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(09/04/2010 16:31:59)

Des correctifs de sécurité trimestriels pour Solaris

Oracle insère maintenant Solaris dans son calendrier trimestriel de correctifs de sécurité. Les utilisateurs du système d'exploitation de Sun Microsystems seront ainsi informés à l'avance des mises à jour prévues. Les 'patches' étaient précédemment fournis en fonction des besoins.
Microsoft, Cisco ou encore Adobe sont eux aussi calés sur un cycle régulier de correction des failles de sécurité.

Le « Critical Patch Update » d'Oracle sera livré dans quatre jours, c'est-à-dire le 13 avril. Il comporte 47 rustines dont 7 non critiques pour sa base de données propriétaire et 16 pour des produits Sun. Ces dernières portent sur Solaris, Cluster, Convergence, Java System Access Manager, Java System Communications Express, Java System Directory Server, Management Center et le logiciel Ray server.

Microsoft a de son côté prévu de livrer 25 rustines mardi prochain et Adobe doit aussi corriger ses logiciels Acrobat et Reader. Le planning des administrateurs systèmes devraient donc être assez chargé.

Oracle a fixé au 13 juillet 2010 sa prochaine mise à jour de sécurité.

(...)

(09/04/2010 12:31:19)

Oracle précisera sa stratégie pour MySQL le 13 avril

Les utilisateurs de MySQL devraient bientôt obtenir des précisions sur la feuille de route programmée par Oracle pour la base de données Open Source. Mardi matin, la conférence O'Reilly MySQL, qui se déroule à Santa Clara du 12 au 15 avril, a prévu une intervention d'Edward Screven (photo), architecte en chef de l'éditeur et responsable des activités Open Source, ces dernières englobant aussi Unbreakable Linux, Open Office, les outils de virtualisation (VirtualBox notamment), ou encore InnoDB et Berkeley DB. « Nous avons hâte de présenter nos projets concernant MySQL et d'apporter à la communauté de développeurs une vision plus détaillée des évolutions auxquelles elle peut s'attendre dès à présent et à plus long terme », a indiqué dans un communiqué diffusé hier ce vétéran d'Oracle. Collaborateur de la société depuis 1986, il rend directement compte à Larry Ellison, le PDG fondateur.

Monty Widenius présente MariaDB dans la foulée

MySQL constitue un axe stratégique pour Oracle, a encore rappelé Edward Screven. L'éditeur a programmé sur les prochaines semaines deux forums à l'attention des utilisateurs de MySQL. Le premier se tiendra en Europe, à Amsterdam, le 6 mai. Le suivant aura lieu le 3 juin au siège même d'Oracle, c'est-à-dire à Redwood Shores (Californie).

Depuis qu'Oracle a annoncé son intention de racheter Sun, qui détenait MySQL, les voix des défenseurs de la base de données Open Source se sont immédiatement élevées. Nombre d'entre eux, aux rangs desquels Michael Widenius (créateur finlandais du SGBD), ont manifesté leur inquiétude de voir la société de Larry Ellison étouffer le développement du produit afin de protéger sa base propriétaire à laquelle MySQL fait de l'ombre. C'est même pour cette raison précise que l'autorisation de racheter Sun a mis tant de temps à être accordée par la Commission Européenne.[[page]]En décembre, Oracle a établi et diffusé une liste d'engagements autour de la base de données Open Source. Parmi ceux-ci figuraient en particulier la promesse de lui conserver sa diffusion sous licence GPL (General Public License) et de ne pas obliger les clients à souscrire le support auprès d'Oracle en cas d'achat d'une licence commerciale de MySQL. L'éditeur de Redwood Shores a aussi garanti qu'il allait doper les dépenses de recherche et développement sur le produit.

Malgré cela, des interrogations demeurent sur la façon dont Oracle va se comporter à long terme et nul doute que les propos d'Edward Screven vont être écoutés avec une certaine attention mardi prochain à Santa Clara.

A noter que le lendemain matin, ce sera au tour de Michael Widenius, de Monty Program Ab, d'intervenir pour présenter l'état d'avancement de sa nouvelle base de données, MariaDB, clone de MySQL. Pour décrire son projet, lors d'un entretien avec LeMondeInformatique.fr l'an dernier, 'Monty' avait indiqué qu'il prévoyait de proposer « la même base, avec plus de fonctions et moins de bugs ».

(...)

(09/04/2010 11:26:27)

Citrix investit dans le VDI pour les PME

La virtualisation du poste de travail est au coeur des débats du début de l'année 2010. Citrix, très actif en la matière, a décidé d'orienter sa stratégie d'investissements dans des sociétés, comme Kaviza, qui s'intéresse à l'implantation du VDI au sein des PME. Cette prise de participation doit permettre le développement de la solution « VDI in a box » de Kaviza à travers une appliance qui automatisera la facturation, la balance des charges et la gestion des postes de travail virtuels. Les sociétés pourront ainsi déployer ces solutions à des coûts aussi accessibles que la fourniture de desktop classique.

« L'intérêt pour la virtualisation du poste de travail dépasse le simple cadre des grandes entreprises, les PME commencent à percevoir les bénéfices de fournir à leurs employés un accès virtuel à leur poste de travail à distance. Nous avons été impressionnés par le travail réalisé par Kaviza pour déployer une solution avec un minimum d'investissements » déclare Andy Cohen, directeur senior du développement stratégique de Citrix. Le tarif de la solution VDI in a box se décompose ainsi en 100 dollars par desktop pour l'intégration au sein des serveurs, 50 dollars par machine pour l'hyperviseur VMware ESXi et pour le logiciel de gestion de Kavizia de l'appliance virtuelle. Le coût total de la solution est estimé à moins de 500 dollars par poste de travail. Windows 7 et XP peuvent être virtualisés avec leurs licences. La version 2.2 de VDI in a box est disponible et Kaviza proposera prochainement un service supportant les hyperviseurs Citrix XenServer et Hyper V de Microsoft.

Le montant de l'investissement de Citrix n'a pas été dévoilé.

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(09/04/2010 10:14:30)

ZTE aurait livré 60 millions de terminaux sans fil en 2009

C'est une croissance de 30% par rapport à 2008 qu'annonce le chinois ZTE dans les terminaux sans fil, téléphones mobiles, data cards ou clés USB. Il annonce avoir livré 60 millions de terminaux sans fil en 2009. Les livraisons totales se sont réparties en 40 millions de téléphones et 20 millions de data cards. Enthousiaste, ZTE parle de « croissance exceptionnelle. » Bizarrement, l'équipementier chinois s'appuie sur les chiffres de l'institut iSuppli, pour indiquer qu'il a livré 60 millions de terminaux, comme si l'institut pouvait être plus juste que lui-même sur cette comptabilité. ZTE doit bien savoir combien de terminaux il a vendu ?

Signe de l'internationalisation réussie du chinois, ZTE souligne que 70% de toutes ses livraisons ont été effectuées à l'international. Pour ZTE, les trois marchés clés de son internalisation sont l'Europe, les Etats-Unis et le Japon.  L'équipementier cite Orange comme client stratégique ainsi que T-Mobile, Verizon, Telefonica, H3G, Telenor, TIM ou encore Sprint.  Des opérateurs historiques qui ont cédé à son charme asiatique. Selon ZTE, les gammes de produits livrées couvrent un spectre allant des terminaux haut de gamme aux produits personnalisés, en passant par des appareils d'entrée de gamme économiques.

Photo : He Shiyou, Executive Vice President de ZTE. (D.R)

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Ce sont  l'Europe et l'Amérique du Nord qui ont été les plus sensibles à ses arguments avec 40 millions d'unités livrées. ZTE est le fournisseur de smartphones en tête des ventes au Portugal avec le Bluebelt. A noter également que le ZTE X760 a été vendu, à lui seul, à 1,5 million d'unités en Europe. Les activités "data cards" de ZTE ont quant à elles étaient multipliées par trois en 2009, avec 20 millions d'unités livrées. ZTE annonce avoir mis en service ses data cards auprès de 240 opérateurs, dans 106 pays différents.

Satisfecit nationaliste, ZTE souligne que - toujours selon iSuppli - les fournisseurs chinois (comprendre Huawei et lui-même) possèdent plus de 80% du marché mondial des data cards. Et de compléter que ZTE en possède lui-même 35%, dont 40% du marché national chinois (faisant implicitement de Huawei le numéro 1 du secteur). « 70% des terminaux livrés par ZTE en 2009 étaient à destination des marchés globaux, ce qui nous a aidés à devenir le 5ème fabricant mondial de combinés » se félicite He Shiyou, Executive Vice President de ZTE.

Les fabricants européens ou américains doivent continuer de s'inquiéter car il affirme : «  Afin de répondre aux besoins de tous les utilisateurs, notre société reste engagée pour 2010 dans un objectif de forte croissance sur l'ensemble de ses gammes en appliquant une stratégie globale de coopération sur les marchés européen et américain. »

(...)

(09/04/2010 10:04:18)

Violation de brevets, le canadien WiLAN attaque les principaux constructeurs informatiques

La société WiLAN, qui détient plusieurs brevets sur la technologie de transmission sans-fil, a annoncé jeudi avoir déposé une plainte devant la cour de justice du Texas (Etats-Unis) contre la plupart des fabricants d'électronique et d'informatique pour violation de ses brevets. Cette action en justice vise notamment Acer, Apple, Dell, HP, Intel, Lenovo, Sony, Toshiba, Motorola, Texas Instruments, Broadcom, Belkin, etc. et d'autres firmes qui produisent des smartphones ou des PC portables.

Dans un communiqué, WiLAN indique que toutes les sociétés qu'elle attaque ont violé son brevet (référencé 5.515.369 à l'office américain des brevets) en fabriquant ou en commercialisant différents produits utilisant une technologie Bluetooth. En 2009, la firme a réalisé un chiffre d'affaires d'un peu plus de 35 millions de dollars canadiens.


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(08/04/2010 12:19:41)

NetApp rachète Bycast pour renforcer son stockage "objets"

NetApp envisage d'acquérir Bycast, un éditeur canadien très spécialisé, pour faire évoluer son système de stockage « objets ». Le stockage « objets » est une nouvelle approche pour conserver et accéder rapidement à des données hiérarchisées en fonction du nom des fichiers et des métadonnées enrichies décrivant le contenu en détail. Ce mode opératoire simplifie la tâche du stockage à grande échelle, améliorant et accélérant les fonctions de recherche et de localisation du contenu des données, » a expliqué NetApp dans un communiqué faisant part de l'acquisition de cette entreprise basée à Vancouver et fondée il y a 10 ans.

« Le logiciel de Bycast est «conçu pour gérer des unités abritant jusqu'à 1 000 To de données (pétaoctet). Cela concerne notamment les systèmes de stockage d'images, de vidéo ou encore les données d'entreprises ou de prestataires de services», a indiqué NetApp. Bycast décrit son logiciel StorageGRID comme une solution capable de rassembler dans un seul pool virtuel de multiples éléments dispersés géographiquement dans plusieurs sites. StorageGRID dispose d'une sauvegarde et d'un système de restitution automatiques des données en cas de panne ou de crash, et sait gérer la migration des données d'une génération de matériel à une autre. De même, il est compatible avec des environnements de stockage multiples mis en place par des vendeurs hétérogènes, et sait s'intégrer à des applications professionnelles tournant sous des interfaces standards de type CIFS, NFS et HTTP.

NetApp se rattrape ainsi de son acquisition ratée de Data Domain, qu'il a tenté d'acheter l'an dernier pour 1,5 milliard de dollars. Mais EMC, un habitué des grosses fusions, avait surenchéri sur l'offre de NetApp, remportant Data Domain pour 2,1 milliards de dollars. Historiquement NetApp s'est plutôt axé sur des petites acquisitions lui permettant d'enrichir et de développer ses lignes de produits existantes, et Bycast en fait parti. « Bycast nous aidera à élargir les marchés des médias numériques, du Web 2.0, de la santé et des fournisseurs de services Cloud, » a déclaré NetApp. Le montant de l'acquisition n'a pas été divulgué, mais le communiqué précise que la transaction se fera « au comptant ». La conclusion de l'achat définitif devrait avoir lieu le mois prochain.

 

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(08/04/2010 10:32:24)

UniHA choisit un prestataire unique pour sa maintenance bureautique

La SSII APX a annoncé avoir été retenue pour le contrat cadre de maintenance bureautique passé par UniHA au nom de ses 53 adhérents. Ce contrat concerne 60 000 PC, 30 000 imprimantes et les périphériques associés pour un potentiel total de 12 millions d'euros. Le GCS (Groupement de Coopération Sanitaire) UniHA regroupe 32 CHU-CHR et 21 grands centres hospitaliers sur l'ensemble du territoire national. Il représente 45% des dépenses de l'hôpital public français, soit plus de 7 milliards d'Euros annuels. En adhérant, les établissements s'engagent à mutualiser 70% de leurs achats d'ici à 2012.

Le premier établissement à mettre effectivement en place ce contrat cadre a été le CHU de Bordeaux pour 6000 PC, 1700 imprimantes et un budget de 1,2 million d'euros sur quatre ans. APX y a envoyé 9 technicien dont un chef d'équipe dédié. Tout au long de l'année 2010, d'autres hôpitaux vont rejoindre ce premier. Les CHU de Nantes, Caen, Amiens, Tours, Mulhouse, Montpellier sont entrés en production début 2010 et des centres comme Lyon, Grenoble et Marseille sont prévus d'ici le début du second trimestre, d'autres sites suivront pour le second semestre 2010. (...)

(08/04/2010 09:52:43)

Gilem passe dans le giron de Cat-Amania

Habituée des opérations de croissance externe, la SSII ligérienne a réalisé le plus important rachat de ses 10 ans d'histoire le mois dernier. Il s'agit en l'occurrence de celui de sa consoeur francilienne Gilem et de sa centaine de collaborateurs basées au Kremlin-Bicetre. En 2009, la nouvelle acquisition du groupe a dégagé un chiffre d'affaires de 10 M€ accompagné de pertes. Pour la même période, Cat-Amania revendique quant à elle des revenus, en baisse, de 15 M€ et un effectif d'un peu plus de 200 personnes. Grâce au rachat de Gilem, elle renforce ses positions en Île-de-France où elle exploitait déjà une agence à Boulogne-Billancourt (92). Au delà, Gilem fait également progresser le maillage territorial de Cat-Amania qui est aussi constitué d'agences couvrant les villes de Nantes, Le Mans, Niort, Tour, Bordeaux et Toulouse.

Cat-Amania devient partenaire référencé de Bull

De la même façon, Gilem permet aussi à Cat-Amania de renforcer sa présence sur des marchés qui représentent encore une faible part de son activité. C'est le cas de celui de la grande distribution où Cat-Amania a désormais pour client les magasins Monoprix. Ils s'ajoutent au groupement System U qu'elle avait déjà en portefeuille. Gilem apporte également dans sa corbeille de marié un accord avec Bull qui fait d'elle un des cinq partenaires référencés par le constructeur pour l'accompagner sur des projets dans le domaine de l'industrie. « Nous avions également des clients en commun chez qui nous prenons de fait un poids plus importants, ajoute Philippe Saint-Cast, le dirigeant de Cat-Amania. Par exemple, la Société Générale ou encore BNP Paribas ».

Un chiffre d'affaires très dépendant de la banque assurance

Les acteurs du monde bancaire de l'assurance, et du secteur mutualiste représentent à eux seuls 90% du chiffre d'affaires de Cat-Amania. La SSII leur délivre un panel de prestations allant notamment de la Tierce recette applicative, l'ingénierie classique, l'intervention sur les centres de services ou encore de Tierce Maintenance Applicative. Gilem propose quant à elle un des prestations classiques d'ingénierie. Son intégration au sein du groupe Cat-Amania va donc lui permettre d'élargir son offre. Son intégration au sein du groupe devrait amener ce dernier à réaliser entre 26 et 30 M€ de chiffre d'affaires cette année. (...)

(08/04/2010 09:46:55)

Ares cède à SCC son activité infogérance

En résumé, le chaîniste SCC, dont le siège est situé au Royaume-Uni, absorbe l'activité infogérance du groupe ARES en Paris et à Toulouse. Cela étant dit, le contexte économique conduit à des processus d'acquisition de plus en plus complexes.
Dans ce cas, il ne s'agit pas d'un rachat pur et simple, mais d'une « location-gérance avec option de cession ». Concrètement, SCC reprend avec plus de précaution que de coutume des activités de services qui lui permettent de renforcer son offre.
Le fait est que les modèles économiques de SCC et de cette division du groupe ARES sont pour le moins différents : SCC affiche en effet un ratio « chiffre d'affaires par salarié » de près de 36 000 euros par mois, qui n'est que de 4 300 euros par mois chez Arès. « Cette acquisition nous permet d'avoir une offre complète, explique Jacques Vincent, Directeur Général de SCC France. Il est logique que les ratios soient différents, puisque nous conservons une activité de distribution importante qui n'existe pas dans la division d'Arès que nous reprenons ».

Arès, une peau de chagrin ?

Si l'opération est stratégiquement intéressante pour SCC, elle réduit encore le périmètre du groupe ARES, qui ne représente désormais qu'un dixième de ce qu'il pesait en 2007, soit une quarantaine de millions d'euros, au lieu de 430 trois ans auparavant.
Sachant que la division reprise par SCC représente, en Ile de France et à Toulouse, un effectif de 330 personnes, une des premières interrogations est l'avenir de ces salariés. « Nous n'avons pas lancé cette opération de croissance externe avec l'objectif de réduire les effectifs de cette division d'Arès, explique Jacques Vincent. Au contraire, elle accélère notre évolution vers un profil de SSII, sachant que celles-ci sont désormais nos principaux concurrents directs, en même temps que nos premiers partenaires ».
Dans tous les cas, cette cession en deux temps doit permettre à Arès de répondre aux premières exigences de ses banquiers, dont le renforcement des fonds propres, négatifs à hauteur de 9,6 millions d'euros pour le précédent exercice.

Illustration : Jacques Vincent, Directeur Général de SCC France, D.R.
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