Flux RSS
Architecture logicielle

2077 documents trouvés, affichage des résultats 1591 à 1600.
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |
(07/02/2007 18:14:00)
Microsoft TechDays 2007 : records battus
Jusqu'alors, plusieurs événements francophones étaient éparpillés tout au long de l'année : les Developer Days, le Forum Architectes, les Journées Microsoft de la Sécurité Informatique, les Journées Académiques Microsoft Research et les Student Days. Si les développeurs avaient leur conférence française, les responsables informatiques et réseau devaient se tourner vers le Tech Ed européen. L'idée de rassembler ces différentes populations, à l'image du Tech Ed, a donc germé chez Microsoft France. Huit mois de préparation, 400 personnes mobilisées pour l'organisation, la logistique et le contenu, 74 partenaires, 21 communautés, 130 exposants : c'est une grande première pour Microsoft France. Avec 230 sessions thématiques, 14 ateliers techniques, 100 laboratoires de prise en main, 1 tonne de mandarines, les TechDays 2007 s'annonçaient comme le plus gros événement technique jamais organisé par Microsoft France. Avec 13 500 inscrits, 4 500 entrées le premier jour et 4 600 entrées le second jour, c'est environ 12 000 visiteurs sur les trois jours (dont 8 000 visiteurs uniques) que Microsoft comptabilise. Un succès qui n'a d'égal que le Tech Ed européen. La proximité, la gratuité, la qualité du contenu sont sans doute les raisons de cet engouement. La salle du Palais de Congrès remplie avec 3 000 participants pour la séance plénière du lundi, c'était effectivement impressionnant. Revers du succès, il était très difficile de trouver une place aux sessions techniques, même pour la presse. Et avec jusqu'à 19 sessions simultanées, les choix devenaient souvent cornéliens. Quelques défauts de jeunesse que devrait corriger Microsoft pour la prochaine édition. La première journée était dédiée aux développeurs. La séance plénière dressait un aperçu des contenus traités dans les sessions. Pas de grande annonce pour cette édition, le lancement tout récent de Windows Vista et d'Office 2007 a dû monopoliser les ressources Microsoft. Au chapitre des nouveautés, on pouvait voir enfin des bêtas d'Orcas, la future version de Visual Studio, d'Expression Blend, l'éditeur d'interfaces riches en XAML destiné aux designers, et de WPF/E, le client riche multiplateforme. Très peu de slides, beaucoup de démos, quelques plantages, une présentation plutôt dynamique qui a permis de balayer le champ d'applications : développement pour Vista, avec Office 2007, applications internet riche avec Microsoft Ajax et WPF, nouveaux accès aux données, roadmap des produits. La deuxième journée était un mélange développeurs/responsables IT. La séance plénière était axée sur l'innovation et les grands axes d'orientation de Microsoft dans ce domaine avec des démonstrations des travaux en cours et des projets de Microsoft Research. Une présentation très prospective qui sera approfondie lors de la conférence de presse sur l'horizon 2020. Pour les absents, toutes les sessions seront webcastées sur le site des TechDays 2007. (...)
(05/02/2007 23:00:23)Les TechDays de Microsoft France égalent le TechEd paneuropéen
Avec 4000 participants environ à la première journée de ses TechDays 2007, Microsoft France fait sans complexe jeu égal avec les événements européens, TechEd et ITForum. Débutée lundi matin, la conférence utilisateurs se déroulera au Palais des Congrès de Paris jusqu'à mercredi soir. Plus de 200 sessions sont proposées, dans leur immense majorité en français. C'est la première fois que Microsoft France propose un événement d'une telle ampleur, de façon totalement gratuite. Un ancien de Microsoft France, croisé dans les couloirs, ironisait ainsi : « Pendant longtemps, Microsoft nous reprochait le fait qu'il y ait peu de Français au TechEd. Mais entre un événement gratuit et en français et un événement payant en anglais, il n'y a pas photo. D'ailleurs on voit le résultat : il y a eu 13 000 inscriptions ! » Côté contenu, si Vista est évidemment une des vedettes des sessions, sous plusieurs coutures (interface graphique WPF, nouvel outil de script PowerShell, sécurité, supervision...), l'événement cible tout utilisateur informaticien potentiel, du développeur à l'administrateur système, en passant par le spécialiste des réseaux, des progiciels ou des bases de données. Microsoft a répertorié les sujets en 21 thèmes. (...)
(02/02/2007 17:57:34)Clever Age inaugure la version 1.0 du convertisseur Open XML / ODF
"Pour la première fois, l'interopérabilité est vraiment sur la bonne voie", déclarait Bernard Oughanlian directeur technique de Microsoft France, fin novembre, à l'annonce de la date de sortie - initialement fixée au 26 janvier - du convertisseur Open XML / ODF. Avec quelques jours de retard, la société française Clever Age, chargée par Microsoft des travaux de développement -ainsi que la société Sonata Software - sort enfin la version 1.0 du module en Open Source. Pour mémoire, le traducteur Open XML / ODF doit permettre la sauvegarde ainsi que la lecture des fichiers au format OpenDocument - ODF, considéré comme le grand rival d'Open XML -depuis Office, mais offre également la possibilité d'être intégré à des produits supportant nativement ODF. C'est notamment le cas de Novell qui a décidé de l'intégrer à sa prochaine mouture d'OpenOffice. "La version 1.0 est bien un traducteur bidirectionnel", confirme Olivier Durand, chef du projet chez Clever Age. "Le processus d'intégration à des solutions hors Office est notamment réalisable à travers une déclinaison du traducteur en ligne de commande, utilisable en version stand-alone", ajoute Marc Gardette, responsable Stratégie chez Microsoft. Cette première version sera limitée à Word XP, 2003 et 2007 et reste, pour l'heure, traduite en français, anglais, polonais et hollandais. Devrait suivre une version 1.1, "toujours limitée à Word qui corrigera les bogues de la 1.0 et compilera les retours des utilisateurs, explique Olivier Durand. Avant une future version fin 2007 qui étendra le traducteur à Excel et PowerPoint". Si Microsoft se félicite de la sortie du "Open XML Translator", le géant américain prévient également qu'il ne s'agit pourtant que d'un convertisseur. "Cela symbolise la reconnaissance d'une stratégie de deux chemins de formats de documents Open XML et ODF, reconnaît Marc Gardette, et apporte à Office une plus grande variété de formats. Toutefois, un traducteur n'est pas miraculeux", nuance-t-il, tout en rappelant qu'Open XML, à l'inverse d'ODF, conserve une longueur d'avance sur l'interopérabilité avec les systèmes d'information -à l'image de Duet. En clair, toutes les caractéristiques d'Open XML ne pourront pas être traduites en ODF. (...)
(02/02/2007 14:32:59)EnterpriseDB vient mordre les mollets d'Oracle en Europe
Editeur américain d'une base de données basée sur l'Open Source PostgreSQL, EnterpriseDB a décidé d'étendre ses activités à l'Europe, en ouvrant un bureau à Londres, un mois environ après avoir ouvert une antenne à Hong Kong. L'éditeur estime que 50% des téléchargements sont effectués depuis l'extérieur des Etats-Unis, alors que son chiffre d'affaires est encore réalisé à 85% sur le marché domestique. EnterpriseDB vise particulièrement les clients d'Oracle, en affirmant que sa base est compatible avec les trois quarts des applications développées pour les bases Oracle, et en proposant une tarification agressive, comparable à celle de MySQL. EnterpriseDB vient par ailleurs de faire évoluer son modèle économique. Souvent considéré - à tort - comme éditeur Open Source, l'entreprise était souvent sollicitée pour assurer le support de PostgreSQL. Elle a donc pris conscience qu'il existait là un potentiel commercial, et vient donc de proposer des formules de support, à partir de 1000 dollars par CPU et par an. (...)
(01/02/2007 16:42:07)Portes ouvertes dans les labos d'IBM
D'ici cinq ans, la traduction en temps réel, le monitoring médical sur un mobile via le Web ou la purification de l'eau grâce aux nanotechnologies seront des technologies disponibles, estime IBM, qui a ouvert hier les portes de sa R&D. Plus précisément le Silicon Valley Lab de San Jose (en Californie), où étaient invités des analystes, des journalistes et des partenaires. George Pohle, d'IBM Global Services, qui conduisait la visite, a ainsi fait la démonstration d'un logiciel de traduction automatique, à l'essai en ce moment au sein des forces américaines en Irak. George Pohle a dicté une phrase en anglais, qui s'est inscrite sur l'écran, a été transformée en texte arabe... mais n'a pu être lue, la faute à un bug. Le marché visé est celui des collaborations longue distance au sein des multinationales. Parmi les autres innovations informatiques envisagées par IBM dans les cinq ans à venir, George Pohle voit se développer un Internet en 3D. Un touriste pourrait ainsi visiter une modélisation 3D de la Cité Interdite, explique-t-il. On peut aussi imaginer un client dans un magasin en 3D. Les chercheurs d'IBM travaillent également aux « technologies de présence », nées de l'union entre les téléphones mobiles et le GPS. Un passant pourrait ainsi recevoir sur son portable un message vantant un produit ou une promotion venant d'une boutique à proximité, ou bien un visiteur de musée pourrait obtenir des informations sur un tableau qu'il regarde. Un déploiement de services d'entreprises en quelques heures au lieu de quelques mois Plus proche des préoccupations actuelles, IBM a également fait état de ses avancées en matière de SOA (architectures orientées services), de Web 2.0 et de réseaux sociaux. En SOA, Willy Chiu, vice-président de la banche Software d'IBM, a parlé de la technologie « request driven provisioning », qui automatise le déploiement de services métier en fonction des besoins des utilisateurs. Pour Willy Chiu, grâce à cette technologie, « ce qui aurait pris des mois à installer prend maintenant quelques heures ». Ce service sera adapté à l'ensemble des lignes d'IBM Software. IBM a aussi dévoilé Sonoma (successeur d'Opera, On Demand Performance Advisor), un outil de planification de ressources pour dimensionner un système en prévision de la mise en place de SOA. L'outil sera disponible sous forme de service hébergé. Dans l'espace Web 2.0, IBM élabore Information Factory, un portail destiné à organiser la discussion avec des clients (à l'aide de wikis, blogs, etc.). Koala veut aider les utilisateurs non-informaticiens à mettre en place des processus collaboratifs sur le Web. Fringe a pour but de transformer l'annuaire d'entreprise interne en outil de réseau social. QEDwiki (quick and easily done wiki : wiki réalisé simplement et rapidement) vise également les non-informaticiens, pour leur permettre de réaliser des « mashups », services agrégeant des données et des services disponibles sur le Web comme au sein de l'entreprise. Mashups for the Enterprise, qui est une version plus professionnelle du précédent. (...)
(25/01/2007 15:54:19)Première exhibition publique de la méthodologie SOA Praxeme
Praxeme, méthodologie publique pour réformer un système d'information selon les préceptes des architectures orientées services (SOA), a passé un cap mardi avec sa première présentation publique. Une vingtaine de participants, représentants d'entreprise de toute taille, mais aussi du secteur public (administration, armée), avaient payé 1450 E HT pour une journée au contenu extrêmement dense. Praxeme est la première initiative destinée à offrir un cadre de réflexion global pour la mise en oeuvre des SOA, en-dehors bien sûr des différentes méthodes propriétaires proposées par tel ou tel cabinet. Chaque cabinet ou SSII a en effet élaboré une méthode, ce qui peut poser souci lorsqu'un client fait travailler plusieurs intervenants. En outre, Praxeme va plus loin qu'une simple méthode technique, puisqu'elle analyse en profondeur le modèle conceptuel, logique, ainsi que le modèle organisationnel de la DSI. L'objectif des promoteurs de Praxeme, qui se sont réunis en association Loi 1901, est justement d'aller au-delà de cet aspect propriétaire, en échafaudant un cadre adaptable aux différentes situations, donc utilisable par tous. « La première qualité d'une méthode, c'est d'être partagée », a insisté Dominique Vauquier, principal concepteur de la méthodologie. Un participant remarquait toutefois en privé que si les concepts de Praxeme étaient intéressants, le nombre et la variété des profils impliqués risquaient de la rendre impraticable hors d'un grand compte. Suite au succès de cette première manifestation, la journée devrait être rééditée courant juin. De son côté, l'Adeli, association pour la maîtrise des systèmes d'information, prévoit une rencontre « autour d'un verre » le 12 février consacrée à Praxeme. (...)
(16/01/2007 16:56:31)BEA fait converger ses clients français au Cnit
BEA a invité aujourd'hui, mardi 16 janvier au Cnit de Paris La Défense, ses clients et partenaires français à venir partager leur vision de la SOA : approches métiers et exemples concrets d'architectures orientées services ont de fait émaillé la conférence d'ouverture. Malhar Kamdar, vice-président consulting Emea de BEA, a ainsi illustré ses propos avec ses dernières interventions dans de grandes entreprises, soulignant que selon les besoins et les approches, la solution a pu être « top-down », partant d'une volonté stratégique de la direction générale, comme « bottom-up », partant des initiatives des départements informatiques. Malhar a plus particulièrement mis l'accent sur la nécessité de la gouvernance de la SOA, « afin d'éviter de recréer un environnement de nature chaotique ». Bernard Dubs et Christophe Toulemonde, du cabinet BIT Group, ont de leur côté détaillé leur vision de l'évolution des systèmes d'information, à l'aide du classique schéma montrant le passage d'une architecture de silos à une architecture matricielle, puis à une architecture en réseau (des composants autonomes, reliés par un couplage lâche), dite ici « à géométrie variable », où il s'agit de « reconfigurer les briques du puzzle ». « Un projet de long terme dont il faut démontrer les bénéfices à court terme » Plus original, mais au risque d'ajouter encore de la confusion, Christophe Toulemonde a expliqué qu'il opérait un distinguo entre SOA et SOA, c'est-à-dire entre l'architecture orientée services et l'approche orientée services. La première reste du domaine des informaticiens, tandis que la seconde vise à impliquer les directions métier des entreprises, voire à réorganiser l'entreprise. « Il faut bien comprendre que c'est un projet stratégique d'entreprise, de long terme », a-t-il rappelé. Le problème consistant à « démontrer les bénéfices à court terme ». Pour cela, il faut choisir des bons projets candidats, « qui ont de vrais besoins métier ». L'ex-analyste du MetaGroup n'a pas donné de projet type, mais a prévenu : « ne cherchez pas à refaire la paie en SOA, cela n'aurait aucun sens ! » On peut mentionner encore quelques conseils de clients invités à témoigner. Brian Nolan, CIO de Completel, a ainsi invité les gens à privilégier le côté générique des applications, indispensable pour pouvoir réutiliser ses développements. Pour cela, il faut impliquer les autres équipes de l'entreprise, pas seulement informatiques, afin de bien définir les besoins, a-t-il indiqué. De son côté, Paul Cohen-Scali a mentionné le projet chez Bouygues Telecom, dont il est directeur du pôle clients et Internet. Chez l'opérateur, le projet est venu de l'informatique, il s'agissait de piloter de façon plus simple la gestion de la relation client. Paul Cohen-Scali a souligné les progrès réalisés dans le domaine des standards, l'outillage et « la facilité de mise en oeuvre des services Web ». Tout en reconnaissant que lorsque ces derniers ne peuvent tenir la charge, Bouygues Telecom recourt à d'autres solutions, de type Tuxedo. Le bon vieux moniteur transactionnel de BEA. (...)
(15/01/2007 12:43:22)IBM ouvre ses premiers centres d'expertise SOA
Les clients ont exprimé leur besoin d'apprentissage et de formation en matière d'architectures orientées services (SOA), et IBM les a entendus, dit ce dernier : c'est en réponse à cette demande que la firme a prévu d'ouvrir 8 centres dans le monde, dits « SOA Leadership Center ». Le premier doit ouvrir aujourd'hui à Dubai. Jason Weisser, vice-président et responsable technique pour l'offre SOA d'IBM, explique que le rôle de ces centres sera de mettre à la disposition des clients des équipes prêtes à monter des prototypes personnalisés, afin de démontrer l'efficacité du modèle d'organisation informatique prôné par la SOA. Les centres devront également travailler avec les établissements universitaires locaux afin de les aider à monter des cours sur le développement de type SOA. L'espoir d'IBM est de faire monter le niveau de compétence autour de ces centres afin que les entreprises aient à disposition des experts SOA locaux. Le centre de Dubai est ouvert en collaboration avec le gouvernement de Dubai, les Emirats Arabes Unis et l'Arabie Saoudite. L'inauguration officielle aura lieu en mars. Le centre devrait employer 26 personnes, la moitié venant d'IBM, l'autre moitié de ses partenaires. Un centre devrait suivre en France, à La Gaude, et le gouvernement japonais a pris contact avec IBM pour en ouvrir un au Japon (en partenariat avec Nissan, Toyota et Honda) ce printemps. Les suivants ouvriront ensuite au Brésil, en Australie, en Chine (un à Pékin et un autre à Shanghai) et enfin en Europe de l'Est. (...)
< Les 10 documents précédents | Les 10 documents suivants > |