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(20/09/2010 16:36:39)

IBM rachète Netezza pour 1,7 milliard de dollars

Qu'on les stocke, les compresse, les sécurise, les analyse, les données sont au coeur de la bataille capitalistique que se livrent les grands groupes informatiques. Aujourd'hui, IBM a annoncé l'acquisition de Netezza, en proposant 27 dollars par action, soit une valorisation à 1,7 milliard de dollars. La société, basée à Malborough, propose des appliances pour datawarehouse capable de traiter des capacités importantes de données et gérer de manière plus rapide des requêtes.  Netezza comprend 500 salariés à travers le monde. Les différentes solutions vont être intégrées à l'activité  Business Analytics and Optimization Consulting d'IBM. Big Blue précise que depuis 4 ans, il a investi dans 23 sociétés uniquement dans ce domaine, pour un montant de 12 milliards de dollars.

Netezza avait été citée par une étude comme une potentielle cible de rachat. Plusieurs firmes pouvaient prétendre à cette opération pour étendre leur portefeuille dans le domaine de l'analyse et de l'entreposage de données. Les yeux se tournent maintenant vers Teradata, une future proie.

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(20/09/2010 10:24:16)

SaaS : Les revendeurs restent frileux

Commercialiser des formules Saas en mode direct buterait sur plusieurs obstacles. Deux principalement, selon René Causse, président du cabinet de conseil PAD (*) : les forces de vente directe sont coûteuses et elles ne couvrent pas la totalité du spectre. Pour autant, passer en indirect, nécessite une méthodologie bien appliquée et une volonté ferme de la direction générale d'un éditeur.

Le défi n'est pas mince. Même dans des formules classiques, les éditeurs ont du mal avec l'indirect. 84% des ventes des éditeurs, selon  Markess International,  se font en direct. Confirmation de Springboard International, pour qui, moins de 20% sont en indirect. Se référant à une étude de Booz Allen & Hamilton, René Causse note que 60% des stratégies partenaires échouent. En cause ? En apparence, les partenaires qui n'atteignent pas les objectifs fixés par les éditeurs. En fait, les éditeurs qui font « du partenariat à temps partiel » sans investissement et sans continuité suffisantes.

Le terreau de l'indirect est donc difficile. Et le passage au Saas rend méfiant. Plus de 40% des partenaires se disent réfractaires au Saas (toujours selon Springboard International). Les raisons sont  de l'ordre du traumatisme lourd : 20% citent des chiffres d'affaires et des marges insuffisantes, 20% la maîtrise du modèle (ils ne connaissent pas leurs parts de responsabilité), 5% le fait que les produits ne sont pas prêts.

Créer des unités dédiées aux offres SaaS

Dans ce contexte, René Causse conseille une méthodologie aux éditeurs : décider de passer en indirect au niveau de la « dg » (afin d'éviter les frictions), cartographier le marché et ses cibles (évident mas rarement réalisé), définir le « go to market », recruter les bons partenaires (et ne pas hésiter à se séparer de ceux qui s'engagent difficilement). Une fois le plan de marche mis au point, une équipe dédiée est indispensable. « On ne fait pas de l'indirect en intermittent du spectacle», lance  René Causse qui conseille, non seulement aux éditeurs mais à leurs partenaires en indirect, de créer des business unité dédiées au Saas.

Pour autant, la question cruciale restera en suspens, celle de la facturation. Il est difficile de mettre en place une structure et de miser sur le Saas tant que  les chaînes financières ne sont pas prêtes à fonctionner. Or, les questions non résolues ne manquent pas. Qui facture le client final et comment ? Est-ce l'éditeur ou son partenaire ? Autre question : la rémunération en Saas est mensuelle, donc porte sur des montants moins importants, mais réclamés de manière plus fréquente.  « Déjà qu'un éditeur peut avoir du mal à facturer 100 000 euros une fois, comment facturer, chaque mois,  1 000 euros ou moins » demande un intervenant.

Des commissions peu encourageantes pour les commerciaux

Question complémentaire : comment facturer le client final et en informer le partenaire ? Comment transformer une information strictement comptable à un partenaire en information et en levier commercial ? A partir de là, l'éditeur pourrait également bâtir une relation plus forte avec son partenaire, éviter sa volatilité. Encourager aussi sa capacité à garder le client. Un pari d'autant plus délicat que la rémunération n'est plus la même. Dans le modèle classique, le partenaire peut espérer de 25 à 40% de commissionnement, dans le modèle Saas, il est réduit à 10%.

Le type de relation, instaurée par l'éditeur avec son partenaire est donc un autre élément important. René Causse conseille de négocier, et de ne pas imposer, un business plan en début d'année afin de mieux suivre la relation commerciale.

(*) René Causse tenait une formation, à l'invitation d'IBM vendredi 17 septembre. Formation festinée aux éditeurs. IBM a lancé en France le Club Alliances qui regroupe des éditeurs sur des thématiques liées au Saas et au cloud.

Illustration : René Causse, président du cabinet de conseil PAD, crédit D.R.

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(20/09/2010 10:14:31)

La croissance du e-commerce profite à Oxatis

L'effectif d'Oxatis va passer de 40 personnes actuellement à 80 à 100 salariés d'ici fin 2010. Ce recrutement massif est tout d'abord justifié par la croissance soutenue du e-commerce en France, avec plus de 30% de croissance au premier semestre. A l'approche de son dixième anniversaire, l'entreprise a créé un poste de directeur général et est allé débaucher Philippe Leroy, auparavant dirigeant de l'éditeur de logiciels de gestion EBP. « Exatis a enregistré depuis sa création des croissances annuelles de 50% à 80%, ce qui est une performance exceptionnelle, mais la France doit encore accélérer pour se mettre au niveau de pays comme l'Angleterre ou les Etats-Unis, où le nombre de site marchands est quasiment cinq fois plus élevé, explique Philippe Leroy. De fait, nous avons besoin de plus de personnel et de partenaires pour assurer dans de bonnes conditions le travail d'évangélisation nécessaire, que ce soit vers les entreprises, les institutions ou les organismes tels que les CCI. »

Abonnement pour tout le monde

Plus encore que pour les applications bureautiques, les solutions de e-commerces sont proposées sous la forme d'abonnements : « nous vendons un service et non des logiciels », précise Philippe Leroy. Selon lui, le marché français va connaître une évolution accélérée, la part du e-commerce dans le commerce non-alimentaire devant rapidement passer de 3% à environ 10%, comme dans les pays anglo-saxons. En extrapolant les données de 2009, on prévoit que près de 20 000 nouveaux sites marchands seront créés en 2010. « Cela suppose d'avoir un maillage très dense du territoire, précise encore le dirigeant. Nous travaillons aujourd'hui avec 300 centres d'expertise, mais il est évident qu'il en faudrait bien davantage ».
Concrètement, Oxatis s'intéresse autant aux « pure players », tels que les web agencies, qu'aux revendeurs informatiques. La force de ces derniers dans ce contexte est qu'ils sont les interlocuteurs traditionnels des commerces physiques, qui deviennent les principaux créateurs de sites de e-commerce.    

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(17/09/2010 16:36:41)

Acti se renforce dans l'assurance et le secteur public avec le rachat de LCI

Et de quatre ! Malgré la crise, Acti poursuit sa stratégie de croissance externe. Cette fois, le groupe (via sa holding Damilo) reprend la société LCI. Cette dernière réalisera 4 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2010, elle en a fait 3,6 millions en 2009, avec 280 000 euros de résultat net. LCI apporte au groupe des complémentarités sectorielles, d'une part dans l'assurance et les  et mutuelles, d'autre part dans le secteur public. L'intégration se fera en douceur, avec le Pdg  actuel et ses projets, le nom et les structures de LCI sont conservées.

Acti, pour sa part, va réaliser cette année 62 millions d'euros de chiffre d'affaires, en gardant une croissance organique forte nous précise sa directrice générale Marie- Mercedes Allongue. (...)

(17/09/2010 16:31:33)

Trimestriels Vision IT Group : Forte hausse grâce à la croissance externe

Le groupe de conseil Franco-Belge a réalisé un chiffre d'affaires de 26,3 M€ au deuxième trimestre 2010, soit une progression de 26% à période comparée de 2009. Toutefois, la croissance des revenus de l'entreprise n'est que de 0,5% sur une base organique. La différence tient à l'acquisition de GFI Informatik, une filiale allemande de GFI, dont les comptes ont été consolidés dans ceux de Vision IT Group pour la premier fois sur un trimestre entier entre avril et juin derniers. Intervenue à partir de mars 2010, la consolidation de l'activité de cette société d'Outre-Rhin avait permis au groupe de publier un chiffre d'affaires en hausse de 4,6% pour le premier trimestre 2010, alors qu'il était en repli de 4,7% à périmètre constant. 

Au deuxième trimestre 2010, Vision IT Group a réalisé 47% de son chiffre d'affaires en France où son activité a reculé de 2,5%. L'activité du groupe en Allemagne pèse quant à elle 16% de ses revenus. Le Belux, la Suisse et l'Europe du Sud y contribue respectivement à hauteur de 19, 3 et 14%. Fort de son développement en Europe, le groupe  de conseil reste en ligne avec son objectif de réaliser 100 M€ de chiffre d'affaires cette année et de dépasser les 150 M€ de revenus en 2012. (...)

(17/09/2010 16:39:57)

Gestion des temps : Asys affermit sa position avec Chronos

La société française Asys, spécialisée dans l'édition et l'intégration de solutions de gestion des temps et des activités (GTA), vient de racheter le logiciel Arcole Chronos à l'éditeur "de Gamma", ce dernier l'ayant lui-même acquis d'Arès il y a deux ans. Dirigée par Anne-Sophie Kieffer (photo ci-dessus), Asys développe de son côté l'application de GTA Horsys qui se trouve notamment intégrée, en marque blanche, dans les offres d'éditeurs tels que Cegedim SRH, Hardis, Infor et Lefebvre Software.

Ensemble, les offres Horsys et Chronos équipent environ 700 clients (450 pour la première, 250 pour la deuxième), en France et en Europe. Les deux solutions sont jugées complémentaires par Asys. Horsys vise les entreprises de taille moyenne dans l'industrie, les services et la distribution. Tandis que Chronos est bien implanté sur le secteur médical et hospitalier.
Aux bases installées de ces deux produits s'ajoutent les 150 clients de Badge 400, une application fonctionnant sur iSeries qu'Asys a rachetée il y a quelques années.

Le nouveau périmètre de la société représente un chiffre d'affaires annuel estimé à 7 millions d'euros et près de 70 collaborateurs. Jusque-là plutôt discrète, Asys souhaite désormais accroître sa visibilité et ses parts de marché, souligne Valérie D'all'arche, responsable communication et marketing de la société. Un développement qui s'effectuera principalement en France, mais aussi au-delà. « Dans un mois, nous participons au salon informatique Med'IT à Casablanca ».

Marché de la GTA : une dizaine d'acteurs bien ancrés

« En dehors d'Asys et de l'offre Chronos jusque-là exploitée par de Gamma et Arès avant avril 2008, les principaux éditeurs de solutions de GTA en France restent Bodet Software, Equitime, GFI Chrono Time, Holy-Dis, Horoquartz, Kronos, Octime et Sopra Group, rappelle Claire-Marie de Vulliod, analyste au CXP. Ces acteurs sont présents depuis de nombreuses années sur ce marché. »

La SSII Arès continuera de son côté à assurer l'intégration de Chronos, activité qu'elle avait conservée après la cession de son logiciel à de Gamma. « Arès devient notre distributeur intégrateur exclusif sur l'offre », confirme Valérie Dall'arche.

Asys est une filiale du groupe CSI Consulting qui comprend également la société Adsi. Cette dernière propose des solutions de gestion pour les métiers de l'industrie, du négoce et du bâtiment : la solution de gestion à l'affaire Anaël BTP, la gestion commerciale Iris Commerce Production et le PGI Geopsys pour les sociétés industrielles.

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(17/09/2010 12:02:46)

Trimestriels Oracle : le matériel pèse 22% du chiffre d'affaires

L'éditeur de logiciels Oracle, également fournisseur de serveurs depuis le rachat de Sun Microsystems, a clos son premier trimestre fiscal sur un chiffre d'affaires de 7,5 milliards de dollars, en hausse de 48% par rapport à la même période l'année précédente. Le bénéfice net a augmenté de 20 % pour s'établir à 1,4 milliard de dollars.

Les ventes de  licences du Californien, indicateur majeur de la croissance du groupe, ont crû de 25% pour s'élever à 1,3 milliard de dollars.

1,69 milliard de dollars sur le matériel

Quant aux revenus liés au matériel, autre indicateur sensible depuis la récente acquisition de Sun, ils ont atteint 1,69 milliard de dollars, soit un peu plus de 22,5% du chiffre d'affaires total. Ces ventes sont toutefois en baisse si l'on effectue la comparaison avec les 1,83 milliard de dollars de chiffre d'affaires engrangés sur le matériel au cours du dernier trimestre fiscal du groupe publié en juin. Mais Oracle a pour habitude de terminer son exercice sur un fort quatrième trimestre.

Ces résultats sont annoncés quelques jours avant l'ouverture d'OpenWorld, le grand rendez-vous annuel des utilisateurs d'Oracle qui se tiendra à San Francisco, du 19 au 24 septembre. Année après année, l'événement voit passer plus de 40 000 visiteurs à chaque édition, utilisateurs de sa base de données, de ses solutions de middleware ou de ses applications de gestion. A ce catalogue de produits s'ajoutent désormais les serveurs sous Solaris et systèmes de stockage de Sun, ainsi que MySQL. Cette fois-ci, dans le cadre d'OpenWorld se tiendra pour la première fois la conférence JavaOne.
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(17/09/2010 10:51:21)

VMware envisage le rachat de Novell

Après une tentative d'OPA hostile d'un montant de 2 milliards de dollars en mars dernier de la part du fonds Elliott Associates, la vente de Novell s'accélère. Selon les dernières rumeurs, VMware figure en bonne place parmi les entreprises qui ont entamé des pourparlers pour racheter une partie de l'éditeur Open Source. Faute d'acheteur global, les responsables de Novell ont décidé de diviser la société pour la vendre en morceaux. Toujours selon le WSJ, l'éditeur de Waltham est actuellement en "négociations avancées" avec au moins deux acheteurs, y compris VMware. Ce dernier semble être uniquement intéressé par l'acquisition du système d'exploitation Suse Linux et des services associés. L'activité Netware de Novell, le partage de fichiers en réseau notamment, pourrait être reprise par Attachmate, un éditeur de logiciels spécialisé dans les solutions de connectivité et la modernisation des applications propriétaires, gérées notamment sur mainframes.

Une acquisition logique pour VMware

Le journal financier signale encore qu'une vingtaine d'entreprises se sont  montrées intéressées par Novell, qui s'est mis sur le marché en mars dernier, mais il n'y aurait qu'une poignée de candidats sérieux. Les rumeurs ont été particulièrement abondantes cette dernière semaine sur une vente possible après un article paru dans le New York Post, qui faisait état de pourparlers avancés avec deux sociétés dont l'identité n'est pas connue.

L'acquisition de Suse Linux serait logique pour VMware, qui poursuit l'acquisition des piles logicielles nécessaires à la fourniture d'une plate-forme de services cloud (voir  rachats de Zimbra et SpringSource). Novell a déjà établi un partenariat avec VMware, qui utilise Suse Linux comme système d'exploitation préembarqué sur les machines virtuelles animant ses appliances. Novell fournit également des outils à des plates-formes cloud reposant sur ses solutions Linux. Avec ce rachat, VMware pourrait, notamment, affronter à armes égales Red Hat qui a développé une offre cloud basée sur sa propre distribution Linux Enterprise.

Pour l'instant, ni VMware ni Novell n'ont immédiatement réagi aux demandes de commentaires de nos correspondants d'IDG News Service à New York.

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(17/09/2010 10:54:52)

84% des cybermarchands de produits électroniques sont sûrs selon la CE

La Commission européenne a procédé au contrôle de 369 sites de vente en ligne de produits électroniques. , après avoir relevé divers manquements sur 44% de plateformes en mai 2009. Désormais, les Européens peuvent être rassurés s'ils naviguent et achètent sur 310 de ces sites Internet contrôlés. A noter toutefois que 14% d'entre eux doivent encore travailler sur les informations données aux internautes. Il s'agit par exemple d'évoquer le droit de renvoyer un produit sans indication de motif ou sur la durée de la garantie légale.

Dans le même temps, les sites de vente en ligne de produits électroniques ont su faire des efforts sur les informations relatives aux prix. En mai 2009, seuls 75% des plateformes contrôlées publiaient des  données claires et précises, comme le montant des frais de port et des autres frais supplémentaires compris. Aujourd'hui, cette proportion est passée à 94%, soit 19 points de plus.

D'autres efforts ont été fournis sur les coordonnées des détaillants. 95% des sites de vente en ligne précisent le nom, l'adresse postale et l'adresse électronique de ceux-ci. Les enquêteurs procèdent désormais aux contrôles de la vente en ligne de billets pour des événements culturels et sportifs. Pour l'heure, sur les 414 sites examinés, 60% "doivent faire l'objet d'enquêtes approfondies pour infraction au droit de la consommation", précise Bruxelles. 74% des irrégularités constatées concernent des informations manquantes, incomplètes ou mensongères.

Crédit photo : Ronen

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