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(11/01/2007 17:40:45)

Les administrateurs Oracle brimés par des capacités de stockage à la traîne

Si les applications ont des problèmes de performances, c'est parce que les bases de données manquent de ressources de stockage, dénoncent les administrateurs Oracle, dans la dernière étude de l'IOUG. Groupe d'utilisateurs indépendant d'Oracle, l'IOUG (Independent Oracle Users Group, qui compte plus de 20 000 membres dans le monde) a mené l'enquête parmi ses membres en septembre dernier, avec le soutien de Symantec (pour le sponsoring) et d'Unisphere Research (pour la logistique), sur les liens entre les responsables des bases de données (DBA) et les responsables du stockage. Ont répondu à cette enquête 366 personnes, principalement des administrateurs systèmes ou bases de données. Tous ou presque (92%) anticipent des besoins de stockage en hausse en 2007. Côté données structurées, 20% pensent même que ces besoins dépasseront de 50% leurs ressources actuelles. Côté stockage de données non structurées (emails, vidéos...), les besoins sont similaires : 17% anticipent une hausse supérieure ou égale à 50%. Sachant que pour ce type de données, 19% des répondants s'avouent incapables d'anticiper la hausse (contre 3% pour les données structurées). Les raisons de l'augmentation des besoins sont assez variées (davantage de transactions, connexion de davantage de périphériques individuels, besoin de conservation de données à des fins de conformité aux réglementations...). Et souvent mal maîtrisées : 16% disent ne pas être sûrs des raisons de cette augmentation. Un impact sur les performances, la disponibilité et les délais Seule certitude, les besoins de stockage vont augmenter. Déjà, 31% des répondants déclarent gérer des bases supérieures au téraoctet, alors qu'ils n'étaient que 13% au début de l'année. Et 57% indiquent que la croissance de leur base a dépassé les ressources disponibles (6% souvent, 51% occasionnellement). 60% accusent ces problèmes de capacité d'avoir impacté négativement les performances de la base de données (10% de façon significative, 50% d'une manière ou d'une autre), 46% parlent même de problèmes de disponibilité (8% de façon significative), et 43% disent que, au cours des deux années précédentes, cela a pu reculer dans le temps le déploiement des nouvelles applications (7% de façon significative). Le problème semble avoir deux origines, note l'étude. Il y a d'une part un aspect technique. Notamment un manque d'équipements de supervision permettant d'agir de façon proactive sur les ressources (à noter que Symantec est justement le nouveau propriétaire de Veritas). Ari Kaplan, président de l'IOUG, souligne aussi la nécessaire adaptation des outils de sauvegarde : « plus vous ajoutez des capacités de stockage, plus la sauvegarde prend du temps, vous ne pouvez pas vous contenter de moyens traditionnels, il faut aller vers de nouvelles méthodes, avec lesquelles les DBA ne sont peut-être pas familiarisés. » D'autre part, il s'agirait d'un problème d'organisation et de management. Les responsables de bases de données interviewés indiquent que le dialogue avec les responsables des systèmes de stockage est essentiel. L'étude révèle que 11% des répondants jouent un rôle direct dans l'acquisition des systèmes de stockage, tandis qu'un gros tiers dispose d'un rôle consultatif. Dans le premier cas, les retards dans le déploiement des nouveaux projets est un peu moins fréquent (43% des cas) que dans le second cas (51% des cas). Le dialogue est donc bon en apparence, mais cela cache d'importantes disparités, commente Ari Kaplan. « Dans les entreprises les plus grandes, dit-il, celles qui ont donc les besoins les plus importants, les DBA émettent des recommandations mais ne sont pas directement impliqués dans la prise de décision. » La solution pour eux, « en termes de carrière, mais aussi de bénéfices pour l'entreprise » est donc de « passer d'un rôle de spécialiste de l'optimisation à celle d'un architecte en infrastructure ». Ces nouveaux DBA permettront peut-être de résoudre une troisième problématique résumée par Ari Kaplan : « les besoins de stockage croissent plus vite que les revenus des entreprises ».

(...)

(10/01/2007 12:44:23)

Annuels Progress Software : les bénéfices s'effondrent

Résultats 2006 Chiffre d'affaires : 447 M$ (+10%) Bénéfice net : 29,4 M$ (-36%) Après avoir signé un quatrième trimestre ayant vu les revenus progresser de 13%, à 122M$ - dont 49,4 M$ issus de la vente de licences -, et le bénéfice net s'effondrer de 49%, à 9,5M$, Progress Software publie ses résultats pour l'exercice 2006. Le chiffre d'affaires réalise une confortable croissance de 10% sur un an, et atteint 447 M$. L'évolution des profits n'est, en revanche, guère reluisante. Le revenu d'exploitation recule en effet de 32%, à 40,9 M$, et les bénéfices net s'effondrent de 36% pour s'aligner à 29,4 M$. Même constat en ce qui concerne le bénéfice par action : il chute de 39% par rapport à 2005, à 68 cents. Didier Mama, le directeur général France et Europe du Sud, se félicite néanmoins d'avoir réalisé une « importante croissance à deux chiffres, grâce notamment aux divisions OpenEdge et Sonic, avec une forte accélération des projets SOA et d'intégration au quatrième trimestre ». Rappelons que Progress a procédé aux acquisitions d'OpenAccess et d'Actional au cours de l'exercice. Pour l'année fiscale 2007, le groupe prévoit un chiffre d'affaires compris entre 465 et 475 M$, soit une progression - plus faible qu'en 2006 - de 4 à 6%. Il envisage par ailleurs de porter le bénéfice par action au-delà du cap d'1 $. (...)

(21/12/2006 17:14:40)

Les sénateurs refusent de soutenir les éditeurs de jeux vidéo

L'industrie française du jeu vidéo se lamente depuis le rejet par le Sénat d'un amendement à la loi de finance 2007 qui prévoyait l'octroi un crédit d'impôt pour les éditeurs. Une mesure qui équivaut à "faire courir un marathon avec un sac à dos de quarante kilos", déplore Guillaume de Fondaumière, le président de l'Apom (association des producteurs d'oeuvres multimédia), par ailleurs directeur général de Quantic Dream. Selon lui, les 20% de crédit d'impôts (sur la partie artistique, ce qui exclut donc les coûts inhérents à la R&D) qu'aurait permis l'amendement étaient indispensables à la pérennité de l'édition française des jeux vidéos, sévèrement concurrencée par de nombreux pays bénéficiant déjà d'aides. Ainsi, "au Québec, les producteurs reçoivent automatiquement un crédit d'impôts de 37,7% sur la totalité de leur production ainsi que des aides fédérales. Ce qui leur permet de diviser par deux les coûts de conception". De fait, plaide Guillaume de Fondaumière, les effectifs des studios français ne cessent de diminuer : de 12 000 en 1995, ils seraient moins de 2000 aujourd'hui à travailler dans l'industrie vidéoludique. Dans le même temps, les revenus du jeu vidéo s'envolent - ils dépassent désormais ceux du cinéma - tout comme le nombre de salariés dans le monde. Le président de l'Apom est d'autant plus déçu qu'un accord semblait avoir été trouvé avec le gouvernement pour la mise en oeuvre d'un crédit d'impôts. "Une demande formelle avait été adressée à Bruxelles pour obtenir l'aval de la Commission de la concurrence. Il n'y avait pas d'objection à notre requête et l'accord devait intervenir dans les six prochains mois au maximum. En parallèle, le législateur français devait intégrer dans la loi de finances 2007 le crédit d'impôts ce qui permettait d'en faire bénéficier les éditeurs dès l'accord européen". Au lieu de ça, 184 sénateurs se sont opposés à l'amendement, contre 122 qui le soutenaient. Si une partie du gouvernement était favorable au texte, "il semblerait que ce soit Jean-François Copé [le ministre délégué au Budget, NDLR] qui ait décidé de faire en sorte que la mesure ne soit pas adoptée, explique Guillaume de Fondaumière. Deux arguments seraient avancés par Bercy pour justifier le rejet du crédit d'impôts : il ne profiterait qu'à un petit nombre d'entreprises et créerait une nouvelle niche fiscale, insupportable pour le budget de l'Etat. Deux arguments fallacieux, rétorque le président de l'Apom : "la mesure profiterait à 60% des développeurs français de jeux vidéos et ne coûterait que 15 ME par an, pas de quoi déséquilibrer le budget de la France". "Il faut savoir si on veut garder en France des emplois hautement qualifiés, des bac +5 ou +8, conclut Guillaume de Fondaumière. Si la réponse est oui, alors il faut aider le jeu vidéo. Si on préfère se spécialiser dans le textile ou l'extraction minière, il n'y a effectivement aucune nécessité à soutenir l'industrie vidéoludique". (...)

(20/12/2006 18:08:28)

Des patterns pour la SOA

La SOA, c'est l'agilité de l'entreprise. Un des moyens d'y parvenir est d'identifier les composants métier du coeur de métier. Un fois ces composants métier identifiés, les processus métier et les services associés à ces processus métier peuvent être identifiés et spécifiés. Une fois ces processus métier et ces services identifiés, la décomposition du processus métier révèle quels services logiciels réutilisables sont nécessaires pour approvisionner ces processus métier et ces services. D'un point de vue informatique, ces services peuvent être modélisés comme des cas d'utilisation et les exigences fonctionnelles et non-fonctionnelles peuvent être tracées (dans un outil comme Rational Rose Requisite Pro). Comment peut-on gérer la complexité d'un tel environnement ? En particulier, comment peut-on construire ces services pour s'assurer que les exigences non-fonctionnelles de ces services soient satisfaites ? Les design patterns sont un des moyens de gérer cette complexité. Les patterns sont une solution reproductible à un problème dans un contexte donné, et sont typiquement décrits par une spécification du pattern. Certains sites se sont spécialisés dans les patterns pour SOA. Dr. Eoin Lane, Senior Solution Engineer chez IBM, maintient le blog Building SOA applications with patternssur le site de developerWorks d'IBM. On y trouve de nombreux articles sur l'architecture SOA et les patterns, et des exemples complets de patterns. Arnon Rotem-Gal-Oz, responsable développement dans une société israélienne, est en train d'écrire un livre, « The SOA Patterns book ». Sur son blog, SOA patterns a Anti-Patterns, il dévoile l'avancée de son ouvrage et livre les drafts de quelques chapitres. Le blog Patterns for Service-Oriented Architectures suit l'actualité des patterns SOA. On y trouve un catalogue de patterns SOA, des liens vers des entrepôts de patterns, un glossaire en cours, des liens, etc. (...)

(20/12/2006 18:07:52)

Compuware OptimalJ 4.2 adopte Eclipse

Compuware lance la version 4.2 d'OptimalJ, sa suite de développement pilotée par les modèles (MDA, Model driven architecture). OptimalJ 4.2 permet, à partir de modèles d'architecture, de générer le code d'une application d'entreprise. Il combine des méta-modèles et des transformations, packagés comme des usines de développement logiciel et distribués à travers toute l'équipe de développement. L'objectif est d'automatiser le développement de logiciel en coordonnant les modèles de conception et les transformations pour se conformer aux architectures techniques d'implémentation. La version 4.2 d'OptimalJ marque l'adoption généralisée de la plate-forme Eclipse pour toutes les éditions, que ce soit la Professional Edition ou l'Architecture Edition, apportant un haut degré de flexibilité pour les développeurs qui peuvent ainsi bénéficier de tout l'arsenal de plug-in Eclipse. Compuware est un membre stratégique de la fondation Eclipse. OptimalJ 4.2 apporte également de nouvelles « perspectives » - au sens Eclipse du terme - pour la conception des méta-modèles et des transformations qui pourront être utilisées pour créer et personnaliser de nouveaux méta-modèles ou de nouveaux mécanismes de transformations, permettant ainsi de personnaliser entièrement son usine de développement. (...)

(20/12/2006 18:07:06)

Firefox 3.0 Alpha disponible pour les développeurs

La fondation Mozilla a annoncé la disponibilité de la première version publique de Firefox 3.0, nom de code « Gran Paradiso ». Cette version Alpha 1 est avant tout destinée aux testeurs et aux développeurs, elle n'intègre aucune nouvelle fonctionnalité au niveau de l'interface utilisateur. Gran Paradiso Alpha 1 est la première version à utiliser la branche 1.9 du moteur de rendu Gecko (Firefox 2.0 utilise la branche Gecko 1.8). Gecko 1.9 apporte de nombreuses nouvelles fonctionnalités. Le rendu graphique utilise désormais Cairo, une bibliothèque graphique Open Source, écrite en langage C. Développé à l'origine par Keith Packard et Carl Worth pour X Window, Cairo est basé sur une API de rendu vectoriel indépendante du matériel et est disponible pour différentes cibles : xlib (X Window), Win32 (Windows), Quartz (Mac OS/X), glitz (OpenGL), etc. On peut le comparer aux systèmes Quartz 2D d'Apple ou WPF de Vista. Cairo est très populaire dans le monde Open Source, il est par exemple intégré au toolkit GTK et à l'environnement GNOME. Capable d'exploiter les accélérations matérielles, Cairo améliore les performances et la qualité du rendu, et facilite la maintenance du code source. Parmi les autres nouveautés, notons un nouveau modèle de threading, un changement dans le traitement des événements DOM, le support amélioré de SVG. Les widgets Cocoa sont maintenant utilisés sur les builds OS X. Les plates-formes Windows 95, Windows 98, Windows ME, Mac OS/X 10.2 ne sont plus supportées. Si la version Alpha 1 disponible au public ne passe pas encore le test Acid 2, un cas de test CSS développé par le Web Standard Project pour détecter les erreurs CSS, il semblerait que les dernières nightly builds passent ce test avec succès, comme le rapporte cet article de ars technica : A first look at Firefox 3.0. La version finale de Firefox 3.0 était attendue pour le printemps 2007. La feuille de route actuelle ne mentionne plus de date. (...)

(20/12/2006 17:43:13)

Microsoft publie un premier brouillon des API de PatchGuard

Microsoft vient de publier le premier brouillon des interfaces de programmation (API) pour PatchGuard, la solution protégeant le noyau de Vista dans sa version 64 bits. Les éditeurs de logiciels de sécurité sont appelés à tester et commenter ce premier brouillon à d'ici la fin du mois de janvier. Cette annonce ne devrait cependant satisfaire qu'à moitié des éditeurs critiques à l'égard des choix de Microsoft pour la sécurité de Vista : en effet, la version définitive des API de PatchGuard n'est attendue que pour que le Service Pack 1 de Windows Vista qui ne devrait pas voir le jour avant... fin 2007 ou début 2008. Avec le premier brouillon des API de PatchGuard, Microsoft a commencé à diffuser un document baptisé Criteria Evaluation qui détaille les processus utilisés par le géant de Redmond pour évaluer les demandes d'API des éditeurs tiers pour le noyau de Vista. Microsoft souhaite aussi recevoir les commentaires des éditeurs sur ce document. L'ensemble de cette démarche se veut une réponse aux mécontentements des éditeurs de logiciels de sécurité et de Bruxelles, à l'égard des dispositifs de protection du noyau de Vista. (...)

(20/12/2006 17:40:58)

Le projet de collecte pour accélérer Debian s'avère contre-productif

Trouble dans la communauté Debian. Le projet de financement Dunc-Tank, démarré le 19 septembre dernier, a fait en partie capoter la sortie de version 4 de Debian GNU /Linux, nom de code Etch, initialement fixée au 4 décembre. Dunc-Tank, premier projet du genre, visait à l'origine à collecter des fonds, sous forme de dons, pour accélérer les développements de Etch, et sortir la distribution selon le calendrier initial. L'argent collecté devait servir à payer deux développeurs senior (Release Manager - 6 000 $ chacun), Andreas Barth (en septembre) et Steve Langasek (en octobre), à plein temps pour tenir ainsi les délais. A l'époque, le projet avait divisé la communauté, déclenchant une véritable levée de bouclier de la part d'un groupe mené par Jörg Jaspert qui, dans une lettre ouverte publiée sur la mailing-list Debian, avait déclaré que Dunc-Tank ne ferait qu'engendrer le désintérêt pour Debian des développeurs non-rémunérés. Une attitude par ailleurs qualifiée d'"enfantine" par Andreas Barth sur son blog, tout en admettant que la raison du décalage d'Etch n'était pas seulement dûe au litige autour de Dunc-Tank. "Une énergie incroyable a été dissipée par le projet Dunc-Tank qu'Anthony Towns [le responsable du projet Debian, NDLR] a imposé malgré de fortes objections. Cela a entraîné une perte de temps dans les différentes discussions qui ont eu lieu. En réaction, certains développeurs ont pris du recul ou carrément quitté le projet, sentant qu'il était en train de changer et ne correspondait plus forcément à leurs idées. Ces développeurs n'étant, pour certains, pas des moins actifs, l'impact s'en est ressenti", commente Julien Blache, développeur Debian et futur président de l'association Debian France en cours de création. Pour autant, outre l'échec manifeste de Dunc-Tank , du moins "sur le critère de la sortie d'Etch", les raisons fondamentales du décalage sont d'ordre technique. Et Julien Blache de dresser un inventaire : "Nous avons environ 140 bugs à fixer dans Etch à l'heure actuelle, dont une partie est déjà corrigée et en attente de migration. Il nous faut encore une nouvelle version de l'installeur. La RC2 devrait, à priori, être la dernière RC avant la release". Cette dernière étant prévue au plus tard pour le début deuxième trimestre 2007. (...)

(20/12/2006 16:39:12)

Les promoteurs de la méthodologie SOA Praxeme se constituent en association

A l'origine, il s'agit d'une méthode publique, Praxeme, pour aider les entreprises à mettre en ?uvre des architectures orientées services (SOA). Aujourd'hui, cela devient une association loi 1901, sous le nom Praxeme Institute. Au côté des inventeurs de la méthode - en premier lieu Dominique Vauquier (Unilog Management), avec Pierre Bonnet (Orchestra Networks) et Philippe Desfray (Softeam) - on retrouve trois cabinets de conseil parmi les « membres constituants » : Conix Consulting, Dreamsoft et Vistali. Plusieurs « contributeurs », entreprises ayant adopté les concepts de Praxeme, apportent également leur soutien à la création de l'association : Calyon (la branche investissement du Crédit Agricole), l'Armée de Terre, la Caisse nationale d'allocations familiales, Sagem et la SMABTP (société d'assurance des professionnels du bâtiment, qui a raconté son expérience lors de notre SOA Forum du 4 octobre dernier - voir l'encadré ci-dessous). Ouverte, la méthode Praxeme peut être adaptée aux besoins et à la culture des entreprises, afin de modéliser leurs processus ainsi que leur architecture technique, logique et physique. « Le caractère public, Open Source, de Praxeme la prédispose à devenir un socle méthodologique de référence sur le marché de la SOA », avance Jean-Baptiste Ceccaldi, directeur général de Vistali. (...)

(20/12/2006 15:44:43)

CSS souffle ses 10 bougies

Bon anniversaire. Le W3C, consortium en charge de contrôler les standards du Web, fête les 10 ans des feuilles de style CSS (Cascading Style Sheets). Dix années au cours desquelles le Web s'est enrichi, ouvrant la porte à de plus en plus de fonctionnalités multimedia et de présentations ergonomiques facilitées par l'usage de CSS. Pour rappel, la feuille de styles factorise dans un fichier la présentation graphique des pages Web en définissant les éléments précis de placement, de couleur, de police, par exemple. Elle symbolise ainsi la séparation du contenu de sa forme. Pour l'occasion, le W3C lance un concours pour lequel les développeurs pourront envoyer "leurs plus belles conceptions CSS". Ces dernières seront ensuite sélectionnées par les co-auteurs des spécifications CSS, Bert Bos et Hakon Lie, et exposées dans la galerie CSS10, nom de l'événement. L'organisme a également publié un bref historique de CSS, dans lequel on apprend notamment que c'est en France (à Rocquencourt) que le premier groupe de travail a éclos en 1995, avant une ratification le 17 décembre 1996. Les CSS ont plusieurs avantages, commente le W3C : d'abord l'accessibilité en offrant un formatage semi-sémantique au contenu, puis la facilité de ré-utilisation des attributs CSS, la présentation étant définie dans un unique fichier. Notons enfin la possibilité d'adapter le contenu à de multiples canaux de diffusion, tels que les téléphones portables. Précisons que le CSS doit également limiter l'usage des tableaux HTML imbriqués, initialement réservés à mise en forme de données, puis "hackés" pour la mise en page. Autant davantages qui, dans un contexte propice aux développements d'applications Ajax, séduisent les entreprises. Adobe a récemment inauguré son propre site de ressources CSS, CSS Advisor. CSS se décompose en trois niveaux classés hiérarchiquement par leur champ de fonctionnalités. Le niveau 1 dresse les fondamentaux des spécifications que le niveau 2 (dernier en date 2.1) améliore, en lui ajoutant le support d'autres attributs. L'évolution des CSS est également liée à celle des navigateurs, qui, au fur et à mesure de leur développement, interprètent plus ou moins bien les nouvelles spécifications. A ce titre, Firefox est réputé pour supporter au plus près les standards CSS imposés par le W3C. Devant Internet Explorer. Mais l'écart tend à se réduire avec la version 7 d'IE. La spécification CSS 3, en cours de développement, devrait ouvrir le standard aux interactions avec l'utilisateur, grâce au support des fonctions vocales et des formulaires Xforms. (...)

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