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(20/01/2010 14:03:56)
Annuels IBM : des résultats meilleurs que prévu au 4e trimestre
Avec une hausse de 10% de son bénéfice au quatrième trimestre, IBM termine bien une année difficile. Grâce à un sévère contrôle des coûts, Big Blue a réalisé un bénéfice de 3,59 $ par action, en hausse de 3,27 $ par rapport au même trimestre l'an dernier et devant les 3,47 $ que les analystes financiers attendaient, selon l'agence Thomson Reuters. Pour la première fois depuis plus d'un an, la firme améliore également son chiffre d'affaires qui ne dépassera toutefois pas 95,8 milliards de dollars sur l'année. Soit moins 8% alors que les analystes financiers escomptaient 95,57 milliards. Les revenus du dernier trimestre ont atteint 27,2 milliards de dollars, en hausse de 1% par rapport à la même période l'an dernier. Les analystes s'attendaient à des recettes stables par rapport à l'année précédente. C'est la première période de croissance pour IBM depuis le troisième trimestre 2008. Le bénéfice net trimestriel a ainsi atteint 4,8 milliards de dollars, en hausse de 9% par rapport à la même période 2008. En revanche, le chiffre d'affaires . "Nous sommes confiants pour 2010 et dans notre capacité à atteindre le plafond haut de notre feuille de route", a déclaré dans un communiqué Sam Palmisano, Chairman et CEO du groupe. Rééquilibrage du CA grâce à l'Europe et l'Asie Une baisse de 3% du chiffre d'affaires américain a été contrebalancée par une augmentation de 2% en Europe, au Moyen-Orient et en Afrique, et une hausse de 6% en Asie. Les résultats d'IBM ont également bénéficié des fluctuations monétaires. A taux de change constants, le chiffre d'affaires global d'IBM, aurait diminué de 5% selon la société. Les recettes provenant de l'activité IBM Global Services sont en hausse de 2%, et les revenus de la division logiciels ont augmenté du même montant. Les ventes de WebSphere ont , par exemple, grimpé de 13% d'une année l'autre a indiqué IBM. Enfin, les ventes de la branche Systèmes et Technologie qui englobe les serveurs ont continué à baisser, mais moins que ces derniers trimestres. Le chiffre d'affaires global de cette activité a diminué de 4% (5,2 milliards de dollars). Les produits des gammes System P et System Z ont connu des baisses de revenus de 14% et 27%, tandis que les ventes de serveurs System X ont augmenté de 37% précise encore IBM. La reprise se confirme sur le marché IT Ces résultats sont le dernier signe que les dépenses en IT se redressent progressivement. La semaine dernière, Intel a par exemple annoncé un bénéfice de 2,28 milliards de dollars, ou 0,40 $, au quatrième trimestre, soit une nette amélioration par rapport à l'année précédente. Et ce malgré un le versement de 1,25 milliard de dollars à AMD pour régler un contentieux. Le chiffre d'affaires d'Intel était en hausse de 28%, grâce de bonnes ventes sur le marché grand public. La semaine dernière le cabinet Forrester Research a expliqué que le marché IT aux Etats-Unis va croître de 6,6%cette année et estimé que le ralentissement amorcé en 2008 va connaître son épilogue. Comme preuve, le cabinet a cité une augmentation de 4%du chiffre d'affaires d'Oracle au quatrième trimestre, et l'optimisme "prudent" expriméé par Accenturepouru l'année 2010. (...)
(20/01/2010 14:21:16)Apple cherche à interdire l'importation des mobiles Nokia sur le marché US
Apple fait monter les enchères dans la bataille qui l'oppose à Nokia à propos des brevets de son smartphone. Vendredi, l'entreprise californienne a déposé une plainte (consultable sur le site de l'USITC) devant l'U.S. International Trade Commission dans le but de bloquer l'importation des téléphones Nokia aux Etats-Unis. Cette action, la dernière en date dans le jeu d'échecs mettant Nokia et Apple face à face sur le plan juridique, se veut plus gênante que menaçante, compte tenu de la part dérisoire qu'occupe Nokia sur le marché américain par rapport au reste du monde. En octobre, Nokia avait déposé plainte devant un tribunal du Delaware, accusant Apple d'avoir violé 10 brevets lui appartenant, et qu'Apple utiliserait sur tous les modèles d'iPhone. Certains portent notamment sur le transfert de données sans fil, le traitement de la parole, la sécurité et le cryptage des données. En décembre, le fabricant californien contre-attaquait, alléguant que les smartphones de Nokia utilisaient 13 brevets Apple. Nokia, qui a jusqu'au 8 février pour répondre à cette accusation, a fait savoir par le biais de son porte-parole Mark Durrant que l'entreprise finlandaise « étudiera cette plainte quand elle l'aura reçu et qu'elle continuera à se défendre vigoureusement.» Ajoutant que « cela ne changeait rien au fait qu'Apple n'avait pas cherché à respecter les conditions adéquates pour utiliser les technologies de Nokia et avait voulu s'offrir gratuitement ces innovations dès 2007 avec la sortie de son premier iPhone. » Dans un article consacré à Nokia, Reuters fait cependant remarquer que l'entreprise a conclu des accords de licences croisées avec une quarantaine d'entreprises du secteur, et notamment tous les grands fabricants de téléphones mobiles, sauf Apple. Un troc juridique pourrait résoudre le conflit des deux constructeurs La plainte déposée par Nokia dans le Delaware pourrait éventuellement être mise en attente si l'entreprise parvient à obtenir un examen des brevets contestés auprès de l'US Patent & Trademark Office. Reuters rappelle que dans le milieu des années 2000, Nokia avait gagné un procès lié à des questions de brevet de technologie mobile contre Qualcomm, et plus récemment contre InterDigital. L'entreprise vient aussi de remporter une bataille juridique en Angleterre dans une affaire de licence l'opposant l'entreprise allemande IPCom qui avait tenté de faire payer à Nokia - « un montant jugé déraisonnable » selon le tribunal - pour l'utilisation de ses brevets. Même si Nokia continue de dominer le marché mondial de la téléphonie mobile, l'entreprise n'a pas réussi à s'implanter sur le marché américain des smartphones haut de gamme, un secteur à croissance rapide et très lucratif. Au contraire, la part de marché de Nokia à l'échelle mondiale n'a cessé de s'effriter, passant de 42,3% à 39,3% au troisième trimestre, selon les chiffres de Gartner cités par Bloomberg. Ce recul est dû principalement à l'iPhone d'Apple, au BlackBerry de Research in Motion, et plus récemment aux téléphones basés sur le système d'exploitation Android, tous concurrents de Nokia qui utilise le système Symbian et récemment une distribution linux adapté Mameo. (...)
(20/01/2010 10:04:09)Les compétences sécurité d'Ipelium passent dans le giron d'Auxitec Technologies
Filiale spécialisée dans l'informatique du groupe Auxitec Ingénierie, la SSII Auxitec Technologies vient de prendre les commandes de l'intégrateur francilien Ipelium. En réalisant cette opération de croissance externe, l'acquéreur fait coup double. Il s'ouvre à de nouveaux types de clients et se dote dans le même temps de plus fortes compétences en sécurité informatique et en mobilité dont Ipelium s'est fait une spécialité. Doté d'un effectif d'une cinquantaine de personnes, Auxitec Technologies propose son savoir-faire en ingénierie des systèmes d'information, en déploiement de solutions et en conception et intégration de logiciels aux entreprises du secteur industriel. En 2009, cette approche lui a permis de dégager un chiffre d'affaires de 6 M€ à travers ses agences du Havre (siège social), de Lyon et de Paris. De taille plus modeste avec 2,5 M€ de revenus annuels environ, et une équipe de 15 personnes, Ipelium cible des entreprises évoluant dans des domaines d'activités plus variés tels que la finance, la distribution ou encore le secteur public. « Nous allons pouvoir proposer des prestations liées à la sécurité à nos clients historiques. En parallèle, ceux d'Ipelium auront accès à nos offres de services.», indique Phlippe Pourrain, le président d'Auxitec Technologies. Doubler le chiffre d'affaires d'Ipelium d'ici cinq ans Ipelium devrait en outre tirer profit de l'arrivée d'un groupe tel qu'Auxitec Technologies (60 M€ de CA annuel) dans son capital pour progresser sur le segment des grands comptes. Sa présence y était en effet peu remarquée. Il faut dire que les résultats financiers de la société n'étaient pas de nature à rassurer les grands donneurs d'ordre : réalisant un faible chiffre d'affaires, Ipelium est en outre une société dont la rentabilité est tantôt faiblement positive, tantôt faiblement négative. A titre d'exemple, son résultat net s'élevait à 20 000 € en 2008, soit moins de 1% de son chiffre d'affaires de l'époque. « Pour les cinq années à venir, notre objectif est de doubler les revenus d'Ipelium. Et d'ici deux ans, l'ensemble formé par cette société et Auxitec technologies devrait dégager 10 M€ de chiffres d'affaires », prévoit Philippe Pourrain. Pour ce dernier, la faible rentabilité d'Ipelium trouve notamment sa source dans des problèmes de gestion. L'intégration de nouveaux outils informatiques devrait contribuer à palier ces problèmes. Pour autant, Auxitec Technologies n'a pas retiré sa confiance à Denis Confuron, le gérant d'Ipelium. ce dernier reste dans l'entreprise en tant que responsable opérationnel. (...)
(19/01/2010 15:39:31)Voeux de NKM : l'action publique dispose de 2,5 Mds pour orienter les usages du numérique
Si l'actualité numérique de 2010 sera considérable, pour reprendre les propos de Nathalie Kosciusko-Morizet, les voeux de la Secrétaire d'Etat à la Prospective et au développement de l'Economie numérique, prononcés ce mardi midi à La Conciergerie, n'ont eux pas regorgé d'informations. De fait, le Premier ministre avait monopolisé l'attention la veille avec le lancement d'un plan pour le très haut débit, et le montant du Grand emprunt alloué au numérique était déjà connu depuis mi-décembre. Devant un parterre de politiciens, de journalistes, de blogueurs, de représentants des opérateurs et autres acteurs de l'économie numérique - une sorte de « biodiversité », a plaisanté la ministre, très attachée au développement durable - Nathalie Kosciusko-Morizet a d'abord tenu à rappeler que pour elle, « la technologie n'emporte pas de valeur morale en tant que telle, elle n'a rien de diabolique, rien d'angélique non plus ». Manière d'affirmer que pour sa part elle n'accuse pas Internet de tous les maux, mais qu'elle prend d'abord en compte les usages. On aura donc compris que, au grand dam des opposants à la loi Loppsi et au mouchard qu'il instituerait dans les PC (des mots qui n'ont bien sûr pas été évoqués), ces usages peuvent être criminels... et on imagine mal la secrétaire générale adjointe de l'UMP ne pas soutenir ce type de loi. L'essentiel du discours, par ailleurs relativement court, de Nathalie Kosciusko-Morizet a cependant porté sur la répartition de l'Emprunt national. Remerciant l'écosystème d'avoir appuyé son action en convainquant la commission Rocard-Juppé, elle s'est sincèrement réjouie : « Je ne boude pas mon plaisir, avoir les moyens de ses ambitions, c'est énorme. » Ce sont 4,5 Md€ qui seront en effet alloués au numérique, soit « plus de 15% du Grand emprunt ». Pour la secrétaire d'Etat, ce montant constitue « une reconnaissance en soi de l'importance du numérique ». La répartition de ce montant est également un motif de fierté. NKM, qui s'était plainte d'être chargée de l'Economie numérique alors qu'elle aurait préféré l'appellation Société numérique, y voit « une autre victoire ». « En plus des 2 milliards pour l'infrastructure, il y a 2,5 milliards pour les usages, les pratiques et les contenus dans un fonds pour la société numérique. » C'est, pour elle, « la reconnaissance que l'action publique ne doit pas se limiter aux tuyaux ». Nul doute que les adversaires d'Hadopi et de la Loppsi ne seront pas tout à fait d'accord. Et ils auront du mal à se faire entendre, car depuis que le montant est connu, a indiqué NKM, le secrétariat d'Etat est très courtisé. « On dit que l'argent rend les hommes sexy, il rend aussi les femmes sexy ! » (...)
(19/01/2010 09:50:54)Lotusphere 2010 : IBM promet ses API pour étendre les services de LotusLive
Lotusphere vient de démarrer sa dix-septième édition à Orlando sur la toute fraîche nomination d'un nouveau patron pour la division Lotus Software. En ouverture de la conférence, Bob Picciano, jusqu'alors directeur général de l'entité Lotus, a ainsi passé les rênes à Alistair Rennie, qui était jusque-là vice-président du développement et du support. Lui-même prend la tête des ventes mondiale d'un IBM Software réorganisé en deux divisions : l'une axée sur les solutions, incluant les logiciels Lotus, l'autre gérant les produits middleware. Jusqu'au 21 janvier, près de 7 000 personnes sont attendues à Orlando : partenaires de Lotus et utilisateurs de Notes, QuickR, Sametime et Connections, ou des outils de collaboration en ligne LotusLive annoncés l'an dernier sur Lotusphere 2009. IBM dit aujourd'hui compter 18 millions d'utilisateurs de LotusLive dans une centaine de pays. Parmi les derniers en date, Panasonic a annoncé il y a quelques jours avoir choisi ces outils en ligne pour ses équipes internationales. A terme, quelque 380 000 salariés accéderont de cette façon à leur messagerie, ainsi qu'à des fonctions de web conférence, dialogue en direct, partage de fichiers et gestion de projets. Encore plus satisfaisant pour IBM, en concurrence frontale avec Microsoft sur ces solutions, ce sont en partie des utilisateurs d'Exchange que Panasonic fait ainsi migrer vers la messagerie de LotusLive. Le fabricant de produits électroniques doit aussi mettre en place LotusLive Connections pour constituer un réseau social avec son écosystème et avec ses fournisseurs. LotusLive s'ouvre davantage aux partenaires IBM offre de nouvelles perspectives à ses partenaires tentés par LotusLive. A partir du deuxième semestre 2010, des API seront accessibles à tous pour ajouter des services à ces outils de collaboration en ligne ou les inclure dans un processus métier. Auparavant, il fallait passer par un programme spécial (Lotus Design Partner) pour y accéder. Parmi les prochains services attendus figure une fonction d'appel téléphonique proposée par Skype (annoncée pour le deuxième trimestre). Certains partenaires pourront par ailleurs commercialiser les services de LotusLive en complément de leurs propres offres. [[page]] Pour imaginer le futur de LotusLive, ses utilisateurs sont par ailleurs mis à contribution. A l'instar d'autres éditeurs, comme SAP (avec Business Objects) ou Google, IBM propose de donner son avis sur des technologies en incubation au sein de ses équipes de R&D. Déjà, le LotusLive Labs (où se conjuguent les ressources d'IBM Research et de Lotus) livre quatre versions, qualifiées de « pre-alpha », que les utilisateurs enregistrés peuvent tester. On y trouve Slide Library, qui a déjà été montrée par IBM lors de précédentes conférences. Le logiciel sert à constituer une bibliothèque de 'slides' qui seront utilisées pour créer de nouvelles présentations. Collaborative Recorded Meetings enregistre et retranscrit les conférences pour permettre ensuite les recherches. Avec la technologie Composer, on bâtit des mash-up à partir de services LotusLive. Quant au logiciel Event Maps, il permet de visualiser des plannings de conférences de façon interactive. Au deuxième trimestre, un cinquième logiciel sera livré à l'appréciation : Project Concord proposera d'élaborer et partager en ligne documents, tableaux et présentations. Un accès plus souple à LotusLive Notes Enfin, une prochaine version (multitenant) du client de messagerie Notes sur LotusLive (basé sur Lotus Notes Hosted Messaging) permettra de combiner les déploiements sur site et dans le cloud, en supportant de façon standard la synchronisation entre les annuaires gérés sur site et dans le cloud. Chaque utilisateur pourra choisir entre un client Notes ou un navigateur pour accéder à sa messagerie. Et IBM assouplit les conditions d'accès au service. Le nombre d'utilisateurs minimum pour s'abonner à LotusLive Notes passe ainsi de 1 000 à 25 utilisateurs. Cette offre fournira par ailleurs une capacité standard de 5 Go pour stocker les mails et comportera les fonctions de messagerie instantanée de Sametime. La version bêta sera disponible au deuxième trimestre. (...)
(19/01/2010 10:02:30)Le marché des applications pour mobiles estimé à 6,7 milliards de dollars en 2010
Les consommateurs plébiscitent les magasins d'applications mobiles. Selon le cabinet d'études Gartner, les téléchargements d'applications mobiles représenteront 6,7 milliards de dollars en 2010, 29,5 en 2013. Les téléchargements gratuits représentant 87% du total des téléchargements en 2010 et en 2013. En nombre de téléchargements, on devrait passer de 4,5 milliards en 2010 à 21,6 en 2013. Selon le Gartner, le magasin d'applications mobiles est devenu pour les fournisseurs un acteur de la chaîne de valeur. Quant aux consommateurs, ces téléchargements d'applications mobiles vont gagner en popularité tout comme les smartphones l'ont fait ces dernières années. Par type d'applications, les jeux arrivent en tête, suivis du commerce par mobile, des réseaux sociaux, des services et des outils de productivité. Les recettes comprennent aussi bien les dépenses pré-payées que la publicité parrainée d'applications mobiles. Mais, prévient le Gartner, la croissance attendue ne signifie pas que les consommateurs dépenseront plus. La chaîne de valeur va évoluer, les règles de rentabilité ne sont pas encore fixées, donc les recettes futures ne sont guère prévisibles. (...)
(19/01/2010 09:46:53)Selon le cabinet Solucom, l'externalisation est devenue la règle dans les grandes entreprises
Le cabinet Solucom vient de publier une étude intitulée « Les pratiques du sourcing it en france » et réalisée en partenariat avec l'association de promotion du référentiel de bonnes pratiques en matière d'achats Ae-SCM. Réalisée à l'automne 2009, surtout auprès de très grands comptes internationaux, l'étude révèle que l'externalisation est devenue la règle. Si 60% des répondants à cette enquête administrée en ligne sont issus d'entreprises de plus de 5000 salariés, il n'en reste pas moins que le faible nombre de réponses (85 !) oblige à prendre les résultats chiffrés avec certaines réserves. Il convient donc de s'en tenir à de grandes tendances. Ainsi, l'externalisation informatique est devenue courante en France : la majorité des entreprises y ont recours, aussi bien avec des équipes à l'extérieur de leurs locaux (plus des deux tiers) qu'à l'intérieur de ceux-ci (une grosse moitié des répondants) et en général avec plusieurs prestataires par entreprise. Mais cette externalisation est réalisée par des acquisitions négociées au coup par coup sur des critères économiques, sans étude d'opportunité technologique dans la plus grosse partie des cas et sans stratégie globale. Une fois l'acquisition réalisée, le service achat ne se préoccupe plus du suivi du contrat et c'est donc aux directions utilisatrices de la prestation d'assurer seules ce suivi. Le critère économique étant dominant, la satisfaction vis-à-vis d'un prestataire ne justifie pas à elle seule la fidélité. Même si la plupart des répondants sont satisfaits, avec quelques réserves sur la qualité de service et le manque de pro-activité. La majorité des répondants considère que la mise en concurrence à chaque terme est naturelle. Dans le même ordre d'idée, un peu plus du dixième des entreprises utilisent de l'off-shore, ce qui était considéré jadis comme le plafond. L'off-shore risque donc de se développer à terme plus que prévu initialement. (...)
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