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Architecture logicielle
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(20/12/2006 14:50:15)
Semestriels Ares : les pertes se creusent
Résultats deuxième semestre Chiffre d'affaires : 202,9 M€ (-5%) Perte nette : 9,4 M€ (+168%) Le plan de redressement mis en place par Ares devra être sacrément efficace pour permettre à la SSII de remonter la pente dans les délais indiqués par Michel Berjamin, le directeur général. Selon lui, Ares devrait renouer avec les bénéfices au cours de l'exercice 2007-2008. Il reste donc un peu plus d'un semestre au groupe pour inverser la tendance à la perte amorcée depuis un peu plus d'un an. Pour le premier semestre de l'exercice 2006-07, Ares vient d'annoncer une aggravation de sa perte d'exploitation à 12,3 M€, contre 3,7 il y a un an. L'explication tient aux charges de restructuration liées au plan de redressement : elles ont pesé pour 5,1 M€ dans le résultat opérationnel au cours de la période. La perte nette s'inscrit à 9,4 M€, contre 3,5 M€ un an auparavant. Enfin, le chiffre d'affaires du groupe recule de 5%, à 202,9 M€. Il faut cependant prendre en considération la cession des activités de distribution de PC, imprimantes et consommables (dites "commodités") à inmac wstore. En excluant les activités cédées, les revenus d'Ares ne reculent plus que de 1,5%, bien aidés par les services (+9%) qui ne parviennent cependant pas à compenser la branche infrastructure (-6,6%, à 116,7 M€). En dépit de ces mauvais résultats, le directeur général tient son rôle et se montre confiant. Il estime ainsi que le plan de redressement devrait conduire à économiser entre 10 et 12 M€ sur l'année, voit Ares atteindre l'équilibre au deuxième semestre et renouer avec les profits au cours de l'exercice 2007-08. (...)
(19/12/2006 18:03:04)Laval fait rimer la 3D avec création d'emploi
Dix ans de fonctionnement en technopole, avec les ingrédients habituels de la recherche associée à l'enseignement supérieur et au développement des entreprises, font de Laval Mayenne Technopole un site créateur d'un emploi par semaine (500 emplois au total). Un site catalyseur d'activité par ses trois piliers : une structure de technopole (incubateur, pépinière d'entreprises, etc.), un laboratoire (Clarté, centre de ressources technologiques, oeuvrant pour le transfert de technologies vers l'entreprise), un centre culturel (pour la diffusion des technologies auprès du grand public). De plus, par les trois spécialités qui s'y combinent - à savoir : la réalité virtuelle, la compatibilité électromagnétique, la sécurité alimentaire -, le chef-lieu de la Mayenne se voit également impliqué dans l'activité de trois pôles de compétitivité (Images et réseaux, Ensembles mécaniques et composites complexes ou EMC2, Automobile haut de gamme avec des projets auxquels est aussi associée l'antenne de Laval de l'Estaca (école d'ingénieur des transports)). C'est donc en Mayenne que les textiles Mulliez (la pure tradition textile du nord) invente le prêt-à-porter virtuel. Et que l'aménagement urbain et paysager, ou l'industrie automobile ou encore l'industrie militaire, trouvent des ressources (compétences et équipement) pour des « manip » de modélisation sur-mesure. (...)
(20/12/2006 09:55:16)Gartner: pas de dénouement dans la guerre des formats bureautiques avant 2008
Selon Gartner, aucun vainqueur ne devrait se dégager clairement de la guerre que se livrent actuellement les formats de document OpenDocument (ODF) et Open XML avant 2008. Le cabinet d'analyse recommande donc aux organisations qui n'ont pas un besoin immédiat d'un format XML pour leurs données, de continuer à utiliser des formats binaires en attendant d'y voir plus clair. Gartner note que Microsoft a récemment marqué des points face à OpenDocument avec l'acceptation de son format Open XML par l'Ecma en tant que standard. Cette ratification pourrait en effet permettre à Microsoft de rattraper son retard à l'ISO face à OpenDocument. Le format ODF a été ratifié par l'ISO en mai 2006. Cette normalisation lui permet notamment d'être utilisé par les organisations, notamment les grands clients gouvernementaux, qui exigent l'utilisation de standards. Du fait de sa ratification par l'Ecma, Open XML, le format de Microsoft, devrait lui aussi passer sous les fourches caudines de l'ISO dans le courant 2007. Ce qui n'empêche pas ses opposants de continuer à critiquer le format de Microsoft. IBM, le seul à avoir voté contre la ratification d'Open XML à l'Ecma, estime ainsi qu'Open XML sert, avant tout, les intérêts de Microsoft alors qu'OpenDocument profite à l'industrie dans son ensemble. Big Blue estime aussi que les quelque 6000 pages de documentation d'Open XML rendent le format trop complexe à mettre en ?uvre. Microsoft, de son côté, continue à expliquer que la taille de sa spécification est le fruit de sa plus grande richesse et de sa compatibilité avec ses formats antérieurs. (...)
(19/12/2006 17:51:50)ObjectWeb se restructure au 1er janvier
Le 31 décembre 2006, ObjectWeb changera de statut juridique. Et basculera d'un modèle de consortium développé en collaboration avec l'INRIA, Bull et France Télécom, à celui d'une association loi 1901 à but non lucratif. "ObjectWeb a été initialement créé sous une forme de consortium pour formaliser une situation de collaboration entre différents partenaires.[...] Au fil du temps, ObjectWeb s'est significativement développé, avec une croissance rapide et de nombreux nouveaux projets [et de plus en plus internationaux, NDLR]", explique François Letellier, actuel directeur exécutif d'ObjectWeb, dont le mandat expirera également au 31 décembre 2006. Le consortium regroupe actuellement une centaine de projets, très centrés sur le middleware et Java, soutenu par plus de 8 000 contributeurs de 80 pays différents. Face à une telle réussite, le consortium doit alors s'adapter et passer à un autre niveau. La mutation, orchestrée depuis le début 2005 par la création d'un groupe de travail, repose sur le constat de certaines limites. D'abord structurelles: "le montant des cotisations des membres étant faible, les ressources à disposition du comité exécutif ne croissaient pas aussi rapidement que la communauté", regrette François Letellier. Puis d'indépendance - face à l'INRIA- qui "lui a ouvert de nombreuses portes, mais l'a également soumis aux règles administratives d'une structure publique, avec les contraintes qui pouvaient s'ensuivre dans la gestion des fournisseurs, du personnel, des partenariats". Enfin, dernier frein de croissance, la centralisation des comités directeur et executif, qui "trouvait ses limites à un moment où des membres non hexagonaux devenaient plus nombreux". "Une plus forte implication des membres" Effective le 1er janvier 2007, la prochaine génération d'ObjectWeb (nommée OW2) doit ainsi ôter certaines contraintes imposées par la structure actuelle. La tendance s'oriente vers une collaboration plus étroite entre les membres, les comités et les prises de décision. Pour François Letellier, il s'agit d'abord d'impliquer plus fortement les membres -également financièrement. Initialement classés en Individuel ou Corporate, les membres seront, selon le nouveau cadre, répartis en trois catégories, Strategic, Corporate et Individual avec des niveaux d'implication différents. En interne, OW2 se tournera vers "une gouvernance plus collégiale, avec trois conseils traitant de l'animation technique, de l'écosystème et des opérations ". Viennent ensuite des paramètres plus technologiques, qui doivent "prendre davantage en compte la dimension marché de l'Open Source, notamment, en resserrant les liens entre utilisateurs et développeurs". Concrètement, cela se traduira par la création d'"initiatives" qui, outre le fait de faire office de plate-forme collaborative de projet Open Source, devra "s'attacher au développement d'un écosystème d'affaires [dont] le but est que l'utilisateur y trouve les prestataires de services (accompagnement, formation, certification, support) qui répondent à ses besoins". Le consortium travaille actuellement à un projet autour des bus d'entreprise (ESB) et de la SOA. Quatre autres "initiatives" devraient également éclore, autour du décisionnel, des télécommunications, de l'embarqué, de l'e-administration, sans compter la participation à la plateforme technologique européenne NESSI (Networked European Software and Services Initiative - un projet qui réunit 13 sociétés pour aider notamment à la mise en application de la stratégie de Lisbonne). "Le thème RFID est aussi à l'étude", précise François Letellier. Pas de reconduction automatique des membres "Le consortium ObjectWeb se terminant à la fin de l'année, les membres devront faire eux-même la démarche d'adhésion à l'association OW2 pour continuer à faire partie de l'aventure", commente François Letellier, tout en ajoutant que des facilités de transfert seront proposées. "Il n'est pas juridiquement possible de reporter les adhésions d'une structure à l'autre". Mais cela pose également le problème des projets actuels sous la bannière ObjectWeb v1. A ce sujet, François Letellier est clair: "OW2 sera munie d'une politique plus stricte au niveau propriété intellectuelle. Les projets ne seront pas non plus migrés automatiquement mais évalués individuellement avant transfert". (...)
(19/12/2006 12:29:49)Trimestriels Oracle : déception sur les ventes de logiciels
Résultats deuxième trimestre Chiffre d'affaires : 4,2 Md$ (+26%) Bénéfice net : 967 M$ (+21%) Oracle a bouclé un deuxième trimestre fiscal qui "n'a rien eu d'époustouflant", selon les termes employés par Safra Catz, la directrice financière. La croissance des ventes de logiciels s'est en effet inscrite dans le bas de la fourchette communiquée précédemment par le groupe. L'ensemble des licences a rapporté 3,21 Md$, soit 19% de plus qu'un an auparavant. Oracle attendait une progression comprise entre 19 et 21%. En ce qui concerne les souscriptions de nouvelles licences le constat est encore plus sévère. Là où le groupe escomptait en effet une croissance inscrite dans une fourchette de 15 à 20%, il ne réalise qu'une progression de 14%, à 1,2 Md$. Selon Safra Catz, Oracle a effectivement manqué ses objectifs de croissance des revenus tirés des logiciels. Un échec dû notamment à la finalisation de gros contrats qui a glissé sur le trimestre suivant. Le groupe pourra se consoler en voyant les services croître de 40,6% sur un an, à 949 M$ L'ensemble des revenus sur le deuxième trimestre atteint 4,2 Md$ et progresse de 26%. Enfin, soulignons que pour un groupe censé avoir réalisé un trimestre en demi-teinte, Oracle parvient tout de même à publier un bénéfice net en hausse de 21%, qui s'aligne à 967 M$. (...)
(15/12/2006 17:27:59)Début de l'édition 2007 de l'Imagine Cup
L'édition 2007 de l'Imagine Cup, le concours annuel organisé par Microsoft pour détecter les meilleurs codeurs étudiants dans le monde, vient de faire ses débuts. Doté de 170 000 $ de prix, l'Imagine Cup ne s'adresse pas à des étudiants isolés mais à des équipes de deux à quatre codeurs pilotés par un tuteur. Celles-ci doivent soumettre leurs idées ainsi qu'un code prototype de leur projet avant le 28 février 2007. Les équipes sélectionnées auront ensuite à soumettre une version plus aboutie de leur projet et viendront soutenir leurs travaux devant un panel de juges. La meilleure équipe de chaque pays représentera sa nation lors de la finale qui se tiendra cette année à Séoul. Les trois meilleures équipes mondiales percevront respectivement 25 000, 15000 et 10000$. Des Xbox 360, des baladeurs Zune ainsi que des portables HP figurent aussi parmi les lots. (...)
(15/12/2006 12:14:24)CSS Advisor, un portail pour s'attaquer aux incompatibilités entre navigateurs
Adobe, référence dans le milieu du Web design, inaugure CSS Advisor, un site de ressources censé s'attaquer aux problèmes d'interprétation de code CSS (Cascading Style Sheets - feuilles de style) entre navigateurs. Ce portail d'informations documente et recense des solutions à une des bêtes noires des développeurs Web, les incompatibilités de codes entre navigateurs -généralement entre IE, Firefox, Opera et Safari- de différentes plate-formes -Mac ou PC-. Il est par exemple reconnu que la gestion des attributs CSS de type "Padding", "Margin" (marges internes et externes) ou "Float" diffère d'un navigateur à l'autre. CSS Advisor doit répondre à ces problématiques en centralisant les ressources, fournies par la communauté des développeurs CSS -à condition d'être enregistré chez Adobe (gratuit). Disponible pour l'heure en bêta, le portail ne renferme qu'une quarantaine de bonnes pratiques, toutes en anglais. A terme, Adobe, qui essaye d'asseoir sa position sur le segment du développement Web -notamment Ajax-, compte rapprocher CSS Advisor de Dreamweaver, application ultra-populaire de développement de sites issue du rachat de Macromedia. Selon l'éditeur, un code CSS, source d'incompatibilité, sera automatiquement détecté par Dreamweaver, qui affichera alors les informations extraites de CSS Advisor. (...)
(15/12/2006 12:11:35)BEA dévoile sa feuille de route pour la virtualisation des environnements Java
Reconnu pour les performances de ses environnements d'exécution Java, BEA va désormais s'attaquer à la virtualisation. L'éditeur a dévoilé une feuille de route impliquant plusieurs de ses produits, dont des éditions spécifiques devraient sortir en 2007, afin de compléter la machine virtuelle Java, Liquid VM, qui tourne déjà sur l'hyperviseur VMWare ESX Server - le but de la Liquid VM est de fournir un socle d'exécution léger directement au-dessus de la couche de virtualisation. Le premier produit lancé, au premier semestre 2007, devrait être WebLogic Server Virtual Edition, une déclinaison du serveur d'applications maison conçue pour tourner sur des environnements virtualisés, afin d'ajuster au mieux les ressources matérielles et les besoins des applications Java. A l'été 2007, BEA prévoit un logiciel d'administration, WebLogic Liquid Operations Control, pour surveiller la charge des serveurs, augmenter les capacités matérielles au besoin, voire effectuer des tâches de « provisioning » (réservation de ressources). (...)
(14/12/2006 18:22:10)La boîte à outils Ajax de Google passe sous licence Apache
A l'occasion de la sortie de la version 1.3 Release Candidate de sa boîte à outils Ajax, GWT, Google annonce son passage en Open Source, sous licence Apache. Cette version du Google Web Toolkit ne comporte quasiment pas de nouveauté, il s'agissait essentiellement pour l'équipe responsable du développement du produit de bien tout synchroniser. A noter que la documentation a été pour sa part publiée sous licence Creative Commons. GWT est une des boîtes à outils Ajax les moins utilisées jusqu'à présent, à en croire le site Ajaxian, qui a publié une enquête en septembre dernier dont Prototype et Script.aculo.us sortent grands gagnants. (...)
(14/12/2006 18:18:27)Projet Chorus : « l'offre présentée par Accenture était inacceptable »
Chorus, le chantier de progicialisation de la gestion des finances de l'Etat sera décalé d'au moins deux mois. Le choix de SAP a bien été arrêté au printemps dernier, mais la partie réalisation et intégration s'avère plus complexe. Ainsi que nos confrères des Echos l'ont révélé hier, Bercy a attribué hier trois des quatre lots de ce projet de 180 M€, mais laissé en suspens le lot principal, estimé à une fourchette de 62 à 88 M€, pour lequel seul Accenture avait fait acte de candidature. « L'offre présentée était inacceptable », nous a indiqué Bernard Limal, directeur de l'Agence pour l'informatique financière de l'Etat (AIFE). Néanmoins, tout n'est pas remis en cause ; le lot n°1 fera l'objet dans les jours qui viennent d'un nouvel appel à candidature, ce qui ne devrait entraîner qu'un décalage de deux mois, indique Bernard Limal. Qui passe par ailleurs le dossier dès demain à son successeur, Jacques Marzin, ancien directeur du programme Helios. Interview de Bernard Limal, directeur de l'Agence pour l'informatique financière de l'Etat. Le Monde Informatique : Le 13 décembre 2006, le quotidien Les Echos a publié une liste des gagnants des marchés Chorus. Pouvez-vous nous confirmer cette liste ? Bernard Limal : Conformément à la réglementation, nous avons écrit aux candidats qui n'étaient pas retenus pour les en informer. Les Echos ont réalisé la différence entre ceux à qui nous avons écrit et les candidats pour publier leur liste. Le lot 2, qui concerne l'infocentre, a été attribué à Unilog aux dépends de Steria et Bearing Point ; le lot 3 (système d'échanges avec les applications ministérielles) a été remporté par Sopra contre Atos Origin ; enfin, le lot 4 (architecture technique) sera confié à Bull, IBM n'ayant pas été retenu. Reste le lot 1, l'intégration, qui représente la plus grosse valeur du marché. Un seul candidat s'est présenté, Accenture associé à Steria. Mais l'offre présentée était inacceptable et, contrairement à ce qu'indique Les Echos, pas uniquement sur le plan financier. Allez-vous notifier tout de même le marché ou bien le déclarer infructueux ? Nous ne pourrions déclarer infructueux que l'ensemble du marché alors que seul le lot 1 pose problème. Conformément à la réglementation, nous avons choisi de basculer le lot 1 en marché négocié. Un nouvel appel à candidature va donc être lancé. Accenture pourra évidemment être de nouveau candidat... ou pas. Mais il pourrait y avoir d'autres candidats. En particulier, la clause d'incompatibilité entre la candidature à ce marché et la réalisation du cahier des charges dans le cadre du précédent marché d'assistance à maîtrise d'ouvrage sera désormais interprétée strictement. Nous notifierons le marché à l'ensemble des gagnants des différents lots en même temps. Quelles seront les conséquences en termes de délai pour le projet Chorus ? Le nouvel appel à candidature va être lancé mi-décembre. Comme il s'agit cette fois d'un marché négocié, nous estimons qu'il nous faudra trois mois de négociations pour aboutir. La notification globale des quatre lots aura donc lieu mi-mars, ce qui opère un décalage de deux mois par rapport au calendrier précédent qui prévoyait une notification mi-janvier. Quel est le budget concerné ? L'ensemble des quatre lots de ce marché correspond à un budget global d'environ 180 millions d'euros dont 62 à 88 millions pour le seul lot 1. Si on ajoute les précédents marchés d'assistance à maîtrise d'ouvrage et de licences SAP, on atteint les 250 millions d'euros. Le déploiement dans tous les ministères et les administrations déconcentrées fera l'objet de marchés ultérieurs dont la valeur a été estimée dans le cadre de l'audit de modernisation de l'Etat autour du demi-milliard d'euros, avec de grandes variations selon différentes hypothèses. Pouvez-vous nous confirmer le nom de votre remplaçant ? La nomination de Jacques Marzin sera officielle le vendredi 15 décembre 2006, simplement parce que j'effectue ma passation de service jeudi soir pour devenir effectivement trésorier payeur général dans l'Essonne. Quel bilan tirez-vous de votre passage à l'AIFE au moment où vous partez pour un poste moins exposé ? Ce fut passionnant mais épuisant. (...)
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