euros pour les entreprises. Par ailleurs, Microsoft poursuit sa promotion auprès des développeurs en organisant des Windows Dev Camps à travers le monde, qui doivent leur permettre de s'initier au développent de projets d'apps.

ICTjournal.ch (...)

(17/04/2012 16:12:05)

Avec my-Channels, Software AG acquiert la plateforme MOM Nirvana

Software AG a annoncé hier l'acquisition de l'éditeur britannique my-Channel qui développe, sous le nom de Nirvana, des logiciels de messagerie interapplicative à faible latence. Ceux-ci seront utilisés pour étendre l'offre de solutions middleware du groupe allemand. Ce dernier n'a communiqué aucun détail financier sur la transaction, indiquant simplement que le prix du rachat se situait dans la fourchette basse d'un montant à deux chiffres en millions d'euros...

La plateforme Nirvana, solution de middleware orienté message (MOM), permet d'échanger des données entre n'importe quelle combinaison de systèmes informatiques internes et externes ou clients. Elle est capable de diffuser des centaines de milliers de messages vers plusieurs milliers de systèmes clients en l'espace de micro-secondes, souligne son acquéreur.

Compatible JMS, MQTT, HTML5/webSockets

Nirvana est compatible avec les standards de messagerie interapplicative tels que JMS (Java Message Service), MQTT (Message Queue Telemetry Transport) et HTML5/webSockets. Software AG considère qu'elle convient parfaitement aux prochaines générations d'applications cloud et mobiles, ainsi qu'à celles déployées sur le terrain des réseaux sociaux ou des big data. L'éditeur allemand prévoit de certifier l'interopérabilité de Nirvana avec sa suite d'intégration webMethods de façon à ce que sa disponibilité coïncide avec la sortie de la version 7 de la plateforme de my-Channels, dans le courant de ce deuxième trimestre.

La première version intégrée des offres est planifiée pour le quatrième trimestre de cette année. Cela offrira entreprises utilisatrices des solutions de Software AG un choix d'options de messagerie au sein de leur projets webMethods, pointe l'éditeur. Dans un communiqué FAQ, il précise qu'il continuera à investir dans la plateforme de my-Channels. Le développement de l'actuelle messagerie applicative de Software AG, webMethods Broker, sera également poursuivi et sa maintenance assurée puisqu'il s'agit de la technologie intégrée à la suite webMethods, est-il par ailleurs rappelé. (...)

(12/04/2012 15:58:48)

Oracle sort une preview de MySQL 5.6

Oracle a posté une preview de son futur système de gestion de base de données MySQL, histoire d'offrir aux administrateurs un aperçu des nouvelles fonctionnalités auxquels ils auront accès dans peu de temps. Cette version intermédiaire dite Development Milestone Release (DMR) de MySQL 5.6 apporte en effet un certain nombre de nouveautés au système de gestion de base de données Open Source, certaines encore expérimentales, dont une fonction de réplication améliorée et la possibilité de contourner le framework SQL pour accéder plus rapidement aux données.

En tant qu'élément de la pile Open Source LAMP - qui inclut également Linux, Apache et Perl, Python et PHP - MySQL est largement utilisé dans les applications Web. Par exemple, les grands sites populaires comme Twitter, Facebook et Flickr, utilisent MySQL. Dans cette version 5.6 à venir, Oracle et les développeurs extérieurs ont renforcé la manière dont le logiciel gère la réplication des données, de même qu'ils ont potentiellement raccourci les temps de réponse à des requêtes complexes. En ce qui concerne la réplication, MySQL introduit les Global Transactions Identifiers (GTIDs), qui permettent au système de trouver les données quand elles sont répliquées sur différents serveurs. Les GTIDs vont aussi faciliter la commutation automatique vers un serveur miroir en cas de défaillance du serveur principal. Certains logiciels tiers offrent déjà cette fonction, mais ce sera la première fois que MySQL lui-même pourra faire le travail.

Des fonctions expérimentales à découvrir

MySQL 5.6 arrive aussi avec un certain nombre de fonctionnalités qui devraient accélérer les requêtes. Par exemple, le système sait maintenant consolider plusieurs requêtes ou regrouper des ensembles de résultats sur une seule unité de travail. Il peut affecter la date et l'heure par défaut pour les colonnes DATETIME, ce qui évite à l'application de le faire elle-même. Le logiciel peut également accélérer le temps de traitement en optimisant l'ordre d'exécution des requêtes « Filesort » et « ORDER BY ». Autre avantage pour les développeurs, MySQL peut aussi fournir des résultats dans le format JSON (JavaScript Object Notation), très répandu et utile pour l'intégration de données aux applications Web.

En plus de ces fonctions, qui seront totalement opérationnelles dans la version finale de MySQL 5.6, le logiciel inclut également des fonctionnalités expérimentales susceptibles de faire leur apparition dans les futures versions du logiciel, avec l'accord du MySQL Labs d'Oracle, et soumises dès maintenant aux développeurs qui peuvent les tester et voir si elles fonctionnent correctement. Le composant le plus intéressant est sans doute une API qui permet aux applications d'accéder directement aux données du moteur de la base de données InnoDB, sans passer par l'interface SQL. L'API reproduit l'interface de la technologie de mise en cache open source memcache utilisée par Facebook et d'autres pour accélérer l'accès à de grandes quantités de données. « Ce genre d'API peut mettre MySQL à pied d'égalité avec des bases de données NoSQL, qui permettent cette facilité d'accès et gagnent actuellement du terrain dans les applications Web, » avait déclaré l'an dernier dans une interview Tomas Ulin, vice-président de l'ingénierie de MySQL chez Oracle.

Rendre MySQL plus proche de NoSQL

Une autre amélioration expérimentale visant à rendre MySQL plus adapté aux fonctions des bases de données NoSQL, concerne un ensemble d'opérations ADD qui permettent à une application d'écrire des données vers la base de données sans empêcher d'autres opérations d'accéder à l'index de la base de données quand elles inscrivent leurs propres données. Selon Oracle, ce genre de caractéristique pourrait être appréciée par les services Web.

L'éditeur n'a pas révélé à quel moment il envisageait de livrer la version finale de MySQL 5.6. La dernière mise à jour majeure de MySQL, la version 5.5, date de décembre 2010.

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(12/04/2012 15:15:39)

Java perd la 1e place au Top 10 des langages de programmation

Selon l'indice mensuel Tiobe sur la popularité des langages de programmation publié cette semaine, au mois d'avril, Java a laissé sa place de premier au langage C. La dernière enquête Tiobe Programming Community Index fait ainsi apparaître que le langage C a été utilisé par 17,555 % des développeurs contre 17,026 % pour Java. Le mois dernier, Java affichait un taux de popularité de 17,1 % parmi les développeurs, contre 17,09 % pour le langage C.

Java domine l'indice depuis de nombreuses années, mais ce n'est pas la première fois qu'il subit une certaine érosion, et descend de son piédestal. Si Java tient effectivement la tête de l'indice depuis 2001, on note tout de même quelques exceptions, comme ça été le cas entre la mi-2004 et la mi-2005 et quelques mois en 2010. « Ça a pris du temps, mais la tendance à la baisse de Java sur le long terme a fini par traverser la ligne de popularité du langage C, très stable, pour ne pas dire presque plate, » indique le Tiobe dans son rapport. « Nous ne pensons pas que Java baissera encore beaucoup du fait de la popularité de la plate-forme Android. Mais le langage C peut rester numéro 1 pendant un ou deux mois, si l'on extrapole les moyennes des évolutions observées pour les deux langages. »

Visual FoxPro entre dans le top 50

Le Tiobe met également en évidence d'autres tendances intéressants ce mois-ci, comme par exemple l'entrée de Visual FoxPro dans le top 50 (il se classe à la 42ème place), celle de Scala, à la 45ème place et celle du langage Alice, à la 48ème place. D'autres langages par contre sortent du top 50, comme Eiffel, PL/I et Tcl. L'index compte le nombre d'ingénieurs qualifiés dans le monde entier, les cours et les vendeurs tiers qui utilisent un langage particulier, et établi son classement à partir d'évaluations réalisées par des moteurs de recherche comme Google, Yahoo et Bing ainsi que d'autres sites comme Wikipedia, Amazon et YouTube.

Pour compléter, dans le top 10 des langages on trouve le C + +, utilisé par 8,896 % des développeurs; l'Objective-C, par 8,236% ; le C#, par 7,348 % ; le PHP, par 5,288 % ; Visual Basic, par 4,962 % ; Python, 3,665 % ; JavaScript, par 2,897 % et le langage Perl, par 2,387 % des développeurs.

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(06/04/2012 13:50:33)

Mark Hurd, coprésident d'Oracle, expose sa vision de l'analyse décisionnelle

Avec sa salve d'annonces faites en milieu de semaine, Oracle veut se positionner comme un acteur principal du secteur de l'analyse décisionnelle et se montrer plus pertinent aux yeux des clients de son rival SAP. Le mois dernier, l'éditeur avait déjà évoqué les grandes lignes de sa stratégie, dont le détail a été publié sur son site Intenet mercredi. Le même jour, le coprésident d'Oracle, Mark Hurd, a donné encore plus de précisions à ce sujet au cours d'un webcast qu'il a tenu pendant la conférence OpenWorld de Tokyo.

L'articulation choisie par Mark Hurd tourne autour des dangers que vont représenter les quantités toujours plus grandes d'informations numériques. « La quantité de données sur la planète est tout simplement énorme, » a-t-il déclaré. «  Et, j'ai de mauvaises nouvelles. Cela va s'aggraver. La vraie question est de savoir comment obtenir la bonne information auprès de la bonne personne au bon moment pour prendre la bonne décision, » a-t-il ajouté. « Et ce n'est pas facile. »

Prendre la bonne décision des centaines de fois

Le dirigeant d'Oracle a cité le cas d'un agent posté à la porte d'embarquement d'un aéroport. Celui-ci doit décider à quel passager donner le dernier siège sur un vol dont les sièges ont été survendus. « Sa décision va changer la relation existant entre le passager et la compagnie aérienne pour la vie », a-t-il déclaré. « S'il donne la place à quelqu'un d'autre que vous et qu'il vous force à attendre trois ou quatre heures pour attraper le prochain vol, vous n'allez probablement jamais l'oublier. Et si l'agent de la compagnie aérienne doit prendre ce genre de décision des centaines de fois, il est important qu'il fasse le bon choix. C'est la raison pour laquelle cette nouvelle génération de systèmes analytiques décisionnels est si importante. »

Dans la série d'annonces produits faite mercredi, Oracle a mis en avant sa gamme de logiciels d'analyse et sa machine Exalytics, laquelle, comme la plate-forme HANA de SAP, utilise le traitement in-memory adapté aux charges de travail analytique haute performance. Une autre annonce concerne la version 11.1.2.2 de l'EPM (Enterprise Performance Management) Hyperion. « Contrairement à ce que laisse imaginer son nom, la mise à jour est loin d'une version release, avec ses nombreuses fonctionnalités et ses améliorations, » a déclaré Paul Rodwick, vice-président de la gestion produits pour Oracle BI, dans une interview donnée avant l'intervention de Marck Hurd. Parmi ces nouvelles fonctionnalités, on trouve des modules d'application pour la planification financière et le rapprochement des comptes, l'intégration avec Exalytics, une expérience utilisateur revisitée et de nouvelles passerelles entre Hyperion Data Relationship, Oracle 12.1 E-Business Suite et Fusion Financials, lesquelles permettent « une intégration plus rapide et plus facile des plans comptables et d'autres données financières entre applications ERP, » comme l'a déclaré Oracle.

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Mercredi également, Oracle a annoncé Endeca Information Discovery, un produit qui résulte du rachat d'Endeca l'an dernier. Le système permet aux utilisateurs de parcourir finement des données structurées et non structurées selon un mode itératif dit « model-as-you-go », comme le précise un communiqué. Cette fonctionnalité est combinée à « une expérience utilisateur acquise dans le domaine du e-commerce, » a encore déclaré Oracle. « La plate-forme est notamment utilisée dans l'analyse des demandes d'indemnisations dans le secteur de l'assurance et dans l'analyse des tendances sur les réseaux sociaux », a ajouté Oracle. Selon un porte-parole, Endeca information Discovery sera certifié pour Exalytics en milieu d'année.

Oracle a également annoncé une série d'applications spécialisées que les clients de SAP peuvent utiliser pour analyser les dépenses et les achats, et dans la chaîne d'approvisionnement et de gestion des commandes. Le vendeur a aussi annoncé deux nouvelles applications analytiques pour les systèmes Oracle. L'une, qui permet aux fabricants d'avoir un aperçu sur leurs opérations, et une autre qui permet aux entreprises de visualiser comment sont utilisées leurs ressources, véhicules et équipements par exemple.

« SAP, qui ne prend pas Oracle à la légère, remporte sur le terrain beaucoup de succès face à son rival. En particulier, nous réussissons à supplanter Hyperion avec notre propre logiciel EPM Business Objects, » a déclaré Sanjay Poonen, président et corporate officer Global Solutions, chez SAP, dans une interview donnée avant les annonces d'Oracle.

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