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Architecture logicielle
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(07/01/2009 09:28:29)
IBM finalise l'acquisition d'Ilog
Entamée le 28 juillet dernier, l'acquisition pour environ 215 millions d'euros d'Ilog par IBM est enfin parachevée. Les gammes de produits de l'éditeur français rejoignent l'offre Websphere du géant américain, tandis que les technologies devraient venir améliorer plusieurs offres d'IBM : la gestion des règles métier (BRMS) pour l'offre de gestion des processus métier (BPM), les outils de visualisation pour les offres Tivoli et Lotus... Ilog compte environ 850 employés, et jusqu'à présent IBM - qui fait l'objet de rumeurs insistantes sur un important plan de licenciement - n'a guère donné de détail concret sur l'intégration. Sachant que les relations d'Ilog avec la presse doivent désormais passer par IBM, LeMondeInformatique.fr attend une réponse de la part de l'Américain. (...)
(06/01/2009 17:04:30)Annuels Progress Software : l'offre SOA tire le chiffre d'affaires
L'éditeur Progress Software a achevé son exercice fiscal 2008 sur un chiffre d'affaires de 515,56 M$ qui doit essentiellement sa progression de 4,5% à ses solutions destinées aux architectures orientées services (SOA). Sur l'année, son activité liée à ces produits d'infrastructure (gamme Apama, Sonic ESB, gamme Actional, etc.) a globalement progressé de 31,7% à 109,3 M$. Sur les lignes Apama Capital Markets et Apama Complex Event Processing, les ventes ont même enregistré +70%. Avec ces produits, l'éditeur s'est octroyé en 2007, selon IDC, 20% de parts sur le marché du « Complex event processing », derrière Tibco (40% de parts). L'ensemble de ces offres d'infrastructure ne pèse toutefois que 21% du chiffre d'affaires total de Progress Software, la part la plus importante (64%) étant toujours réalisée sur la plateforme de développement OpenEdge dont le chiffre d'affaires a reculé de 1,54% en 2008, à 331,4 M$. Le reste des revenus repose sur la gamme de composants de connectivité, Datadirect, dont les ventes ont augmenté en 2008 de 5% environ, à 77,5 M$. Iona et Xcalia pour enrichir l'offre SOA L'année 2008 a été marquée pour Progress Software par deux rachats sur le marché des produits SOA. D'une part, en avril, sa division Datadirect a mis la main sur la start-up française Xcalia, éditeur de solutions d'accès aux données. D'autre part, en juin, l'éditeur a racheté l'Irlandais Iona Software pour 149 M$, ce qui lui a permis de récupérer l'offre Artix. Sur son quatrième trimestre fiscal, malgré un bénéfice net en recul de 47% par rapport au quatrième trimestre 2007, Progress Software souligne que ses ventes de licences ont progressé de 4%, à 56,1 M$, à un moment où l'ensemble des éditeurs a subi des revers. Sur l'exercice, les ventes n'ont progressé que de 2,7%, à 192,22 M$. Elles pèsent 37% du chiffre d'affaires, alors que la part la plus importante (53%, 275,22 M$) provient des revenus de la maintenance. Les services représentent 9,8% du CA, à 50,8 M$. (...)
(06/01/2009 12:46:00)L'encodage de vidéos à la volée séduit les investisseurs : Ripcode lève 12,5 M$
Après avoir amassé 19,5 M$ sur 2006 et 2007, Ripcode vient de lever 12,5 M$ pour financer son développement à l'international. Cette start-up texane a mis au point une technologie d'encodage des vidéos à la volée, pour simplifier leur diffusion vers les mobiles. Début décembre, Ripcode signait ainsi un contrat avec MySpace. Dans son blog, Brendon Mills, le fondateur de Ripcode, explique qu'ainsi MySpace n'a plus à encoder ses vidéos dans plusieurs formats (flv, mp4, etc.) - ce que Brendon Mills appelle « des méthodes historiques pré-transcodage » - afin de pouvoir toucher le maximum de plateformes. De leur côté, les utilisateurs de la version mobile de MySpace n'ont pas à choisir le format vidéo qui leur convient, ils se contentent de cliquer sur la vidéo qu'ils veulent : la technologie de Ripcode encode automatiquement le contenu dans le format accepté par le mobile. Ripcode partage la conviction des grands acteurs des plateformes d'exécution, comme Microsoft, Adobe ou Sun : tant le contenu multimédia sur le Web que le nombre d'utilisateurs y accédant via des appareils mobiles vont exploser. En revanche, même si Ripcode s'affiche comme un partenaire, ils différent complètement sur la stratégie à adopter. La technologie de Ripcode (On-Demand and Real-Time Stream Transcoding) est à l'opposé de ce que proposent Microsoft, Adobe et Sun qui souhaitent, avec leurs offres respectives Silverlight, Flash et JavaFX que tous les producteurs de contenu et les fabricants de téléphones prennent leur format comme standard. (...)
(05/01/2009 17:32:40)Rencontre avec Sam Ramji, patron de l'Open Source chez Microsoft
Depuis près de trois ans, Microsoft s'est doté d'un patron de la stratégie Open Source. Et son travail commencerait à porter ses fruits : c'est ce qu'est venu dire Sam Ramji, officiellement directeur senior de la stratégie plateforme, et à titre responsable de l'Open Source Lab, en fin d'année dernière à Paris lors d'une rencontre avec quelques journalistes. Son travail, dit-il, consiste aussi bien à faire bouger les mentalités au sein de Microsoft, qu'à faire évoluer l'image de l'éditeur auprès des communautés Open Source et même auprès de ses propres employés. Les efforts de Microsoft en matière d'interopérabilité seraient un premier pas important, et même Steve Ballmer commencerait à être conscient de la nécessité de ne plus attaquer systématiquement le monde du Libre. Tous les détails sur le blog Ingénierie logicielle. (...)
(02/01/2009 16:01:29)2008-2009 : bilan et perspectives
Netbooks qui relancent un marché de la micro morose, prise de conscience écologico-économique avec le Green IT, débuts du 'cloud' et affirmation du Saas, 2008 a encore été une année riche pour tous les décideurs du monde informatique. Une année pleine de conflits, aussi, au niveau économique (tarifs SAP, fusion-hésitation avortée entre Microsoft et Yahoo...) comme au niveau social, avec une avalanche de plans d'économies et de suppressions de postes. LeMondeInformatique.fr a fait le tri pour vous, et vous propose la synthèse de tout ce qu'il faut savoir pour aborder 2009 dans les meilleures conditions. Un dossier à imprimer et à conserver - avec tous nos voeux de bonheur et de réussite pour cette nouvelle année. (...)
(31/12/2008 12:25:45)Bilan 2008 : La guerre des RIA réconcilie SOA, mash-up et Web 2
Les clients lourds, à installer sur chaque ordinateur, n'ont plus la cote : trop complexes à installer et mettre à jour, incompatibles avec la vaste majorité des terminaux, ils se sont fait voler la vedette par les interfaces Web. Mais les interfaces HTML, même mâtinées de Javascript (concept Ajax), restent trop simplistes pour des usages avancés, et impliquent de rester connecté en permanence. Le constat ne date pas d'hier, et on parle depuis des années des clients pour les applications Internet riches (RIA), qui reprendraient le meilleur des deux mondes : projets XUL chez Mozilla, GWT chez Google, Apollo chez Adobe, WPF/E chez Microsoft, RCP chez Eclipse et chez Sun Netbeans, OpenLaszlo (implémentation Open Source de Flex)... La véritable émergence des RIA, toutefois, peut vraiment être située en 2008. C'est en effet ces derniers mois que les quatre gros acteurs du secteur ont peaufiné leur stratégie et leur technologie. Google, avec son offre en Open Source, qui permet à tous les développeurs Java de créer simplement des interfaces riches, a su habilement diffuser son GWT (Google Web Toolkit). Adobe a enfin compris qu'il lui fallait diffuser le plus largement possible - donc gratuitement pour les terminaux mobiles, comme pour les PC - sa plateforme d'exécution Flash, car son installation conditionne en partie le succès de ses offres Flex (client Flash permettant la manipulation des sources de données) et AIR (Adobe Integrated Runtime, client riche complet) ; l'autre condition du succès étant le soutien de la communauté de développeurs et de créatifs. Avec la deuxième version de Silverlight, Microsoft a concrétisé la promesse d'un client riche s'adressant - comme chez Adobe - à la fois aux créatifs et aux développeurs. Sachant que si la communauté .Net est extrêmement importante, Microsoft doit encore faire ses preuves pour séduire les graphistes. Et Sun a - enfin ! - sorti sa propre solution, dont il parlait depuis plus d'un an et demi, JavaFX. L'inventeur de Java part évidemment avec un atout sérieux, la diffusion de la plateforme d'exécution Java. En revanche, la version 1.0 a franchement laissé sceptiques les spécialistes du domaine : Sun a encore beaucoup de chemin à parcourir avant d'atteindre la productivité et le résultat des solutions concurrentes. Il est probable que ces différentes technologies cohabitent. Mais plusieurs tendances devraient assurer leur succès. D'abord, les RIA peuvent aussi bien servir aux applications professionnelles, pour remplacer des clients complexes ou vieillissants, que grand public, notamment dans le monde du Web 2.0 qui mise avant tout sur l'interactivité. Elles bénéficient donc de facto d'une large audience potentielle, renforcée par le fait que les utilisateurs en entreprise (notamment les 'digital natives') souhaitent de plus en plus pouvoir travailler avec des interfaces aussi ergonomiques que ce qu'ils utilisent au quotidien dans leur vie personnelle. Ensuite, les types de terminaux se multiplient (ordinateur, netbook, smartphone...), et leur seul point commun est Internet - et la capacité du navigateur embarqué à télécharger la plateforme d'exécution idoine. Enfin, les RIA correspondent exactement à la philosophie guidant actuellement les développements : architectures orientées services (SOA) et mash-up (combinaisons de services applicatifs au niveau du poste client ou des serveurs Web). Ce sont en effet les clients idéaux pour accéder à des services divers et les agréger avec une interface fonctionnelle et agréable. A lire sur le sujet : - Le 29 décembre : Sun assure que JavaFX sera entièrement disponible en Open Source - Le 19 décembre : Adobe sort une version Linux de son client riche AIR - Le 19 novembre : Adobe Max : AIR 1.5 s'adapte aux capacités de Flash 10 - Le 19 mai : Moonlight, la version libre de Silverlight fait ses premiers pas - Le 16 décembre : Les clients Adobe témoignent de leur utilisation des RIA - Le 5 décembre : Sun JavaFX : technologie RIA à la traîne et stratégie à revoir - Le 14 octobre : Silverlight 2 convoque Eclipse via le Français Soyatec - Le 1er juillet : Le contenu Flash accessible aux moteurs de Google et Yahoo - Le 7 mai : JavaOne : Sun présente sa technologie de client riche JavaFX - Le 17 avril : Microsoft rejoue Mix au public français - Le 25 février : Adobe lance officiellement son offre de clients riches - Le 1er décembre : Adobe Max : Flash et AIR mixent vidéo et réseaux sociaux - Le 9 juin : Silverlight 2 pourra être programmé en Ruby ou Python - Le 7 mai : Adobe veut diffuser Flash gratuitement sur les mobiles - Le 18 avril : Silverlight supportera les DRM avant la fin de l'année - Le 17 mars : Flash Lite et PDF bientôt sur Windows Mobile - Le 11 mars : Microsoft dévoile ses ambitions pour un Silverlight mobile - Le 25 février : Ilog intègre ses composants de visualisation à AIR et Flex (...)
(30/12/2008 12:36:38)Telelogic sélectionné par Eaton pour développer un système d'économie de carburant
Toujours soucieux d'apparaître actif sur le front du Green IT, IBM a annoncé que son logiciel de modélisation Telelogic Rhapsody avait été sélectionné par Eaton (spécialisé dans la protection électrique) pour développer un nouveau système de distribution hydraulique hybride pour les voitures. Ce système (baptisé SHH pour système hydraulique hybride) devrait permettre - à long terme - de réaliser des économies de carburants de l'ordre de 50%, selon Eaton, et remplacer les systèmes de transmission classique. Grâce à un système (dirigé par une puce électrique), l'économie de carburant est réalisée de trois manières: à chaque freinage, l'énergie du véhicule (normalement gaspillée) est récupérée, le fonctionnement du moteur est optimisé et le moteur est automatiquement coupé lorsqu'il est à l'arrêt ou en phase de décélération. Telelogic, racheté en juin 2007, servira à modéliser le logiciel gérant le comportement du système. Les premiers tests grandeur nature seront réalisés sur deux camions de livraison UPS à Minneapolis au cours du premier semestre 2009. (...)
(30/12/2008 11:51:50)Quarante pages de conseils Microsoft pour un SI durable
La dernière édition de The Architecture Journal, publication éditée par Microsoft, est entièrement consacrée au Green IT. Ou, plus exactement, aux systèmes d'information durables et compatibles avec les bonnes pratiques en matière de préservation de l'environnement et de réduction des émissions de CO2. Comme l'écrit le rédacteur en chef dans son édito, « alors que l'informatique devient omniprésente, que la consommation d'énergie due à l'informatique grimpe, [...] que dans le même temps les coûts de l'énergie augmentent - tant à cause des réglementations que de la rareté des stocks d'énergies naturelles qui vont en s'épuisant - les dirigeants IT doivent se focaliser sur l'efficacité énergétique et le coût total d'exploitation, particulièrement dans un contexte de crise financière mondiale ». Le numéro 18 de ce trimestriel, disponible gratuitement en PDF, explore donc en une quarantaine de pages tout ce qui contribue à une architecture de SI éco-compatible, des techniques de climatisation des datacenters à la conception des applications, en passant par la consolidation et la virtualisation. Des bonnes pratiques de gouvernance... aux références aux produits maison Le premier chapitre, consacré à la conception d'un système d'information durable d'un point de vue environnemental, est écrit par Lewis Curtis, architecte principal chez Microsoft. Il pose les bases d'une réflexion d'ordre général pour quiconque souhaite concilier des impératifs écologiques et économiques avec les impératifs de performance attendus d'un système d'information. A ce titre, son analyse n'a rien à envier à celle d'un cabinet d'études qui la vendrait plusieurs milliers de dollars. En revanche, les réponses de Lewis Curtis sont bien évidemment orientées, puisqu'elles impliquent les produits qu'il représente. Au lecteur de conserver les réponses architecturales et d'appliquer ce modèle de réflexion avec ses propres références ; en matière de gouvernance, les bonnes pratiques ne dépendent pas d'un éditeur ou d'une technologie. Le deuxième chapitre rappelle quelques évidences en ce qui concerne le déploiement d'applications. Les auteurs expliquent ainsi qu'une application mal conçue - qui exige un serveur à elle seule, ou n'utilise qu'un coeur d'un processeur multicoeur - a un impact négatif sur la consommation énergétique. De même, il ne faut pas, indique l'article, omettre de recourir aux modes d'économies d'énergie lorsqu'une application, un disque ou un processeur est inactif, ou oublier d'alléger les bases de données de production en recourant à des systèmes d'archivage. A l'inverse, le fait de consolider des applications, ou mieux de recourir à la virtualisation conduit à des gains importants. L'étape ultime étant le 'cloud computing'. Dans tous les cas, les auteurs donnent des critères à observer et des métriques pour évaluer l'impact en matière de réduction de la consommation d'énergie (et, partant, de la facture d'électricité). Les composants applicatifs et architectures distribuées pour un impact minimal sur l'environnement [[page]] Le troisième chapitre s'attaque aux architectures applicatives. Fini le temps où on pouvait se permettre de dimensionner une solution en prenant comme critère de base son niveau de pic de charge plus 20 à 50%, histoire d'être tranquille. L'article donne donc moult conseils pour optimiser les applications, l'idée étant qu'elles aient un impact minimal en termes de consommation de ressources. Cela passe par le recours à des composants applicatifs, à des architectures orientées services (SOA), de l'instrumentation et de la supervision, de la virtualisation, de l'équilibrage de charges...Là encore, et d'ailleurs les auteurs prennent soin de le préciser, « si la taxonomie peut apparaître spécifique à Microsoft et à Windows, cela fonctionne aussi bien avec d'autres OS et applications ». Un chapitre entier est consacré à la façon dont on peut calculer la consommation d'énergie d'un serveur, d'un disque dur, d'une application, d'une base de données, etc. Avec cette abaque, il devient beaucoup plus simple de traduire en termes monétaires les gains apportés par telle ou telle bonne pratique. Les auteurs de ce chapitre en profitent pour rappeler qu'un certain nombre de services sont totalement inutiles pour faire tourner une machine virtuelle. Cela tombe bien, Windows Server 2008 ayant appris d'autres OS et proposant un mode d'installation minimal. Le DC Genome, ou comment évaluer la climatisation d'un datacenter avec des capteurs sans fil Plus surprenant, l'avant dernier chapitre détaille la mise en oeuvre de capteurs sans-fil dans le datacenter de Microsoft conçu à cet effet, le DC Genome. Plutôt que d'ajouter de la complexité avec des composants matériels ajoutés aux différents éléments du datacenter, Microsoft a conçu un réseau d'environ 700 senseurs ('genomotes') permettant de mesurer la température et l'humidité partout dans la salle, afin d'ajuster au mieux les paramètres du système de climatisation en quasi-temps réel. Les genomotes eux-mêmes communiquent en IEEE 802.15.4, car, indique Microsoft, il s'agit d'un réseau radio moins gourmand en énergie et en ressources processeur que le WiFi. Le dernier chapitre, pour le coup, ne s'applique qu'aux technologies Microsoft, puisqu'il traite de la consolidation de bases SQL Server telle qu'elle a été pratiquée chez Microsoft, pour son propre système d'information. Et cela pourrait intéresser des clients grands comptes de l'éditeur. En effet, comme n'importe quelle entreprise, Microsoft a dû affronter un tableau peu reluisant : 100 000 bases de données réparties dans 5 000 instances de SQL Server, la plupart sur des serveurs dédiés, chacun présentant un taux d'utilisation moyen des ressources processeur en deçà de 10%. (...)
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