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(30/07/2010 14:47:29)
Dell et HP renouent avec Solaris (MAJ)
Cette annonce témoigne de « l'engagement d'Oracle à l'ouverture » souligne un communiqué de l'éditeur. Ce dernier vient de signer un partenariat avec plusieurs fournisseurs d'équipements pour intégrer Solaris, OpenSolaris et Oracle VM sur leurs serveurs x86. Les clients pourront donc avoir accès au support Premium d'Oracle et bénéficier aussi des mises à jour. A noter qu'IBM devrait arrêter la fourniture de solutions Solaris sur ses serveurs x86 System X, exNetfinity.
Cet accord de distribution montre également la reprise en main du géant des bases de données sur l'activité de Sun. Après un petit moment de flottement où les communautés de développeurs se sont interrogées sur une éventuelle dissolution du conseil d'administration du système d'exploitation OpenSolaris (lien).
Semestriels Bull : la société se montre prudente pour l'avenir
Impacté par la crise, Bull a publié des résultats financiers pour le premier semestre en demi-teinte. Certes le chiffre d'affaires est en hausse de près de 6% à 591,3 millions d'euros. La marge brute progresse de 7,5% à 131,2 millions d'euros. Au sein des différentes activités, on note une bonne tenue de la branche hardware et solutions systèmes, +5,5% avec 190,6 millions d'euros. Le groupe indique que cette activité est portée par les efforts réalisés dans l'extreme computing et le stockage sécurisé. Par contre l'activité revente de produits tiers chute de 42,3% en raison d'un désengagement volontaire de Bull. La partie maintenance subit aussi une décroissance de 4%, également anticipée.
Des pertes et des prévisions prudentes
Le groupe affiche une perte nette de 18,4 millions d'euros contre un bénéfice net de 2 millions d'euros à la même période un an auparavant. Bull explique en partie cette chute par une charge exceptionnelle de 9,2 millions d'euros représentant la dépréciation de l'écart d'acquisition résiduel de Siconet, une filiale espagnole. Par ailleurs, l'intégration d'Amesys (société de conseil et d'ingénierie dont l'acquisition a été finalisée mi-janvier) impacte les résultats par l'ajustement d'une clause de remboursement de créance de 4,2 millions d'euros.
Pour les perspectives, la société française est très prudente en estimant le résultat d'exploitation pour le second semestre 2010 à un minimum de 30 millions d'euros. La nouvelle équipe dirigeante présidée par Philippe Vannier, après le départ de Didier Lamouche au mois de mai dernier, va présenter à l'automne son plan pluriannuel pour le groupe.
Arès poursuit sa descente aux enfers
Arès présente désormais l'image d'un navire démantelé et sans capitaine. En la matière, la gestion de la communication sur la dernière cession du groupe (Arcole RH et Arcole Finance sont revendus à Lefebvre Software) est un cas d'école. L'annonce a ainsi été faite le 27 juillet en toute fin de journée, ce qui n'est pas fait pour lui donner un écho médiatique retentissant. Plus fort encore : les contacts indiqués si l'on veut avoir quelques explications ne sont pas joignables. En ce qui concerne le PDG, Michel Berjamin, le standard explique « qu'il est souffrant et absent de l'entreprise depuis plusieurs mois ». L'autre responsable cité est le directeur administratif et financier, William Belletti, « mais il est en congés et ne peut pas répondre », indique-t-on au même standard. De son côté, l'agence de communication d'Arès reconnaît qu'il ne lui est pas possible de diriger la presse vers d'autres interlocuteurs. Une telle situation ne peut qu'inquiéter.
Depuis 2008, Arès a déjà cédé l'activité d'édition de logiciels d'Arcole, sa division infrastructure, l'entité Adequat, la division financement Databail, le pôle RMS et, en avril dernier, sa branche infogérance. Le chiffre d'affaires d'Arès dépend désormais quasi exclusivement d'IT Services et, dans une moindre mesure, de la distribution de solutions Autodesk. Tout le reste a déjà été revendu, y compris le parc automobile...
Légende Illustration : Quand on tente d'aller sur le site d'Arès, on tombe sur ce message : "Site en travaux". (...)
Semestriels France Télécom : Des bénéfices en forte hausse
Près de 30 milliards d'endettement
La dette du groupe, quant à elle, poursuit sa baisse. Elle est certes conséquente à presque 30 milliards (29,9 plus précisément) contre un peu de plus de 32 milliards sur la même période en 2009. Stéphane Richard, via le conseil d'administration de France Télécom, poursuit sa stratégie en direction des actionnaires en versant un dividende par action égal à celui des deux années précédentes soit 1,40 euros et ce pour les 3 années à venir. Dans cette période sociale tendue, le groupe a également confirmé la distribution d'actions gratuites à 160 000 salariés pour un coût global évalué entre 200 et 300 millions d'euros à l'image de ce qui avait déjà été fait en 2006. Stéphane Richard a également tenu à se féliciter de la bonne résistance de l'activité entreprise du groupe (OBS) qui était en perte de vitesse ces derniers temps.
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Il a été aussi question de l'évolution de la stratégie en matière de contenu de France Télécom en fin de conférence. Pour ce qui est de la gestion des deux chaînes Orange Sport et Orange Cinéma Séries, des discussions se poursuivent avec de potentiels partenaires à l'instar de Canal + fortement pressenti pour devenir le partenaire de l'opérateur. Stéphane Richard, sans nier l'expertise de Canal + et l'intérêt d'une telle association, a tenu à calmer le jeu en affirmant que des discussions étaient en cours mais que rien n'était arrêté « c'est une possibilité parmi d'autres, laissons à ces discussions le temps de progresser. » En effet d'autres options sont possibles et notamment celle menant au groupe de Rupert Murdoch. Une piste menant à la ligue de football pour la cogestion d'Orange Sport.
Un partenariat indispensable pour partager les coûts
Le groupe cherche plus que jamais une solution de partenariat rapide c'est-à-dire dès septembre prochain. Stéphane Richard justifie cet empressement par les coûts d'exploitation élevés de ces chaînes puisqu'il s'élève à 300 millions d'euros et il a précisé que l'objectif, à terme, était d'être minoritaire dans ce partenariat. A une question portant sur les offres Quadplay (TV, fixe, mobile, internet), France Télécom a fait savoir que la gamme d'offres se nommerait « Orange Open » et qu'elle comporterait cinq offres différentes en fonction des budgets. Les différentes tarifications n'ont pas filtré et il faudra attendre le 19 août, date de commercialisation de ces offres, pour connaître le prix de ces forfaits.
Le syndicat CFE-CGC dénonce les échecs à l'international
La CFE-CGC a immédiatement tenu à réagir après l'annonce des résultats de France Télécom. Le syndicat dénonce l'échec de la politique internationale avec la cession du réseau fixe ADSL en Grande Bretagne à BT, la baisse du chiffre d'affaires en Pologne et une stratégie qui ne fonctionne pas en Espagne. Qui plus la branche CFE-CGC de France Télécom, dirigée par Sébastien Crozier, dénonce la politique de dividende du groupe, qui selon le syndicat, plombe les investissements et demande que ceux-ci tombent à 0,50 € par action au lieu de 1,40 € actuellement. Si le syndicat reconnaît par ailleurs les compétences de la nouvelle équipe dirigeante, elle dénonce le comportement irresponsable de l'Etat, qui est l'actionnaire majoritaire de France Télécom. Au final, le syndicat estime que la tâche s'annonce titanesque pour Stéphane Richard et son équipe.
Photo : Stéphane Richard, Directeur Général de France Télécom, D.R
HP tient un double langage sur ses futures tablettes
Le constructeur, engagé dans la plupart des technologies disponibles actuellement, a décidé d'adopter pour ses futures tablettes une approche qui va à l'encontre des stratégies choisies pour l'iPad d'Apple mais aussi pour des tablettes pro comme la Cius de Cisco. Interrogé pour savoir si HP était également intéressé par les terminaux sous Android, Phil McKinney a déclaré que le constructeur se concentrerait exclusivement sur les deux systèmes d'exploitation, à savoir Windows 7 et WebOS.
Les faits et les spéculations autour de la stratégie d'HP ont fait couler beaucoup d'encre ces dernières semaines, alimentés en partie par des informations révélées par IDG News Service la semaine dernière indiquant que HP préparait une tablette professionnelle - la Slate HP 500 - sous Windows 7 et cherchait également à créer une marque propriétaire nommée PalmPad. Le constructeur avait déjà fait connaître ses projets à propos d'une tablette Slate HP sous Windows 7 cette année (http://micro.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-tablette-internet-hp-revoit-son-projet-slate-3144.html), et ce avant l'acquisition de Palm en avril, pour laquelle l'entreprise a déboursé environ 1,2 milliard de dollars(https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-hp-acquiert-palm-pour-1-2-milliard-de-dollars-30555.html).
Obtenir un hub Wi-Fi/3G
Selon Phil McKinney, la connectivité Internet partagée à travers un appareil mobile de type tablette joue un grand rôle dans la manière dont HP envisage l'avenir. Le Palm Pre propose déjà ses fonctionnalités : il peut se connecter au réseau cellulaire de l'opérateur et être relié en même temps en WiFi à des périphériques situés à proximité. Le Palm n'est qu'un exemple parmi d'autres de ces "hubs" vendus sur le marché aujourd'hui, capable de coupler réseaux cellulaires et WiFi. L'Overdrive de Sprint, l'Evo 4G et le Mifi de Verizon en font également partie. « En apportant un traitement différencié des fréquences sur un appareil mobile, HP va permettre une mise à jour plus fréquente des périphériques » explique Phil McKinney.
Il ajoute que « dans un appareil mobile, c'est sans doute la couche logicielle qui est la plus complexe. Elle doit être modifiée à chaque fois que le constructeur adopte une nouvelle fréquence. En revanche, les logiciels d'interfaçage pour le Wi-Fi changent rarement de manière significative ».
D'autres innovations
« Si la firme travaille sur des technologies, comme le UWB (Ultrawide Band), elle n'a cependant pas encore l'intention de créer un hub sous forme de montre, comme le concept montré il y a cinq ans » a t-il déclaré. « Mais, un autre fabricant, intéressé par l'idée, a déjà réalisé un prototype qui devrait bientôt arriver sur le marché," a t-il dit. Inspiré par les futures plates-formes, HP veut également promouvoir des écrans séparés pour les appareils mobiles, comme les écrans pliables ou au contraire de grands écrans que l'on pourrait disposer dans des salles d'attente et qui se connecteraient avec les appareils mobiles. « Les écrans pourraient être imprimés sur des feuilles de mylar et placés n'importe où, » dit-il. «Tout support pourra devenir un système d'affichage », conclut Phil McKinney.
Des prévisions très optimistes sur le SaaS
Les prédictions de Gartner et d'IDC sont très optimistes pour les revenus issus du SaaS (Software as a service) sur le marché entreprise. Pour l'année 2010, le chiffre d'affaires est estimé par Gartner à 8,5 milliards de dollars. « Après une décennie d'utilisation, l'adoption du SaaS continue sa progression et son évolution au sein du marché applicatif dédié aux entreprises. Les restrictions budgétaires poussent les sociétés à se tourner vers des modèles plus économes. » Il ajoute « l'adoption varie entre et au sein des marchés, et bien que l'usage se développe avec un large éventail de solutions, on trouve principalement ce modèle dans les applications horizontales, avec des processus communs et dans des initiatives de type Web 2.0. »
Le Gartner prévoit que 75% des revenus actuels du SaaS pourraient être classés comme un service cloud et qu'il passera à 90% en 2014. A cette date, le cabinet IDC estime que le chiffre d'affaires du SaaS atteindra 40,5 milliards de dollars avec un taux de croissance annuel de 25%. Il indique qu'à cette période 85% des logiciels en entreprise seront délivrés par ce mécanisme.
(...)(29/07/2010 12:07:35)Trimestriels Dassault Systèmes : Forte croissance globale
Les résultats du second trimestre et du premier semestre de Dassault Systèmes sont bons. Le chiffre d'affaires pour les différents exercices sont respectivement de 385,6 millions d'euros en croissance de 24% et de 697,5 millions d'euros en hausse de 12%. La partie logiciel représente 346,4 millions d'euros (+28%) au deuxième trimestre et 626,1 millions d'euros (+15%) au premier semestre 2010. Bernard Charlès, Directeur Général de Dassault Systèmes explique ces résultats par « une bonne performance commerciale et opérationnelle ». Il ajoute que le trimestre a été marqué par l'intégration de l'activité PLM d'IBM, la mise en place de partenariats stratégiques avec des groupes comme Michelin ou Gap. Plus récemment encore, la société a acquis Exalead pour prendre pied dans le métier des « Search Based Applications ». Elle s'est emparée aussi de Geensoft, spécialisée dans les systèmes embarqués.
Sur le plan géographique, la croissance a été plus soutenue en Europe (+20%) et en Asie (+22%), qu'en Amérique (+12%). Sur les différentes activités, les logiciels PLM progresse de 24% au deuxième trimestre à 268,4 millions d'euros et la conception mécanique 3D croit de 14% à 78 millions d'euros.
Avec ses résultats, le bénéfice par action ressort à 0,40 euros soit une hausse de 82% sur un an. La trésorerie nette est de 714,1 millions d'euros. Sur les perspectives, Thibaut de Tersant, directeur général adjoint aux Affaires Financières a déclaré « nous visons une accélération de la croissance à un niveau d'environ 22% à 25% pour le second semestre 2010. Nous révisons à la hausse l'objectif de croissance de notre chiffre d'affaires dans une fourchette de 16 à 18% ».
Semestriels Capgemini : Prêt à basculer dans la reprise
Les chiffres sont parfois trompeurs. A première vue, la comparaison du chiffre d'affaires du premier semestre 2010 et celui de 2009 porte à croire à une baisse d'activité (-3,8%), mais si on le compare avec le second semestre 2009, il progresse de 5,4% à 4,211 milliards d'euros. Cela confirme un point d'inflexion des activités du groupe et une stabilisation des principaux marchés. Capgemini indique que le chiffre d'affaires du deuxième trimestre 2010 ressort à 2,159 milliards d'euros, soit une hausse de 5,2% par rapport au premier trimestre.
Les prises de commandes croissent de 14% au premier semestre. Sur les métiers, comme son concurrent Atos Origin, l'activité Intégration de systèmes subit un repli de son chiffre d'affaires en raison d'une forte pression sur les prix. L'infogérance ralentit elle aussi à cause d'une baisse du volume d'affaires. La branche conseil continue de souffrir avec des revenus en recul de 9,3%. Enfin, l'activité des services informatiques de proximité (Sogeti) enregistre elle aussi une contraction de son chiffre d'affaires (-4,1%).
Si les résultats du premier semestre reflètent une bonne résistance aux reliquats de la crise, les dirigeants sont maintenant tournés vers le second semestre 2010. Paul Hermelin, directeur général de Capgemini souligne « le groupe renouera avec la croissance au deuxième semestre. Nous avons d'ores et déjà relancé une politique de recrutement dynamique et nous mettrons particulièrement l'accent sur nos cinq lignes de services mondiales ». Le spécialiste des services informatiques et d'infogérance prévoit pour le second semestre 2010, un chiffre d'affaires 2010 en croissance de 3 à 5% par rapport à la même période en 2009. Par ailleurs, le taux de marge opérationnelle devrait être supérieur à 6,5%.
Partage de relais UMTS pour améliorer la couverture 3G
Suite à la décision de l'Arcep autorisant le partage de relais UMTS entre opérateurs, ces 4 derniers (BT, Free, Orange et SFR) ont signé le 23 juin dernier un accord au sujet du partage de ces mêmes installations. Chose curieuse, Free, nouvel entrant sur le marché qui ne possède pas encore de réseau, fait partir du dispositif de partage des installations.
L'accord passé entre les acteurs du marché est très centré sur les zones peu denses du territoire. On parle en effet de 2 500 zones blanches à couvrir. Cet accord prévoit également qu'un réseau d'accès radioélectrique 3G partagé (RAN sharing) sera mis en place par Orange, SFR et Bouygues Télécom. Free sera inclus plus tard étant donné que la compagnie dirigé par Xavier Niel n'a pas débuté la commercialisation de son réseau mobile.
Photo : Jean-Ludovic Silicani, président de l'Arcep, D.R
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Microsoft dénonce le partenariat Google/Yahoo Japan
La décision de Yahoo Japan de remplacer Bing par Google comme fournisseur de moteur de recherche est jugée comme anticoncurrentielle selon Microsoft. « Cet accord nuit encore plus au principe de libre concurrence que le contrat entre Google et Yahoo aux États-Unis et au Canada, qui avait été jugé illégal par le Département de la Justice » a déclaré Brad Smith, conseiller général chez Microsoft. « Ce contrat de 2008 aurait verrouillé 90% de la publicité payante intégrée aux recherches. Or, ce dernier contrat offre virtuellement 100% de la publicité japonaise à Google, payante ou non ».
L'éditeur a refusé de préciser s'il comptait attaquer ce contrat en justice. Yahoo Japan a en effet annoncé cette semaine avoir signé avec Google afin que ce dernier lui fournisse ses outils de recherche et de publicité liée. Le moteur devrait fournir les résultats de Yahoo Japan d'ici la fin de l'année. Mais ce partenariat a clairement surpris, surtout si l'on considère que Yahoo et Microsoft sont déjà associés, au niveau de ces services, aux États-Unis et dans d'autres pays, dans le but de faire justement face à la firme de Mountain View. Cependant, Yahoo ne détenant que 34% de son homologue japonais (la majorité du capital appartenant à Softbank, géant local), cette alliance n'y est pas naturellement effective. « Cela signifie que Google sera seul à contrôler toutes les informations de recherches personnelles de tous les consommateurs japonais » ajoute Microsoft.
Réponse en direct de Mountain View
Google contredit pourtant les allégations de similarité avec le contrat de 2008, affirmant avoir eu dans le cas présent une consultation avec la Japan Fair Trade Commission qui n'a posé aucune objection à la signature. La firme ajoute que Yahoo Japan continuera de gérer ses propres relations publicitaires en plus de la plateforme qu'elle lui fournit, et ces données seront maintenues séparées. Les sites japonais gérés par Yahoo auront aussi la possibilité de personnaliser le moteur Google pour offrir une expérience utilisateur différenciée. Ces sites ont été, d'après une étude de comScore, visités par 9 internautes japonais sur 10 en mai dernier, reflétant de l'importance du groupe dans le paysage web du pays.
Crédit Photo : Yahoo Japan
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