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(19/11/2010 15:33:39)
Facebook et Myspace redéfinissent leur territoire
Myspace a dévoilé ce qu'elle appelle un « Mashup avec Facebook ». Ce terme est essentiellement un lien entre les deux sites qui permet aux utilisateurs d'afficher les goûts et intérêts de leurs profils Facebook vers leurs pages Myspace, via Facebook Connect. La fonction est présentée comme la possibilité donnée aux utilisateurs de MySpace de créer un flux personnalisé de contenus de divertissement. Cette fonctionnalité est disponible immédiatement à travers le monde.
Grâce à ces mesures, MySpace renonce à concurrencer Facebook. À la mi-2009, ComScore a rapporté que Facebook a attiré 70,278 millions de visiteurs uniques aux États-Unis, juste devant MySpace totalisant 70,237 millions. En avril 2010, MySpace avait près de 111 millions de visiteurs uniques et le site de réseau social affichait 519 millions de visiteurs uniques monde.
Chacun dans son rôle
Myspace s'est alors concentré sur la musique et le cinéma. Lors d'une conférence de presse téléphonique, Mike Jones, PDG de MySpace, n'a d'ailleurs pas considéré son site comme un réseau social, mais comme « une des plus grandes expériences de divertissement sur le Web. »
Ezra Gottheil, analyste de Technology Business Research, a jugé symbolique de l'annonce de MySpace qui souhaite laisser l'espace de réseau social à Facebook. « C'est la reconnaissance d'une vieille défaite », souligne la consultante et de conclure « MySpace a cessé depuis longtemps d'être l'endroit pour trouver et communiquer avec des amis. Il a renforcé sa valeur, c'est-à-dire un site de publication. Facebook n'est pas, et ne sera pas, un site de publication. Alors ce partenariat permet de définir et distinguer les deux, et il est plus facile pour les utilisateurs à être des membres actifs des deux sites et bénéficier chacune de leur savoir-faire. »
Des start-ups européennes sur le cloud s'affrontent pour séduire les investisseurs
Les 25 entreprises finalistes ont été sélectionnées parmi 234 startups candidates impliquées dans le domaine du cloud en Europe. Un premier écrémage effectué par le Comité de sélection des ETT avait déjà réduit la liste initiale à 85 entreprises appartenant à 16 pays européens. Après examen de leur business plan, le Comité a retenu les 25 entreprises qu'elle estime être les plus prometteuses et novatrices, invitant leurs PDG à présenter leur vision et leurs stratégies devant de gros investisseurs internationaux, des patrons de l'industrie technologique, et des fournisseurs de services IT.
Parmi les entreprises sélectionnées, 20 cherchent un financement et/ou des partenariats internationaux pour accompagner leur expansion et leur croissance, et 5 sont en phase de démarrage. Sur les 25 entreprises finalistes, 6 sont basées au Royaume-Uni et en Irlande, 5 viennent du Benelux, 5 d'Europe centrale (Allemagne-Autriche-Suisse), 3 d'Espagne, 3 de France, 2 de Scandinavie et une de Russie. Elles ont été réparties entre entreprises Software-as-a-Service - qui ont initié de nouvelles offres grâce au cloud - et celles qui fournissent des technologies de rupture de type Infrastructure-as-a-Service et Platform-as-a-Service, qui peuvent contribuer à accélérer la migration de l'IT traditionnel vers l'informatique en nuage.
En faisant l'énoncé des candidats retenus, Pierre Liautaud, Président du Sommet ETT Cloud & TIC 2.0 2010, a déclaré: « Au cours des six derniers mois, beaucoup d'évènements ont ouvert la voie à une plus large adoption du cloud par les entreprises de toutes tailles et par le secteur de l'industrie, pas seulement aux Etats-Unis, mais aussi en Europe et dans le reste du monde. Les principaux acteurs investissent des milliards de dollars dans l'infrastructure sous-jacente et la plateforme de services, poussant ainsi les innovateurs et les entrepreneurs à imaginer de nouveaux modèles économiques viables. Ce sommet est un moyen unique pour enrichir la communauté cloud en aidant les start-ups en Europe, quelle que soit la phase de développement dans laquelle elles se trouvent. »
Illustration: Runonmyprocess.com, un des finalistes français du concours
(...)(19/11/2010 14:10:40)Trimestriels : Dell progresse sur fonds d'arrêt de l'activité mobile
Au troisième trimestre, le constructeur enregistre un chiffre d'affaires (CA) en progression de 19% à 15,4 milliards de dollars. La partie entreprise enregistre les meilleurs scores. En chiffre d'affaires, la progression sur ce segment est de 24% avec 12,4 milliards de dollars. Sur les grands comptes, la progression est même de 27% à 4,3 milliards de dollars de CA. Les TPE et PME sont en progression de 24% avec 3,7 milliards de CA.
A l'inverse, la partie grand public enregistre une progression de seulement 4% avec 3 milliards de CA. Dell précise sobrement que cette division est en phase de « mutation ».
La profitabilité est plus faible que la progression de l'activité. Le revenu opérationnel GAAP est de 1,02 milliard de dollars, représentant 6% du CA, en progression de 77% par rapport au même trimestre de l'an passé. Le revenu, non GAAP, se monte à 1,17 milliards, soit 7,6% du CA, en hausse de 58%.
Sur l'ensemble de l'exercice fiscal (clos fin janvier), Dell s'attend à une progression comprise entre 14 et 19% de son chiffre d'affaires et entre 28 et 32% de sa profitabilité.
(...)
Nokia Siemens Network et Huawei en tête pour les zones blanches 3G
(Source EuroTMT) Pression de la direction générale pour créer un mini-évènement à l'occasion du Broadband World Forum qui s'est tenu à Paris les 26 et 27 octobre, pression de la maison-mère pour satisfaire l'appétit de bonnes nouvelles des analystes financiers et des investisseurs ? Toujours est-il que l'équipementier Nokia Siemens Networks a décidé de rendre public le contrat gagné auprès de SFR pour déployer le réseau 3G de l'opérateur dans les zones blanches. Ces zones font l'objet d'un accord de RAN-sharing conclu cet été avec Orange et Bouygues Telecom sous le contrôle de l'Arcep. Selon nos informations, les acteurs s'étaient engagés à ne pas communiquer sur ce dossier, et SFR aurait manifesté son mécontentement en apprenant que NSN n'avait pas respecté la règle.
Bouygues Telecom choisit Huawei et France Télécom hésite encore.
Selon une source proche du dossier, si SFR, donc, a confié son contrat d'équipement à Nokia Siemens Networks, c'est l'équipementier chinois Huawei qui a été choisi par Bouygues Telecom pour déployer son réseau dans les zones blanches de la 3G.
Selon cette même source, France Télécom n'aurait pas finalisé ses discussions avec les équipementiers. Dans la 3G, l'opérateur historique se fournit auprès d'Alcatel-Lucent et de Nokia Siemens Networks. Selon les termes de l'accord de RAN-sharing conclu cet été, chaque opérateur doit équiper quelque 800 sites, ce qui correspondrait à des contrats de quelques dizaines de millions d'euros pour chacun des fournisseurs.
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