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(15/09/2009 15:21:57)
Google teste la capacité de feuilleter les Unes des journaux
C'est peut-être le nouveau visage de Google News : le géant californien teste actuellement la possibilité de visualiser les Unes des journaux en ligne, dans un effort de simuler la capacité de jeter un oeil aux premières pages des quotidiens d'un kiosque. Autre similitude : pour ce service, Google travaillera en partenariat avec les journaux, auxquels il reversera une partie de la manne publicitaire. Le service, baptisé Fast Flip, est testé en bêta, avec des titres américains. Il est néanmoins accessible à tous, et renvoie, comme le Google News classique, vers le site de presse pour un contenu complet. La version mobile, accessible depuis le navigateur d'un smartphone, est un peu plus ergonomique, dans la mesure où il devient possible de faire défiler les Unes avec le doigt. Toutefois, les versions pour PC et pour mobile souffrent aujourd'hui de quelques défauts de visibilité (vignettes illisibles, zoom inconfortable...). (...)
(15/09/2009 14:59:15)EMC recrute Pat Gelsinger, chez Intel depuis 30 ans
Patrick Gelsinger, vice-président senior et co-directeur général du groupe Digital enterprise chez Intel vient d'être recruté par EMC où il devient président et directeur des opérations (COO) pour les produits d'infrastructure d'information (soit le stockage, la sécurité, la gestion et l'archivage de contenu, ainsi que l'administration Ionix). Patrick Gelsinger était l'un des vétérans d'Intel puisqu'il officiait depuis 30 ans chez le fabricant de composants. Il a été son premier directeur technique et a également chapeauté la recherche du géant des puces électroniques. Il a dirigé la division qui s'est occupé du Pentium Pro et de la famille des i486, après avoir travaillé également sur les très anciens i286 et i386. EMC a également promu un de ses plus anciens employés, Howard Elias, à la tête de sa division services pour l'infrastructure d'informations et le cloud. Les deux nouveaux VP dépendront directement du PDG, Joe Tucci. Ce dernier a d'ailleurs profité de l'annonce pour annoncer son intention de rester PDG jusqu'à 2012. A l'échelle de l'Hexagone, notons aussi l'arrivée à la direction marketing de Jean-Yves Pronier, un ancien de Sun. EMC France est dirigée par l'ancien PDG de Sun France, Christian Hiller. (...)
(14/09/2009 17:08:24)Planification budgétaire : IBM adapte Cognos pour les PME
IBM veut faire entrer ses outils de gestion des performances économiques dans les entreprises de taille moyenne. Pour y parvenir, il s'est attelé à faciliter la mise en oeuvre de sa suite décisionnelle Cognos 8 et à établir une tarification adaptée. L'offre Cognos Express qu'il s'apprête à livrer en France le 29 septembre est une solution analytique préparamétrée qui bénéficie de procédures d'installation simplifiées et d'une aide au paramétrage. Elle s'adresse à un maximum de cent utilisateurs. Au-delà, le client se voit dirigé vers la suite Cognos 8.
Reporting, analyse et planification
IBM Cognos Express vise donc des PME, grandes et plus petites, qui ne se sont pas encore converties aux applications de pilotage et de gestion de l'information, et qui, loin s'en faut, ne disposent pas des ressources informatiques indispensables pour aborder les grandes plateformes décisionnelles. La mise en place du produit se fait à partir d'une console centralisée qui gère l'ensemble du déploiement et de l'administration courante.
La couverture fonctionnelle de l'offre englobe à la fois les outils de requête, de reporting et d'analyse multidimensionnelle, et la planification budgétaire. Une combinaison fonctionnelle qu'IBM estime être le seul à proposer sous cette forme.
Sur ce segment de marché, Business Objects propose, depuis deux ans, une solution de planification pour les PME (actuellement SAP BusinessObjects Planning & Consolidation). Microsoft, de son côté, a fait rentrer son offre PerformancePoint dans le rang de son portail SharePoint.
Le moteur multidimensionnel de TM1
A noter qu'IBM livre dans Cognos Express le moteur d'analyse multidimensionnelle TM1 (acquis avec le rachat d'Applix) qui présente l'intérêt de s'utiliser à partir du tableur Microsoft Excel. Et pour constituer la base multidimensionnelle, l'utilisateur dispose de l'outil de chargement de données de TM1, Turbo Integrator.
IBM Cognos Express comporte trois modules fonctionnels qui peuvent être achetés séparément. Le premier, Reporter, permet de créer, consulter et modifier des rapports sur les données financières et opérationnelles de l'entreprise. Le deuxième, Xcelerator, est destinée à l'analyse et la planification (avec élaboration et test de scénarios conditionnels). Le troisième, Advisor, permet de faire de la planification à court et long terme en s'appuyant sur des scénarios de type « Que se passe-t-il si.... ? » (What if) et des fonctions de rétro-calculs.
On ne trouve pas en revanche dans Cognos Express de fonctions de consolidation statutaire, pas plus que les applications de mobilité Go! Mobile, Go! Search ou Go! Office.
La tarification d'IBM Cognos Express démarre à 14 500 dollars pour cinq utilisateurs nommés. L'utilisateur supplémentaire, pour les fonctions de reporting ou d'élaboration budgétaire, est tarifé 500 dollars. (...)
Wipro à Sophia-Antipolis : « Le scénario de fermeture n'est qu'une des options »
Les quelque 61 salariés de Wipro Newlogic, filiale sophipolitaine de la SSII indienne spécialisée dans la R&D des réseaux sans fil, ne savent pas encore exactement à quelle sauce ils vont être cuisinés. La direction de la SSII et le comité d'entreprise n'ont pas du tout la même vision des choses. Ce qui est sûr, c'est que l'activité cessera d'exister - du moins au sein de Wipro - et que la plupart y perdront leur poste. Wipro Newlogic est une entité issue du rachat par la SSII en 2006 de Newlogic, société autrichienne dont faisait partie Newlogic Sophia-Antipolis (créée en 1999). La société avait pour mission de développer des systèmes (d'abord Bluetooth, puis WiFi) dans le but de les proposer sous licence à des industriels. D'après Cédric Vandeburie, membre du CE, Wipro disposait d'une technologie concurrente, mais s'était souvent vu damer le pion par Newlogic, d'où sa décision de les racheter. Attirer l'attention des médias et politiques locaux Trois ans après, les salariés de Wipro Newlogic ont l'impression que le ciel leur tombe sur la tête. En fin de semaine dernière, ils ont défilé, tout de blanc vêtus, pour attirer l'attention des médias et politiques locaux. « Il n'y a eu aucun signe avant-coureur, explique Cédric Vandeburie. On allait même commencer à commercialiser les fruits d'un projet de trois ans, sur la nouvelle génération de WiFi. » Pour Loïck Le Moigne, directeur marketing Europe continentale et en quelque sorte le porte-parole de Wipro en France, « il s'agit d'un marché vraiment sinistré, ce qui est d'ailleurs un gros problème pour toute la technopole de Sophia ». Il y a peu de demandes, fait donc valoir Loïck Le Moigne, et quand il y en a, « la pression sur les prix est telle » que l'activité n'est pas viable. D'où la décision de cesser cette activité de licence de propriété intellectuelle. En revanche, tient-il à préciser, « on n'est pas dans un scénario de fermeture, ce n'est qu'une des options ». La direction et le CE ont en effet signé un accord de méthode, qui ouvre la voie à des discussions sur les divers scénarios possibles. Christophe Martinoli, directeur général France de Wipro, s'est ainsi rendu sur place pour présenter les options - à vrai dire bien maigres. Des salariés pourraient être reclassés, Wipro continuant d'embaucher en France (plus de 100 personnes auraient été engagées sur les 12 derniers mois). Toutefois, « la spécificité des personnes à Sophia est telle qu'il est difficile de leur trouver une place », indique la direction. Au final, « une bonne partie » des collaborateurs de Newlogic pourrait se voir proposer des affectations « à Rennes, Clermont, Toulouse... » D'autres pourraient rester sur place « si on trouve une bonne solution ». Un grand groupe européen aurait signé un contrat pour un montant de 5 M€ [[page]]En l'occurrence, salariés et direction de Wipro Newlogic discutent d'une sorte de 'spin-off', certains collaborateurs pouvant reprendre une partie de l'activité - en comptant sur l'intérêt d'un certain gros client. D'après le CE, un grand groupe européen aurait signé « un contrat en plusieurs parties, pour un montant de 5 M€ », contrat qui n'aurait jamais été contresigné par la direction. D'où une suspicion, du côté des salariés, sur un éventuel comportement voyou d'une entreprise qui aurait profité des subsides publics sous forme de crédit impôt recherche et transféré la technologie en Inde avant de fermer les portes de sa filiale française. D'après le quotidien Nice-Matin, le premier vice-président de la région PACA, Patrick Allemand, s'en est étranglé : « Depuis trois ans, Wipro a touché 7 M€ de crédit impôt recherche de l'Etat. Et dans le cadre du plan de relance, le groupe aurait bénéficié au printemps d'un nouveau crédit de 5,5 M€ ! Nous demandons à Christian Estrosi, ministre de l'Industrie et également maire de la ville de Nice, de vérifier ces versements. S'ils sont confirmés, on va exiger leur remboursement. » Les choses devraient se dénouer le 8 octobre, lorsque le CE rendra son avis Bien évidemment, la direction de Wipro réfute en bloc ces accusations. Pour Loïck Le Moigne, il n'y a eu « aucun transfert de technologie » et la cessation d'activités n'était aucunement préméditée. Quant au contrat providentiel, qui aurait permis de poursuivre l'activité, « il y a bien eu une avancée, mais ça n'a jamais été signé par le client ». Sauf incident, les choses devraient se dénouer le 8 octobre, lorsque le CE rendra son avis. La direction de Wipro pourra alors continuer les procédures engagées, quelles qu'elles soient. (...)
(14/09/2009 15:35:08)Les employés d'IBM auraient 10 jours pour quitter Office pour Symphony
Selon le quotidien allemand Handelsblatt, IBM aurait demandé à 360 000 employés dans le monde de passer de Microsoft Office à sa propre suite bureautique, Lotus Symphony. Basée sur OpenOffice, et également téléchargeable gratuitement, Symphony permet d'ouvrir et d'éditer des fichiers aux formats Microsoft. Toujours selon Handelsblatt, les salariés d'IBM auraient 10 jours pour procéder à l'installation. Quelque 330 000 personnes en interne auraient déjà mis en place la suite bureautique sur leur poste. Ceux qui souhaiteraient pouvoir continuer d'utiliser Microsoft Office devraient pouvoir le faire, à condition d'y être autorisés par leur hiérarchie, pour des besoins spécifiques. Contacté par LeMondeInformatique.fr, un porte-parole d'IBM France nous a dit ne pas être au courant d'une telle injonction. En revanche, il est vrai, a-t-il ajouté, que les nouveaux collaborateurs se voient uniquement dotés d'une installation de Symphony. La suite bureautique d'IBM vient de connaître une mise à jour assez particulière : dans sa version 1.3, elle accepte désormais l'installation de widgets (au travers d'un simple glisser-déposer) pour compléter ses fonctionnalités. IBM cite par exemple les outils de conversion d'unités et de mesure de Google, un widget d'accès à Wikipedia ou bien encore ses propres outils de collaboration. (...)
(14/09/2009 12:18:08)Xavier Darcos recevra Didier Lombard au sujet de la série de suicides chez France Télécom
Le ministre du Travail Xavier Darcos rencontrera demain, mardi 15 septembre à 11h, le PDG de France Télécom, Didier Lombard, à propos de la série de suicides de salariés au travail qui touche l'entreprise. Une jeune chargée de clientèle, au service de recouvrement Orange, est en effet décédée vendredi 11 septembre après s'être jetée du 4e étage d'un immeuble de l'entreprise situé dans le 17e arrondissement de Paris. Son décès porte à 23 le nombre de suicides recensés par les syndicats dans l'entreprise depuis février 2008, pour un effectif d'environ 100 000 salariés en France. Selon l'AFP, la direction du groupe avait proposé jeudi dernier, 10 septembre, de suspendre provisoirement les « mobilités » au sein du groupe. Elle avait par ailleurs rencontré les syndicats de l'entreprise fin août à propos de la prévention du stress, sujet sur lequel elle a annoncé l'ouverture de négociations à partir du 18 septembre, et le recrutement de 100 DRH de proximité et de médecins du travail supplémentaires. L'AFP précise que la ministre de l'Economie Christine Lagarde a demandé à Didier Lombard de convoquer un conseil d'administration consacré aux 23 suicides constatés en 18 mois. Xavier Darcos a aussi proposé d'envoyer le directeur général du Travail Jean-Denis Combrexelle assister à une prochaine réunion du Comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) de l'entreprise. L'Agence ajoute que quatre syndicats de France Télécom, FO-Com, CGT, CFTC et Sud-PTT, avaient demandé tour à tour samedi à l'entreprise des "mesures radicales", la plupart appelant l'Etat à "prendre ses responsabilités" et FO menaçant d'invoquer son droit de retrait, après un nouveau suicide de salarié. L'entreprise ne doit pas être débarrassée de ses responsabilités Le secrétaire général de l'Elysée Claude Guéant a indiqué, toujours selon l'AFP, avoir été lui-même "confronté à une vague de suicides" alors qu'il était directeur général de la Police nationale. "J'ai enquêté de façon extrêmement précise sur chacun de ces suicides, c'était beaucoup de drames personnels et je crois qu'il faut être attentif à cet aspect des choses", a-t-il expliqué avant d'ajouter : "Ca ne veut pas dire que l'entreprise soit débarrassée de ses responsabilités. Même si c'est personnel, une entreprise c'est une collectivité humaine, c'est une solidarité de tous les jours. Donc il faut que l'entreprise vienne au secours de ceux qui sont dans la difficulté." Le secrétaire général de la CFDT François Chérèque a estimé lundi, de son côté, que la série de suicides de salariés qui touche France Télécom ne correspond pas seulement "à des drames personnels" et a appelé la direction à un "moratoire" sur les restructurations. "On a une entreprise dont le seul objet est de ramener du cash, du pognon, et inévitablement, aux salariés de France Télécom, qui étaient habitués à travailler autrement auprès du client, on demande de la rentabilité", a-t-il ajouté sur LCI (propos repris par l'AFP). "Parfois, ils se sentent atteints dans leur intégrité, dans leur identité, ils ne le supportent plus et des personnes, qui ont peut-être parfois des difficultés dans leur vie, passent à l'acte d'une façon dramatique." Dans un entretien avec le Journal du Dimanche, le DRH de France Télécom, Olivier Barberot, a néanmoins estimé qu'il était inenvisageable de suspendre les restructurations et les mouvements de mobilité interne « ou alors la concurrence doit être gelée et la technologie cesser d'évoluer". Il a précisé par ailleurs avoir envoyé samedi "un courrier à tous les médecins du travail du groupe pour leur demander de nous indiquer, dans les limites du secret professionnel, les cas de salariés en situation de fragilité". Concernant la salariée qui s'est suicidée vendredi, Olivier Barberot a confirmé que l'on "venait de lui annoncer qu'elle changeait de chef", mais "pas de travail ni de métier". Toujours selon le DRH de France Télécom, elle avait été mutée en juin de Courbevoie à Paris mais cela réduisait son temps de transport. La jeune femme "qui avait des difficultés personnelles (...), avait travaillé 58 jours en 2008 et avait été absente 61 jours cette année". (...)
(11/09/2009 16:17:08)Oracle promet d'investir plus que Sun dans Sparc et Solaris
Oracle a décidé de dissiper enfin les craintes des clients de Sun, inquiets du sort des processeurs Sparc et du système d'exploitation Solaris. La société de Larry Ellison, qui a vu son rachat de Sun approuvé fin août par les autorités américaines, a choisi d'afficher ses engagements par le biais d'une page de publicité. Parue notamment dans le Wall Street Journal, celle-ci déroule quatre promesses. Oracle prévoit d'investir dans le développement de Sparc davantage que Sun ne le fait en ce moment. L'éditeur offre la même garantie sur Solaris. Oracle prévoit aussi d'avoir deux fois plus de spécialistes que Sun pour vendre et assurer le service autour des systèmes Sparc et Solaris. Enfin, il compte améliorer sensiblement les performances des matériels de Sun en les intégrant étroitement avec ses propres logiciels.
Larry Ellison a hâte d'affronter IBM
En fin de publicité, une citation de Larry Ellison conclut en substance : « Nous sommes là pour gagner. » Au passage, le fondateur d'Oracle prévient IBM qu'il a hâte d'entrer en concurrence avec lui sur le terrain du matériel. Nulle mention de HP en revanche dont on sait qu'il avait montré de l'intérêt, lui aussi, pour le matériel de Sun.
Certains analystes font remarquer que ces engagements n'ont rien de vraiment significatifs, les investissements actuels de Sun ayant probablement subi d'importantes coupes si l'on en juge par l'effondrement de ses ventes. Le Californien est celui qui a enregistré le recul le plus fort parmi les constructeurs sur son chiffre d'affaires serveurs au deuxième trimestre.
Le rachat de Sun par Oracle est toujours en cours d'examen par la Commission Européenne, en raison des problèmes de concurrence qu'il pourrait soulever sur le marché des bases de données. L'Europe a jusqu'au 20 janvier 2010 pour rendre son avis.
(...)(11/09/2009 15:38:13)Twitter change ses conditions d'utilisations pour attirer la publicité
Le site de microblogging Twitter a changé hier, jeudi, ses conditions d'utilisation pour permettre aux publicitaires de diffuser officiellement leurs messages aux 45 millions d'utilisateurs mensuels du site. Comme Biz Stone l'a exprimé sur son blog officiel, « nous laissons la porte ouverte à la publicité. Nous aimerions conserver toutes nos options ouvertes, nous l'avons déjà dit auparavant. » Un revirement de tendance par rapport au mois de mai dernier où Biz Stone soutenait que cette source de revenus n'était pas assez intéressante pour son réseau et craignait que l'apparition de publicités ne fasse fuir les utilisateurs. Pour autant, le site s'engage à encadrer ces pratiques en prenant notamment des mesures pour lutter contre le spam, et en renforçant sa sécurité pour éviter l'apparition de comptes tenus par des robots et la diffusion de malware. (...)
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