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(18/06/2008 17:07:55)

Red Hat rend JBoss disponible sur Amazon EC2

Un peu plus de 6 mois après son Linux, Red Hat met désormais son serveur d'applications Java Open Source JBoss sur la grille en ligne d'Amazon, EC2. L'Elastic Compute Cloud d'Amazon est une offre d'informatique à la demande, permettant d'utiliser une infrastructure matérielle et logicielle pour une tarification à l'usage. Le serveur d'applications JBoss pourra ainsi être facturé 119$ par mois, ou bien à partir de 1,21$ par instance et par heure, en sus des frais facturés par Amazon pour l'utilisation de la bande passante et des capacités de stockage. Les clients actuels de JBoss pourront aussi choisir de payer leur licence et d'héberger l'application sur la grille d'Amazon. Côté tarifs, explique Sacha Labourey, directeur technique de la division middleware de Red Hat, « la facture sur un an est évidemment plus élevée que si on achetait tout soi-même, mais avec environ 15 000 dollars pour un an d'utilisation du matériel, de Linux et du serveur d'applications, nous restons dans des prix tout à fait abordables. » La promesse d'affecter souplement de nouvelles ressources à une application De toute façon, l'ambition de cette offre n'est absolument pas de remplacer tous les usages du middleware Java. « Nous n'avons pas encore complètement codifié tous les cas d'utilisation pour le 'cloud computing', mais il y en a déjà un certain nombre », avance Sacha Labourey. Qui cite « toutes les tâches limitées dans le temps comme, par exemple, la billetterie de l'Euro 2008. Cela dure quatre mois, donc est-il nécessaire d'investir ? Probablement pas. » [[page]] Les solutions d'informatique à la demande telles qu'EC2 permettent en effet de créer ce type d'application sans investir outre mesure. En outre, les capacités peuvent être étendues simplement pendant les heures où sont prévues les pics d'affluence. « On ne parle pas de milliseconde, précise Sacha Labourey, mais le provisioning [réservation des ressources, NDLR] est très rapide. » Plutôt pour des besoins précis et des applications autonomes L'offre est donc plutôt destinée à des applications autonomes, dans des start-up ou de grandes entreprises souhaitant tester un projet ou déployer rapidement une application pour un besoin précis. « Il serait vain d'imaginer pouvoir sauter dans le cloud avec des données qui resteraient à des milliers de kilomètres de là dans un progiciel », reconnaît le directeur technique de JBoss. Toutefois, l'application peut aussi être ouverte aux échanges de données : tout dépend, explique Sacha Labourey, d'une chose, le temps de latence. « Si c'est un élément critique, alors il sera probablement difficile de déployer l'application dans le 'cloud'. » Cette offre de JBoss à la demande est aujourd'hui en bêta. Cela dit, EC2 lui-même est un service proposé en bêta par Amazon. A noter, EC2 héberge un autre système d'exploitation Open Source que Red Hat : OpenSolaris de Sun. (...)

(17/06/2008 15:17:00)

IBM dément toute mise en Open Source de DB2

Une petite phrase d'un responsable britannique d'IBM a suscité hier quelque émoi dans le microcosme des bases de données : il avait laissé entendre à un journaliste que si les conditions du marché évoluaient, alors IBM pourrait envisager de proposer DB2 en Open Source. Las, IBM a démenti : il n'y a aucun plan en ce sens. « Nous avons déjà une version allégée gratuite, avait expliqué le patron britannique de la division gestion de l'information d'IBM, ce qui est un premier pas vers l'ouverture de notre technologie. » Et il a ajouté qu'IBM a l'habitude d'être à l'avant-garde de l'Open Source. De fait, il existe déjà une base IBM en Open Source, Cloudscape. IBM a également initié Eclipse et est un fervent soutien de Linux. (...)

(16/06/2008 16:18:50)

eBay ouvre son application marchande aux développeurs

eBay poursuit ses efforts pour susciter la création d'applications autour de son site de vente en ligne. Il doit annoncer, à l'occasion de sa conférence développeurs qui débute aujourd'hui à Chicago, l'ouverture de son outil Selling Manager, l'un des plus appréciés des marchands présents sur son site. Selling Manager est utilisé par 700 000 d'entre eux pour gérer leurs listings de produits et de clients. eBay reconnaît maintenant qu'il ne peut pas, à lui seul, développer toutes les fonctionnalités souhaitées par ses utilisateurs. En faisant de cet outil une plateforme ouverte, le site de vente veut encourager l'arrivée d'applications complémentaires. Des logiciels qu'il se propose en outre de faire connaître aux marchands par l'intermédiaire d'une communication contextuelle et ciblée. Les développeurs devraient ainsi gagner en efficacité dans la commercialisation de ces add-ons. Parmi les applications développées autour d'eBay, signalons, en France, celle de Neteven, une start-up créée en 2005. Son logiciel de gestion permet de gérer de façon centralisée des activités de vente de produits s'effectuant en parallèle sur plusieurs sites d'achat/vente : eBay, mais aussi Amazon, PriceMinister, Alapage ou encore PixMania. Désormais, Neteven livre aussi des API pour susciter des ajouts externes à son application. Citons également le cas de l'éditeur français Ciel qui permet, depuis peu, de vendre sur eBay depuis son logiciel de gestion commerciale. Coup de pouce aussi aux développeurs PayPal La semaine prochaine, c'est l'opérateur de paiement en ligne PayPal (une division d'eBay) qui annoncera l'ouverture, en juillet, d'un nouveau portail pour renforcer le soutien à ses développeurs. 'Developer Central portal' comprendra des kits techniques, des exemples de code, des outils de formation et de marketing, ainsi que des forums de discussion. Il permettra aussi aux marchands d'entrer en contact avec des développeurs certifiés par PayPal. A ce jour, le programme de développement de PayPal, lancé en 2001, compte 35 000 personnes, dont 300 sont certifiés. Le programme d'eBay, créé en 2000, en rassemble près de 70 000. (...)

(16/06/2008 15:49:20)

Le couple IT et métier, vecteur essentiel du déploiement des SOA

Les déploiements d'architectures orientées services (SOA) s'accélèrent : 50% des entreprises interrogées déploient des SOA, 27% ont des projets pilotes, 42% indiquent que les SOA représentent la dépense prioritaire en logiciels pour 2008 et 49% disent avoir augmenté leur budget SOA de 10 à 20% entre 2007 et 2008. Il s'agit des principales observations d'IBM, qui dévoile une étude commandée à The Link Group, et réalisée auprès d'un peu plus de 300 entreprises présentes... à Impact, la conférence d'IBM sur son offre SOA ! Il est bien évident que les entreprises ayant envoyé des délégués à Impact s'intéressent fortement aux SOA. Toutefois, certains résultats de l'enquête de The Link Group mettent aussi en lumière la façon dont les SOA sont perçues au sein de l'entreprise. Ainsi, à la question « quel est le profil le plus important pour implémenter les SOA », seuls 22% des répondants citent les informaticiens ; 70% votent pour une combinaison entre gens de l'informatique et du métier. Visiblement, l'évolution a été forte en un an, puisque 73% expliquent que cette exigence a été renforcée entre 2007 et 2008. 96% des personnes interrogées disent que leur dernier projet SOA était une réussite Du côté du fournisseur, il semble que la même exigence prévale : 52% disent que le critère le plus important dans le choix d'un éditeur de solutions SOA est une expertise à la fois technique et métier. [[page]] Cette complémentarité se retrouve aussi au niveau de la direction. The Link Group a ainsi demandé si le PDG de la société comprenait la valeur métier des SOA. 51% étaient « tout à fait d'accord » avec cette affirmation, et 22% simplement « d'accord ». La moitié des sondés (49% exactement) a aussi indiqué que le service informatique se réunissait avec les responsables métier au moins une fois par mois. Côté résultats, 96% des personnes interrogées disent que leur dernier projet SOA était une réussite. Parmi les bénéfices, 27% citent un meilleur alignement entre IT et métier, 17% des réductions de coût, et 17% encore une plus grande réactivité. Des résultats à mettre en regard des dépenses engagées : 40% des répondants ont indiqué avoir dépensé entre 10 et 29% de leur budget IT 2006 sur leurs projets SOA uniquement. Et les dépenses ont sensiblement augmenté en 2007 : seuls 34% n'ont pas accru leurs dépenses, 34% les ont augmentées de 10%, 19% de 20% et 13 % de 30% ou plus. (...)

(13/06/2008 15:29:34)

Les premiers clients français de SQL Server 2008 témoignent

Microsoft a réuni cette semaine des clients participant au 'TAP' de SQL Server 2008. En prélude à la sortie de la prochaine version de la base de données - toujours prévue pour la rentrée, malgré un « lancement » en février dernier - les premiers utilisateurs de SQL Server ont ainsi pu témoigner des bénéfices engrangés du fait de la migration vers l'édition 2008 de la base. C'est tout l'intérêt du 'TAP', le 'technical adoption program', que de pouvoir montrer aux prospects les gains réels apportés par un produit. Microsoft a ainsi pu compter sur trois témoignages utilisateurs - forcément positifs - illustrant diverses améliorations de la base : STS Group (pour les performances), Articque (pour les données géospatiales) et Auchan (pour l'analyse multidimensionnelle). STS améliore ses temps de réponse de 40% STS Group, éditeur français de solutions d'échange et d'archivage électronique à valeur probatoire, dit archiver plus de deux milliards d'objets, soit plus d'un millier de téraoctets (après compression). Le passage de SQL Server 2005 à SQL Server 2008 a procuré « des gains de volumétrie de 23 à 81% selon les tables », explique Thierry Blanc, représentant de la société. Qui ajoute : « La compression augmente la consommation de CPU, mais c'est compensé par les gains en entrées/sorties, et de toute façon on n'exploitait pas toutes les ressources des serveurs. » Les fonctions de parallélisme de la base ont aussi été mises en oeuvre, pour un gain moyen de 40% sur les temps de réponse. Détail important, la migration a été faite sans changer un ligne de code de l'application. [[page]] Articque a de son côté raconté la mise en route d'un mash-up pour le site lafranceelectorale.com, entre les deux tours des dernières municipales. L'ambition du site est de mixer les données provenant du ministère de l'Intérieur avec un fond de carte fourni par Virtual Earth, le service cartographique de Microsoft. La gestion des données géospatiales est en effet une fonctionnalité incluse directement dans SQL Server. Lafranceelectorale.com permet ainsi de visualiser directement sur la carte le résultat des élections. Une autre base est en cours de constitution à partir des données de l'Insee, l'objectif, explique Christophe Lebas, responsable technique, étant de mettre à disposition des services Web piochant dans ces données géospatiales. Une requête du cube Olap 636 fois plus rapide Chez Auchan, la base de données de Microsoft est utilisée pour une de ses fonctions liées au décisionnel : le cube Olap (On line analytical processing), qui consolide sur plusieurs dimensions les données financières provenant des progiciels dans plusieurs pays. A l'heure actuelle, l'exécution d'une requête prend moins de 10 secondes, sauf pour quelques cas particuliers. Responsable de projets décisionnels, Alexandre Bout a effectué des tests sur ces requêtes posant des problèmes - après avoir installé SQL Server 2008 et surtout MDX Studio, de Mosha Pasumansky (un des auteurs de MDX, le langage de requête des cubes Olap, aujourd'hui dans l'équipe décisionnelle de Microsoft). MDX Studio sert à optimiser les requêtes Olap, de la même façon que l'outil de management livré avec SQL Server fournit des préconisations pour optimiser les requêtes SQL. Le fait de traiter des données par bloc a constitué une amélioration saisissante dans le cas d'Auchan : une requête qui demandait près de 15 minutes pour s'exécuter avec SQL Server 2005 en 32 bit ne requérait plus que 1,4 seconde avec SQL Server 2008 en 64 bit. Pour neutraliser l'effet 64 bit, le test a aussi été mené avec SQL Server 2005 en 64 bit ; résultat : 6 minutes et 42 secondes. (...)

(12/06/2008 15:56:40)

Talend, aussi, met du temps réel dans l'intégration de données

L'intégration de données en temps réel se propage. Les éditeurs spécialisés apportent à leurs outils d'ETL (extraction, transformation et chargement de données) ces fonctions de 'change data capture' (CDC) qui servent à détecter au fil de l'eau les modifications opérées dans les données afin de les injecter dans les processus d'intégration. Après Informatica, qui livre désormais la version 8.6 de sa plateforme avec ce type de fonctions fournies alors qu'elles restaient jusque-là en option, c'est au tour du français Talend de les proposer. Il ajoute des fonctions de CDC à son offre de services avancés, Talend Integration Suite 2.4. Rappelons que cette offre, destinée aux grandes et moyennes entreprises, vient compléter la solution d'intégration Open Studio, développée par Talend en Open Source sous licence GPL, et gratuitement téléchargeable. Un connecteur pour MaxDB La version 2.4 de Talend Integration Suite apporte aussi l'analyse automatique des dépendances de métadonnées et un nouveau mode de lookup sur les structures de données qui améliore les performances. Elle intègre aussi l'installation automatique de composants ou connecteurs (disponibles, notamment, sur le site communautaire Talend Ecosystem). Talend vient par ailleurs d'ajouter un connecteur d'intégration pour la base de données MaxDB de SAP à ses offres Open Studio et Talend On Demand. Cette dernière permet de stocker ses métadonnées sur un référentiel sécurisé accessible en ligne pour permettre une collaboration entre des équipes distantes. (...)

(10/06/2008 17:47:56)

Tibco Spotfire intègre l'analyse de données dans les processus métiers

Quand au printemps 2007 l'éditeur américain Tibco, spécialiste de la gestion des processus métiers (BPM) et de l'intégration entre applications, annonce qu'il rachète les outils décisionnels de Spotfire, on comprend tout de suite où il veut en venir. Insérer, au coeur des processus métiers, les outils qui fourniront une vue contextuelle sur les données opérationnelles, avec l'ambition de les analyser afin de prendre rapidement les mesures correctives qui s'imposent.

Un an après, le rapprochement a été réalisé entre ces solutions de gestion des processus métiers (mais aussi de supervision des activités métiers -BAM- et de gestion des règles métiers -BRM) et l'application décisionnelle de Spotfire, ce dernier étant désormais une division indépendante de Tibco. L'offre s'appelle Tibco Spotfire Operation Analytics. Tout juste livrée, elle n'a pas encore été déployée sur le terrain. Elle s'adresse tout particulièrement aux industriels qui s'appuient sur des processus Six Sigma. Mais, plus généralement, elle vise toutes les entreprises qui ont besoin d'agir en temps réel, en réaction à des événements signalés par leur système d'information. L'outil leur permet en particulier d'analyser d'importants volumes de données. Rappelons que l'offre décisionnelle de Spotfire présente l'intérêt d'analyser les données directement en mémoire, aptitude qu'elle couple avec des capacités avancées de visualisation graphique.

Challenge : faire connaître Tibco Spotfire au-delà du BPM


Roger Oberg, vice président marketing, responsable de la stratégie produits de Tibco Spotfire, et Brad Hopper, senior directeur des applications industrielles, venus début juin présenter l'offre en France, énumèrent comme utilisateurs potentiels, outre l'industrie, le monde de la finance, les opérateurs de télécoms ou encore le secteur gaz/pétrole.

Lors de la mise en place d'Operation Analytics, ce sont les responsables métier qui déterminent à quelles applications l'outil d'analyse doit accéder -en milieu industriel, notamment, les systèmes de gestion des processus de fabrication (MES)- et quelles informations sont susceptibles d'être requises pour l'analyse. Une interface adaptée leur permet de récupérer les données (dans des bases JDBC/OCBC ou par l'intermédiaire de connecteurs spécifiques), à partir de la couche de méta-données Information Services.

« Les solutions de BPM et décisionnelle de Tibco présentent effectivement de bonnes complémentarités », remarque Jean-Michel Franco, directeur des offres internationales chez Business & Décision, qui cite les fonctions de visualisation intéressantes de Spotfire. « Mais cela renforce aussi le caractère très spécialisé de la solution. Le challenge, pour Tibco, sera de faire connaître l'offre Spotfire au-delà du marché du BPM. » Il rappelle aussi l'existence d'applications apportant des réponses approchantes, du côté des spécialistes de la gestion de production, avec des produits venant de fournisseurs de MES (comme Invensys, OSISoft et Siemens), de SAP (avec xMII), ou encore d'acteurs spécialisés comme Pertinence.

Interrogé sur ce point, Brad Hopper, senior directeur des applications industrielles de Spotfire, souligne que les informations fournies par les éditeurs de MES se présentent généralement sous la forme de rapports statiques. « Elles ne fournissent pas le contexte et, surtout, ne permettent pas de faire apparaître les relations existant entre les différents types de données, en particulier celles qui sont gérées dans d'autres applications. » Pour lui, Tibco Spotfire Operation Analytics constitue plutôt un complément intéressant à ces systèmes. Une direction que vient conforter des pourparlers de partenariats OEM avec des fournisseurs de MES, confie-t-il. (...)

(10/06/2008 13:39:51)

SOA : Sun met du MDM et du CEP dans sa suite Java Caps

La plateforme de Sun pour les architectures orientées services (SOA) passe en version 6. A cette occasion, Java Caps (pour Composite application platform suite) s'enrichit d'une suite de gestion des données de référence (MDM, master data management) et d'un moteur de corrélation des événements (technologie généralement désignée par CEP, pour complex event processing, et que Sun nomme IEP, pour intelligent event processor). La suite de MDM constitue un sous-ensemble de la suite Java Caps : elle peut être souscrite indépendamment. Il ne s'agit, précise Xavier Gérard, responsable de l'offre SOA chez Sun France, « ni d'un rachat ni d'un partenariat, mais d'un développement interne ». La suite s'appuie tout de même sur un composant hérité de SeeBeyond pour l'extraction et le chargement de données. Sun lui a ajouté « des couches d'orchestration, pour collecter et propager les données de référence, des fonctions de qualité et de nettoyage des données, mais aussi une vue unique des clients, à l'aide d'un moteur de 'matching' qui permet de retrouver le nom de quelqu'un en temps réel ». Ce dernier élément, précise Xavier Gérard, est en production en Grande-Bretagne, dans le cadre du projet de gestion de la santé : « cela concerne 60 millions de patients, pour un temps de réponse inférieur à la seconde ». Du BAM à la gestion des événements complexes L'IEP est quant à lui une évolution du module de BAM (Business activity monitoring, supervision de l'activité métier) de Java Caps. Le premier rôle d'un outil de BAM est d'établir un tableau de bord regardant le fonctionnement d'une application. Mais la multiplication des événements à superviser impose un certain automatisme, tant pour corréler ces événements que pour prendre des décisions en fonction de leur occurrence. [[page]]C'est le rôle des outils de type CEP, qui surveillent les événements, et peuvent aussi bien envoyer des alertes que lancer des processus. IBM, Oracle, BEA, Tibco ou Progress ont tous déjà inclus des offres de CEP dans leurs solutions SOA. Sun dit s'être « dans un premier temps concentré sur les performances du moteur ». Glassfish et OpenESB comme briques de base Cette version 6 de Java Caps démontre aussi clairement la façon dont Sun infuse ses technologies et ses standards dans la suite héritée de SeeBeyond, pourtant « la première certifiée J2EE en 2003 », comme le rappelle Xavier Gérard. Pour son exécution, Java Caps repose en effet sur deux éléments majeurs réalisés par Sun en Open Source : le serveur d'applications Glassfish et le bus de services d'entreprise Open ESB. Ce dernier marque aussi l'apparition de JBI (Java Business Integration) dans Java Caps, un protocole présenté en 2005 au moment du rachat de SeeBeyond, et implémenté depuis dans plusieurs ESB Open Source. Pour Xavier Gérard, l'arrivée de JBI ne devrait pas perturber les développeurs. « Cela offre simplement une flexibilité supplémentaire, dit-il, et cela répond à une volonté de standardiser encore plus les solutions. » L'ensemble de l'offre n'est toujours pas gratuite ; la vision du patron de Sun, Jonathan Schwartz, mettra un certain temps à s'accomplir. Plusieurs éléments sont toutefois disponibles d'ores et déjà en Open Source, et Sun a lancé, pour soutenir son offre de MDM, une nouvelle communauté d'utilisateurs et de développeurs, Mural. (...)

(10/06/2008 12:21:33)

Index Freelance.com : la demande en administrateurs confirmés sur AIX, Unix et Websphere reste soutenue

L'index Freelance.com des compétences recherchées est marqué cette semaine par le retour des spécialistes de DB2, la bases de données d'IBM. Dans cette catégorie, les analystes programmeurs représentent deux tiers de la demande. Les compétences XML font par ailleurs leur entrée à la huitième place du palmarès, avec une recherche orientée en grande majorité vers des développeurs. En tête du classement, Unix, Oracle et SAP campent, sans surprise, sur les mêmes positions depuis plusieurs semaines. Les spécialités les plus recherchées sont les administrateurs Unix et AIX (l'Unix d'IBM). Les candidats devront être confirmés et maîtriser Websphere Application Server (WAS). Des profils ayant une expérience significative du pilotage et du tuning des systèmes AIX/Unix, ainsi que des candidats expérimentés dans la mise en oeuvre de Websphere Extended Deployment (XD) et dans la gestion et la mise en oeuvre d'AIX sont également demandés. Applications sous Oracle, connaissance de VBA et d'OWB Sur Oracle, les préférences des recruteurs vont aux administrateurs des bases de données (DBA). Il s'agit de profils confirmés, certifiés (Oracle) et connaissant VBA (Visual Basic for Applications). Leur mission pourra consister à optimiser et renforcer le mode de fonctionnement d'une application développée sous Oracle (aspects fonctionnels et techniques), auditer l'architecture et analyser le système de gestion des utilisateurs et des habilitations. Les offres des recruteurs concernent aussi des administrateurs ayant suivi les formations d'Oracle et ceux qui maîtrisent l'ETL OWB (Oracle Warehouse Builder). Enfin, sur Java /J2EE, les connaissances techniques exigées concernent, outre ces deux langages et les frameworks associés, C#, PHP, HTML Unix, Linux, et Windows. Méthodologie les pourcentages indiquent la proportion des offres nécessitant la spécialité ou la compétence donnée dans l'ensemble des offres à pourvoir. Panel représentatif des 478 offres de projets informatiques disponibles au 9 juin 2008. (...)

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