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(29/11/2010 14:15:49)
La personnalisation, prochain défi de Twitter
« Avec 100 millions de tweets qui transitent à travers le système quotidiennement, il y a de tout pour tout le monde », a déclaré Evan Williams, ex PDG et co-fondateur de Twitter, dans une interview diffusée à la National Public Radio américaine. Pour lui, le réel défi consiste à trouver ce qui aura vraiment de l'intérêt pour chaque utilisateur. « Cela peut être une alerte provenant d'une entreprise à propos d'un produit, une information sur un ami ou dans les actualités ». Or, il est difficile de trouver ce genre d'informations et de faire cela en temps réel, mais c'est ainsi que le service pourra être réellement valorisé, souligne le dirigeant.
Analyser les tweets publicitaires en continu
«Nous voulons vraiment faire de Twitter une source d'information que l'on consulte plusieurs fois par jour sur un téléphone portable, a ajouté Evan Williams. Je pense que c'est actuellement le cas, mais il reste encore un long chemin à parcourir pour lui donner une valeur encore plus importante.» Interrogé sur le fait que la génération de revenus par Twitter peut rendre le service moins attrayant pour ses adhérents, le co-fondateur s'est dit confiant. Pour lui, faire de l'argent et conserver la satisfaction des utilisateurs ne sont pas incompatibles. L'actuelle limite fixée à un seul tweet publicitaire par recherche est une façon de préserver le charme du service. L'analyse en continu des réactions aux tweets publicitaires est une autre façon de le faire. «Si les gens ne répondent pas, ne retweetent pas, ou encore ne cliquent pas sur un lien, nous interprétons cela comme un signal qui montre que ce n'est pas très intéressant et qui nous conduit à arrêter de le mettre en avant. »
De meilleurs taux de retour
Générer du chiffre d'affaires grâce à de la publicité signifie que Twitter doit rivaliser avec d'autres médias en ligne tels que Google et Facebook. Néanmoins, l'ex PDG de Twitter pense que le service propose une formule qui est aussi attrayante pour les commerçants que celle de ses concurrents. «La nature de Twitter en tant que réseau d'informations est extrêmement précieuse pour tous ceux qui veulent faire passer un message qui sera entendu par beaucoup de gens, a-t-il expliqué. «De toute évidence, c'est ce pourquoi les annonceurs paient. » Mieux encore, les annonceurs peuvent être en mesure d'obtenir de meilleurs résultats avec Twitter qu'avec d'autres services en ligne. Evan Williams cite un récent tweet publicitaire du Washington Post destiné à attirer du trafic vers sa couverture des élections. « On arrive à un taux d'engagement d'environ 9% pour les personnes qui l'ont vu, ce qui signifie, pour nous, que les ordres de grandeur sont plus élevés que la plupart des publicités sur le web, indique-t-il. C'est un ordre de grandeur pour la plupart des spécialistes du marketing Internet, aussi, qui constate que la moyenne de taux de clic pour une annonce en ligne est inférieure à 1%. »
Illustration : Evan Williams, ex PDG et co-fondateur de Twitter. Crédit photo : Wikipedia
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Les réseaux sociaux peuvent rehausser l'image négative des employeurs
En moyenne sur cinq pays occidentaux, 27% des employés seulement recommanderaient leurs entreprises à leur entourage, presque partout davantage sur les produits et services vendus que sur les qualités de la firme en tant qu'employeur. Le pays le plus favorable aux entreprises est le Canada (32% de promoteurs des produits contre 41% de détracteurs ; 34% de promoteurs de l'employeur en tant que tel contre 33% de détracteurs). Le pire est la France (16% de promoteurs des produits contre 64% de détracteurs ; 15% de promoteurs de l'employeur en tant que tel contre 59% de détracteurs).
Les cadres sont les moins critiques sur les réseaux
Forrester signale cependant que des différences notables existent selon les fonctions : par exemple, les membres du service client sont les plus critiques, les cadres supérieurs les moins critiques. Mais l'enseignement le plus étonnant concerne l'usage des réseaux sociaux. Selon le cabinet, « l'utilisation des nouvelles technologies au sein des entreprises est également un critère différenciant. Plus les collaborateurs les utilisent, plus ils soutiennent leur entreprise, en particulier ceux dont le travail quotidien nécessite l'utilisation des réseaux sociaux et des smartphones. 48% des répondants dont le métier nécessite l'utilisation des réseaux sociaux sont des promoteurs, contre seulement 22% de détracteurs. »
La conférence LeWeb attendue les 8 et 9 prochains à St Denis
Les 8 et 9 décembre prochains, les docks de La Plaine Saint-Denis, prendront des accents de Silicon Valley. De grandes pointures du secteur des nouvelles technologiques figurent sur la liste des intervenants, comme Marissa Mayer, vice-présidente chez Google, Dennis Crowley, le co-fondateur du service de géolocalisation Foursquare, Michael Arrington, directeur du site TechCrunch, ou encore Ethan Beard, responsable du réseau des développeurs Facebook, Mitchell Baker de la Fondation Mozilla, et Mike Jones, co-président de MySpace.
Seront également représentés Microsoft, Yahoo et Twitter. Les Français ne sont pas en reste, avec la présence de Stéphane Richard, PDG de France Télécom, Henri Seydoux, dirigeant et fondateur de Parrot, Dan Serfaty de Viadeo, Xavier Niel, PDG d'Iliad, et Carlos Ghosn, patron de l'alliance Renault-Nissan. Ces responsables parleront stratégie et tendances avec sans surprise un net accent les plateformes : réseaux sociaux, boutiques d'applications, téléphonie mobile, paiement en ligne, et même automobile connectée, d'où la présence de Carlos Ghosn.
Destiné à un public de professionnels (les tickets les plus abordables, en tarif étudiant, coûtent 250 euros), LeWeb'10 sera également retransmis sur Internet. Les vidéos des conférences et tables-rondes seront retransmises en streaming sur le site de la manifestation, puis diffusées gratuitement sur YouTube, tandis que des podcats seront disponibles sur iTunes.
Illustration : Marissa Mayer, vice-présidente produits de recherche et services aux utilisateurs chez Google, crédit D.R.
Google Wave postule pour devenir un projet Apache
C'est en 2009 que Google a introduit Wave, avant d'abandonner le projet un an plus tard seulement, pour cause de maigre succès auprès des utilisateurs. Une « wave » est service de communication numérique à distance qui utilise différentes formes pour propager l'information, telles que l'email, le chat ou encore le partage de documents. Parce que de nombreux composants de Wave sont open source, ou dépendent de composants Open Source, plusieurs développeurs de Google Wave ont pu, en collaboration avec des développeurs externes, poursuivre leurs travaux sur la technologie. Ceux-ci ont même mis au point un pack appelé Wave In A Box (WAIB), en fait un logiciel serveur qui héberge et stocke les waves. « La version initiale n'a pas été suffisamment bien accueillie pour pouvoir continuer à exister en tant que produit autonome de Google. Néanmoins, les développeurs ont travaillé sur d'autres projets connexes, et plusieurs start-ups continuent à soutenir cette technologie,» indique le document de candidature pour l'incubateur. Par exemple, Novell a intégré le logiciel Wave dans sa plate-forme de collaboration Vibe, SAP l'utilise partiellement dans son logiciel StreamWork, et l'US Navy étudie les moyens d'utiliser cette technologie dans les communications à bord de ses navires.
Une seconde vie pour Wave
Wave s'ajoute aux 112 projets à l'étude au sein de l'incubateur Apache. Pour être accepté comme Podling, celui-ci doit trouver un parrain à l'intérieur d'Apache, et démontrer qu'il est soutenu par une communauté active d'utilisateurs et de développeurs. Il doit aussi être soumis à un vote formel à l'inscription. Dan Peterson, l'un des développeurs à l'origine du projet, pense que le vote concernant Apache WAIB pourrait intervenir dès la semaine prochaine.
La fondation à but non lucratif offre déjà un soutien organisationnel, juridique et financier à plus de 100 projets Open Source, dont le serveur web Apache, la plate-forme Hadoop - un framework Java libre destiné aux applications distribuées et à la gestion intensive de données, le serveur d'application Tomcat qui gère les servlets et les JSP, et le logiciel SpamAssassin qui filtre le trafic des emails pour supprimer les messages « pourris ».
(...)(19/11/2010 15:33:39)Facebook et Myspace redéfinissent leur territoire
Myspace a dévoilé ce qu'elle appelle un « Mashup avec Facebook ». Ce terme est essentiellement un lien entre les deux sites qui permet aux utilisateurs d'afficher les goûts et intérêts de leurs profils Facebook vers leurs pages Myspace, via Facebook Connect. La fonction est présentée comme la possibilité donnée aux utilisateurs de MySpace de créer un flux personnalisé de contenus de divertissement. Cette fonctionnalité est disponible immédiatement à travers le monde.
Grâce à ces mesures, MySpace renonce à concurrencer Facebook. À la mi-2009, ComScore a rapporté que Facebook a attiré 70,278 millions de visiteurs uniques aux États-Unis, juste devant MySpace totalisant 70,237 millions. En avril 2010, MySpace avait près de 111 millions de visiteurs uniques et le site de réseau social affichait 519 millions de visiteurs uniques monde.
Chacun dans son rôle
Myspace s'est alors concentré sur la musique et le cinéma. Lors d'une conférence de presse téléphonique, Mike Jones, PDG de MySpace, n'a d'ailleurs pas considéré son site comme un réseau social, mais comme « une des plus grandes expériences de divertissement sur le Web. »
Ezra Gottheil, analyste de Technology Business Research, a jugé symbolique de l'annonce de MySpace qui souhaite laisser l'espace de réseau social à Facebook. « C'est la reconnaissance d'une vieille défaite », souligne la consultante et de conclure « MySpace a cessé depuis longtemps d'être l'endroit pour trouver et communiquer avec des amis. Il a renforcé sa valeur, c'est-à-dire un site de publication. Facebook n'est pas, et ne sera pas, un site de publication. Alors ce partenariat permet de définir et distinguer les deux, et il est plus facile pour les utilisateurs à être des membres actifs des deux sites et bénéficier chacune de leur savoir-faire. »
La téléphonie mobile gagne les utilisateurs de Twitter
Les utilisateurs de Twitter sur mobile sont les plus actifs sur le site de micro-blogging. C'est ce qui ressort d'une étude menée par OpinionWay pour le compte de l'Afom (Association française des opérateurs mobiles) sur leurs usages et comportements. L'enquête montre d'abord que le profil des utilisateurs de Twitter sur téléphone mobile est très marqué par la « génération Y » : 36 % d'entre eux ont entre 25 et 34 ans, un chiffre très supérieur au profil moyen des internautes (seuls 24% des internautes ont entre 25 et 34 ans). Si 74 % d'entre eux consultent leur fil d'actualité plusieurs fois par semaine, un tiers des utilisateurs de mobiles est particulièrement influent sur Twitter : une grande majorité (71%) utilise le site comme un moteur de recherche. 67% diffusent des informations qualifiées en intégrant régulièrement des liens dans leurs messages, 62% retweetent régulièrement des messages, et 47% postent au moins un tweet par jour.
Animation de réseau et recherche d'informations
Globalement, les utilisateurs sur mobile consultent Twitter pour deux raisons principales : suivre de l'actualité spécifique (65%) et être en relation avec un réseau personnel (63%). Ces résultats viennent confirmer ceux de l'Observatoire
sociétal du téléphone mobile 2010 de l'AFOM montrant que les « Smartphoners » cherchent avant tout à garder un lien permanent avec leurs proches et un accès à l'information.
Les utilisateurs de Twitter sur mobile sont également très présents sur les réseaux sociaux : un sur deux offre la possibilité de s'abonner à son compte depuis une page Facebook ou un blog personnel. Ils restent toutefois prudents dans l'ouverture de leur propre fil d'actualité : 48 % en laissent un libre accès.
S'agissant des services de géolocalisation, les utilisateurs de Twitter sur mobile sont très partagés : la moitié d'entre eux considèrent que de tels services permettent d'accéder à des informations très ciblées (49%) alors que pour l'autre moitié, cela empièterait plutôt sur la vie privée.
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