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(01/03/2012 15:24:20)

HR Access réorganise sa direction en Europe

Spécialisée sur les solutions et services d'externalisation de gestion des ressources humaines et de paie, avec son offre intégrée HRa Suite 7, la société HR Access vient de nommer Franck Boutboul au poste de président et CEO pour l'Europe, le Moyen-Orient et l'Afrique (EMEA). Celui-ci était auparavant directeur général pour cette région, actuellement divisée en trois parties : l'Europe de l'Ouest, l'Espagne/Portugal et la zone MEA.

C'est par ailleurs Xavier Daguzan, directeur général de HR Access France, qui a été promu directeur général pour l'Europe de l'Ouest. Il supervisera les opérations pour cette zone qui, outre l'Hexagone, comprend aussi la Belgique, les Pays-Bas, l'Allemagne, la Suisse, l'Italie, le Royaume-Uni, l'Irlande et le Luxembourg.

En 2011, HR Access dit avoir enregistré une croissance de 10% de son chiffre d'affaires (non communiqué) et gagné 50 clients. La société compte un peu plus de 1 300 collaborateurs dans le monde et 2 300 clients. Elle a noté sur son dernier exercice une augmentation significative des prises de commandes sur les services externalisés, activité qui représente plus de 20% de son chiffre d'affaires sur la zone EMEA. HR Access indique gérer les ressources humaines de plus de 10 millions de personnes dans le monde, sur un mode interne ou en mode externalisé.

(...)

(01/03/2012 11:25:11)

Oracle rassure encore les utilisateurs de PeopleSoft

Oracle a confirmé encore une fois son engagement à poursuivre ses investissements dans sa ligne de logiciels PeopleSoft, à l'occasion de la conférence tenue mi février par le club de ses utilisateurs britanniques (UK Oracle User Group). Comme Chris Leone, responsable de la stratégie sur les applications pour le groupe, l'avait expliqué à Paris en décembre dernier,  l'arrivée de Fusion Applications ouvre une voie de cohabitation entre les actuelles gammes et la nouvelle offre. Rosie Warner,  responsable du développement de l'activité HCM (Human Capital Management) chez Oracle UK, l'a redit la semaine dernière à Londres : « Non, Fusion n'impacte pas l'investissement dans PeopleSoft, il y a une coexistence entre les deux offres ».

Certains utilisateurs s'étaient inquiétés mais lorsqu'ils ont assisté à la session présentant la feuille de route PeopleSoft sur la conférence UKOUG, ils ont semblé beaucoup plus à l'aise, a-t-elle commenté à nos confrères de Computerworld UK. Les clients peuvent exploiter ensemble PeopleSoft et Fusion Application parce que la structure de données utilisée permet de partager celles-ci de façon unifiée entre les deux systèmes. Rosie Warner a précisé qu'il y avait actuellement 110 clients dans le monde qui avaient emprunté cette voie et que 140 clients étaient en production avec l'offre RH de Fusion ou s'apprêtaient à l'être.

La version 9.2 de PeopleSoft est prévue pour fin 2012

La demande pour les produits PeopleSoft est toujours forte néanmoins, dans la mesure où les clients sont libres de choisir l'option qui se trouve être la plus simple pour eux, a ajouté Rosie Warner. Elle note que les fonctions de la version 9.1 sont très appréciées et souligne qu'il s'agit de la meilleure adoption constatée jusqu'à présent pour une version. « Sur douze mois, le taux de rétention client s'est élevé à 97%. Le pic historique pour ce taux s'est situé en 2005 » [NDLR : le rachat de PeopleSoft par Oracle a été effectif le 6 janvier 2005]

Selon la responsable de l'offre, parmi les apports appréciées de la version 9.1 figurent son mode de recherche plus intuitif et ses fonctionnalités de Business Intelligence. L'application peut s'utiliser à partir d'un navigateur web, sur différents terminaux mobiles, dont les iPad et iPhone d'Apple. La prochaine version du produit, PeopleSoft 9.2, est attendue pour la fin de cette année.

A ces deux gammes dévolues à la gestion des RH s'en ajoutera une troisième lorsque le rachat de Taleo par Oracle sera effectif. L'offre acquise fonctionne dans le cloud ce qui la met plutôt en concurrence avec Fusion. Elle comporte des applications de gestion du recrutement et de l'accueil des employés dans l'entreprise, ainsi que des modules de gestion de la performance et de la rémunération des collaborateurs. Il y a quelques jours, Oracle a expliqué à grands traits comment il comptait organiser son catalogue d'offres RH dans la perspective de cet arrivée.

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(28/02/2012 17:19:46)

Itinérance : Orange va réduire les coûts d'appel au sein de l'UE

L'opérateur Orange annonce, mardi 28 février, le lancement d'une nouvelle offre combinant voix, SMS et données en un seul forfait, utilisable dans toute l'Union européenne pour les utilisateurs occasionnels. Le but est de simplifier et de rendre plus économique le "roaming" (faculté de pouvoir appeler ou être appelé de l'étranger). Ce projet sera mis en oeuvre dans le courant de l'année 2012, sous la forme de forfaits au jour, à la semaine, voire même au mois.

Orange précise qu'en France, par exemple, les clients pourront acheter un forfait comprenant 10 minutes de voix, 10 SMS et 10Mo de données internet quotidiens, pour environ 4€ à 5€, à partir de juin. Les offres, déjà disponibles en Espagne, en Belgique et en Roumanie, seront étendues à d'autres pays en 2012, dont la France, le Royaume-Uni et la Pologne.

Ce projet s'accompagne d'une application dédiée, Orange Travel, permettant aux clients de contrôler leur consommation de données lors de voyages partout dans le monde.

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(28/02/2012 16:50:01)

Oracle livre Exalytics et se prépare à affronter HANA de SAP

Moins de cinq mois après l'annonce d'Exalytics, Oracle livre son serveur dédié aux applications analytiques. C'est le dernier produit en date dans sa famille d'appliances spécialisées (qui comporte déjà Exadata et Exalogic). Sur le marché, Exalytics va entrer en concurrence avec la solution HANA de SAP. L'une comme l'autre ont recours à une technologie « in-memory » qui porte les données à analyser en mémoire afin d'augmenter les performances de traitement.

C'est seulement en octobre que l'offre Exalytics a été dévoilée par Larry Ellison, sur sa conférence OpenWorld 2011. Le délai avec lequel elle a été mise sur le marché a donc été relativement court. Oracle a également annoncé une mise à jour de sa suite décisionnelle OBIEE (Business Intelligence Foundation Suite), optimisée pour l'appliance Exalytics. Cette dernière utilise OBIEE avec une version de la base de données in-memory TimesTen ajustée pour les traitements analytiques. L'ensemble fonctionne sur une  plateforme matérielle spécialisée incluant un serveur Sun Fire équipé de 1 To de mémoire vive et exploitant des processeurs Xeon E7-4800 d'Intel rassemblant 40 coeurs. La connectivité entre les éléments combine des liaisons Infiniband à 40 Gb/s et Ethernet à 10 Gb/s. Les machines peuvent être chaînées ensemble pour en augmenter la puissance.

A partir de 164 700 dollars sans le logiciel

Exalytics dispose aussi de fonctions de cache in-memory qui permet au fil de l'eau de déterminer quelles informations doivent être gardées en mémoire pour optimiser la performance. Selon Oracle, les tests réalisés (notamment chez les clients) ont montré des applications de reporting et de tableaux de bord fonctionnaient jusqu'à 100 fois plus vite sur Exalytics.

La tarification de l'offre a été communiquée le mois dernier assez discrètement. Dans un document mis à jour le 10 janvier, on pouvait découvrir que le modèle Exalytics In-Memory Machine X2-4 était listé à 135 000 dollars, dans la configuration décrite plus haut, auxquels s'ajoutent 29 700 dollars pour le support annuel et autres coûts. Toutefois, les différents logiciels nécessaires à son fonctionnement augmentent sensiblement son prix. Un expert a confié le mois dernier à nos confrères d'IDG News Service que le prix d'une machine Exalytics complètement équipée devrait sans doute atteindre les 3 millions de dollars, après prise en compte des remises accordées sur le logiciel. 

SAP ne communique pas publiquement de prix pour HANA. Les systèmes sont vendus par différents partenaires assurant la partie matérielle, dans une gamme de configurations incluant l'édition Edge pour les PME annoncé au début de ce mois

Guerre des mots entre Oracle et SAP

Alors qu'Exalytics se focalise sur les applications d'analyse, HANA est également destiné à des traitements transactionnels, en conjonction avec le produit phare de SAP, la Business Suite (ERP et applications périphériques). Malgré tout, la concurrence entre les deux produits risque d'être acharnée, si l'on se réfère à la guerre des mots à laquelle les deux éditeurs se sont déjà livrés.

En octobre déjà, Sanjay Poonen, l'un des responsables de SAP, avait publié une tribune critique sur Exalytics après sa présentation par Larry Ellison. Il y affirmait que l'offre d'Oracle reposait sur une architecture dépassée, trop coûteuse pour ce qu'elle cherchait à réaliser.

La semaine dernière, c'est un responsable d'Oracle qui a posté à son tour un billet de blog vengeur sur HANA. Aussitôt taclé par un tweet de Vishal Sikka, directeur technique de SAP, dénonçant les mensonges et les informations dénaturées qu'il contenait. Le billet de blog d'Oracle a depuis été supprimé.

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(28/02/2012 12:19:17)

MWC 2012 : Des puces Intel dans des smartphones ZTE, Orange et Lava

A l'occasion du Mobile World Congress de Barcelone, Intel a annoncé de nouvelles puces pour smartphones et indiqué que ZTE, Orange et Lava allaient fabriquer des terminaux basés sur sur ses processeurs Atom. Pour l'instant, les processeurs ARM dominent le secteur des smartphones et des tablettes, mais Intel consacre beaucoup de ressources pour s'octroyer une part sur ce marché en croissance et convaincre les fabriquants de terminaux d'utiliser son architecture processeur. Il indique que ZTE, Orange et l'entreprise de télécommunications indienne Lava International figurent désormais sur la liste des opérateurs prêts à développer des smartphones et des tablettes « Intel Inside ».

L'annonce de partenariat avec ces entreprises ressemble à celle faite précédement avec Motorola Mobility. Ainsi, ZTE proposera aussi bien des smartphones que des tablettes basés sur le processeur Atom, le premier terminal étant prévu pour la seconde moitié de l'année 2012. Selon Yves Maitre, vice-président senior de la division Mobile chez Orange, l'opérateur commencera à commercialiser son smartphone sous Android 'Santa Clara' entre la fin du premier trimestre et le début du troisième trimestre.

Atom Z2460 à 1,6 GHz pour le smartphone d'Orange

Le smartphone d'Orange, qui intègre un processeur Intel Atom Z2460 tournant à 1,6 GHz, présente un écran de 4,03 pouces avec une résolution de 1024x600 et dispose d'un appareil photo de 8 mégapixels. Le smartphone sera fabriqué par Gigabyte et vendu au Royaume-Uni et en France.

Quant au smartphone XOLO X900 de l'opérateur indien Lava, il possède les mêmes spécifications que celui d'Orange et sera vendu en Inde au cours du deuxième trimestre de cette année. « Orange et Lava ont fabriqué, chacun de leur côté, des téléphones sur la base du design d'Intel, lequel permet un développement plus facile des produits », a déclaré Paul Otellini, le PDG du fondeur californien.

Un Z2000 à 1 GHz pour les téléphones à bas coût

Intel a annoncé par ailleurs que le processeur Z2460 existant pourra tourner à des vitesses d'horloge pourvant atteindre les 2 GHz. En outre, le fondeur a élargi son catalogue de puces avec un processeur Z2580 qui, selon lui, est deux fois plus performant que le Z2460. Le Z2580 supporte également la technologie LTE (Long Term Evolution) en plus des normes 2G et 3G. « Les premiers produits basés sur ce processeur seront disponibles au cours de la première moitié de l'année prochaine », comme l'a indiqué Intel.

L'entreprise a également jeté son dévolu sur les smartphones à bas coût. Ainsi, Intel espère notamment intégrer un processeur Z2000 tournant à 1GHz dans des téléphones low-cost et pense que les premiers smartphones basés sur ce processeur seront sur le marché début 2013.

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(28/02/2012 10:18:54)

La Fondation Dauphine scrute l'équipement numérique des Français

Première donnée livrée par le Baromètre trimestriel de l'économie numérique lancé par la Fondation Dauphine : trois foyers sur quatre, sont équipés d'un micro-ordinateur. Au total, 20 162 000 Français disposent de cet équipement. 73,9% des foyers, en hausse de 1% par rapport au troisième trimestre 2011. La même proportion, ou presque, se retrouve dans l'accès Internet : 19 896 000 de foyers sont concernés, 72 ,9%, en hausse de 1,8% par rapport au T3 2011. Précisant un peu plus ce point, l'étude montre que 18 526 000 de foyers disposent d'un accès internet haut débit. Cela correspond à 67,9% des foyers, en augmentation de 1,2%. Et 93% des foyers accédant à Internet le font en haut débit.

Voilà pour l'équipement de base. Concernant les  sujets plus récents, l'étude montre que 7,6% des Français disposent de la TV connectée (la télécommande permet d'accéder à Internet sur le téléviseur), c'est 2 073 000 de français, en hausse de 31% (491 000 de plus en trois mois).

Au-delà du quantitatif, le Baromètre veut montrer quels sont les usages. Au cours du dernier mois, 18 666 000 de personnes ont effectué un achat en ligne, soit 34,6% des Français. Ils sont 38,8%, soit 20 923 000, à pratiquer la banque en ligne, en baisse de 2% par rapport au trimestre précédent. La pratique des sites communautaires (Facebook, Myspace, Youtube, Viadéo...) est encore plus populaire, avec 48,1% d'adeptes, soit 25 920 000 de Français, en baisse de 1%.

44 millions de mobiles, 17 millions de smartphones

La mobilité présente un visage différent. D'abord par le nombre d'utilisateurs. 82,5% des Français possèdent un téléphone mobile, soit  44 460 000 abonnés, 8 Français sur 10. 17 004 000 ont un smartphone, soit  40% des téléphones mobiles en circulation.

Là encore, l'étude scrute les usages. 42,8% des mobinautes ont consulté un service mobile (au cours du dernier mois), leur messagerie, ou bien ont téléchargé.  31,7% ont envoyé ou consulté leur mail, à partir de leur mobile. 10,2% ont effectué un achat à partir de ce téléphone.

L'étude se penche longuement sur les forfaits et demande aux Français quelles raisons les pousseraient à changer de fournisseur d'accès. Très nettement, le prix arrive en tête, avec  85% des réponses, suivi de (très) loin par la qualité de connexion (36,7%), le débit (33,4%), l'accès à davantage de services (30,1%). Le prix est donc largement plébiscité, mais, dans les tranches d'âge des 15-34 ans, les services proposés et les fonctionnalités des matériels arrivent en tête. Les plus de 50 ans mettent en avant la qualité de service.

Le Baromètre se risque ensuite à quelques questions plus diverses pour tester la maturité des Français. Résultat : ils connaissent largement le nom du 4ème opérateur de mobiles qui vient de se lancer (plus de 80%), savent que le téléphone mobile permet d'acheter en ligne (plus de 80%), mais sont une minorité (moins de 10%) à avoir revendu des cadeaux de Noël sur Internet.

(*) La Chaire d'économie numérique de l'Université Paris-Dauphine dirigée par le professeur Dominique Roux et la Fondation Dauphine sont à l'initiative de ce projet

Méthodologie :
Trois études : équipement multimédia T4 et T3 2011 (Médiamétrie et GFK) avec 22 000 foyers interrogés par an, Observatoire des usages Internet (T4 et T3 2011) portant  sur  1 000 individus de 11 ans et +, Mobile consumer insight téléphonie et services mobiles (T4 et T3 201) réalisée chaque trimestre sur 3 000 individus de 11 ans et +.
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(27/02/2012 15:13:01)

Nanotechnologie : les images moléculaires d'IBM aident à la miniaturisation

IBM a étudié le comportement de structures moléculaires placées sur des surfaces artificielles. « L'objectif est de rendre ces molécules fonctionnelles dans le futur, pour les utiliser comme des interrupteurs ou des transistors par exemple », a déclaré Fabian Mohn, chercheur chez IBM. Ce sont des techniques de microscopie et d'imagerie avancées qui ont été utilisées pour voir comment se répartissait et se distribuait la charge de liaisons chimiques formées entre atomes et molécules placés sur ces surfaces.

« Cette percée de la recherche est un pas en avant dans la compréhension, le contrôle et le peaufinage des structures moléculaires des systèmes électriques », a déclaré le chercheur. Par exemple, une molécule qui aurait des propriétés intéressantes pour séparer des photons en charges positives et négatives dans chaque direction pourrait faciliter et rendre plus efficace la transformation de la lumière en électricité par les cellules solaires. 

Utiliser les recherches pour modifier le graphène

« Cette découverte permet aussi de mieux comprendre l'efficacité d'une structure moléculaire comme interrupteur, diode ou transistor », a déclaré Michael Crommie, professeur de physique à l'Université Berkeley de Californie, et chercheur auprès du Lawrence Berkeley National Laboratory. « Certaines personnes pensent qu'il serait intéressant d'utiliser les molécules comme des blocs de construction pour les systèmes électriques », a déclaré le chercheur qui n'a pas participé à la recherche d'IBM. « L'un des problèmes est de trouver comment organiser les molécules sur ces surfaces pour faire ce que nous voulons qu'elles fassent. Beaucoup de chercheurs travaillent sur le sujet. »

« La technique d'IBM repose sur un outil de diagnostic qui permet aux chercheurs de mieux caractériser les petites structures », a déclaré Michael Crommie. Les molécules sont des assemblages d'atomes ayant des configurations particulières et reliées entre elles par des liaisons chimiques. Elles se comportent différemment selon l'environnement. Les électrons maintiennent les atomes ensemble et donnent aux molécules toutes leurs propriétés. La façon dont les systèmes moléculaires peuvent se comporter est infini. « Les chercheurs aimeraient prédire le comportement moléculaire sur les surfaces et affiner les structures en conséquence », a expliqué l'universitaire. Par exemple, l'outil d'IBM pourrait aider les chercheurs du Lawrence Berkeley National Laboratory à créer des dispositifs de graphène plus efficaces en leur appliquant des modifications au niveau atomique. Michael Crommie voudrait modifier le graphène en ajoutant ou en supprimant une charge, ou encore voir comment le graphène influe sur le comportement d'une molécule.
[[page]]IBM a mené ses propres recherches sur le graphène. L'an dernier, l'entreprise a montré un transistor de graphène capable d'exécuter 155 milliards de cycles par seconde, soit 50% plus rapide que les précédents transistors expérimentaux réalisés par les chercheurs d'IBM. On sait que les flux d'électrons sont plus rapides sur les transistors au graphène que les transistors classiques, et permettent des transferts de données plus rapides entre les processeurs.

Cependant, des questions demeurent, notamment pour savoir si les molécules peuvent être utilisées comme base de construction pour les semi-conducteurs. Il est également difficile de prédire la portée des découvertes annoncées par IBM. « Il faudra sans doute des années de recherche et d'expérimentation pour vérifier si les structures moléculaires peuvent se comporter de manière rationnelle dans un environnement de synthèse », a estimé Michael Crommie. « C'est de la recherche fondamentale. Ce n'est pas comme optimiser un processus qui existe déjà. Les chercheurs d'IBM cherchent de nouvelles combinaisons de matériaux qui ne sont pas utilisées dans l'industrie. On est encore loin de la production », a ajouté l'universitaire.

Prochaine étape, des circuits à l'échelle nanométrique

Selon Fabian Mohn d'IBM, la prochaine étape pourrait consister à porter la technique plus loin, pour connecter des molécules ou fixer des molécules sur le métal pour réaliser des circuits à l'échelle nanométrique par exemple. L'objectif ultime d'IBM est de faire progresser la technologie pour fabriquer des dispositifs électroniques. Mais c'est au fur et à mesure des avancées qu'il sera possible de préciser l'orientation de cette recherche. « C'est comme l'informatique quantique. En principe, on pense que ça pourrait être utile. Mais nous n'en sommes pas encore au stade des applications directes », a déclaré le chercheur.

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(27/02/2012 14:33:40)

MWC 2012 : Samsung montre sa tablette Galaxy Note 10.1

Samsung avait fait sensation l'été dernier, en présentant à l'IFA de Berlin son Galaxy Note, sorte d'hybride entre un smartphone et une tablette. A l'occasion du Mobile World Congress, qui se déroule à Barcelone du 27 février au 1er mars, le fabricant sud-coréen présente sa tablette Galaxy Note 10.1. Directement inspirée de ce smartphone, elle est aussi équipée d'un stylet et fonctionne sous Android Ice Cream Sandwich. Samsung n'a pas encore annoncé de date de sortie précise ni de prix pour cette nouveauté.

Cette tablette dispose d'un écran de 10,1 pouces (pour une définition de 1280 x 800 pixels) et est équipée d'un processeur double-coeur, cadencé à 1,4GHz. Multitâche, le Galaxy Note 10.1 est aussi multi-écran, la tablette permettant le partage de l'écran en plusieurs zones afin de visualiser simultanément des pages web, des vidéos ou n'importe quelle application.

Deux applications compatibles avec S Pen 

La technologie S Pen, déjà vue sur la Galaxy Note, est une solution de stylet d'une extrême précision pour naviguer, travailler, dessiner ou simplement prendre des notes. Le Galaxy Note 10.1 dispose d'un large panel de modèles types : notes de réunion, magazines, journal de bord, etc. Enfin, il possède en exclusivité deux applications, Photoshop Touch et Ideas, signées Adobe et compatibles avec S Pen, permettant de retoucher ses photos comme sur un PC classique.

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(24/02/2012 15:16:22)

Adobe en dit plus sur la suite CS6 et le lancement de Creative Cloud

Les technologies de distribution évoluant rapidement, Adobe doit accélérer la fréquence de ses mises à jour. C'est ce qu'a expliqué Eric McCashey, senior marketing manager d'Adobe, dans un entretien accordé à nos confrères de Computerworld. En particulier, au fur et à mesure de la sortie de nouvelles tablettes connectées, et alors que le HTML5 et le CSS3 permettent de créer de nouveaux formats, il devient nécessaire pour l'éditeur d'avoir un rythme plus soutenu que son cycle actuel. « Les utilisateurs ne peuvent pas attendre qu'Adobe mette son produit à jour une fois par an », a t-il déclaré. « Ils ont besoin de nouveaux outils rapidement. »

Eric McCashey pense aussi que le modèle d'abonnement convient mieux à l'offre combinée d'outils et de services proposés par le biais de Creative Cloud. Néanmoins, le produit Creative Suite continuera à être vendu, à la fois sous forme de suite et de logiciels individuels, et Adobe continuera à vendre des mises à jour traditionnelles et des abonnements pour des applications séparées.

De Photoshop à Dreamweaver en passant par Premiere

Annoncée en automne dernier lors de la conférence Adobe Max, l'offre hébergée Creative Cloud comprend les versions CS6 de tous les outils de la Creative Master Collection Suite, c'est à dire Photoshop CS6, Illustrator CS6, InDesign CS6, Flash Pro CS6, Dreamweaver CS6, Premiere Pro CS6 et After Effects CS6, ainsi que la dernière version d'Acrobat Pro. Un abonnement Cloud permet aux utilisateurs d'avoir accès aux versions Mac et Windows de tous les logiciels. Le bundle comprendra Muse, Edge, Photoshop Lightroom 4 et les applications Touch Apps pour tablettes. La première version finale de Muse, l'outil de design web très proche d'InDesign et actuellement en version bêta, sera proposé avec Creative Cloud. L'application photo Photoshop Lightroom 4 et l'outil d'animation Edge Web seront encore en version bêta après la livraison de CS6, mais les versions finales seront ajoutées dès leur sortie à l'abonnement Creative Cloud.

Les versions pour iPad des Touch Apps - Photoshop Touch, Collage, Debut, Ideas, Kuler et Proto - actuellement disponibles pour tablettes sous Android, étaient censées être lancées au premier trimestre 2012. Mais l'éditeur n'a toujours pas révélé à quel moment, ni comment, il prévoyait de livrer ses applications pour la tablette d'Apple, sans passer par l'App Store, ce qui l'obligerait à les vendre séparément. Les abonnés auront également droit à un espace de stockage partagé en ligne de 20 Go qu'ils pourront élargir s'ils le souhaitent. S'y ajouteront les capacités de synchronisation 'à la Dropbox', un hébergement de site Business Catalyst, l'accès à la bibilothèque de fontes en ligne Typekit pour des projets web. [[page]]
Adobe lance également un site communautaire en ligne qui propose des formations, des forums et des vitrines pour les projets. Mais celui-ci ne sera pas prêt au moment du lancement du service. Creative Cloud comprend les mises à jour futures et permettra également aux abonnés de profiter des nouveaux outils avant qu'ils n'apparaissent dans les mises à jour du calendrier régulier d'Adobe - un peu à l'image de ce que fait Autodesk pour les abonnés à ses outils 3D comme Maya et 3ds Max. Les abonnés pourront également avoir accès aux versions bêta des outils. Mais cela ne remplacera pas le site Adobe Labs qui donne accès à des preview gratuites. Selon Eric McCashey, les nombreux outils ajoutés seront souvent des versions finales à part entière « qui bénéficieront des mêmes pré-tests et de la même charte de qualité rigoureuse que les mises à jours traditionnelles. »


Stockage partagé et espaces de travail

Egalement dans les tuyaux, plutôt pour la fin de l'année cette fois, ce que le directeur marketing senior décrit comme « des services d'équipe ». Cela concerne notamment du stockage partagé et des espaces de travail, la gestion des licences et la possibilité d'ajouter des commentaires pour valider numériquement des projets. Eric McCashey indique que tous les détails de l'offre seront rendus public avant la sortie de CS6 de manière à ce que les studios de création et les bureaux d'étude puissent décider s'ils préfèrent upgrader leur suite ou chacun de leurs produits individuellement ou s'ils choisissent de s'abonner au service Creative Cloud. 

Pour les freelances et autres indépendants, l'abonnement au service standard (sur une base annuelle) de Creative Cloud coûtera 50 dollars par mois et 70 dollars par poste et par mois pour les groupes de travail. Adobe ne veut divulguer aucun autre détail sur les prix pour l'instant, mais Eric McCashey a réaffirmé que toutes les informations seraient disponibles avant la sortie de CS6 pour éviter toute confusion. Parallèlement, Adobe a livré plusieurs aperçus des outils qui feront leur apparition dans Creative Suite 6.

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(24/02/2012 09:38:10)

Wikirating, une agence de notation financière participative

Depuis octobre 2011, les internautes ont la possibilité de noter eux-mêmes les pays et exprimer eux-mêmes leur estimation de la capacité de remboursement d'un pays. Le site Wikirating vise à donner une note alternative à celle des agences de notations. Cette idée est née début 2011 dans la tête de deux ingénieurs basés en Suisse, Dorian Credé et Erwan Salembier, face à la puissance des agences de notation, le manque de transparence dans leur méthodologie, et l'absence d'alternative offerte aux investisseurs. Né après 1 an et demi de développement, ce site est basé sur le mode wiki: les utilisateurs sont aussi des acteurs. Sa mise en page ressemble d'ailleurs à s'y méprendre à l'encyclopédie participative Wikipedia. En quelques mois, le site a déjà rencontré un grand succès puisqu'il compte quelques 400 membres et environ un millier de nouveaux visiteurs chaque jour.

Polling, la note des internautes

Sous le nom de Polling, le premier indice a été déterminé par les internautes entre le 18 et 30 décembre 2011. Durant cette période, les 198 pays ont reçu 2542 votes uniques, dont 61 ont reçu plus de 10 votes. C'est ce qui a permis de déterminer la note des différents pays. Au final, les pays du Nord sont généralement notés plus sévérement par les internautes qu'ils ne le sont pas les agences de notation historique : Ainsi par exemple, pour la période étudiée, la Suisse obtient un AA+ sur Wikirating contre un AAA pour les agences Standard & Poor's, Moody's et Fitch. Autre exemple, la France obtient un A+ sur Wikirating contre un AAA pour les agences Standard & Poor's, Moody's et Fitch.

Associer un côté humain à la notation

Un second indice, le « Sovereign Wikirating Index » ou SWI, est, quant à lui, calculé de manière mathématique. Pour définir la note d'un pays, indicateur de sa capacité de remboursement, cet indice mêle des données de macro-économiques obtenues auprès de la BCE ou du FMI avec des critères plus humains. Ainsi cet indice est calculé à partir de la dette publique (50% du calcul), la balance des paiements (20%), le taux de croissance (10%), l'inflation (10%), le taux de chômage (10%). Le résultat est ensuite ajusté en la multipliant par un «facteur d'ajustement» composé de l'indice de développement humain (IDH) (pondération 60 %), de l'indice de perception de la corruption (pondération 20 %) et de l'indice de stabilité politique (pondération 20 %). Cette nouvelle agence de notation saura-t-elle s'imposer au monde de la finance?
ICTjournal.ch (...)

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