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(18/10/2010 12:34:48)

Les estimations s'emballent autour des résultats d'Apple

[mise à jour] Le petit monde des analystes financiers et des bloggers spécialistes de l'univers Apple s'agite. Chacun affine ses estimations portant sur les ventes et le bénéfice par action réalisés par la société dirigée par Steve Jobs sur son quatrième trimestre fiscal, achevé fin septembre. La conférence présentant les résultats financiers sera retransmise à partir de 5:00 pm Pacific Time, ce lundi 18 octobre 2010, soit à 2 heures du matin à Paris.

L'an dernier, Apple a affiché 9,87 milliards de dollars sur son quatrième trimestre fiscal, clos le 26 septembre 2009 [mise à jour : voir encadré]. Cette année, les prévisions des spécialistes sur cette période vont de 18,86 milliards de dollars selon le sondage réalisé par le cabinet d'analystes financiers Thomson Reuters jusqu'à 20,37 milliards de dollars si l'on se réfère aux pronostics des bloggers spécialistes d'Apple. Ce qui, pour les évaluations les plus hautes, signifie que les ventes auraient plus que doublé par rapport à celles réalisées entre juillet et septembre 2009.

En ce qui concerne le bénéfice par action, les estimations pour ce quatrième trimestre fiscal démarrent à 4.06 dollars pour grimper jusqu'à 4,73 dollars. Philip Elmer-DeWitt, de Fortune, a établi en fin de semaine dernière un tableau récapitulatif des plus récentes évaluations.

Les estimations grimpent à 5,52 millions d'iPad vendus

Quant aux nombres de produits écoulés, pour les plus optimistes, notamment les bloggeurs qui connaissent bien le monde Apple, ont calculé que le constructeur pourrait avoir vendu sur le trimestre près de 12 millions de smartphones iPhone, de 9,74 millions de baladeurs iPod et de 5,52 millions de tablettes numériques iPad. A cela s'ajouteraient quelque 4,01 millions d'ordinateurs Macintosh.
Les plus réservés se contentent d'estimer qu'Apple a écoulé 11,38 millions d'iPhone, 9,54 millions d'iPod, 3,78 millions de Mac et 4,73 millions d'iPad. Le suspens sera bientôt levé.

Au quatrième trimestre 2009, le constructeur avait commercialisé 7,4 millions d'iPhone, 10,2 millions d'iPod (Touch, Nano et Shuffle) et 3,05 millions de Mac.

En septembre dernier, le titre Apple s'est retrouvé temporairement en cours de séance en tête des valeurs cotées au Nasdaq, devant le géant chinois du pétrole PetroChina. Une performance qu'il a ultérieurement renouvelée.

En savoir plus :
- L'analyse de Philip Elmer-DeWitt, de Fortune
Son tableau récapitulatif


Sur le même sujet :
- Le 15 octobre 2010 : Les ventes de tablettes en plein essor
- Le 24 septembre 2010 : Apple, 2e groupe du Nasdaq en termes de valorisation boursière
- Le 20 octobre 2009 : Apple a écoulé 7,4 millions d'iPhone sur son exercice 2009

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(18/10/2010 11:06:30)

Selon PAC, le cloud donnerait un second souffle à l'externalisation

Doucement mais sûrement, la dynamique de l'externalisation IT s'essouffle. Les croissances à deux chiffres ne sont qu'un lointain souvenir. En 2008, le marché atteignait 5,9 milliards d'euros en France, avec  5,7% de progression par rapport à l'année précédente. En 2009, il passait à 6,2 milliards d'euros avec une hausse de 4,6%. En 2010, on devrait retrouver  le même chiffre qu'en 2009. Une surprise, l'infogérance fonctionnant à contre-cycle aurait du remonter la pente. Visiblement ce n'est plus le cas, des facteurs puissants enrayent sa progression.

Les donneurs d'ordre continuent de pressurer leurs prestataires. Le TJM (Taux Journalier Moyen) facturé par les prestataires reste désespérément au plus bas. Et la pression sur les prix reste forte. Certains contrats sont même remis en cause et les nouvelles grandes signatures se font attendre.  Comme ces contrats portent sur plusieurs années, leurs effets ne sont visibles qu'à moyen terme.  C'est le cas pour les »méga deals « de 2009, les contrats signés entre HP et Alcatel et  entre IBM et la SNCF qui commencent à impacter les chiffres en 2010.

Un mouvement de ré-internalisation accentue ce ralentissement, on pense à Atos et AEMS. AEMS, Atos Euronext Market est une joint venture entre la SSII Atos Origin et le holding des bourses européennes Euronext (du groupe Nyse Euronext) chargée d'assurer l'informatique des bourses et des chambres de compensation d'Euronext. Atos a revendu les 50% qu'il détenait dans AEMS à Nyse Euronext. Ce dernier récupère la propriété des plates formes de négociation et des services associés. Atos reprenant des activités d'AEMS (compensation, règlement-livraison, back office).

Nombreuses réflexions sur le cloud privé

Inversement, de nouveaux  facteurs de dynamisme  se profilent. Le marché attend l'annonce de la  signature de nouveaux grands contrats. Surtout, le cloud computing devrait prendre place dans le vaste marché de l'externalisation IT. « Les entreprises mènent de nombreuses réflexions sur le cloud privé, le maintien de leurs configuration avec la possibilité de mieux garder la main sur leurs données », nous explique Matthias Accadia, consultant chez PAC ». « Le cloud va ainsi renforcer la transition vers de nouveaux modes d'externalisation ».

Conséquence, le Saas, l'Iaas et le cloud privé vont progressivement tenir leur place aux côtés des grandes prestations d'externalisation que sont l'nfogérance d'infrastructure, l'infogérance globale, infogérance applicative. De puissants acteurs comme HP et Orange seront de la partie. IBM est également très présent sur le cloud, mais il est déjà n°1 sur l'externalisation IT (devant des SSII comme Atos et Cap).

Autre perspective, estime PAC, le marché des PME peut s'ouvrir à l'externalisation IT, qu'elle soit traditionnelle ou composée de Saas et d'Iaas. « Des places sont à prendre » écrit le cabinet d'études.


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(15/10/2010 16:50:12)

Trimestriels Google : Les marchés émergents dynamisent les résultats

Google a affiché un chiffre d'affaires de 7,29 milliards de dollars au troisième trimestre, clôt le 30 septembre 2010, soit une progression de 23% sur un an. En soustrayant les commissions et honoraires que l'éditeur verse au réseau de publicité et à ses partenaires, le chiffre d'affaires s'élève à 5,48 milliards de dollars, au-dessus du consensus attendu par les analystes interrogés par Thomson Financial. Le bénéfice net a augmenté de 32% à 2,17 milliards de dollars contre 1,64 milliard, il y a un an, tandis que le bénéfice par action a augmenté de 31 % de 5,13 $à 6,72 $. Sur une base pro forma, qui exclut certains éléments, le bénéfice net était de 2,46 milliards de dollars, ou 7,64 $ par action, dépassant le consensus des analystes de 6,67 $ par action.

« Nous sommes très satisfaits de nos résultats du troisième trimestre. Il est clair que l'économie numérique continue de croître rapidement » a déclaré le directeur financier de Google Patrick Pichette lors d'une conférence téléphonique. La firme de Moutain View a progressé non seulement sur son coeur de métier de la recherche et de la publicité, mais aussi sur des marchés émergents comme l'activité entreprise, la publicité sur mobile et les applications hébergées.

Une activité mobile en pleine croissance

La demande sur les services de recherche et publicitaires continue d'augmenter avec la croissance constante de l'Internet, a déclaré Jonathan Rosenberg, vice-président senior de la gestion des produits. « La recherche est toujours au coeur du web » précise-t-il.  Sur les marchés à fort potentiel, Google a indiqué un revenu annuel de 2,5 milliards de dollars pour les bannières publicitaires sur YouTube, souligne le responsable. Sur ce site, l'éditeur recense 2 milliards de pages vues par semaine. Pour l'activité mobile, le chiffre d'affaires est évalué à 1 milliard de dollars sur un an. Le dirigeant a indiqué dans une conférence téléphonique que « sur le mobile, les recherches ont été multipliées par cinq ces deux dernières années ». Les sites appartenant à Google ont généré 67% des recettes totales, tandis que les sites partenaires ont généré 30%. 52% des revenus sont issus de ses activités internationales. En septembre, la société disposait d'une trésorerie de 33,4 milliards de dollars. Au cours du troisième trimestre, le nombre de salariés à cru de 7% à 23 331 employés contre 21 805 au deuxième trimestre.

Google prévoit d'embaucher plus, en particulier dans l'ingénierie et la vente. « La croissance explosive dans l'économie numérique que nous vivons a créé une guerre des talents dans notre industrie», a dit Patrick Pichette. Continuer à recruter des employés talentueux sera la clé du succès. « Nous avons intensifié notre politique d'embauche et nous analysons la façon d'attirer et de retenir les meilleures personnes dans cet environnement exceptionnellement compétitif » conclut-il.

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(15/10/2010 15:22:44)

IBM va doper ses serveurs avec des puces spécialisées

Les serveurs s'appuyant sur des designs génériques de processeurs conviennent parfaitement pour certaines applications. Néanmoins, pour accélérer certains traitements, IBM prévoit de leur adjoindre des co-processeurs de sa fabrication, ainsi que des circuits spécialisés. C'est ce qu'a expliqué Jai Menon, directeur technique de la division Systèmes et Technology d'IBM, à l'occasion d'une interview donnée la semaine dernière à nos confrères d'IDG News Service.

Big Blue va continuer à proposer des serveurs de base avec des processeurs x86. Mais, de plus en plus, il va aussi disposer de configurations serveurs et d'appliances optimisées pour des domaines particuliers, comme le cloud computing, les traitements transactionnels ou des secteurs d'applications tels que la médecine. « Tout le monde n'a pas besoin des mêmes machines, rappelle Jai Menon. Les systèmes x86 ne constituent pas une réponse adaptée pour tout, pas plus que les systèmes à base de Power ».

Certains pas ont déjà été faits dans cette direction, par exemple avec l'appliance CloudBurst (photo ci-dessus, à gauche), conçue pour accélérer les déploiements d'applications dans le cloud et les environnements virtualisés. Ou encore par l'adjonction de processeurs graphiques Nvidia en complément des processeurs dans certains serveurs lames pour booster les application scientifiques et mathématiques.

Des circuits reprogrammables

IBM développe maintenant des puces et des circuits reprogrammables qui peuvent décharger le processeur de certaines tâches, indique Jai Menon. Big Blue crée aussi un nouveau langage de programmation qui pourra fonctionner en tandem avec les accélérateurs afin de doper la performance du système.

En février, le groupe de Sam Palmisano a annoncé le processeur PowerEN (Power Edge of Network, photo ci-dessus, à droite) qui peut être utilisé de façon assez large, ou bien en tant que co-processeur vers lequel certains traitements, tels que des tâches réseaux, peuvent être transférés. La puce sera intégrée dans des serveurs et également proposée sur des cartes à insérer dans un port PCI (peripheral component interconnect).

IBM met par ailleurs l'accent sur les circuits FPGA (field-programmable gate arrays) qui peuvent exécuter des tâches spécifiques plus rapidement que les processeurs, par exemple, le chiffrement de données ou des transactions bancaires. Le constructeur en utilise déjà dans des serveurs pour les traitements XML.

Des modifications sont nécessaires au niveau de la couche logicielle pour tirer le meilleur parti de ces composants associés, précise Jai Menon. IBM supporte le standard OpenCL, un jeu d'outils de programmation conçus pour développer et gérer l'exécution de tâches parallèles entre des processeurs et des puces graphiques. Big Blue essaie de rendre les FPGA adaptables et facilement reprogrammables au travers d'un langage compatible Java baptisé Lime, toujours en phase de recherche, a ajouté le directeur technique. « On aimerait programmer les FPGA comme on le fait en programmation classique afin de pouvoir reconfigurer ces circuits à la volée pour les affecter à une nouvelle catégorie d'applications », explicite-t-il.

Selon lui, les FPGA reprogrammables pourraient réduire le besoin en Asic (application-specific integrated circuits), ces circuits spécialisés assignées à certaines tâches « Les Asic ne sont pas adaptables et ils sont longs et coûteux à élaborer ».

Cap sur les mémoires à changement de phase

A plus long terme, Jai Menon pense que les mémoires à changement de phase (phase-change memory, PCM) pourraient remplacer les actuelles mémoires dynamiques (DRAM) et révolutionner la façon dont les serveurs sont construits. Les PCM utilisent un matériau proche du verre qui peut passer de multiples états vers des formes cristallines en fonction de la façon dont ses atomes sont réarrangés.

« Elles sont suffisamment abordables pour qu'on puisse les rapprocher des disques et suffisamment rapides pour s'apparenter à de la mémoire », détaille Jai Menon. Lorsque leur prix diminuera, les utilisateurs pourront disposer de 5 à 10 fois plus de mémoire dans les serveurs par rapport à ce qu'apportent aujourd'hui les DRAM, affirme le directeur technique.

Ces mémoires seront par ailleurs non-volatiles. Les données ne seront pas perdues si l'alimentation d'un serveur tombe. « Vous pourrez concevoir différemment vos systèmes de gestion de fichiers et vos bases de données, et ces composants ont le potentiel nécessaire pour parvenir à diviser par trois la consommation électrique et le volume d'espace utilisé par les serveurs. »

IBM va continuer à développer ces PCM et les intègrera à ses serveurs, promet Jay Menon, sans indiquer toutefois à quelle échéance. Des industriels comme Samsung et Numonyx travaillent aussi sur les mémoires à changement de phase.

Illustration : Offre CloudBurst (à gauche), processeur PowerEN (à droite) - crédit photo : IBM

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(15/10/2010 13:51:27)

Le prix des terminaisons d'appels mobiles en Europe pas franchement harmonisés

(Source EuroTMT) Plus d'un an après la publication, en mai 2009, de la recommandation européenne portant sur la terminaison d'appel mobile (prix payé par un opérateur pour délivrer l'appel sur un autre réseau), le dossier n'a, en apparence, guère avancé. Pour preuve, le dernier benchmark réalisé par le BEREC. Selon cette instance européenne de consultation qui réunit les autorités nationales de régulation et la Commission européenne, le tarif moyen européen n'avait baissé sur un an que de 7,6 % à fin juin 2010, pour s'établir à 5,87 centimes d'euro par minute.

Or l'objectif proposé par Bruxelles est d'un tarif de 1 centime d'euro par minute pour la fin 2012. Autrement dit, ce n'est pas gagné ! Pour cela, il faudrait une baisse moyenne de 83 % au cours des 18 mois qui viennent ! Et encore, ce sera plus pour une majorité de pays, 16 Etats-membres affichant un tarif moyen supérieur à la moyenne européenne. La palme du plus mauvais élève revient ainsi à la Bulgarie qui affiche un prix moyen de la terminaison d'appel mobile de 9,86 centimes d'euro. La Belgique vient juste derrière avec un tarif de 8,86 centimes d'euros. A l'inverse, le meilleur élève de l'Union européenne est Chypre, dont le tarif est de 1,82 centime d'euro. 

La France s'affiche avec un tarif moyen de 3,07 centimes d'euro. L'hexagone fait figure de bon élève en comparaison des quatre autres grands pays européens : Allemagne, Espagne, Grande-Bretagne, et Italie. La Grande-Bretagne présente un tarif moyen de 5,33 centimes d'euro, l'Espagne 5,58 centimes, l'Allemagne 6,77 centimes et l'Italie 8,25 centimes. Pour autant, les pressions exercées par la Commission européenne pour contraindre ces quatre pays à se mettre en conformité avec la recommandation (qui n'est pas contraignante, contrairement aux directives) commencent à porter leurs fruits.

Des pressions de la part des régulateurs

L'exemple le plus probant en a été donné par Londres : début avril, l'Ofcom a rendu public sa politique à long terme pour la terminaison d'appel mobile, dont le tarif devrait tomber, en quatre étapes, à 0,5 pence par minute en 2014. De son côté après avoir aussi beaucoup résisté, l'Italie a enfin décidé de se mettre en conformité en décidant d'adopter le nouveau modèle de calcul des coûts proposé par Bruxelles, mais l'Agcom n'a pas encore rendu public les tarifs de la TA mobile à partir de 2011.

Tout comme la France où l'Arcep a aussi adopté le modèle d'orientation vers les coûts pour le calcul de la terminaison d'appel mobile, sans communiquer pour le moment les tarifs applicables à partir de juillet 2011. En fait, seules l'Espagne et l'Allemagne font encore de la résistance. La dernière décision tarifaire prise par Madrid remonte maintenant à juillet 2009 et fixe un tarif cible pour octobre 2011 de 4 centimes d'euro par minute pour les trois principaux opérateurs mobiles, le petit dernier (Yoigo) bénéficiant encore d'un tarif légèrement supérieur à cette date (4,97 centimes d'euro). En Allemagne, la situation est toujours incertaine : le régulateur national doit rendre public avant la fin du mois de novembre sa décision tarifaire. Mais les précédentes décisions du BNetzA ont toujours fait sourciller ses homologues européens, l'autorité allemande se contentant bien souvent de valider les propositions tarifaires faites par les opérateurs eux-mêmes ! 

Compte tenu de l'évolution en cours dans la plupart des pays, il est difficile d'imaginer que l'Allemagne continue de faire bande à part. D'autant que d'autres pays, qui étaient aussi très en retard, ont commencé à se mettre en conformité avec la recommandation européenne : c'est le cas notamment des Pays-Bas où le régulateur national (l'OPTA) a annoncé  au printemps que le tarif de la terminaison d'appel mobile tomberait à 1,2 centime d'euro par minute à partir de septembre 2012, contre un tarif moyen actuel de 5,97 centimes d'euro.

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(15/10/2010 11:10:28)

Succès pour Top TIC à Marseille

Top TIC 2010 s'est déroulé au Palais de la Bourse de Marseille le 12 octobre 2010. Cette rencontre annuelle organisée par la Chambre de Commerce et d'Industrie et plusieurs associations locales associe un salon réunissant une cinquantaine de fournisseurs de technologies (locaux, nationaux ou mondiaux) sur 500 m² et 27 conférences-débats autour de plusieurs « parcours ». Une web-tv retransmettait une conférence d'un des parcours par tranche horaire. 90 démonstrations produits étaient de plus organisées dans un espace dédié. Cette année, la thématique en était « avez-vous en main les atouts de la compétitivité numérique ? ».

Un beau succès malgré les grèves


Le 12 septembre avait beau être un jour de mouvements sociaux importants qui, à Marseille, bloquaient les transports en commun, provoquant de ce fait de nombreux bouchons, Top TIC a connu un beau succès : les conférences autant que les allées du salon traduisaient une forte affluence. Il n'était pas rare que des personnes assistent aux conférences en devant se tenir debout en fond de salle.

Force est donc de constater qu'il y a bien un avenir pour des manifestations en province sur des sujets TIC. Cependant, les grands comptes y sont rares (même si l'armateur CMA CGM, dont le siège est à Marseille, a envoyé son DSI) et le public est plutôt constitué de PME et de collectivités locales, du moins si l'on en croit les badges des visiteurs.

Un parcours dédié aux DSI


Les « parcours » proposés révélaient d'ailleurs les cibles visées : forum du webmarketing, rencontres régionales Documation, salon des professionnels du logiciel libre... L'association CIP (Club informatique Provence Alpes Côte d'Azur), qui regroupe autant des DSI que des fournisseurs, a proposé un parcours dédié aux DSI, le « Forum CIP des DSI » durant lequel a notamment témoigné Marc Boyer Chammard, DSI de CMA CGM, et Yvon Defour, DSI d'Autogrill.

Ce Forum comportait trois conférences-débats qui furent l'occasion de nombreuses questions et remarques de la salle : « cloud computing et sécurité », « sécurité des nouveaux outils de communication mobile » et « apports pour l'entreprise du bureau virtuel et du télétravail ».

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(15/10/2010 11:09:44)

Selon une étude PAC, les petites SSII bénéficient du regain d'activité

Une fois n'est pas coutume, la France est le deuxième meilleur élève de la classe européenne dans la matière « logiciels et services », derrière l'Allemagne. Selon le cabinet Pierre Audoin Consultants, la croissance pourrait atteindre 3,7% cette année pour ce secteur. Cela dit, la situation apparaît très contrastée en fonction des métiers, des tailles d'entreprises et des types de clients.
Ainsi, le domaine du conseil et de l'intégration, largement dominé par les grandes SSII, enregistre une forte baisse avec - 6,8%. En ce qui concerne les clients les plus consommateurs, PAC prévoit d'importants changements en 2011 par rapport à cette année. Si tous les secteurs devraient investir davantage l'an prochain en logiciels et en services, certains secteurs « décrochent ». C'est surtout le cas pour les « utilities » (principalement l'énergie), qui devrait passer de la 1ère place cette année à la 5ème en 2011. 
A l'inverse, la banque et les télécoms vont reprendre la tête du classement, mais sur des sujets très spécialisés, généralement confiés à de petites et moyennes SSII. 

Prix planchers

En ce qui concerne les tarifs, PAC considère que les clients entreprises ont littéralement « tordu le bras » des sociétés de services, qui considèrent - quelle que soit leur taille - qu'il n'est pas envisageable de baisser encore les prix. « Nous sommes arrivés à la limite de ce qu'il est possible de faire », a indiqué lors de la conférence Philippe Eburderie, Directeur d'ESR. La pression se concentre plutôt sur les exigences contractuelles, avec la généralisation du mode forfaitaire et de nouveaux engagements en termes de qualité. 

Une autre grille de lecture du marché est celle de la géographie. La région qui enregistre le plus fort recul est une nouvelle fois le quart nord-est, tandis que le nord et le sud-ouest restent stables. Les principaux bénéficiaires de la reprise dans le secteur des TIC sont le nord-ouest et le sud-est. Selon PAC, la dynamique de croissance est globalement plus forte en province qu'en région parisienne. « Les régions représentent d'ores et déjà 50% de notre chiffre d'affaires et la stratégie qui consiste à faire du « nearshore » en province se révèle pertinente », a conclu Philippe Eburderie.
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(14/10/2010 17:30:57)

Microsoft fixe un tarif accrocheur pour son CRM Online

Face à un concurrent comme Salesforce.com, qui s'est forgé une incontestable notoriété sur les offres de CRM en ligne, Microsoft dégaine la carte du tarif promotionnel pour attirer l'attention sur sa propre solution dans le cloud, Dynamics CRM Online. Hébergée par Microsoft lui-même et déjà accessible depuis deux ans aux Etats-Unis, cette solution est actuellement en version bêta sur 40 autres pays dont la France. Elle sera disponible au cours du premier trimestre de l'année prochaine dans sa version commerciale basée sur Dynamics CRM 2011.

A son lancement, il sera donc possible de souscrire un contrat de service de douze mois pour exploiter ce logiciel de gestion de la relation client au prix de 31 euros par mois et par utilisateur (34 dollars aux Etats-Unis), soit une réduction de 25% par rapport au prix normal (44 dollars). Cela représente la moitié du prix demandé par Salesforce.com pour la « Professional Edition » de son offre, tarifée 65 dollars. Pour bénéficier de ce tarif pendant un an, il faudra souscrire son abonnement avant le 30 juin 2011 inclus. Au-delà de cette date, Microsoft appliquera le tarif normal.

Vif succès pour le programme bêta

Cette annonce a été faite ce matin à Twickenham par Kirill Tatarinov, vice-président de la division Business de Microsoft, à l'occasion de la première d'une série européenne de trois conférences utilisateurs « Convergence » consacrées aux logiciels de gestion Dynamics. Les deux autres conférences auront lieu à Prague (18-19 octobre) et La Haye (20-21 octobre).

Depuis son ouverture, le programme bêta de Dynamics CRM Online a rencontré un vif succès qui a amené Microsoft à étendre ses capacités d'accueil pour pouvoir répondre à cette demande, a indiqué ce matin Benoît de la Tour, vice-président de Microsoft Business Solutions pour l'Europe, le Moyen-Orient et l'Afrique. Avant de rejoindre Microsoft cet été, Benoît de la Tour a occupé des fonctions équivalentes chez l'éditeur Infor. Il a acquis une expérience de dix-sept ans au sein d'entreprises éditant des logiciels applicatifs.

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