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(20/10/2010 12:03:14)

Une étude du CXP recense le patrimoine applicatif des entreprises

La  gestion du patrimoine applicatif (GPA) est une question ancienne mais qui revient au goût du jour. « Nos clients insistent sur le sujet dans l'optique d'une optimisation des coûts et d'une meilleure connaissance de ce patrimoine applicatif » nous explique Laetitia Bardoul, auteure de l'étude du CXP sur ce sujet.  Au fil des années, la connaissance de ce patrimoine est devenue complexe et floue pour une entreprise. Les langages utilisés deviennent de plus en plus hétérogènes, les documentations se perdent ou ne sont plus à jour, les compétences en interne changent, certains développements sont réalisées en externe,  bref, l'entreprise perd les différentes ressources nécessaires. Pourtant, les applications métiers sont devenues indispensables dans tous les services d'une  entreprise.

Pour une DSI, le gain serait pourtant appréciable si elle procédait  à une meilleure gestion de son patrimoine applicatif. Elle pourrait connaître le coût réel d'une application, aurait la possibilité de la faire évoluer, de donner une meilleure maîtrise de ses budgets et de son action. Pour l'entreprise, ce serait un meilleur suivi de l'investissement et un meilleur contrôle de la qualité. 

La mise en place d'un suivi de la GPA n'est pourtant pas évidente. Les tableaux de bord sont différents suivant le niveau où ils se situent, celui de la DSI ou ceux des responsables applicatifs ou des contrôleurs qualité. Mais la pression financière est de plus en plus forte sur les DSI.  Et le mouvement devrait s'accélérer. Une nouvelle norme, CISQ (Consortium of IT Software Qualité) va définir de nouveaux standards de qualité logicielle en 2011. Elle remplacera peu à peu la norme ISO 91-26 qui donnait déjà une liste d'indicateurs, mais s'avérait insuffisante.

Une dizaine de grands éditeurs présents

Pour les éditeurs spécialisés et leurs intégrateurs, la perspective est intéressante« C'est encore un marché en voie de développement, avec une dizaine de grands acteurs » note Laetitia Bardoul (*). Des solutions nouvelles apparaissent en Open Source. Le marché n'est pas figé. Une certaine recomposition s'est opérée, avec le rachat l'an passé par MicroFocus de la société Borland et des outils de tests de Compuware.

Dans son étude, le CXP revient sur la notion même de Gestion du patrimoine applicatif. Il cartographie ensuite les différentes solutions présentes. Elles appartiennent à trois mondes différents : le décisionnel (modélisation d'applications, gestion de portefeuille applicatifs, BI), l'analyse applicative (inventaire et cartographie, analyse de la performance et du code, analyse de la qualité applicative, gestion des actifs), la gestion opérationnelle applicative (modernisation applicative, gestion des développements applicatifs, gestion des environnements de développement).

(*) L'étude cite : ASG, Cast, McCabe, Metrixware, MicroFocus, IBM, Speedware, Checkstyle, Metaware, PMD, Polyspace, Planview, Serena.

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(20/10/2010 11:52:31)

Selon Gartner, en 2011 la dépense mondiale des entreprises en IT augmentera de 3,1%

Selon le cabinet Gartner, la dépense mondiale des entreprises dans l'IT atteindrait 2,5 billions (mille milliards) de dollars en 2011. Une augmentation de 3,1% par rapport à 2010 et de 2,4% par rapport à 2009. Au cours des cinq prochaines années, la croissance restera « timide et parfois faible » estime le Gartner, cette dépense atteindra 2,8 billions de dollars en 2014.

« Certains secteurs verticaux comme l'industrie et la finance ne se rétabliront pas avant 2012 ou 2013 » déclare Peter Sondergaard, senior vice président chez Gartner, « les économies émergentes continueront à jouer un rôle de locomotive, supérieur  aux économies développées ».

Le Gartner dégage également quatre grandes tendances pour les 20 prochaines années : le cloud, les réseaux sociaux, la mobilité, les stratégies modèles. Le cloud computing va façonner d'une autre manière les relations entre clients et fournisseurs de services et modifier le modèle financier sur lequel elles reposent. Les réseaux sociaux envahissent l'entreprise et brouillent les frontières entre les activités personnelles et professionnelles. Le sans fil crée et va créer de nouveaux services. Enfin, les entreprises auront intérêt à réfléchir à de nouveaux modèles de développement non traditionnels.

Crédit photo : D.R.





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(20/10/2010 11:46:26)

Trimestriels Steria : Fin d'année difficile en perspective

La SSII Steria publie les résultats de son 3ème trimestre. Le chiffre d'affaires  se monte à 402,8 millions d'euros  en croissance organique de 5,2%. Pour les neuf premiers mois de l'année, cette croissance se situe à 2,6%. Mais pour l'ensemble de l'année, le groupe anticipe une croissance organique de 1% et une marge opérationnelle de 7%.

Steria avait précédemment anticipé des chiffres annuels supérieurs. Cette révision est due au Royaume-Uni et à son secteur public. Le nouveau gouvernement a en effet gelé des investissements et renégocie les contrats en cours. Des négociations ont eu lieu entre la SSII et les services britanniques concernés. Cette remise à plat entraîne une perspective moins agréable pour la SSII.

Le chiffre d'affaires trimestriel au Royaume-Uni est quand même en hausse de 5,9%, en France de 8%, dans le reste de l'Europe de 7,7%, mais en Allemagne en baisse de 4,3%. Là encore, Stéria avance que des décalages de projets dans le secteur public expliquent ce revers.

Avertissement sur les résultats annuels à venir

Cette exposition trop forte au secteur public et le « profit warning » ont provoqué une baisse des cours de l'action Stéria. L'annonce d'une bonne croissance trimestrielle étant contre balancée par un avertissement sur les résultats annuels 2010. La société de bourse Gilbert Dupont a publié une analyse très balancée sur la SSII. Côté positif, elle retient : un mix d'activités récurrentes représentant 60% du CA, la nouvelle dynamique commerciale en France, le relais de croissance du BPO, sa position de 2ème SSII française en Inde après Cap (depuis son rachat de Xansa), le positionnement cloud et le partenariat avec Cisco, un carnet de commandes plein.

Pour les aspects négatifs, Gilbert Dupont note évidemment les réductions dans les investissements publics, la duplication du modèle Xansa en Europe qui devrait prendre du temps, des filiales étrangères (Espagne et Scandinavie) en dessous de la taille critique, des positions fortes en Inde mais qui incitent les clients à demander des rabais élevés.

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(19/10/2010 17:39:13)

Les jeunes entreprises innovantes fragilisées par le gouvernement ?

Le projet de loi de finances 2011, dont l'examen a débuté cette semaine à l'Assemblée Nationale, prévoit une modification du statut de la jeune entreprise innovante (JEI) qui inquiète sérieusement les acteurs de l'industrie du logiciel. L'Afdel (association française des éditeurs de logiciels) vient en particulier d'attirer l'attention sur l'article 78 de ce projet de loi qui vise à réduire les exonérations de cotisations sociales patronales accordées jusque-là aux JEI sur les postes liés à la recherche et au développement (cf encadré ci-dessous). Si cette mesure était appliquée, elle se traduirait à terme par une baisse des emplois hautement qualifiés en France, met en garde l'Afdel. D'autres organismes professionnels comme le Syndicat national du jeu vidéo tirent également la sonnette d'alarme.

Diminution progressive des exonérations

La réforme proposée dans le projet de loi prévoit « un plafond de rémunération mensuelle brute par personne fixé à 4,5 fois le salaire minimum (Smic) », ainsi qu'un « plafond annuel de cotisations éligibles par établissement fixé à trois fois le plafond annuel de la sécurité sociale, soit 103 860 euros pour 2010 ». S'y ajoute une diminution progressive des exonérations à partir de la quatrième année d'existence de la jeune entreprise, alors que celle-ci bénéficie pour l'instant du dispositif dans sa totalité jusqu'à son huitième anniversaire.

Le gouvernement estime que cette mesure permettrait de réaliser une économie budgétaire de près de 57 millions d'euros par an dès 2011. Il semble considérer que la réduction de l'exonération sera en partie compensée par la réforme du crédit d'impôt recherche (CIR) qui est intervenue début 2008. Or, les acteurs du secteur du logiciel ont constaté que le CIR profitait surtout davantage aux grands éditeurs qu'aux sociétés de petite taille. Pour ces petits éditeurs, le dispositif associé au statut JEI vient donc très utilement compléter le CIR et ce dernier ne peut en aucun cas le remplacer. « Les deux dispositifs ne peuvent être mis en concurrence », insiste l'Afdel.

Date limite de dépôt d'amendement : 5 novembre

Réduire à partir de la quatrième année d'existence d'une JEI l'exonération des cotisations sociales patronales sur les emplois liés à la R&D « procède d'une méconnaissance du cycle de vie des entreprises innovantes ». L'association rappelle qu'à ce stade, les petits éditeurs sont tout aussi fragiles qu'à leur création et toujours en quête de capitaux. L'Afdel rappelle à ce propos que le financement à l'amorçage est peu répandu en France. Pour qui doit investir beaucoup en R&D, « l'effort doit être très soutenu les dix premières années ». Et c'est aussi à partir de la 3e ou 4e année que l'entreprise commence vraiment à embaucher, ajoute l'Afdel. C'est donc à ce moment-là que l'exonération des charges sociales est le plus nécessaire.

L'Assemblée nationale se penche actuellement sur la première partie du projet de loi de finances 2011. L'examen de la deuxième partie, qui comprend l'article 78, doit s'effectuer du 2 au 15 novembre 2010. Pour déposer un amendement sur la modification du statut de la jeune entreprise innovante, la date limite est fixée au vendredi 5 novembre 2010.

Illustration : site de l'Assemblée Nationale, examen du projet de loi de finances 2011 (crédit photo D.R.)

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(19/10/2010 16:11:00)

Trimestriels Apple : Chiffre d'affaires record pour la firme

Nouveaux records pour Apple. La société informatique californienne, qui a présenté lundi soir les résultats financiers de son quatrième trimestre fiscal 2010 (clos le 25 septembre), a enregistré un chiffre d'affaires de 20,34 milliards de dollars, soit le plus important réalisé par la firme. Ce score a été porté par les très bonnes ventes d'iPhone (plus de 14 millions d'unités), qui dépassent désormais celles de l'iPod. En revanche, les ventes de l'iPad ont déçu.

De fin juin à fin septembre, Apple a écoulé pas moins de 14,1 millions d'iPhone dans le monde. Jamais la société emmenée par Steve Jobs n'avait connu pareil succès en un trimestre pour son smartphone. En un an, les ventes du téléphone à la pomme ont augmenté de 91%. Les ventes de ce produit n'ont visiblement pas été impactées par l'"Antennagate" autour du problème de réception de l'iPhone de quatrième génération. Dans un communiqué, Steve Jobs a tenu a souligné que les ventes d'iPhone dépassent "aisément les 12,1 millions de téléphones vendus par RIM (le fabricant des BlackBerry, ndlr.) au cours de leur dernier trimestre".

Désormais plus d'iPhone que d'iPod

Les ventes d'iPhone dépassent également celles du baladeur maison, l'iPod. Une première depuis l'arrivée de l'iPhone sur le marché en 2007. Sur ces trois derniers mois, 9,05 millions d'iPod ont été vendus dans le monde, soit un recul de 11% sur un an, après des baisses de 1% et 8% enregistrées lors des deux précédents trimestres. Les ventes d'ordinateurs Apple ont pour leur part connu une augmentation de 27% par rapport au même trimestre en 2009. 3,89 millions de Mac ont été vendus sur la période.

Très attendus, les chiffres de ventes de l'iPad ont déçu. Apple a écoulé 4,19 millions d'exemplaires de sa tablette tactile, alors que les analystes en prévoyaient au moins 4,7 millions. "Nous avons encore quelques surprises à annoncer d'ici la fin de cette année calendaire", a ajouté Steve Jobs. Apple doit en effet annoncer dès mercredi quelques nouveautés. Selon les dernières rumeurs, la marque doit en effet renouveler son ordinateur ultraportable MacBook Air et lancer Mac OS X 10.7, connu sous le nom de code Lion.

Illustration : les serveurs Mac Pro (crédit photo : D.R.)

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(19/10/2010 11:36:43)

Trimestriels Ares : Une éclaircie en trompe l'oeil

La SSII Arès n'est toujours pas tirée d'affaire. Certes, elle a généré 27,9 M€ de revenus au titre du premier semestre 2010, soit une hausse de 6,7% à période comparée de son exercice 2009 (réalisé d'avril à septembre). Mais, son résultat opérationnel reste bien ancré dans le rouge à -5,6 M€, bien que la situation se soit améliorée comparé aux pertes opérationnelles de 9,3 M€ enregistrées l'an passé. Le résultat des activités conservées s'établit quant à lui à -5,5 M€ contre +19,7 M€ en 2009, la SSII ayant alors bénéficié d'abandons de créances consentis dans le cadre de son plan de continuation homologué en mars 2009. Au final, le résultat net part du groupe atteint -8,9 M€ contre +18,7 M€ entre avril et septembre 2009.

Une solution sous la forme d'un rachat ?

Ces éléments comptables ne sont pas de nature a renforcer les capitaux propres du groupe. A l'issue du premier semestre 2010, ceux-ci s'élèvent à -18,6 M€. En outre, il y a fort à parier que la situation ne s'améliore pas au second semestre puisque Arès anticipe un résultat net part du groupe de -11 M€ sur l'ensemble de l'exercice en cours. De fait, la SSII ne manque pas de préciser qu'elle « continue d'examiner toutes les solutions qui lui permettraient d'améliorer rapidement sa structure financière et de pérenniser son activité » Un rachat pourrait-t-il faire partie de ces solutions ? Le journal Le Revenu semble pencher dans ce sens. Dans un article daté du premier octobre sur son site web, l'hebdomadaire indique que, selon ses informations, un concurrent étudierait actuellement le rachat de Groupe Arès. Ce qui pourrait expliquer la suspension du titre le 30 septembre. Celle-ci a toutefois repris le 18 octobre. (...)

(19/10/2010 11:59:56)

Ray Ozzie, évangéliste du cloud, quitte Microsoft

L'architecte logiciel en chef de Microsoft, Ray Ozzie, quitte le navire en faisant valoir ses droits à la retraite. Nous n'avons pas de plans pour le remplacer a simplement indiqué le PDG de l'éditeur de Remond, Steve Ballmer, qui a écrit une note aux employés de la société, également publié sur le site Internet maison. Steve Ballmer est resté vague sur la date exacte de départ de Ray Ozzie. Il va rester « un certain temps », pour assurer la transition entre les équipes et les projets en cours explique le PDG de Microsoft. « Pendant cette évolution et avant qu'il se retire, il se concentrera ses efforts dans le domaine plus large du divertissement où Microsoft a de nombreux investissements en cours, at-il dit.

L'éditeur n'a pas l'intention de le remplacer. « Le rôle de l'ASC [Chief Software Architect] était unique et je ne vais pas remplir ce rôle après le départ de Ozzie Ray » précise Steve Ballmer et d'ajouter « il a joué un rôle crucial dans la bascule vers le cloud et nous a correctement positionné pour le succès futur ». Le dirigeant  rappelle la note « Internet Services Disruption » écrite il y a 5 ans et qui « a stimulé la réflexion de la société et a aidé à catalyser nos efforts sur le cloud. » Dans cette note, Ray Ozzie a déclaré que Microsoft avait besoin d'orienter son activité vers un nouveau modèle de services financés par la publicité et les logiciels. « Ce modèle a le potentiel pour avoir un impact fondamental sur la manière dont nous et les autres développeurs fabriquons, livrons et monétisons des innovations ». Azure, la Plateform as a Service (PaaS) de Microsoft, est l'exemple de ce type de produits prôné par Ray Ozzie. Cette orientation s'est ensuite étendue à des versions hébergées de produits tels que SharePoint, Exchange et Office Communications.

Une réorganisation fatale

Mais peu après le lancement d'Azure, la société s'est réorganisée et les destinées de la plate-forme sont passées sous la direction de Bob Muglia, qui s'occupait de l'activité Server et and Tools Business. À l'époque, certaines personnes se demandaient quel serait le rôle de Ray Ozzie dans l'entreprise une fois Azure hors de son contrôle. Il a rejoint Microsoft en 2005 comme agent technique en chef lorsque le géant du logiciel a acquis sa compagnie, Groove Networks. Il était surtout connu à l'époque pour être l'un des créateurs de Lotus Notes. Il a été une grande force de Microsoft, car il était un des représentants de l'époque des spécialistes en informatique, qui ont grandi avec les premiers ordinateurs. Lorsque Bill Gates a démissionné, Ray Ozzie a été logiquement pressenti pour le remplacer comme architecte logiciel en chef.

L'ASC a une fois estimé qu'il avait accumulé 10 000 heures derrière un ordinateur depuis sa deuxième année au collège. Il est né la même année que Gates et ils avaient tous deux connus leurs premières expériences avec l'informatique en utilisant des ordinateurs GE sous Time Sharing.

 

Crédit Photo : D.R

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(18/10/2010 17:38:15)

L'action EMC réagit bien à une rumeur de rachat par Oracle

Qu'Oracle puisse s'intéresser à EMC est une hypothèse qui a semblé plaire au marché. Bien que plusieurs analystes aient jugé fort improbable une acquisition du spécialiste du stockage par le groupe de Larry Ellison, cette rumeur a fait grimper de près de 5% l'action d'EMC en milieu de semaine dernière. Jeudi 14 octobre, le Wall Street Journal indiquait que le titre avait pris 4,88%, à 21,29 dollars, en début de séance. Il est monté à 21,57 dollars à 10 :56 pour retomber à 21,21 dollars en fin de la journée. Dans le même temps, l'action d'Oracle baissait légèrement.
Aujourd'hui 18 octobre, le titre EMC affichait 20,60 dollars en début de séance. Dirigé par Joe Tucci, le groupe EMC possède également VMware, numéro un de la virtualisation.

Il semble, selon nos confrères de Network World, que la rumeur d'acquisition ait été lancée à la suite d'une note de recherche de l'analyste Walter Pritchard de Citigroup qui a listé les cibles d'acquisition potentielles d'Oracle. Ce dernier a déjà fort à faire avec l'absorption de Sun Microsystems, racheté en début d'année. Celui-ci a notamment apporté à l'éditeur une activité de constructeur (processeurs Sparc, serveurs, systèmes de stockage).
L'analyste Walter Pritchard lui-même jugeait apparemment improbable un rachat d'EMC, ajoutant que BMC Software, Cerner ou Mellanox constituaient des cibles plus crédibles. D'autres rumeurs signalées par TheStreet ont vu en Microsoft un autre acquéreur d'EMC, ce qui semble tout aussi peu plausible.

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