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(24/01/2012 16:57:24)

Une BBox Sensation sans révolution

La Bbox Sensation a été présentée par Olivier Roussat, directeur général de Bouygues Telecom. Elle se décompose, dans sa version ADSL, en une box et un décodeur TV HD et se présente comme un point de convergence entre toutes les plateformes multimédias du foyer : PC, TV, ampli audio, téléphone, etc. La version fibre de la box regroupe quant à elle box et décodeur TV en un seul appareil. Cette Bbox Sensation sera disponible au printemps, dans ses versions ADSL et fibre (constituée d'une box unique).

Développée en partenariat avec Samsung, cette box, au design inexistant, est dotée d'un processeur Intel Atom CE 4200 épaulé par 1 Go de mémoire vive, d'un disque dur de 320 Go, de cinq prises USB, de quatre ports Ethernet, d'un lecteur de carte SD et d'une manette de jeu. Elle est dotée de l'interface WiFi 802.11n, alors que le 802.11ac pointe le bout de son nez. La Bbox Sensation sera toutefois livrée avec un module femtoCell 3G+ signé Huawei, permettant de connecter simultanément jusqu'à cinq appareils mobiles pour un accès haut débit jusqu'à 42 Mbit/s. Une option encore absente sur la FreeBox v6 Révolution. Mais plus d'un an après la sortie de cette dernière, la Bbox Sensation fait l'impasse sur le lecteur Blu-ray et ne propose pas de télécommande équipée d'un clavier, comme sur la Box de Numericable.

En association avec Playcast, Bouygues Telecom propose une offre de divertissement. Il s'agit d'un service de jeux, fort d'un catalogue d'une cinquantaine de titres parmi lesquels Super Street Fighter IV,Dirt 2Call of DutySonic Generations, etc. La Bbox Sensation disposera en outre d'une interface repensée pour les programmes TV et son offre VoD. L'opérateur a également créé une série d'applications originales afin d'avoir accès à l'ensemble de ses données multimédias (photos, vidéo, TV) directement sur sa tablette. Côté téléphonie, il annonce que les appels illimités vers les mobiles seront disponibles sur l'ensemble de la gamme Bbox Sensation.

Olivier Roussat n'a fourni aucune indication de prix concernant la location de cette Bbox et l'ensemble des abonnements associés. Toutefois, la migration sera gratuite pour les abonnés actuels.

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(24/01/2012 10:59:56)

Les autorités de santé franciliennes mutualisent l'imagerie médicale dans un cloud

« Devant le retard pris en France sur les déploiements de systèmes de gestion de l'imagerie médicale (les PACS), l'idée de mutualiser les PACS entre hôpitaux est née en 2002 » s'est souvenu Claude Evin, actuel directeur général de l'Agence Régionale de Santé d'Ile de France (ARS IDF). Cette mutualisation a finalement vu le jour sous la forme d'un SaaS dans le cadre du programme « Région Sans Film » (RSF, on parle ici des films radiographiques). 2011 a été l'année du déploiement de ce service en Ile de France.

Claude Evin a estimé, lors du colloque Région Sans Film du 18 janvier 2012, que « le cloud représente le sens de l'histoire informatique ». Celui destiné à accueillir l'imagerie des établissements hospitaliers d'Ile de France a été financé dans le cadre d'un PPP (Partenariat Public-Privé) et du Grand Emprunt. Malgré tout, l'ancien Ministre de la Santé a reconnu que, en matière de données médicales, par nature ultra-sensibles, le choix d'un cloud est tout sauf naturel : « la question se pose de savoir où est physiquement l'information sensible, même si des placards placés dans les couloirs sont sans doute moins sécurisés. »

Une mutualisation qui vise aussi au partage

La mutualisation des moyens au niveau régional pour créer un tel système d'imagerie répond à plusieurs objectifs. Le premier est bien sûr de mobiliser plus facilement des moyens à l'échelle régionale pour un moindre coût et une qualité des outils supérieure. Ensuite, un tel service permet incidemment de consulter des données à partir de n'importe où, quelque soit l'établissement voire le lieu où l'on se situe. Mais le but est aussi de partager l'information entre professionnels afin d'éviter des examens redondants (avec leurs coûts liés) tout en accroissant la qualité des soins apportés. Claude Evin tranche : « opter aujourd'hui pour des solutions locales de PACS est anachronique d'autant plus que la mobilisation budgétaire nécessaire met en péril les finances des centres hospitaliers ».

Pour porter le projet, le Groupement de Coopération Sanitaire pour le Développement des Systèmes d'Information en Santé partagé en Ile de France (GCS D-SISIF) a été créé sous la direction de Valère Dussaux, directeur de programme « Région Sans Fil ». Ce Groupement a mené un dialogue compétitif entre mars 2009 et mars 2010 auprès de quatre consortiums candidats avec 16 hôpitaux participant à 4 groupes de travail. Le 22 avril 2010, un accord cadre a été signé entre le Groupement et Orange, avec General Electric et EDL en sous-traitants.

Deux centres hospitaliers ont, à partir de novembre 2010, servi de pilote : le Centre d'Accueil et de Soins Hospitaliers Simone Veil d'Eaubonne-Montmorency et l'Institut Gustave Roussy, de Villejuif. En tout, 35 To de données sont actuellement stockés sur le SaaS par ces deux établissements.

Chaque établissement intéressé est désormais appelé à signer un marché dans le cadre du contrat cadre négocié par le Groupement. Vues les masses de données concernées, chacun dispose d'une liaison dédiée avec le service.

Le déploiement est en cours depuis septembre 2011. D'ici 2013, une vingtaine d'établissements franciliens devraient être raccordée dont onze sont en cours sur l'année 2012. Comme tous les SaaS, Réseau Sans Frontière se facture à l'unité d'oeuvre.

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(24/01/2012 10:31:48)

Le GIP-MDS optimise le traitement des déclarations sociales avec CA Technologies

Depuis l'an 2000, le GIP-MDS (Groupement d'Intérêt Public pour la Modernisation des Déclarations Sociales) réunit des organismes comme l'Acoss, l'Agirc-Arrco, la CNAM-TS, la CNAV, la MSA, etc. Au travers du service NetEntreprises.fr, elle mutualise les moyens et les compétences au bénéfice d'une part des organismes sociaux et d'autre part des entreprises. Son service permet de dématérialiser les déclarations sociales.

Or la dématérialisation, parfois obligatoire, permet de diminuer nettement le coût des traitements des déclarations effectuées par les entreprises et supportées par les organismes sociaux. La rendre toujours disponible et opérationnelle est un facteur essentiel de son succès.

Mais le GIP-MDS doit faire face d'une part à une très forte saisonnalité des volumes de traitements, en lien avec les dates butoirs des différentes déclarations obligatoires, d'autre part à une forte croissance des volumes globaux. Ainsi, le nombre de d'entreprises adhérentes s'est accru en moyenne de 40% et le nombre de déclarations enregistrées de 100% par an depuis 2003. L'objectif « politique » du service était de doubler de nouveau le nombre d'entreprises utilisant NetEntreprises.fr sur trois ans.

Il fallait donc adapter l'architecture en conséquence. A cela s'ajoute les refontes régulières de la législation impliquant des modifications dans les outils de déclarations en ligne.

Des prestataires à contrôler

La logique du GIP-MDS a toujours été d'externaliser autant le développement que l'exploitation. La maintenabilité du code produit par les sous-traitants, éventuellement dans le cadre d'une TMA, est surveillée par des outils comme Sonar (Open Source) ou Cast (propriétaire). Mais garantir la maintenabilité du code n'est pas suffisant. Il faut vérifier que le code s'exécute toujours correctement et, au cas où la performance chuterait, déterminer exactement d'où vient le problème afin d'éviter les renvois de balles entre fournisseurs.

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En 2009, le GIP-MDS a donc lancé un appel d'offre pour trouver une solution d'APM (Application Performance Management) dans les environnements très hétérogènes concernés : J2EE, Unix, Oracle, .Net, Windows, SQL Server... C'est Neoxia qui a remporté le contrat avec la solution CA APM de CA Technologies.

La solution a été déployée et paramétrée sur l'automne 2009, avant le pic d'activité de décembre-janvier. La montée en charge était un élément clé du projet. Même en l'absence de problème à un instant t, cette solution permet d'analyser la performance et d'anticiper la survenue de dysfonctionnements. Un critère majeur pour choisir cet outil a été sa capacité à analyser, détecter et diagnostiquer les situations problématiques ou potentiellement problématiques sans réduire la performance applicative du seul fait de sa propre présence. De plus, les tableaux de bords peuvent être agrégés avec une granularité de détails variable selon les spécialités de chacun, de la supervision globale des managers à l'analyse précise d'un problème par un spécialiste.

Des sondes discrètes permanentes

Selon l'éditeur, l'outil ne procède pas par échantillonnage mais bien par un contrôle permanent. Aucun incident ne peut donc passer entre les mailles du filet. De plus, sa logique est celle du ressenti utilisateurs : ce sont les performances réelles constatées par l'usage effectif des logiciels qui sont mesurées et non pas des performances de scénarios de tests.

En effet, l'outil procède par analyse des trames échangées entre les modules logiciels ou les matériels, y compris les trames cryptées (sous réserve de fournir la clé privée à la sonde concernée par un flux chiffré). Les sondes sont installées autant en production que sur les serveurs de qualification afin de vérifier sur tout le cycle du projet que le service restera performant.

Le taux de disponibilité du site NetEntreprises atteint aujourd'hui 99,59%, celui d'une déclaration sociale comme la DUCS le 99,89% et la DADSU les 100%.

Le coût du projet n'a pas été révélé mais il se répartit à 70% en licences et en matériels et à 30% en prestation.

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(24/01/2012 10:18:33)

Etude eAchat 360° : les investissement se poursuivent

Selon l'étude eAchats 360°, les grandes entreprises continuent d'investir dans les outils d'e-achat au sens large : gestion des référentiels fournisseurs, gestion des référentiels produits, enchères inversées, dématérialisation des factures, etc.

Le schéma ci-dessous reprend les grandes intentions d'investissements des directions achats par domaine à court, moyen et long terme.



Le petit effectif de l'échantillon interdit d'examiner en détail les répartitions chiffrées mais de grandes tendances se dessinent malgré tout.

Ainsi, la grande majorité des entreprises connaissent les différents outils d'e-achat. Si les outils « décisionnels » dédiés à l'achat sont largement déployés à l'heure actuelle, ce n'est pas le cas des solutions de gestion de la responsabilité sociétale des entreprises (développement durable...) ou la gestion des plans de progrès. La dématérialisation fiscale des factures est installée dans la moitié des firmes. La logique des directions achats est plutôt celle d'un enrichissement fonctionnel des systèmes d'information achats existants plutôt que des changements brutaux de l'existant.

Les fournisseurs restent optimistes

Les avantages d'un système d'information achats sont identifiés comme étant un outil d'harmonisation des pratiques, de productivité pour les équipes et de limitation du risque fournisseur. Mais la difficulté à chiffrer clairement son retour sur investissement ainsi que les réticences des utilisateurs sont les deux freins majeurs à une installation. Il est vrai que l'ergonomie semble être la principale limite actuelle des solutions installées.

Côté fournisseurs, l'optimisme est une règle. Le chiffre d'affaires 2011 a tendance à être supérieur aux prévisions de début d'année. Et selon eux, les ventes de solutions en 2012 se concentreront surtout sur les grands comptes privés, en second lieu sur le mid-market. PME et secteur public ne sont pas des cibles prioritaires même si la croissance devrait y être importante (à partir de pas grand'chose, il est vrai). (...)

(24/01/2012 10:59:25)

Annuels Cegid : Une fin d'année réussie et confiance pour 2012

Cegid finit l'année en trombe, avec 6,5% de progression au 4ème trimestre, ce qui lui permet d'afficher 3,1% de progression sur l'ensemble de l'exercice (à périmètre constant). Cegid a réalisé un chiffre d'affaire annuel de 263,9 millions d'euros (ME) en 2011 contre 249,6 en 2010. Le quatrième trimestre, et particulièrement le mois de décembre, rattrape les trois premiers trimestres : +2,3% au T1, +1,1% au T2, +1,5% au T3.

Par activités, les résultats de Cegid sont toujours marqués par  le dynamisme du SaaS, qui passe de 16,2 à 19,9 ME mais ne représente encore que 8% du CA total. La vente de licence représente 15%, elle baisse, passant de 40,7 ME à 39 ME, la maintenance est passée de 95,1 ME, en 2010, à 99,8 ME en 2011 et représente 38% du CA. L'édition représente ainsi 63% du CA, les services liés à l'édition 25% (en forte progression de 57,4 ME à 671 ME), la distribution et diverses activités 12% (en baisse, de 33,4 à 31,5 ME).

Par secteur, Cegid progresse fortement dans le secteur public, passant de 14,6 à 20,1 ME, dans les TPE-PME (de 98,6 à 101,3). Le groupe se montre confiant sur sa rentabilité, anticipant une progression de son EBE (excédent brut d'exploitation) et de son résultat opérationnel courant, « la rentabilité opérationnelle courante devrait ainsi ressortir au niveau supérieur à 10% du chiffre d'affaires consolidé », indique la société.

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(24/01/2012 09:54:30)

Les budgets IT vont stagner en 2012 selon IDC

Pour 2012, l'heure est à la stagnation budgétaire. 43% des CIO interrogés sont sur ce registre, 40% optent quand même pour une hausse, ils ne sont que 17% à parler de baisse. Pas de catastrophisme donc, pas d'euphorie non plus, le quart de ceux qui prévoient une hausse la situent à 5% ou plus.

Si l'on regarde dans le rétroviseur, sur 2011, les CIO étaient 43% à augmenter leurs budgets IT (contre 40% à l'envisager pour 2012) et 20% à parler de baisse (contre 17% sur l'année à venir), c'est donc bien vers une stagnation que se dirige le monde IT, par rapport à 2011. Plus finement encore, IDC remarque que si 43% des CIO ont augmenté leurs budgets en 2011, 46% avaient prévu de le faire, une baisse de 3 points entre les intentions et la réalité. En revanche, si 20% ont réduit leurs dépenses, 14% avaient prévu de le faire, signe que la crise les a obligé à se serrer la ceinture, plus que prévu, sans que le phénomène ne prenne des proportions trop importantes.

Des augmentations très faibles

IDC s'interroge même sur l'importance des budgets à la hausse. Pour la relativiser : « ils peuvent paraître optimistes à première vue, étant donné l'environnement économique, mais en fait les augmentations sont très faibles par rapport aux budgets équivalents de 2011 », selon Douglas Hayward qui a piloté cette étude. « Ce sera une année conservatrice dans laquelle les dépenses discrétionnaires seront à minima. L'impact n'est pas nécessairement dramatique en termes réels ...2012 s'annonce comme le prolongement de 2011, en plus négatif ».

Selon un autre analyste d'IDC, Thomas Meyer, vice-président Europe chargé des solutions d'infrastructure, « notre interprétation est que les organisations estiment qu'elles ont  réduit leurs dépensent suffisamment au cours de 2011, en réponse à l'aggravation des conditions. Elles espèrent obtenir cette année des niveaux de dépenses relativement proches de celles de 2011. Il existe tout simplement moins de possibilités pour réduire les dépenses, les CIO peuvent être enfermés dans des contrats qui limitent leur marge de manoeuvre pour réduire leurs dépenses informatiques. Les budgets actuels pourraient, cependant, être considérablement revus à la baisse en 2012, si les conditions économiques devaient se détériorer de façon spectaculaire. »

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(23/01/2012 15:53:25)

Piston Computing sort son OS cloud OpenStack

Sous le nom de Piston Enterprise OS, ou « PentOS », la start-up Piston Cloud Computing, créée l'an dernier à San Francisco, vient de livrer le premier système d'exploitation pour cloud privé basé sur le framework IaaS (infrastructure as a service) Open Source OpenStack. Ce dernier a été originellement conçu par un groupe de chercheurs de la NASA parmi lesquels se trouvait Josh McKenty, le fondateur de Piston Cloud Computing.

Avec PentOS, Josh McKenty veut apporter aux clients un cloud privé qu'ils pourront vraiment utiliser. L'objectif est d'offrir aux responsables IT chargés de superviser le réseau une option alternative apportant sécurité, fiabilité et facilité d'utilisation. PentOS peut s'installer en moins de dix minutes, indique la start-up dans son communiqué de lancement. Il dispose de mises à jour de sécurité par abonnement et d'un support de niveau entreprise 24 x 7. Il repose sur une distribution Linux personnalisée. Son prix démarre à 3 500 dollars par serveur.

L'architecture « Null-Tier » développée par Piston Cloud Computing combine le stockage, le traitement et le réseau sur chaque noeud pour offrir une capacité d'évolution avec, estime la start-up « une efficacité sans précédent ». PentOS est par ailleurs la première mise en oeuvre de CloudAudit, un standard de sécurité pour le cloud et les environnements virtualisés. Le système d'exploitation est indépendant de l'environnement matériel. Son éditeur rappelle qu'OpenStack est le projet Open Source qui croît le plus vite avec plus de 2 320 contributeurs et 147 entreprises qui y participent, parmi lesquelles Rackspace, la NASA, Citrix, Intel, Cisco, AT&T, Arista Networks, Microsoft et Dell. Lui-même entend jouer un rôle clé en favorisant son développement.

Une offre qui trouve son origine dans Nebula

L'origine de la société en dit beaucoup sur ce qu'elle compte faire avec son OS, mettent en avant nos confrères de Network World. Ce qui a motivé le développement de PentOS trouve son origine dans le travail accompli par Josh McKenty avec la plateforme Nebula Cloud Computing de la NASA. C'est dans ce cadre qu'il a oeuvré comme architecte technique sur les composants originels d'OpenStack. Après avoir hésité à prendre ce poste à la NASA -eu égard à son esprit d'entreprise et aux limites connues des budgets fédéraux- il a rejoint un groupe de chercheurs qui a été capable d'apporter une innovation d'avant-garde dans un cadre improbable. Il considère que son équipe fonctionnait alors de façon assez surprenante comme une start-up au sein de cette structure fédérale, à un moment où c'était possible. « Il y avait beaucoup d'optimisme sur le rôle que le gouvernement pouvait jouer dans l'innovation technologique ».

L'équipe de Piston Cloud Computing
L'équipe de Piston Cloud Computing (sur le fauteuil, le fondateur Josh McKenty) - Crédit photo : Piston. Cliquer ici pour agrandir l'image.
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Mais cela ne pouvait guère aller au-delà. Sous l'égide fédérale, les budgets étaient fixés longtemps à l'avance et il y avait peu de flexibilité. « Je ne croyais pas qu'OpenStack offrirait la chance de réinventer. Je voulais faire quelque chose que chacun pouvait utiliser. Le plus grand défi que j'ai eu sur Nebula à la Nasa a été qu'une fois que nous l'avons annoncé et commencé à l'utiliser, nous avons eu des demandes de chaque agence fédérale, de gouvernements étrangers, ainsi que d'états et d'agences locales et nous n'étions pas autorisés, nous n'avions pas de mandat pour leur fournir un service. Ils voulaient tous ce cloud. Ils voulaient tous ce qui est devenu OpenStack. »

Selon Josh McKenty, cette demande serait la même, si ce n'est plus élevée, sur d'autres marchés. Donc quand Rackspace a acquis l'équipe de chercheurs de Nebula, il a dû faire un choix : continuer à travailler sur une infrastructure sur laquelle de nombreuses sociétés pourraient un jour poser leurs fondations. Ou bien bifurquer et fournir des produits qui aideraient ces sociétés à le faire. Il a opté pour la deuxième option, tenté par les opportunités et le potentiel qu'il y discernait.

« J'ai vraiment apprécié l'équipe de Rackspace », a confié Josh McKenty. « Ils ont fait un beau travail en bâtissant une communauté autour de ce projet. Mais il ne s'agit pas d'un fournisseur de produits. Ce n'est pas dans leur ADN et je pensais vraiment qu'il y avait des choses importantes qui devaient être faites avec OpenStack qui ne pouvaient pas avoir lieu en dehors d'une start-up. C'est ce qui a conduit au lancement de Piston Cloud. »

La clé du succès résidera dans le niveau de support fourni

Il reste à voir si la réalité du marché du cloud privé rejoindra les attentes de Josh McKenty pour PentOS. Pour Jay Lyman, analyste senior couvrant les logiciels d'entreprise pour le cabinet 451 Research, il y a une demande pour des outils alternatifs de gestion des clouds privés et des outils IaaS sont apparus pour y répondre. Il y a selon lui de l'intérêt pour des options comme OpenStack.

La clé du succès pour PentOS résidera dans le niveau de support que l'éditeur fournira pour son logiciel Open Source. « Cela correspond à ce que les entreprises ont l'air de vouloir, diversité, variété de choix, avec un fournisseur crédible et un support technique de haut niveau tel que le requièrent les entreprises », poursuit Jay Lyman. « Je pense que PentOS correspond assez bien à ce type de demande qui se présente, disons, comme le meilleur de deux mondes ».

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(23/01/2012 11:39:13)

RIM: les 2 fondateurs démissionnent, Thorsten Heins nouveau PDG

Pressés par les actionnaires, la direction bicéphale de Research In Motion vient de tirer sa révérence. Mike Laziridis et Jim Balsillie quittent leur poste de co-PDG et le conseil d'administration a nommé Thorsten Heins, qui était l'ancien COO (Chief Operating Officer) [équivalent de directeur général] du groupe. Les deux co-PDG quittent aussi la présidence du conseil d'administration de RIM au profit de Barbara Stymiest, qui fut directrice de la bourse de Toronto. Les deux hommes restent néanmoins présents au conseil d'administration. Mike Laziridis en devient vice-président, il sera également en charge d'un « comité de l'innovation » pour offrir des conseils stratégiques et assurer une transition en douceur. Jim Balsillie reste lui simple membre du conseil.

Thorsten Heins, ancien de Siemens Communications Group, a rejoint RIM en décembre 2007, en tant que vice-président senior de l'ingénierie matérielle. Il est devenu COO en charge des ventes et produits en août 2011. Le nouveau PDG n'a pas indiqué de changement immédiat sur la stratégie du constructeur canadien. « Mike et Jim ont toujours refusé de sacrifier de la valeur sur le long terme pour obtenir des gains sur le court terme. Je partage cette philosophie et je suis très confiant sur l'avenir de l'entreprise », explique-t-il dans un communiqué de presse. Il a salué ses prédécesseurs  « pour l'acquisition il y a 18 mois de QNX, qui va permettre de transformer la plateforme de RIM dans le prochaine décennie ».

Des défis multiples

Les défis pour Thorsten Heins sont nombreux. RIM a vu sa part de marché fondre dans le domaine des smartphones en passant de 15,4% au 3ème trimestre 2010 à 11% au 3ème trimestre 2011, selon le cabinet Gartner. En octobre 2011, le constructeur avait été victime d'une panne générale de son service de messagerie dans plusieurs pays, ternissant son image de fiabilité. Par ailleurs, RIM a dévoilé en octobre 2011 sa plateforme BBX qui, pour des raisons de violation de marque, a été transformée en BlackBerry 10. Le lancement de cette dernière a été retardée.

L'entreprise devra se prononcer sur la poursuite ou non de la commercialisation des tablettes. Une actualisation de l'OS des Playbook a été retardée et devrait arriver au mois de février. RIM n'a vendu que 150 000 exemplaires de cette tablette sur le trimestre clos le 26 novembre et a indiqué avoir provisionné 485 millions de dollars pour les méventes de ce produit.

Sur ce même trimestre, RIM a publié des revenus en baisse de 6% par rapport au 3e trimestre de l'année précédente, à 5,2 milliards de dollars. Le bénéfice net est en chute de 71%, à 265 millions de dollars. Mike Laziridis s'est déclaré confiant dans l'entreprise et a annoncé son intention de racheter 50 millions de titres.

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(23/01/2012 09:58:46)

Le marché du M2M en forte croissance selon ABI Research

Dans une étude récente, ABI Research affirme que le nombre de connexions mobiles de machine à machine M2M a augmenté de 26,2% en 2011, passant d'un total de 87,7 millions de connexions dans le monde en 2010 à 110,6 millions à la fin 2011. Ce chiffre devrait atteindre même atteindre 364,5 millions en 2016, soit une augmentation de 27% par an.

Les experts d'ABI estiment que le marché du M2M (ou internet des objets) environ 35 milliards  de dollars de revenus provenant des services de connectivité en 2016. Les plus gros revenus seront générés par les secteurs de l'automobile (15,5 milliards de dollars) et de l'énergie intelligente (7,5 milliards de dollars).

ABI Research estime que les opérateurs mobiles vont maintenant développer des services facilitant la naissance d'applications d'Internet des objets. D'ailleurs, Swisscom a récemment annoncé qu'elle avait créé une division M2M.

ICTjournal.ch

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(23/01/2012 09:47:28)

Jean Paul Alibert est nommé DG de la division IPG de HP

L'activité imagerie et impression de HP France sera pilotée par Jean-Paul Alibert à compte du 1er février prochain. Il succédera à Antoine Vivien qui à cette date prendra ses fonctions de secrétaire général et vice-Président de HP France après avoir passé huit années à la tête de la division IPG.

Avant d'obtenir cette promotion, Jean-Paul Alibert occupait le poste de directeur général de la division Technology Services au sein de HP Enterprise Business France depuis 2008. Auparavant, il fut notamment à la tête de la division Energie et Industrie de Atos.

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