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(25/01/2010 09:47:20)
IBM regroupe ses activités "distribution indirecte" et "mid market"
Finie la dispersion ! Jusqu'alors les entreprises de moins de 1 000 salariés voyaient frapper à leurs portes des commerciaux d'IBM, des commerciaux des partenaires d'IBM, les uns et les autres proposant différents produits estampillés « big blue ». Désormais, seuls les partenaires vont en clientèle sur ce segment, ils ne proposeront que des packages « solutions » IBM, le tout dans une politique 100% indirecte. Une nouvelle organisation se met en place chez IBM partout dans le monde avec la fusion, en une seule division, des activités à destination du mid market (entreprises de moins de 1 000 salariés) et de celles qui animent distribution indirecte. En France, le patron de cette nouvelle division s'appelle Eric Taillard, il est vice-président Global Business Partners & Mid Market. Plus qu'un titre, c'est une définition de la nouvelle stratégie d'IBM qui propose des offres spécifiques à la cible mid market, au travers du canal indirect. Dans ce dispositif, le partenaire va seul en clientèle. Les experts d'IBM restent en retrait et en support du canal indirect. Il s'agit de deux types d'experts : les Mid market segment manager, qui analysent le marché, et les Territory business partner representatives qui aident les partenaires à vendre. Les premiers vont identifier et qualifier les prospects, une phase jugée primordiale dans le nouveau dispositif. Les seconds vont aider les partenaires à bâtir les offres et à vendre. « Notre réorganisation passe par une approche client plus que par une approche partenaire », remarque Eric Taillard. Les différents niveaux de partenaires restent d'ailleurs les mêmes, c'est bien leur approche client et leurs offres qui changent. Le partenaire apporte une couche métier Autre changement, les ventes ne vont plus se faire à partir de produits, mais en fonction de solutions. IBM met au point des solutions spécifiques à ce segment de marché. Douze solutions d'infrastructures vont sortir. Première solution disponible, celle sur la sécurisation des données. Auparavant, le client pouvait par exemple se voir proposer d'un côté un serveur Intel système X, de l'autre une offre Tivoli, les commerciaux d'IBM et du partenaire étant mélangés. Désormais, c'est simple, un seul interlocuteur, le partenaire, une seule solution IBM et non pas différents produits. En complément de cette solution, le partenaire apporte une couche métier. IBM aide ses partenaires avec un programme mondial de co-marketing doté d'une enveloppe de 130 millions de dollars. La répartition par pays n'est pas communiquée. Une société indépendante d'IBM, On-Channels, conseille également les partenaires sur ces nouvelles approches. Enfin, IBM organise des opérations, comme le Tour de France en cours, pour rencontrer les partenaires actuels et en recruter de nouveaux. (...)
(22/01/2010 17:13:21)Annuels AMD : rentable au 4e trimestre 2009 grâce à l'accord avec Intel
S'il parvient enfin à afficher un bénéfice net (1,18 Md$) sur son quatrième trimestre fiscal, après trois ans de pertes, le fabricant de processeurs américain AMD le doit en partie à l'issue du contentieux qui l'opposait à son concurrent Intel et qui a conduit ce dernier à lui verser 1,25 Md$ pour pratiques commerciales déloyales. AMD invoque aussi son changement de modèle économique pour expliquer cette évolution favorable. En début d'année, il s'est recentré sur la conception de processeurs, transférant son activité de fabrication dans la co-entreprise GlobalFoundries. Sur le dernier trimestre, son chiffre d'affaires de 1,65 Md$ a été tiré par les bonnes ventes enregistrées pendant les fêtes de fin d'année sur les PC exploitant ses processeurs, ainsi que par une demande en hausse sur ses cartes graphiques Radeon. Sur la période, le chiffre d'affaires généré avec les processeurs a atteint 1,2 Md$ (+14%) et celui réalisé avec les composants graphiques s'est élevé à 427 M$ (+40%). Au cours des trois dernières années, les ventes d'AMD marquaient le pas en raison des revers rencontrées par la société pour respecter son planning de livraisons de puces et par ses difficultés à absorber le fabricant de puces graphiques ATI, acquis en 2007. Plus récemment, il a également été touché de la crise économique. (...)
(22/01/2010 15:37:35)Annuels Google : le clic payant reste une bonne vache à lait
Avec un chiffre d'affaires en hausse de 17% sur le quatrième trimestre 2009 et un bénéfice net multiplié par cinq, Eric Schmidt,le PDG de Google, peut se déclarer satisfait. Ce qu'il n'a pas manqué de faire hier, lors de l'annonce des résultats financiers, en attribuant le mérite de la performance à ses équipes et au modèle économique de la société, basé principalement sur les revenus publicitaires générés par le moteur de recherche. Le chiffre d'affaires total s'élève à 6,67 Md$ pour le dernier trimestre 2009, en hausse de +17% par rapport au quatrième trimestre 2008. Une fois soustraites les commissions reversées aux partenaires de son réseau publicitaire, le chiffre d'affaires trimestriel est ramené à 4,95 Md$, soit quelque 30 M$ de plus que ce à quoi s'attendaient les analystes. Sur l'année complète, le chiffre d'affaires total enregistre une progression plus modérée de 8,5% par rapport à 2008, à 23,65 Md$. Le bénéfice net annuel augmente de 54% à 6,52 Md$. Les deux tiers des revenus de Google sont générés par ses propres sites Web, le reste provenant des sites partenaires de son réseau publicitaire. Les 'clics' payants, publicités sur lesquels cliquent les internautes, ont augmenté de 13% au quatrième trimestre par rapport à 2008 et de 9% par rapport au trimestre précédent. Trois relais de croissance pour 2010 Pour l'année entamée, Eric Schmidt s'attend à voir se développer de façon significative les revenus provenant de ses produits mobiles et de ses offres pour entreprises, notamment grâce à l'adoption croissante du modèle cloud computing. Le troisième relais de croissance important pour 2010 réside dans sa nouvelle activité d'affichage de publicités, un secteur sur lequel le groupe demeure pour l'instant un acteur mineur. Le PDG de Google prévoit une forte progression de ses revenus dans ce domaine et rappelle que YouTube constitue un élément essentiel de cette stratégie. Evoquant la croissance externe, le dirigeant pense que la société pourrait réaliser une acquisition par mois pour renforcer sa puissance de feu technologique et ses équipes (le groupe comptait 19 835 salariés à plein temps fin 2009, soit 170 personnes de plus qu'au troisième trimestre). Google a terminé son année avec une cagnotte de 24,5 Md$ en numéraire ou titres de placement à court terme. A propos des récents démêlés de Google avec la Chine et l'éventualité de voir la société quitter le pays, Eric Schmidt a indiqué que des discussions étaient en cours avec le gouvernement chinois. Il espère maintenir la présence de Google en Chine, affirmant apprécier la Chine, les employés chinois de la société et... les opportunités commerciales offertes par le pays. Pour l'instant, les résultats de son moteur de recherche y sont toujours censurés, mais cela pourrait changer bientôt, a indiqué le dirigeant. (...)
(22/01/2010 12:20:23)Six collectivités locales se regroupent pour attirer des datacenters
Les datacenters sont promis à un fort développement. Les prévisions tablent sur des croissances à deux chiffres des capacités à mettre en oeuvre. « Plusieurs types de projets se rencontrent, nous explique Corentin Cariou du cabinet Regional Partners : les datacenters internes ou mutualisés des grands utilisateurs nationaux comme les banques ou les compagnies d'assurance, et ceux des grands infogéreurs ou des opérateurs télécoms. Les datacenters s'organisent également en sites miroirs, donc se doublent d'un autre site ». Toutefois, ce développement s'est essentiellement porté ces dernières années sur les départements d'Ile-de-France et sur des implantations proches des grands donneurs d'ordre. D'autres territoires pourraient être candidats. Sur cette idée, six collectivités locales, conseillées par le cabinet Regional Partners, se sont regroupées autour du label iterritories : Lyon et son agglomération (agence de développement Aderly), l'agglomération de Caen-la-Mer, celle de Dunkerque, le pays d'Artois (agence de développement Osartis), les départements de l'Yonne et de la Seine-et-Marne. Accueillir des datacenters renforcerait l'attractivité de leurs territoires. Des qualités techniques et administratives Le label iterritories permet de reconnaître des collectivités qui présentent plusieurs caractéristiques. Des qualités techniques : accès réseaux en général, fibre optique, infrastructures de desserte. Des atouts en gestion : aide au montage des dossiers, recherche et financement, solutions foncières et immobilières, bassins d'emplois. Les localisations proposées doivent également se trouver éloignées des zones à risque : inondables, sismiques, avec des conditions climatiques extrêmes. Iterritories parie sur la rencontre entre les besoins exponentiels en traitement de données, qui expliquent les besoins des entreprises et les atouts des collectivités locales en mal d'attractivité. Iterritories, outre son label et son site, participe à des salons comme ItiForums et se rapproche d'organisations spécialisées comme le Crip (Club des responsables d'infrastructures de production), ou le Cesit (Club des exploitants de salles informatiques et télécom). (...)
(21/01/2010 18:07:16)Lotusphere 2010 : avec Vulcan, Lotus imagine les outils collaboratifs de demain
Si les utilisateurs de Notes, Quickr, Sametime ou Connections viennent à Lotusphere en quête de réponses concrètes sur les logiciels qu'ils exploitent au quotidien, les conférences plénières de l'événement abordent aussi des aspects plus prospectifs. Cette année, Alistair Rennie, le tout nouveau patron de Lotus Software et Websphere Portal, a dessiné les contours (encore imprécis) de l'application de collaboration des prochaines années. Un projet baptisé Vulcan où il n'est pour l'instant pas encore question de produit, a rappelé plusieurs fois le dirigeant au cours des différents points presse, mais « de vision ». Une telle expression pourrait laisser dubitatif si l'on ne disposait pas, malgré tout, de quelques éléments tangibles. IBM précise notamment que Vulcan s'inscrit dans la continuité du portefeuille de produits existant de Lotus, avec l'ambition de faire converger les fonctions déjà disponibles (communication, partage de données, réseau social...). Le tout s'effectuant au sein d'une interface harmonisée, accessible depuis différents points d'entrée : un client Notes, un navigateur Web ou un service mobile. A la découverte de ce que l'on ne connaît pas D'un point de vue fonctionnel, ces futurs outils apporteront une dimension d'exploration et de découverte d'informations, a évoqué Alistair Rennie. Une évolution qui s'appuiera notamment sur des applications de réseaux sociaux tels qu'on peut les déployer aujourd'hui avec un logiciel comme Connections. Ce dernier suscite de plus en plus l'intérêt des entreprises comme moyen de retrouver plus rapidement les expertises au sein de leurs équipes ou de leur écosystème. Dans le projet Vulcan, IBM inclut évidemment le recours à des outils d'analyse de ces réseaux sociaux ('social analytics') pour 'recommander' les contacts, contenus et événements métiers qui semblent les plus pertinents en fonction d'un contexte donné. « Ce que veulent les clients, c'est pouvoir exploiter de façon intégrée les éléments qui sont importants pour eux dans leur contexte métier, souligne Alistair Rennie. Nous essayons vraiment d'imaginer comment les gens vont vouloir collaborer à l'avenir ». Le projet Vulcan s'adresse d'abord aux développeurs Pour le patron de Lotus Software, ce sont les développeurs qui vont donner de l'ampleur à ce projet en créant de nouvelles générations d'applications collaboratives. « Vulcan s'appuie sur un modèle de programmation ouvert », précise-t-il. Et d'énumérer l'utilisation d'API Rest, de HTML5, des mash-up et widgets, ainsi que de XPages for Notes, le toolkit de développement pour applications Web 2.0, annoncé avec Domino 8.5, l'an dernier à Lotusphere. En y ajoutant des fonctions de Single Sign on et de recherche. IBM prévoit de livrer la version bêta d'un environnement de développement au second semestre de cette année. Celui-ci sera disponible via LotusLive Labs, nouveau canal qui offre désormais à l'appréciation des utilisateurs enregistrés le fruit des développements combinés d'IBM Research et de Lotus. Les évolutions découlant du projet Vulcan seront livrées dans les prochaines versions des produits Lotus, promet IBM. Tant Notes, Domino et WebSphere Portal, que Connections ou QuickR, et y compris au sein des logiciels accessibles sur le cloud LotusLive. Il faudra juste faire preuve d'un peu de patience pour les découvrir. Déjà fortement concurrencé par Microsoft, sur les applications de messagerie et de collaboration, avec Exchange et SharePoint, Lotus se voit maintenant 'challengé' par Google, avec Gmail et le projet de plateforme collaborative Wave, actuellement testée par les internautes enregistrés. Face à eux et à bien d'autres, IBM a tout intérêt à voir loin et à le faire savoir, par exemple avec l'évocation de projets tels que Vulcan. En attendant l'outil du futur, Alistair Rennie rappelle que Lotus livre de façon régulière des innovations pour chacun de ses principaux produits. Et souligne tout l'intérêt de disposer maintenant d'applications dans le cloud qui permettent à Lotus de faire évoluer ses logiciels "à la vitesse du Web". Illustration / De gauche à droite sur la photo, lors d'un point presse qui a, notamment, abordé le projet Vulcan : Alistair Rennie, directeur général de Lotus Software et WebSphere Portal, Kevin Cavanaugh, vice président, responsable des logiciels de messagerie et de collaboration, Sean Poulley, vice président pour les services de collaboration en ligne, et Bruce Morse, vice président, responsable des logiciels de communication unifiée. (...)
(21/01/2010 15:34:17)Oracle détaillera mercredi prochain l'intégration de Sun
Alors que la Commission européenne vient juste de donner son accord au projet de rachat de Sun Microsystems par Oracle, l'entreprise organisera mercredi prochain, en présence de son CEO, Larry Ellison, un évènement retransmis mondialement et en direct via internet (entre 9h00 et 14h00, heure locale) depuis Redwood Shores, siège d'Oracle en Californie pour dévoiler sa stratégie. Comme les régulateurs américains, la Commission européenne semble se satisfaire des garanties d'Oracle au regard des lois antri-trust du vieux continent. Si elle a objecté que l'entrée de MySQL dans Oracle pouvait aller à l'encontre de la concurrence pour les clients de la base de données, la Commission a finalement rendu un avis favorable. Mme Neelie Kroes, membre de la Commission chargée de la concurrence, a indiqué : « Je suis convaincue que la concurrence et l'innovation seront préservées sur l'ensemble des marchés en cause. Le rachat de Sun par Oracle est susceptible de redynamiser des actifs importants et de donner naissance à de nouveaux produits innovants.» La nouvelle du rachat avait suscité de nombreuses questions sur le sort de certains produits de Sun, notamment ses serveurs Sparc et sa base de données Open Source MySQL. D'autant que, lors de l'annonce de l'achat, l'entreprise avait déclaré qu'elle était principalement intéressée par les technologies Java et Solaris de Sun, laissant entendre qu'elle était prête à vendre ou à fermer les divisions hardware de l'entreprise. La réaction des clients de Sun face à cette option ne s'est pas faite attendre, incitant Oracle a assuré finalement qu'elle continuerait à développer les processeurs SPARC et les serveurs Sun. Son CEO, Larry Ellison a même déclaré : « Nous ne sommes pas sur le point de quitter le marché du hardware. » Parmi les produits que les experts s'attendent à voir développés par la nouvelle entité, ils citent en exemple l' Exadata Database Machine 2, un projet de data center haut de gamme pour la conservation des données et l'OLTP (online transaction processing) déjà mis en chantier en commun par Oracle et Sun depuis septembre. Celui-ci combine une base de données et des logiciels spécialisés dans le stockage fournis par Oracle sur des serveurs à base Intel et des technologies à mémoire flash apportées par Sun. L'intégration des technologies des deux sociétés fera certainement parti des thèmes abordés la semaine prochaine. L'invitation Oracle précise que les participants y apprendront comment les clients « bénéficieront de la synergie des deux entreprises en matière de matériel, de système d'exploitation, de base de données, de middleware et d'applications." De nombreuses questions demeurent cependant. Oracle ne dit pas quelle gamme de serveurs Sun elle continuera à développer, ni ce que vont devenir certains produits comme le serveur d'applications et le logiciel de gestion Identity. Ni ce que va devenir le projet de services informatiques de type Cloud, semblable à celui d'Amazon Web Services, que Sun était sur le point de déployer peu avant l'annonce de la transaction. Mercredi prochain, les clients de Sun espèrent aussi avoir des réponses à ces questions. (...)
(21/01/2010 17:34:11)Telindus se dote d'un département stockage et virtualisation
Il existe beaucoup de spécialistes du stockage et la virtualisation est presque devenue un phénomène de mode. L'intégrateur réseau Télindus installe pourtant une business unit dédiée à ces deux activités, mais « avec un positionnement inédit", nous explique Régis Béziat son responsable, "nous voulons faire le lien entre le datacenter et le réseau, les deux mondes étant jusqu'alors bien séparés : d'un côté les acteurs du datacenter, de l'autre celui des réseaux ». Le rapprochement se profile entre ces deux mondes, comme le montrent les initiatives de Cisco, le rachat de Foundry par Brocade, celui de 3Com par HP. Télindus prolonge cette recomposition du côté des intégrateurs réseau. Cette initiative concerne d'ailleurs l'ensemble du groupe Télindus et ses filiales. En France, la « bu » stockage et virtualisation compte 4 collaborateurs et en aura une dizaine en fin d'année. Elle puise dans les ressources des autres « bu ». En terme de références fournisseurs, cette « bu » s'appuie sur les produits de EMC, VMWare, Netapp, Brocade. D'autres sont à l'étude. (...)
(21/01/2010 10:41:05)Pour s'ouvrir aux télécoms, Acti rachète Aitika
Fidèle à sa politique de croissance externe, Acti rachète Aitika Télécom. L'an passé la société reprenait ProActive Partners (services informatiques et sécurité), en 2008 Burodev (multimédia) et NCTS (en Belgique), en 2006 Grennware (intégrateur) et LCS. Avec Aitika, Acti sort de l'informatique et de son métier de base, celui de SSII, pour s'ouvrir aux réseaux de télécommunications. Une petite acquisition, puisque Acti réalisait 52 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA) en 2009, Aitika vise 1 ME pour 2010. Aitika est une société de conseil qui aide à bâtir des réseaux de télécommunications, fixes ou radio. Elle sera conservée en tant que filiale et peut être intégrée en 2011 dans les activités d'Acti. (...)
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