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(22/02/2012 14:08:54)
Sogeti accompagne ses clients dans le cloud Windows Azure
Le cloud présente un énorme potentiel de développement pour les SSII. Sur ce terrain, « la plateforme d'évidence pour Sogeti, c'est le PaaS », expose François Merand, chargé de développer l'offre applicative Microsoft pour Sogeti France. « Et Azure est l'un de nos axes privilégiés ». La SSII a noué un partenariat très fort avec l'éditeur. Elle conçoit, développe et met en oeuvre des applications à exploiter dans le cloud. En complément, elle a bâti avec Microsoft l'offre Azure Privilege Club (APC) pour aider les clients à déterminer quels projets ils pourraient porter dans cet environnement.
Les entreprises connaissent plutôt bien le cloud dans ses versions IaaS(*), matérialisées par les datacenters de leurs partenaires, et SaaS, popularisées par des acteurs comme Salesforce.com ou Google. En revanche, le PaaS doit encore convaincre. « D'où la nécessité d'un accompagnement », explique Jason De Olivera, manager et architecte solutions senior chez Sogeti France. C'est lui qui est chargé de développer le programme APC dont l'objectif est d'accélérer la prise de décision autour du PaaS.
Il reste des freins à l'adoption du PaaS
Parmi les freins à une adoption rapide, le fait que les données soient gérées dans une infrastructure cloud située hors de France reste un problème soulevé par les RSSI (pour l'Europe, les datacenters Azure de Microsoft se trouvent en Irlande et aux Pays-Bas ; si les clients ne le spécifient pas, leurs données peuvent être gérées dans d'autres datacenters, situés aux Etats-Unis ou ailleurs). Autre remarque souvent formulée par les DSI : que faire de mes ressources techniques si l'informatique se déplace dans le cloud. Des solutions hybrides peuvent être trouvées à partir de l'existant, rappelle Jason De Olivera.
L'Azure Privilege Club propose avant tout un accompagnement et du conseil. La partie technique ne représente qu'un tiers de l'intervention qui dure environ six mois. Une phase d'évaluation (assessment) permettra d'identifier les opportunités : « Quelles données va-t-on mettre dans le cloud, comment trouver le projet éligible, quels sont ceux qui ne le sont pas tout de suite, ceux qui ne le sont pas... Et comment transformer l'entreprise pour que cela soit un succès », énumère le responsable du programme APC. Cette première phase dresse une liste des applications éligibles au cloud. Un examen plus détaillé débouche sur deux ou trois candidates au Proof of Concept. Ce peut être une refonte d'un existant ou une création de projet. Le client doit disposer en interne des ressources pour développer ces prototypes. C'est la seule vraie façon d'avoir entre les mains les éléments humains et financiers pour savoir quels projets mener et créer un guide de bonnes pratiques, souligne-t-on chez Sogeti.
Objectif : 50 clients pour APC 2012
L'initiative APC vient de démarrer sa deuxième édition. En 2011, un premier club avait regroupé une dizaine de grands clients de Sogeti dans le monde évoluant dans différents secteurs d'activité (industrie, grande distribution, éditeurs de logiciels, société de presse...). Deux entreprises françaises y figuraient, implantées dans l'énergie et la pharmacie/santé.
En 2012, la SSII aimerait rassembler une cinquantaine de clients au niveau international dont une dizaine en France. « Les Proof of Concept que l'on va faire, ce sont des projets que l'on démarre », explique François Merand en rappelant que le Time-to-market rapide est l'un des avantages du cloud. Parmi les enjeux : l'adhésion des équipes et quelquefois aussi, la transformation des modèles métiers (par exemple pour les éditeurs de logiciels qui modifie leur mode de facturation).
Un sponsor exécutif, à la direction de la DSI
Le format du club permet aux entreprises d'échanger leurs expériences autour de ces projets. Il y a par exemple dans Azure différents services prédéveloppés tels que la base de données, le service bus (fonctionnalités de connectivité sécurisées pour créer des applications distribuées et hybrides sur site et dans le cloud), ou encore le service de mise en cache pour un accès très rapide. « Cela ne fait pas sens d'utiliser tous les composants dans une application », expliquent les responsables de Sogeti. Les participants au programme Azure Privilege Club se rencontrent d'abord à Dublin, dans le datacenter de Microsoft, pour une réunion de lancement de deux jours au cours de laquelle sont évoquées les objectifs respectifs. Un nouvel échange s'opère à l'issue du projet.
« Nous travaillons au niveau de la direction de la DSI, avec un sponsor exécutif », insiste François Merand. Il faut une équipe suffisamment étoffée pour mener l'opération comme un vrai projet : un architecte et des intervenants métiers « car Azure impacte fortement le métier de l'entreprise ». Microsoft fait intervenir pour sa part ses ressources techniques, le client se voyant proposer une seule offre packagée.
(*) IaaS, infrastructure as a Service, PaaS, Platform as a Service, SaaS, Software as a Service.
Les tablettes soumises à la taxe sur la copie privée au 1er mars
C'est le jeudi 1er mars qu'entrera en vigueur la taxe sur la copie privée à destination des tablettes, selon une décision publiée au Journal officiel le 21 février. La rémunération s'étendra de 0,09€ pour une capacité de stockage inférieure à 128Mo jusqu'à 12€ pour toute tablette embarquant un disque dur de plus de 40Go. Les constructeurs auront deux solutions soit répercuter cette redevance sur le prix final du produit, soit prendre en charge cette taxe sans modifier leur prix.

Après Apple, Microsoft accuse Google de contourner les règles de confidentialité d'IE
Lundi, Microsoft a accusé Google de contourner les protections sur la vie privée de son navigateur Internet Explorer. Ces accusations font suite à celles portées la semaine dernière contre Google à propos du navigateur Safari d'Apple. Dans un blog, Dean Hachamovitch, vice-président Corporate pour Internet Explorer, a expliqué comment Google s'y prenait pour contourner les politiques de confidentialité du navigateur de Microsoft. Par défaut, IE bloque les cookies dits de tierce-partie, sauf si le site oppose au navigateur un P3P Compact Policy Statement qui expose la manière dont le site utilisera le cookie et s'engage à ne pas suivre la trace de l'utilisateur.
Le P3P (Platform for Privacy Preferences Project) est un protocole W3C utilisé par les sites Web pour spécifier, dans un format standard, la façon dont ils envisagent d'utiliser les informations recueillies auprès des personnes consultant le site en question. Les navigateurs supportant le P3P peuvent bloquer ou autoriser les cookies en fonction des préférences de confidentialité déterminées par les utilisateurs. Les cookies de tierce-partie sont répartis par nom de domaines, et traités différemment de ceux apparaissant dans la barre d'adresse du navigateur. « Techniquement, Google utilise une nuance dans la spécification P3P, ce qui a pour effet de contourner les préférences de l'utilisateur concernant les cookies », a écrit Dean Hachamovitch. « La politique P3P de Google repose en fait sur une déclaration qui ne respecte pas une politique P3P. Celle-ci est destinée à être « lue » par un individu, alors qu'une politique P3P doit être lisible par les navigateurs », a t-il expliqué. « Les navigateurs répondant aux normes P3P interprètent la déclaration de Google comme un engagement à ne pas utiliser le cookie pour le traçage de l'utilisateur ou à tout autre fin », a t-il ajouté. « En envoyant ce texte, Google contourne la protection du cookie et permet à ses cookies tiers d'être autorisés plutôt que bloqués », écrit-il.
Microsoft a aussi sa part de responsabilité
Une chercheuse suggère que Microsoft a aussi sa part de responsabilité. « Les entreprises ont découvert qu'elles pouvaient mentir dans leurs déclarations P3P, et personne n'a pris la peine d'y remédier », a déclaré Lorrie Faith Cranor, professeur agrégée de Sciences informatiques, d'Ingénierie et de Politique publique à l'Université Carnegie Mellon, dans un blog. « Les entreprises ont également découvert que, en raison d'un bug dans IE, si leurs déclarations de confidentialité ne sont pas valides, IE ne les bloquera pas. » Selon la chercheuse, Google n'est pas le seul à contourner le protocole P3P et le problème pose une question plus large en matière de respect de la vie privée par les navigateurs. Par exemple, dans le cas de Facebook, le site présente une déclaration P3P qui dit simplement que « Facebook n'a pas de politique P3P. » « Cette déclaration de confidentialité P3P, qui tient sur une ligne, est invalide et a pour seul objectif d'empêcher le blocage du cookie par IE », a t-elle expliqué. « Des milliers d'autres sites ont des énoncés de confidentialité P3P qui ne correspondent pas à leurs pratiques réelles », a t-elle ajouté. Sollicité pour un commentaire, Facebook n'a pas répondu.
« L'excuse que tout le monde fait valoir pour justifier ce contournement c'est de dire que le protocole P3P est mort, qu'IE empêche, à cause du P3P, d'ajouter des fonctionnalités intéressantes sur les sites, et que ce contournement des contrôles de confidentialité du navigateur ne pose pas de problème », dit encore Lorrie Faith Cranor, qui a présidé le groupe de travail sur le P3P. Elle a reconnu qu'il fallait se battre pour maintenir le protocole. Mais elle suggère que si les acteurs de l'industrie n'aiment pas le P3P, ils n'ont qu'à demander à Microsoft de le retirer de son navigateur. De même, l'industrie pourrait demander à des organismes de normalisation de déclarer la mort du P3P. « Personne ne veut prendre cette initiative parce que cela pourrait remettre en question l'efficacité des mesures prises par l'industrie elle-même pour protéger la vie privée », a t-elle avancé.
La chercheuse aurait alerté Microsoft en 2010
Selon le blog All About Microsoft, la chercheuse aurait alerté Microsoft en 2010 sur cette possible violation de la vie privée avec la méthode utilisée par Google et décrite aujourd'hui par l'éditeur. « Microsoft a demandé à Google de respecter les paramètres de confidentialité P3P des utilisateurs pour tous les navigateurs », a affirmé Dean Hachamovitch. Celui-ci fait par ailleurs remarquer que ce problème n'a pas d'incidence sur les utilisateurs qui activent la nouvelle fonctionnalité de protection de la vie privée Tracking Protection dans IE 9.
Le billet posté par Microsoft fait suite à un article publié la semaine dernière par le Wall Street Journal qui a fait pas mal de bruit. En effet, le journal américain accuse Google de contourner les politiques de confidentialité de Safari et de tracer ainsi l'activité des internautes sur les sites Web. Google suivrait l'activité des possesseurs d'iPhone et autres terminaux utilisant le navigateur Safari d'Apple. Google s'est défendu en disant que l'article du Wall Street Journal transformait la réalité. Le géant de l'Internet a nié tracer les utilisateurs, mais il a reconnu qu'il avait introduit « par mégarde » des cookies publicitaires sur les téléphones des utilisateurs, installés sans consentement.
Microsoft supportera 5 ans de plus Windows 7 et Vista grand public
Microsoft a étendu de cinq ans le support des versions grand public de Windows 7 et Windows Vista, harmonisant ainsi sa durée de vie avec celui des éditions entreprise de l'OS. L'éditeur explique qu'il revoit sa politique de support autour de son système d'exploitation. Un mouvement qu'il a opéré plutôt discrètement et qu'il a finalement confirmé après la publication de l'information par Ed Boot, un blogueur de ZDNet.
Jusqu'à présent, Microsoft fournissait au grand public des mises à jour de sécurité et des correctifs de bugs sur une période de cinq ans dans le cadre du support principal (mainstream). Alors que du côté professionnel, le logiciel est maintenu pendant au moins dix ans : la première moitié en support mainstream, la seconde en support étendu. Durant cette deuxième partie, les mises à jour de sécurité sont fournies à tout le monde, mais la correction des bugs est uniquement proposée aux entreprises ayant signé un contrat de support avec Microsoft.
Avant cette modification, les éditions grand public de Vista (Home Basic, Home Premium, Starter et Ultimate) devaient être retirées du support dans moins de deux mois, le 10 avril 2012. Désormais, elles seront couvertes jusqu'au 11 avril 2017. Concernant Windows 7, le support des éditions grand public devait s'arrêter le 13 janvier 2015. Cette date butoir vient d'être reportée au 14 janvier 2020.
2023 pour le support des éditions grand public de Windows 8 ?
Une porte-parole de Microsoft a expliqué que l'éditeur veut faire en sorte que toutes les éditions grand public de l'OS puissent recevoir cinq ans de support principal et cinq ans de support étendu, afin que toutes les versions du système d'exploitation bénéficient des mises à jour de sécurité aussi longtemps qu'elles utilisent le service pack le plus récent.
Par conséquent, les éditions grand public de Windows 8 -dont les différentes versions pour postes de travail n'ont pas encore été annoncées- seront supportées pendant au moins dix ans après leur mise sur le marché. Si Windows 8 est commercialisé au quatrième trimestre de cette année, on peut donc penser qu'il sera maintenu jusqu'en 2023.
Ce n'est pas la première fois que Microsoft prolonge le support pour certaines versions d'OS. En 2007, il avait repoussé à 2009 la fin du support mainstream de Windows XP Home et son retrait à avril 2014, la calant sur le calendrier de Windows XP Professional. Autre édition à avoir bénéficié d'un sursis, Windows XP, Microsoft ayant autorisé les fabricants de PC à en équiper les ordinateurs portables jusqu'à mi 2010, entravant de ce fait l'évolution de Linux sur ce marché.
Microstrategy renforce l'utilisation de sa BI sur mobile
Pour enrichir l'exploitation mobile de ses outils de Business Intelligence, Microstrategy a livré avec la dernière version de son offre une série de fonctionnalités permettant d'exploiter plus confortablement et plus efficacement ses outils sur les tablettes et smartphones. Son application Microstrategy Mobile, déjà disponible pour l'iPad sur iTunes, l'est désormais aussi sur l'Android Market (pour Android 2.1 à 3.2). Elle permet de visualiser les données de l'entreprise via des tableaux de bord et des graphiques dynamiques.
Parmi les améliorations apportées par la version 9.2.1m de l'offre de Microstrategy en utilisation mobile, l'affichage se modifie et redimensionne ses contenus en fonction de la rotation du terminal. Des contenus supplémentaires peuvent être ajoutés par widgets. On dispose de la fonction « pincer pour zoomer » pour agrandir le rapport ou le document. S'ajoutent à cela la prise en charge des transactions mobiles hors ligne, ainsi qu'un suivi de la qualité du réseau qui informe les utilisateurs de la bande passante réseau disponible. Le logiciel supporte les fonctions d'authentification SSO de Siteminder (de CA). Pour naviguer dans un document de plusieurs pages, il suffit de taper au bord de l'écran pour feuilleter rapidement le rapport. Un widget affiche des événements et différents détails dans une frise chronologique (timeline) à laquelle les utilisateurs pourront se référer pour effectuer des comparaisons dans le temps. Par ailleurs, sur les terminaux sous iOS, il est possible de mettre en oeuvre les fonctionnalités d'accessibilité telles que VoiceOver.
En mode déconnecté, les utilisateurs pourront préparer des transactions qui seront mises en attente pour la prochaine connexion. Enfin, avec le widget Multimedia, on peut se connecter à des systèmes de gestion de fichiers comme WebDAV et SharePoint pour récupérer des données multimédias dans l'application mobile.
Microstrategy Mobile sur iPad
Annuels Archos : Forte progression des revenus en 2012
Archos est présent sur le marché depuis 1988, d'abord avec plusieurs générations de baladeurs et depuis 2009 avec des tablettes. Le groupe publie des résultats 2011 exceptionnels, le chiffre d'affaires (CA) est passé à 171,4 millions d'euros (ME) contre 83,3 un an auparavant, et 57,9 ME en 2009.
Le constructeur se situe maintenant au 1er rang des constructeurs européens sur les tablettes de moins de 400 euros (enquête GFK) et second en volume derrière Apple tous segments confondus (ex aequo avec Samsung).
Le groupe veut continuer sa forte croissance en 2012, dans les pays émergents en termes géographiques, sur les segments spécialisés comme l'éducation, tout en mettant au point des produits design et innovants. Il a lancé fin 2011 la gamme Génération 9.
Annuels SQLI : des résultats de consolidation
SQLI réalisait 170,1 millions d'euros en 2010, pour 2011 elle passe à 164,7. Une année de consolidation, un CA « conforme aux attentes » note la société. La rentabilité serait cependant en forte progression, SQLI évoque le résultat opérationnel courant qui devrait tripler par rapport aux 2,6 ME de l'exercice précédent.
La société s'est séparée de SQLI Poitiers, de SQLI Méditerranée mais a acheté Wax Interactive. Le périmètre s'est donc légèrement modifié. Par ailleurs, les activités n'ont pas évolué de la même manière. La partie ingénierie est en croissance, de même que solutions, en revanche les activités conseil, intégration ERP et Web Agency suivent le chemin inverse.
La société insiste également sur ses efforts de gestion interne, sont taux d'activité est porté à 82,3% en hausse de deux points, les coûts directs et indirects sont réduits, l'offshore à partir du Maroc est monté en puissance.
90 000 comptes du laboratoire Roche vont passer sur Google Apps
Le Groupe Roche est un laboratoire pharmaceutique présent dans 140 pays avec 90 000 collaborateurs. Or, les systèmes de messagerie et de calendrier partagés devenaient réellement obsolètes, bloquant une collaboration efficace depuis deux ans. Le comité exécutif réfléchissait aux différentes solutions possibles.
Finalement, la société a choisi Google Apps. Roche a notamment apprécié l'intégration des services de messagerie e-mail avec anti-spam intégré, de messagerie instantanée, de conversation vidéo, de calendrier, etc. De plus, la délégation d'infrastructure administrable en ligne propre au SaaS a été aussi un élément important.
Le déploiement de GoogleApps va se faire à partir de début 2012.
Le coût du projet n'a pas été précisé.
Annuels Acer : Rebond en fin d'année sur fonds de crise
Le groupe Acer finit l'année 2011 sur une petite note d'optimisme. Lors du quatrième trimestre de son exercice 2011, son résultat d'exploitation affiche un sursaut à 2,4 millions de dollars après avoir été négatif sur l'ensemble de l'année. Les bonne nouvelles s'arrêtent là. D'une part, parce que ce résultat d'exploitation trimestriel est en régression de 98% comparé au quatrième trimestre 2010. D'autre part parce que le chiffre d'affaires du même trimestre est en baisse de 14,3% à 4,2 milliards de dollars sur un an. Acer y trouve toutefois une source de satisfaction puisque sur un mois, les revenus progressent de 8,3%.
Au final, Acer aura réalisé un exercice 2011 calamiteux. Son chiffre d'affaires s'est en effet replié de 24,4% à 15,7 milliards de dollars comparé à 2010. Un recul que le fabricant explique en bonne partie par une sortie de bilan exceptionnel dans la zone EMEA au second trimestre. Au niveau mondial, le résultat d'exploitation annuel du groupe taïwanais a chuté, passant de 601 millions de dollars en 2010 à -212 millions de dollars cette année. Son résultat net s'affiche également dans rouge à -219 millions de dollars alors qu'il s'élevait à 499 millions de dollars un an plus tôt.
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