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(23/06/2011 12:09:04)

Windows XP reste majoritaire dans l'entreprise, selon Forrester

Selon un récent rapport du cabinet d'étude Forrester, même si les entreprises mettent davantage de machines sous Windows 7 de Microsoft, près de 6 PC sur 10 du parc informatique tournent encore sous l'ancien système Windows XP. Ainsi, sur l'ensemble des ordinateurs PC qui se sont connectés au site de Forrester Research au mois de mars - le mois le plus récent pour lequel l'entreprise dispose de données - près de 21% tournaient sous Windows 7. Certes, c'est plus du double comparé aux 9,5% enregistrés un an auparavant pour Windows 7. Toujours est-il que Windows XP reste le système d'entreprise le plus largement utilisé et conserve, malgré ses 10 ans d'âge, une marge conséquente : au mois de mars, sur les 400 000 machines qui ont visité le site Forrester.com, 59,9% tournaient sous Windows XP.

Arrêt du support de XP en 2014

Pour Ben Gray, analyste chez Forrester et co-auteur du rapport sur les tendances en matière de système d'exploitation et de navigateur Internet, l'adoption de Windows 7 « s'accélère ». Mais dans le même temps, il rappelle que XP reste majoritaire. De plus, Windows XP ne devrait plus bénéficier d'aucun support technique de la part de Microsoft à partir d'avril 2014, ce qui signifie que l'éditeur va cesser de fournir des mises à jour de sécurité, des correctifs et autres pour son OS. L'analyste se dit confiant et pense que, d'ici là, la majorité des systèmes XP seront mis à la retraite et remplacés par de nouvelles machines tournant sous Windows 7. « Au cours de l'année qui vient, la plupart des entreprises migreront vers Windows 7, alors que la date de la fin du support pour Windows XP approche », a écrit Ben Gray dans son rapport. Selon Forrester, les systèmes d'exploitation XP et Vista ont tous deux perdu des parts au profit de Windows 7 au cours des 12 derniers mois, Vista étant particulièrement touché, puisque l'OS est tombé de 11,3% en avril 2010 à 6,2% seulement en mars 2011.

Migration douce de Vista vers 7

Le suivi effectué par Forrester montre par ailleurs que Vista a culminé à 14% en novembre 2009, soit un mois après le lancement de Windows 7. « Ce n'est pas surprenant, mais les entreprises abandonnent Windows Vista en faveur de Windows 7 », a expliqué l'analyste. Peu après son lancement en janvier 2007, Vista avait été particulièrement critiqué par les utilisateurs, et démoli par la plupart des commentateurs et des analystes. Ben Gray fait remarquer que « le seul point positif à propos de Vista, c'est qu'il partage avec Windows 7 le même code de base, et les entreprises qui s'étaient engagées avec Vista ont pu migrer en douceur quand elles sont passées à Windows 7 ».

Mac OS X passé de 9,1 à 11% en un an

Avec 87,6% de tous les ordinateurs professionnels exécutant l'un de ses systèmes d'exploitation, Microsoft conserve son hégémonie au sein de l'entreprise. Mais, selon Ben Gray, certaines entreprises ont cédé à la pression des salariés qui demandaient à travailler avec leurs propres machines. [[page]]Cette tendance à la « consumérisation » de l'entreprise, comme l'ont surnommé les analystes, a été en particulier poussée par l'iPad d'Apple. Mais, comme l'indiquent les statistiques de Forrester, le Mac a également bénéficié de la tendance : plus de 1 salarié sur 10 utilise désormais un ordinateur Apple. « Entre avril 2010 et mars 2011, la présence de Mac OS X est passée de 9,1% à 11% », a déclaré Forrester. «Les salariés, attirés par le système bring-your-own, qui autorisait d'apporter sa propre machine au travail, ont rapidement compté sur un support technique pour Mac et iOS », écrit l'analyste.

Une diversité croissante de machines et d'OS

Les données de Forrester en matière de systèmes d'exploitation utilisés dans l'entreprise rejoint les tendances observées par d'autres analystes, y compris celles établies par des sociétés sur comme Net Applications, qui effectue une mesure globale de la présence des systèmes et des navigateurs sur Internet. Ainsi, selon Net Applications, en mars 2011, Windows XP détenait 54.4% du marché, contre 24,2% pour Windows 7, donc un peu en dessous pour XP et un peu au-dessus pour Windows 7 comparé à l'estimation faite par Forrester. (En mai 2011, la part de XP était tombée à 52,4%, tandis que Windows 7 avait grimpé à 25,9%). Pour établir ces résultats, Forrester a analysé les systèmes d'exploitation de 400 000 ordinateurs de 2 500 entreprises qui se sont connectés à son site Internet au cours de l'année écoulée.

Selon Ben Gray, « ces chiffres mettent en évidence les problèmes que doivent résoudre les services informatiques des entreprises », a t-il écrit. « Même si Windows 7 s'impose comme système d'exploitation dominant dans l'entreprise, les responsables informatiques vont continuer à être confrontés à une diversité croissante de machines et d'OS », écrit-il. L'utilisation de Windows XP et de Vista dans l'entreprise a diminué au cours des 12 derniers mois, alors que Windows 7 et Mac OS X ont gagné du terrain. (...)

(23/06/2011 09:48:47)

Les logiciels d'entreprise retrouvent le sourire selon Gartner

Après les déconvenues qu'il a connu en 2009, le marché mondial des logiciels d'entreprise poursuit sa reprise sur un bon rythme. D'après Gartner, il devrait terminer l'année sur un chiffre d'affaires de 267 milliards de dollars, s'appréciant ainsi de 9,5% en valeur comparé à l'année précédente. En 2012, sa hausse devrait se poursuivre pour atteindre +7,8% à 288 milliards de dollars de revenus.

Segment le plus important du marché, celui des logiciels d'infrastructures devrait connaître une progression de 9% cette année et atteindre ainsi un chiffre d'affaires de 153,3 milliards de dollars. Les systèmes d'exploitation sont les principaux contributeurs aux revenus de ce sous ensemble (32,6 milliards de dollars prévus en 2011), suivis des systèmes de gestion de bases de données (25,5 milliards de dollars).

Les ERP toujours drivers

De leur côté, les solutions applicatives devraient avoir généré 114,4 milliards de dollars de facturations à la fin de l'année. Elles afficheraient ainsi une progression de 10,2% sur un an. Les ERP, qui constituent la plus forte source de revenus de ce segment de marché, devraient générer 23,3 Md$ de chiffre d'affaires, suivis par les suites bureautiques dont les ventes atteindront 15,7 Md$, selon Gartner.

S'agissant de l'Amérique du Nord, le cabinet d'études prévoit que le marché des logiciels d'entreprise dans  son ensemble représentera 121,2 Md$ de revenus en 2011, soit une hausse de 7,3% comparé à 2010. Pour le marché plus dynamique de l'Europe de l'Ouest, il anticipe une progression de 11% environ à 78,3 Md$.
(...)

(22/06/2011 12:07:51)

Oracle s'offre Fatwire Software, éditeur de solutions de gestion des sites web

Oracle a annoncé mardi qu'il avait conclu un accord pour acquérir Fatwire Software, un éditeur de logiciels d'optimisation  des sites web pour un montant non encore communiqué. Grâce aux logiciels de Fatwire Software, les décideurs peuvent modifier, analyser et optimiser le contenu et le design des sites web. Ces solutions permettent également de créer une segmentation des clients pour délivrer des messages ciblés, Ainsi, des interactions peuvent être effectuées entre les clients en ligne dans différents points de contacts, magasins, boutiques en ligne, centres de contact, canaux mobiles et  réseaux sociaux.

Plus de 300 clients dans le monde

En novembre dernier,  Oracle avait acquis Art Technology Group, un spécialiste du e-commerce  en déclarant que la convergence croissante entre le commerce traditionnel et Internet appelait à une plate-forme technologique unifiée qui relie ensemble tous les canaux.

Fatwire Software, dont le siège est situé à Mineola, dans l'état de New York, compte  Barclays, Best Buy, Cisco, Ford et Pfizer parmi ses clients. Plus de 300 entreprises mondiales dans les services financiers, la santé, les médias et les industries de détail utilisent ses logiciels pour optimiser leurs sites web. Les deux entreprises possèdent des clients communs à travers de multiples industries.

(...)

(22/06/2011 11:00:51)

La SNCF mise sur le social commerce avec Facebook (MAJ)

Voyages-sncf suit la montée du social commerce. Yves Tyrode, directeur général, a annoncé, mardi 21 juin, que l'entreprise allait désormais utiliser Facebook pour distribuer et proposer de nouveaux services aux internautes. Cette application collaborative baptisée « Petits voyages entre amis » sera disponible à partir de septembre 2011.

Cette application permet de créer son propre voyage ou de s'inscrire à un voyage proposé par voyages-sncf.com. Le client qui organise son voyage peut sélectionner plusieurs horaires et plusieurs prix à proposer à ses amis. En revanche, l'achat des billets de trains ne pourra pas être réalisé avec la monnaie virtuelle de Facebook, les « Facebook credits ». L'achat sera finalisé directement sur le site de voyages-sncf.com. Toutes ces informations seront ensuite visibles sur la page Facebook dédiée à ce voyage.

Pour Yves Thyrode, il s'agit d'un formidable canal de distribution pour voyages-sncf.com. Il espère accroitre significativement sa visibilité et son nombre de clients. Cet optimisme s'explique par les statistiques issues du partage par les clients des informations relatives à leurs voyages sur Facebook. « Un post sur un mur Facebook, engendre 2,1 visites additionnelles sur voyages-sncf.com » se félicite le directeur général.

Un partenariat sécurisé

Preuve que le partenariat est stratégique, Facebook était présent en la personne de Julien Codorniou, directeur des partenariats chez Facebook. Quel est l'intérêt de Facebook dans cette démarche ? Il s'agit d'accroître la fréquentation de sa plate-forme de réseau social et de rendre son usage naturel pour tout type d'action, en proposant aux internautes d'accéder à de nouveaux services, ici la vente de billets de trains. Côté SNCF, c'est « une acquisition gratuite de clients pour voyages-sncf.com » affirme Julien Codorniou.

Pour le directeur des partenariats, il s'agit d'un exemple typique de la capacité de Facebook à générer des « leads » (contacts) qualifiés pour ses partenaires, ici voyages-sncf.com. Il souligne également que ces données sont anonymes et ne font donc pas l'objet d'un ciblage commercial.

Dans le même temps, voyages-sncf.com va commencer progressivement à utiliser le protocole 3-D Secure pour les paiements sur internet. Conscient que ce protocole peut être plus contraignant pour ses clients, voyages-sncf.com proposera des alternatives de paiement.

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(22/06/2011 10:56:09)

Taleo acquiert Jobpartners pour 26 millions d'euros

L'éditeur de solutions de GRH  en mode SaaS Taleo s'est offert Jobpartners, spécialiste de la gestion des ressources humaines et du recrutement pour environ 38 millions de dollars, soit 26 millions d'euros. Grâce à cette acquisition, Taleo bénéficiera d'une plus grande présence auprès des clients européens et deviendra l'un des principaux fournisseurs de gestion des talents SaaS de la région. Outre le fait d'accroître ses capacités de vente et de support au niveau local, Taleo tirera également profit du centre de développement de Jobpartners, situé en Europe de l'Est.

Des solutions disponibles dans une cinquantaine de pays

Jobpartners fournit des solutions de gestion des talents à des multinationales telles que Carrefour, Deutsche Post DHL, Nationwide, Nike EMEA, Rabobank et Xerox. Ses applications sont disponibles dans plus de 50 pays, s'adressent à tous les secteurs d'activité et sont proposées dans 28 langues.

Le conseil d'administration de Jobpartners a donné le feu vert à cette acquisition, qui devrait être finalisée dans le trimestre qui se termine le 30 septembre 2011 selon les conditions de clôture d'usage.

Pour l'exercice 2011, l'acquisition de Jobpartners devrait accroître le chiffre d'affaires PCGR (norme comptable canadienne) de Taleo de 2 à 3 millions de dollars et son chiffre d'affaires non PCGR de 5 à 6 millions de dollars.

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(22/06/2011 10:47:03)

Le club des utilisateurs francophones de SAP se met en ordre de bataille

« En un an, l'USF [Utilisateurs Francophones de SAP], est passé de club des grands utilisateurs du PGI de SAP au club de tous les utilisateurs francophones de toutes les solutions SAP, notamment en fusionnant avec le club des utilisateurs BO » s'est réjoui Claude Molly-Mitton, président de cette association. Le bilan 2010-2011 est, il est vrai, particulièrement riche en initiatives : livre blanc pour guider les négociations avec l'éditeur (voir ci-dessous), programme d'influence internationale initié par le Sugen (club international des dirigeants de clubs d'utilisateurs), et bien entendu convention nationale en octobre 2011.

Cette dernière aura lieu à Strasbourg les 5 et 6 octobre sur le thème générique de la prévention et de l'appréhension des risques dans l'entreprise et le rôle du SI dans cela. Géographiquement proche du siège historique de SAP en Allemagne et au coeur de l'Europe, cette convention sera largement ouverte à l'international avec, pour la première fois, un parcours en Anglais (avec traduction simultanée) de 8 ateliers animés par des clubs d'utilisateurs européens. Cette convention abritera 66 stands de partenaires-sponsors, dont un village BO. Plusieurs intervenants ouvriront la convention à des sujets connexes à la seule informatique : Alain Juillet (ex-haut fonctionnaire à l'Intelligence Economique, aujourd'hui président du CDSE, le club des directeur de la sécurité d'entreprise), l'alpiniste Catherine Destivelle... En tout, il sera proposé aux participants deux matinées de plénières et 80 ateliers de retours d'expériences (dont 10 gérés par SAP qui présentera notamment le seul client « In Memory » français, Casino).

Une influence à court, moyen et long terme

Mais l'USF a aussi un autre sujet de satisfaction : l'aboutissement du programme d'influence voulu par le Sugen. Il s'agit pour les clubs d'utilisateurs, dans le cadre d'un partenariat avec SAP, d'avoir enfin voix au chapitre sur l'évolution à court (améliorations quotidiennes des produits), moyen (innovation) et long (concepts stratégiques) termes des offres de l'éditeur.

Cela se traduira notamment par un accès généralisé aux roadmaps avec la capacité à les critiquer. Pour les demandes d'évolutions à court terme, un portail collaboratif va être mis en place pour remplacer l'ancienne procédure des « development requests » : les clubs nationaux auront pour tâche de trier les demandes des utilisateurs, de les créer sur le portail et, après discussion interne, de les prioriser. Le risque évident de cette nouvelle procédure est que la transparence accrue pour les utilisateurs se paye en délais supplémentaires. Ce point sera bien sûr un objet particulier d'attention pour l'USF. SAP devrait communiquer sous peu les modalités du lancement de ce portail.

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(22/06/2011 10:40:21)

Google et Microsoft marques préférées des Français

Lorsqu'il s'agit d'évoquer les marques qu'ils aiment, les Français donnent des places de choix aux spécialistes d'Internet. Si dans le classement général Google arrive en tête, d'autres opérateurs en ligne parviennent à se hisser aux premières places des classements par catégorie. C'est le cas de YouTube (deuxième) pour les « médias », mais aussi d'Amazon.com (troisième) et Vente-privée.com (quatrième) pour la « distribution ».

Autre enseignement de cette étude : les marques dans le coeur des Français ne sont pas forcément les plus attendues. Si bon nombre de Français sont des aficionados de l'iPhone d'Apple, Microsoft supplante la marque à la pomme et obtient la première place du podium « télécoms, high-tech ». Du côté des opérateurs de téléphonie, Free (sixième) peut se targuer d'être préféré à SFR (septième), Bouygues Telecom (huitième) et Orange (neuvième).

Ce classement s'est appuyé sur une sélection de 101 marques, chacune notée sur 200 en fonction des réponses apportées à 11 questions. Un échantillon de 4.179 personnes représentatif de la population française de 15 ans et plus a été interrogé.

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(22/06/2011 10:25:19)

Une croissance spectaculaire pour le cloud public selon IDC

C'est bien simple, « Le cloud computing va continuer à remodeler le paysage informatique au cours des cinq prochaines années, les dépenses sur les services de cloud public se développeront  avec un taux de croissance annuel composé (TCAC) de 27,6%, passant de 21,5 milliards de dollars en 2010 à 72,9 milliards de dollars en 2015 » analyse IDC. Le cabinet d'études assure même que cet effet d'entraînement du cloud va dynamiser la croissance de l'industrie informatique pour les 25 prochaines années.

Selon Frank Gens, senior vice-président et analyste en chef chez IDC, « les services cloud sont interconnectés et accélérés par les technologies de rupture, parmi lesquelles les appareils mobiles, les réseaux sans fil, ou les réseaux sociaux. Et de hisser le cloud au rang de troisième plate-forme de croissance à long terme pour l'industrie IT, après le mainframe et le PC. Le cloud, lui aussi élargit considérablement le nombre d'utilisateurs et d'usages ».

Les services de cloud affichent une croissance quatre fois supérieure à la dépense informatique mondiale. Pour sept dollars dépensés en progiciels, serveurs et solutions de  stockage, en 2015, un sera lié au modèle cloud. IDC note d'autres éléments. En 2015, le cloud public comptera pour 43% de la nouvelle croissance nette dans cinq catégories de produits : applications, développement et déploiement d'applications, logiciels d'infrastructure, stockage, serveurs. Les logiciels en SaaS alors représenteront les trois quart des dépenses de cloud public.

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