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(06/09/2011 13:58:37)
Semestriels Lefebvre Software : +20% sur les ventes de licences
L'éditeur français Lefebvre Software, spécialisé sur les solutions de gestion financière et des RH, annonce un chiffre d'affaires en progression de 30%, à 19,3 millions d'euros, sur le premier semestre 2011 (clos fin juin). En septembre 2010, il avait racheté l'offre Arcole, vendue par Ares.
Présidé par Viviane Chaine-Ribeiro, le groupe Lefebvre Software ne communique pas de résultats détaillés, mais indique avoir enregistré sur ses ventes de licences une hausse de 20%, à périmètre constant, et de 29% au total entre début janvier et fin juin. Son activité services a également crû de façon sensible (+28% dans l'ensemble), la partie services récurrents progressant notamment de 65% sur le semestre. Cette dernière partie regroupe les offres d'externalisation, les contrats d'infogérance et d'assistance au paramétrage, ainsi que les solutions proposées en mode hébergé (en ASP).
L'éditeur signale sur la période une augmentation des projets portant sur les solutions d'aide à la décision, en particulier appliquées aux RH, avec 21 nouvelles signatures. La mise en conformité réglementaire et législative des produits a également contribué aux bons résultats, les solutions SEPA (Single Euro Payments Area) ayant généré 79 ventes. En dépit des événements conjoncturels de l'été, Viviane Chaine-Ribeiro envisage la fin de l'exercice avec confiance, « la poursuite d'une activité soutenue » semblant se confirmer.
En vue, des solutions dans le cloud public
Mi juin, Lefebvre Software a réuni ses utilisateurs pour la 5ème édition des Interactives, sa journée clients. A cette occasion, la société a annoncé sa stratégie dans le domaine du cloud computing. Un premier volet, orienté cloud privé, s'appliquera aux actuelles solutions de l'éditeur. « Nos logiciels seront modifiés ou adaptés pour supporter des déploiements mutualisés et sécurisés en environnements virtualisés », a expliqué Viviane Chaine-Ribeiro, lors d'un entretien accordé fin juin. Le second volet de la stratégie concernera le cloud public, avec un paiement à l'usage. « Nous avons annoncé la création d'un catalogue d'offres et de fonctions plus spécialisées », a rappelé la présidente de Lefebvre Software en précisant que le droit d'usage sera calculé au volume, à l'utilisateur. Dans un premier temps, l'éditeur mettra à disposition, sur Microsoft Azure, un outil destiné à gérer les écritures « interco » [intercompany], c'est-à-dire internes à une entreprise ou à un groupe. L'offre sera suivie d'une gestion des immobilisations (facturée suivant la taille de l'entreprise), une solution qui se prête aussi à un usage ponctuel.
Une offre rebaptisée Talentia
Avant l'été, l'éditeur a par ailleurs regroupé l'ensemble de ses offres sous un nouveau label, Talentia, avec des déclinaisons par produits : Talentia RH, Talentia Assets, Talentia SaaS et Talentia Finance. Cette dernière gamme a évolué vers une version 2.0, full web. Après le succès de son portail décisionnel RH, Lefebvre Software a annoncé la préparation d'un portail décisionnel pour la finance. Une première ébauche en a été présentée sur les Interactives avec une sortie prévue pour la fin de l'année. Ce portail vise tous les utilisateurs ayant besoin d'indicateurs financiers, principalement pour faire du contrôle et de l'audit. Le même module fonctionnera avec les offres des clients Lefebvre Software, quelle que soit leur origine : Iris Finance, Comptarel ou Arcole. Une équipe transversale travaille à leur intégration avec l'ensemble de l'offre. Cela signifie que les clients pourront les utiliser à l'avenir, même s'ils utilisent d'autres produits. « L'investissement du client ne sera plus lié à Lefebvre Software, ce qui nous permettra aussi de nous adresser à d'autres entreprises, souligne Viviane Chaine-Ribeiro. Nos produits seront prêts à fonctionner avec tout logiciel de finance et de paie comme une solution complémentaire. » Elle rappelle qu'en période de crise, les clients ne cherchent pas à révolutionner leur back-office.
Illustration : L'offre logicielle de Lefebvre Software est maintenant rassemblée sous le label Talentia (crédit : Lefebvre Software)
Recap été 2011 (août) : Google gobe Motorola, HP change de stratégie, Steve Jobs démissionne
Les services prennent leur revanche sur le hardware
Google a choisi le 15 août, jour férié, pour annoncer qu'il rachetait Motorola Mobility, qui construit les smartphones Android, mais également la tablette Xoom. Le prix de la transaction 12,5 milliards de dollars a laissé les analystes sceptiques. Est-ce que Google cherche à s'aligner sur le modèle d'Apple ou bien investit-il dans un portefeuille de brevets pour se prémunir contre de futures attaques. Cette opération conforte la tendance que l'avenir des terminaux mobiles repose sur le logiciel. Le rapprochement Nokia-Microsoft en est une autre preuve.
HP se réoriente vers les services
Ce phénomène transparaît aussi dans les annonces de Leo Apotheker, PDG de HP en expliquant qu'il avait décidé d'arrêter ses terminaux sous WebOS et de chercher des solutions pour se séparer de sa division PC. Il a également annoncé le rachat de l'éditeur britannique Autonomy pour 10 milliards de dollars. Cette réorientation a laissé les analystes perplexes et a surtout fait chuter le cours de bourse. Pour solder son aventure dans les tablettes, HP a bradé les TouchPad entraînant ainsi une ruée sur les sites de commerce en ligne. Des développeurs se sont empressés de vouloir porter Android sur la tablette, alors que d'autres s'interrogent sur l'avenir de WebOS.
Steve Jobs démissionne
La fin du mois d'août a vu un message de la part de Steve Jobs qui annonce sa démission du poste de CEO d'Apple. Il garde son poste de président du conseil d'administration de la firme de Cupertino, qui a nommé Tim Cook pour le remplacer. Les analystes se sont posés la question sur l'avenir d'Apple après le départ de Steve Jobs et aussi sur son successeur Tim Cook, héritier naturel du gourou de Cupertino. Steve Jobs peut se vanter d'avoir amené Apple au zénith, au mois d'août la capitalisation boursière de la société est devenue brièvement la première mondiale devant Exxon. Elle est devenue également le premier fournisseur de smartphone au monde. Pour assoir encore un peu plus sa domination, Apple n'hésite pas à attaquer ses concurrents comme Samsung pour leur interdire de vendre sa tablette ou ses smartphones dans certains pays.
Winshuttle ajoute un add-on de SharePoint à ses outils de saisie dans SAP
Winshuttle édite une gamme d'outils destinée à faciliter la saisie de données dans les applications de gestion SAP, à partir de logiciels tels qu'Excel et SharePoint, ou de formulaires web. La société, installée à Bothell, dans l'Etat de Washington, a racheté cet été l'éditeur californien ShareVis. Ce dernier a développé des fonctions de workflow et de suivi du cycle de vie d'un document qui reposent également sur l'environnement SharePoint, de Microsoft.
Lewis Carpenter, PDG de Winshuttle, considère que les deux sociétés partagent la même vision en concevant des produits qui permettent « à des utilisateurs sans connaissances informatiques particulières » de bâtir des solutions pour améliorer les processus autour de leurs applications d'entreprise. La technologie de ShareVis va être intégrée immédiatement dans la solution de formulaires de son acquéreur.
Mises à jour massive sur les données
Au catalogue de Winshuttle figure quatre logiciels distincts, par ailleurs intégrés dans la suite Studio. Transaction sert à automatiser la saisie dans SAP en améliorant la qualité des données. Query permet d'extraire et de compléter les données SAP via Excel, puis de les analyser, toujours avec l'interface du tableur ou bien avec Access. Ces deux outils peuvent être utilisés lorsqu'il faut procéder à des mises à jour massives sur les données, à des fins de maintenance.
Avec Forms, l'entreprise peut créer des formulaires pour récupérer des données auprès des salariés, clients et fournisseurs. Enfin, Direct fournit un accès aux API (interfaces de programmation) et aux RFM (remote function modules) de SAP.
L'an dernier, Winshuttle a levé 12 millions de dollars en capital-développement auprès de Summit Partners pour soutenir l'extension de ses activités à l'international.
Illustration : La suite Studio inclut le logiciel Transaction (crédit : Winshuttle)
IFA 2011 : Apple obtient le retrait d'une tablette Samsung
Selon les indications d'un porte-parole de Samsung, Apple a obtenu une injonction d'un tribunal de Düsseldorf concernant la Galaxy Tab 7.7. En conséquence, l'entreprise a dû retirer la tablette de son stand d'exposition à l'IFA 2011. Selon une information du quotidien autrichien « Standard.at », le constructeur coréen a décidé de combler le vide laissé par le retrait de sa tablette en présentant un autre modèle, le Note, un terminal mobile doté d'un écran de 5,3 pouces, pilotable avec un stylo et qui se situe à la frontière entre le smartphone et la tablette.
Le conflit qui oppose Samsung et Apple n'est pas nouveau. En effet, la firme de Cupertino avait déjà contesté la mise sur le marché du Galaxy Tab 10.1, prédécesseur du modèle doté d'un écran 7,7 pouces. Selon Apple, cette tablette serait trop similaire à l'iPad et à l'iPhone. Une décision définitive du tribunal de Düsseldorf sur cette question est attendue le 9 septembre.
ICTJournal.ch (...)(05/09/2011 12:37:01)Chrome fête ses 3 ans d'existence
Le navigateur Chrome a trois ans (depuis le 2 septembre dernier) et Google, son créateur, n'a eu de cesse de le rendre plus rapide, plus simple et plus intelligent. Pour fêter cet anniversaire, l'équipe Chrome a produit une frise interactive HTML5 matérialisant l'évolution des technologies web qui permettent aux navigateurs de gagner tous les jours en utilité et en efficacité.
Un outsider très ambitieux
On y découvre comment la toile et les navigateurs (Mosaic, Netscape, Opera, Internet Explorer, Safari, Firefox et Chrome) modernes ont évolué à partir des débuts modestes, à l'aube des années 90, des technologies HTTP et HTML 1.0. Aujourd'hui, Chrome est le troisième navigateur en part de marché 23,17% derrière la fondation Mozilla où Firefox récolte 27,5% et le leader Internet Explorer de Microsoft avec 40%. L'outsider peut se targuer d'avoir apporté au monde des navigateurs plusieurs innovations comme la sandbox, un moyen de rendre plus sûr le navigateur, une plus grande intégration des outils HTML5, etc.
Illustration : La frise de Chrome
Crédit Photo: Google (...)
Retouche du Code des Marchés publics sur les contrats globaux
Certaines dispositions applicables aux marchés et contrats relevant de la commande publique sont modifiées (*), à la suite de la publication au journal officiel, fin août, du décret n°2011-1000 du 25 août 2011. Deux mesures ont des répercussions directes pour les DSI du secteur public et les prestataires informatiques.
L'article 19 du décret refond l'article 56 du Code des Marchés Publics. Désormais, les réponses aux appels d'offres de marchés publics doivent être envoyées par voie électronique si le pouvoir adjudicateur (le client public) l'impose, si le montant du marché est supérieur à 90 000 euros et que le fournisseur le souhaite, ou bien, si le marché concerne l'informatique. La possibilité de répondre par la voie papier est donc un peu restaurée.
Marchés associant conception, réalisation et exploitation ou maintenance
A l'article 20, la section 3 du décret s'intitule « Marchés associant conception, réalisation et exploitation ou maintenance ». Elle permet la passation de tels marchés qui étaient auparavant interdits. Ce type de contrats est pourtant fréquent dans l'informatique des entreprises. Et, de fait, il y avait une certaine hypocrisie à ce sujet dans le secteur public, les mainteneurs étant de fait le plus souvent en lien avec les concepteurs. La possibilité de tels contrats négociés en un bloc permettra une transparence globale des tarifs. Trop de fournisseurs cassaient les prix sur la conception pour se rattraper sur la maintenance où ils étaient seuls candidats.
Ce type de contrat est possible pour les marchés publics en dialogue compétitif, un type de marché requérant un important investissement en avant-vente. Il nécessitera dans tous les cas de se baser sur des indicateurs de qualité de service mesurables.
(*) référence NOR : EFIM1104658D
Illustration : site Legifrance.gouv.fr, n°2011-1000 du 25 août 2011, article 20 (crédit : D.R.)
Nouvelles Frontières consolide l'hébergement de ses activités web
Pour servir deux millions de visiteurs uniques mensuels, Nouvelles Frontières disposait de quatre hébergeurs pour ses différents sites web et les redondances de sécurité associées. Le voyagiste français souhaitait développer son activité sur le web, mutualiser au maximum ses services et infrastructures, afin d'en diminuer les coûts et de gagner en souplesse dans une activité à forte saisonnalité. Outre ses activités d'organisation de voyages, le groupe gère une compagnie aérienne (Corsairfly), des hôtels-clubs et deux enseignes de distribution (Nouvelles Frontières et Havas Voyages).
Pour atteindre ses objectifs, Nouvelles Frontières a choisi un nouvel hébergement unifié entièrement fourni par Interoute. Celui-ci couvre la boutique en ligne, le site institutionnel et le site d'enchères ainsi que les outils de routage des newsletters et de gestion des e-mails entrants, les services VIP et les services de l'enseigne Havas. L'ensemble des applications a été déployé dans des environnements virtuels.
2 à 3 jours gagnés par cycle de développement
La newsletter est traitée en deux fois moins de temps avec deux fois moins de serveurs, explique la société. Chaque machine virtuelle est hébergée sur le matériel adapté en fonction de sa criticité et du niveau d'exigence des applications concernées. Le coût est ainsi optimisé. De plus, les opérations de tests peuvent s'effectuer sur de nouvelles machines virtuelles dédiées avant le passage en production. Nouvelles Frontières estime avoir gagné deux à trois jours par cycle de développement avec cette seule évolution. De la même façon, en cas de besoin, de nouvelles machines virtuelles peuvent être déployées en quelques instants.
Côté réseau, Nouvelles-Frontières dispose en standard d'une bande passante de 100 Mb/s. Cette bande passante peut évoluer en cinq minutes jusqu'à 1 Gb/s. Les pics de trafic constatés ont déjà atteint 500 Mb/s. Le coût du contrat n'a pas été précisé.
Illustration : le site web de Nouvelles Frontières (crédit : D.R.)
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