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(03/07/2009 17:25:39)

Plus de 2 500 salariés en grève chez Alcatel-Lucent

Suite à l'appel de l'intersyndicale composée de la CFDT, la CFE-CGC, la CGT et la CFTC, quelque 2 530 salariés se sont mobilisés mardi 30 juin, dans une douzaine de sites de l'équipementier. Tous étaient en grève et sept bâtiments (Vélizy, Lannion, Orvault, Villarceaux, Illkirch, Colombes et Meudon) étaient complètement bloqués. Les salariés ont protesté contre la troisième vague de licenciements (en trois ans) dans le cadre du projet d'externalisation présenté le 18 juin dernier par la direction. Le groupe a en effet annoncé qu'il allait transférer son informatique ainsi que plus de 1 000 salariés (dont 200 en France) chez HP (lui-même en proie à des vagues de licenciements depuis le rachat d'EDS), et dans des pays à moindre coût, comme l'Inde. Les syndicats dénoncent un « dépeçage des activités par externalisation ». Ce plan concerne également 5000 emplois chez les sous-traitants (450 dans l'Hexagone), à la fois dans l'informatique, la R&D, la finance et les services de paie. Les deux premiers plans de licenciements avaient quant à eux débouché sur la suppression de 2000 postes. La direction a par ailleurs annoncé un gel des salaires pour une durée indéterminée. Au niveau européen, la mobilisation a « manqué de coordination » selon la CFDT mais elle a été « marquée par un premier mouvement au sein de l'établissement de Timisoara en Roumanie, particulièrement touché par le plan d'externalisation » (500 postes). (...)

(03/07/2009 11:44:56)

USI 2009 : Joël de Rosnay prédit la généralisation des échanges pair à pair

Dure tâche que d'ouvrir la seconde édition de l'Université des SI (USI 2009), organisée par Octo Technology en ce début juillet, quand en juillet 2008 Michel Serres avait si brillamment éclairé la lanterne des informaticiens, qu'ils soient dirigeants (boss, dans le langage Octo) ou codeurs (geeks). C'est Joël de Rosnay qui cette année s'est attelé à la tâche, avec plus ou moins de bonheur. Le conseiller de la présidence de la Cité des sciences et de l'industrie a en effet rappelé des évolutions de la société du numérique qui sont - ou devraient être - des évidences pour le public de l'USI : la généralisation des équipements mobiles et connectés, le poids de la longue traîne (le cumul de faibles audiences dans le temps dépassant largement des pics d'audience momentanés), les comportements liés au Web 2.0 (personnalisation, collaboration...), la nécessité de surfer protégé (par des outils de sécurité) et avec prudence et discernement... Mais au-delà de ça, remettant en jeu son titre d'expert en futurologie, Joël de Rosnay s'est risqué à quelques prédictions. S'attardant sur le succès des échanges de fichiers musicaux en pair à pair, il a affirmé : « Je vous prédis que le peer-to-peer va atteindre cinq secteurs : la banque, l'assurance, le consulting, l'éducation et l'énergie. » Pour la banque, Joël de Rosnay cite l'exemple du micro-crédit, appelé à se développer, car quand « les gens se prêtent entre eux, les taux d'intérêt sont plus bas et les dossiers moins compliqués à monter ». Pour l'assurance, Joël de Rosnay explique que c'est ainsi que cela a débuté : « La Lloyds a commencé avec des armateurs qui s'assuraient entre eux. » Pour le consulting, le cofondateur d'AgoraVox mise tout naturellement sur la montée en puissance du « crowdsourcing », autrement dit l'intelligence collective pour apporter des solutions à un problème. Pour l'éducation, Joël de Rosnay envisage une « coéducation citoyenne participative », expliquant qu'une certaine candidate à la présidence de la République lui a « piqué le thème ». Enfin, pour l'énergie, il voit venir le jour où « les gens revendront à leurs voisins l'énergie qu'ils feront », ce qui entraînera l'apparition d'un nouveau métier, celui de courtier en énergie. Joël de Rosnay critique Hadopi à mots à peine couverts Cette liste de prédictions se basant sur le succès du P2P, Joël de Rosnay n'a pu s'empêcher une petite pique à l'égard du gouvernement et de la loi Création et Internet (instaurant l'Hadopi). Les nouvelles façons de faire du business, dit-il, reposent sur deux éléments majeurs, l'audience d'un site Web et le bruit fait autour. Une conviction qu'il a formalisée sous l'équation suivante : « flux + buzz = bizz ». Et d'ajouter : « Les jeunes musiciens l'ont très bien compris, mais pas les législateurs qui réfléchissent à un monde fermé. » Enfin, mettant en garde contre les dangers de manipulation des images ou des identités numériques pouvant conduire à ce qu'il appelle du « révisionnisme numérique », Joël de Rosnay a appelé à l'élaboration d'une nouvelle éthique, « l'infoéthique ». (...)

(02/07/2009 16:32:22)

Vendu pour 7,8 M$,The Pirate Bay fait amende honorable, au grand dam des internautes

« Oui, c'est vrai. The Pirate Bay devrait être racheté par Global gaming factory X », ont confirmé hier les fondateurs du site d'échange de fichiers Torrent sur leur blog. The Pirate Bay passe dans le giron d'une entreprise suédoise spécialisée dans les jeux sur Internet pour un montant de 7,8 M$. « Beaucoup de gens sont inquiets. Nous ne le sommes pas, et vous ne devriez pas l'être non plus », se sont ensuite empressés d'ajouter les propriétaires du site de téléchargement. « Sur Internet, beaucoup de choses meurent si elles n'évoluent pas, nous ne voulons pas que cela se produise [mais] nous ne pouvons pas financer la croissance du site », peut-on encore lire sur le blog. Les dirigeants de The Pirate Bay estiment avoir confié les commandes du navire « aux bonnes personnes, ayant les capacités d'exploiter le site ». Ils précisent qu'une partie des bénéfices de la vente seront reversés à des associations de défense de la liberté d'expression. Des centaines de réponses n'ont pas tardé à affluer. Les utilisateurs de TBP ont manifesté leur désaccord et leur inquiétude quant à la pérennité et au futur positionnement du site. Sous la contrainte, le site a mis à la disposition des mécontents un outil de désinscription. Global gaming factory X souhaite trouver des moyens pour payer les détenteurs de droits d'auteur et les fournisseurs du contenu téléchargé via The Pirate Bay. En cinq années d'existence, The Pirate Bay est parvenu à attirer de nombreux visiteurs, se propulsant ainsi dans la catégorie des 100 sites les plus consultés dans le monde. Après un procès qui a débouché sur la condamnation des quatre fondateurs pour piratage (3,9 M$ de dommages et intérêts), le site est à la recherche d'un modèle économique qui soit à la fois rentable et légal. Un défi que ses fondateurs ne sont pas parvenus à atteindre. (...)

(30/06/2009 17:35:39)

Christian Estrosi ne veut pas s'immiscer dans le dialogue social chez HP

A l'issue de son entretien avec le PDG d'HP France, Yves de Talhouët, ce mardi 30 juin, le tout nouveau ministre chargé de l'industrie, Christian Estrosi, a déclaré qu'il veillerait à ne pas faire d'ingérence dans les discussions que la direction de HP France va mener avec ses salariés, rapporte l'AFP. Le ministre avait suscité cette rencontre à la suite de l'annonce, jeudi dernier, de 540 suppressions de postes sur l'Hexagone au sein des effectifs français du numéro 1 mondial de l'IT. Des réductions qui s'ajoutent aux 580 suppressions de postes déjà prévues dans le cadre du rapprochement entre HP et EDS. Une première réunion de négociation entre la direction de HP France et les représentants syndicaux de HP-EDS doit avoir lieu le 2 juillet. Cette date a été proposée la semaine dernière par Yves de Talhouët au Comité de groupe de HP France. Des commandos de la réindustrialisation Christian Estrosi a également précisé avoir été informé par Yves de Talhouët qu'HP avait l'intention de réaliser de nouveaux investissements en France. Ce matin, le ministre a également reçu à Bercy les dix commissaires à la réindustrialisation pour faire un point sur les actions menées et leur donner leur feuille de route. Dans un communiqué, il indique que les commissaires ont « la responsabilité de montrer que l'Etat se bat aux côtés des élus, des entrepreneurs et des salariés » et affirme sa volonté de créer dans les régions des « commandos de la réindustrialisation ». (...)

(30/06/2009 17:26:53)

Altran : le plan de départs volontaires est contesté par les syndicats

[mise à jour] La direction d'Altran Technologies et ses différents comités d'entreprise se sont réunies le 26 juin à Paris et le 29 juin à Toulouse afin d'éclaircir certains points concernant la mise en oeuvre d'un plan de départs volontaires de 500 personnes. Initialement ouvert au volontariat jusqu'au 15 juillet prochain selon les syndicats, l'échéance de ce plan a été repoussée de quelques semaines. « On ne peut admettre que la consultation se fasse en deux semaines, trop de questions restent en suspens », déplore Loïc Deschamps, délégué syndical CGT Sud Ouest et conseiller aux prud'hommes. Lors de ces réunions, Yves de Chaisemartin, PDG du groupe, a insisté sur le fait que le plan reposait uniquement sur la base du volontariat. Les syndicats ont obtenu la nomination d'un expert comptable, qui sera chargé d'examiner à la loupe les résultats du groupe. Une mesure qui ne satisfait pas complètement les syndicats. « Bien qu'étant externe, cet expert a été choisi par la direction, nous sommes donc en droit de nous poser des questions sur sa légitimité », précise Jean-Pierre Matanovic, délégué syndical CGT chez Altran. Les syndicats dénoncent le gaspillage des millions d'euros alloués par la Fafiec Pour la énième fois, les syndicats ont tenté d'obtenir de la direction que le plan de départs « volontaires » soit étendu à d'autres branches que celle du secteur automobile. En vain. Seule une poignée de salariés a pu basculer vers l'aérospatiale ou l'énergie, après avoir suivi une formation. Pour les autres, essentiellement des salariés en inter-contrat, la sortie semble inévitable. Les syndicats dénoncent par ailleurs le gaspillage « de millions d'euros alloués par la Fafiec en formations bidon, trop généralistes, alors que cet argent aurait pu servir à former des spécialistes ». Enfin, dernier point, le comité d'entreprise de Toulouse a refusé l'ouverture du numéro vert pour informer les salariés, prévue le 15 juillet, une responsabilité qui a été confiée à un cabinet externe. « Yves de Chaisemartin, PDG de la société, interdit aux délégués syndicaux de communiquer des informations aux salariés, mais veut lancer en parallèle un point conseil. Cette politique de communication est complètement illogique », s'insurge Loïc Deschamps. Pour lui, le lancement de ce numéro vert est prématuré, les négociations étant pour le moment au point mort. « Tout ce que nous risquons, c'est que les salariés obtiennent des renseignements erronés à propos de leurs conditions de départ, car elles ne sont pas fixées pour le moment, et se précipitent un peu trop rapidement vers la sortie, comme le souhaite la direction », met en garde Loïc Deschamps. Le lancement du numéro vert sera effectif le 15 juillet. Pour la partie Altran Sud-ouest, ce point devrait être rediscuté le 8 juillet, lors de la prochaine réunion du CE. (...)

(30/06/2009 16:44:08)

Observatoire EITO : très légère reprise de la croissance pour 2010

Le marché européen des TIC devrait voir le bout du tunnel en 2010. C'est en tous cas le point de vue de l'Observatoire européen des technologies de l'information (EITO) et du Syntec Informatique. Selon eux, le marché devrait timidement renouer avec une croissance de l'ordre de 0,3% (718,6 Md€). En attendant, en 2009, le chiffre d'affaires généré en Europe par ce secteur continuera de chuter de 1,7% à 716,6 Md€. C'est largement en dessous des prévisions de l'EITO datant de novembre 2008 qui envisageait une croissance de 4% puis de 1,8%. Le marché des seules télécommunications devrait générer un CA de 362 Md€ en 2009 en Europe, en baisse de 0,1%. En France, le secteur se porte un peu mieux, avec une légère hausse de 0,7% à 55,7 Md€. C'est surtout le marché de l'Internet haut débit qui tire le secteur des télécoms (7,2% de croissance, 9,8% en France) alors que celui de la téléphonie fixe est en baisse significative (-6,8%) et que celui de la téléphonie mobile stagne. « La guerre des prix et les réglementations émanant de Bruxelles ont lourdement pesé sur les opérateurs de téléphonie mobile », explique Bruno Lamborghini, président de l'EITO. Les dépenses en matériel informatique baisseront de 2,2% en volume, les entreprises ayant tendance à repousser leurs investissements IT en raison de la crise. « Les clients sont plus sélectifs, ils attendent des nouvelles technologies qu'elles les aident à améliorer leur efficacité », commente Bruno Lamborghini. D'où le succès des services d'externalisation (+5%) par exemple. Enfin dernière catégorie, le secteur de l'électronique est en chute libre (-8,2%), notamment en raison de la baisse des ventes d'écrans plats. Les appareils photos numériques, les lecteurs MP3 et les GPS sont également en recul, alors que les lecteurs Blu-Ray et les consoles de jeux se maintiennent. Aussi importante qu'elle paraisse, la crise économique épargne relativement les TIC en France. L'Hexagone fait en effet partie des pays les moins ébranlés par la récession : -1,7% (112 Md€), contre -2% en Grande-Bretagne et -2,4% en Allemagne. En 2010, la France devrait arborer une croissance légèrement plus importante que la moyenne, à 0,4%. (...)

(30/06/2009 12:49:58)

SAP vise une marge opérationnelle de 35% en 2014

SAP projette d'atteindre les 35% de marge opérationnelle dans cinq ans. Cette indication, consignée dans un document interne à la société, ne constitue en rien une prévision, a précisé à Reuters un porte-parole de l'éditeur allemand d'ERP. Augmenter sa marge opérationnelle de façon significative a toujours constitué l'un des objectifs de SAP et l'éditeur a plusieurs fois indiqué qu'il visait les 35% mais sans préciser à quelle échéance, rappelle Reuters. Sur l'année 2008, la marge opérationnelle de SAP s'est élevée à 24,6% de son chiffre d'affaires (contre 26,7% en 2007). Elle se situe pour l'instant bien au-dessous de celle de ses concurrents directs Oracle et Microsoft. Ce dernier a réalisé l'an dernier une marge de 37,2 % (exercice clos fin juin 2008). Quant à Oracle, il vient d'achever son exercice fiscal sur une marge opérationnelle de 51% ! (quatrième trimestre fiscal, non GAAP). Sur 2009, SAP prévoit toujours de réaliser entre 24,5% et 25,5% de marge opérationnelle. (...)

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