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(30/06/2009 12:19:11)

Steve Jobs de retour à la tête d'Apple

Après cinq mois et demi d'absence, Steve Jobs revient à la tête d'Apple. Pour l'instant, le fondateur d'Apple passera seulement une partie de la semaine dans les locaux de l'entreprise, travaillant chez lui le reste du temps. Steve Jobs, qui avait été soigné pour un cancer du pancréas en 2004, avait pris un congé de plusieurs semaines en janvier afin de traiter un déséquilibre hormonal qui lui faisait perdre du poids. Durant son absence, il a subi une greffe du foie comme l'a confirmé récemment le Methodist University Hospital Transplant Institute de Memphis. Le départ du patron d'Apple avait inquiété les investisseurs financiers, s'interrogeant sur la capacité de survie de l'entreprise sans ce personnage charismatique à sa tête, mais son retour a posé d'autres questions, sur sa capacité à reprendre les rênes, en particulier. Après la confirmation du retour de Steve Jobs, le cours de l'action d'Apple n'a que peu réagi, et a terminé la journée sur une légère baisse de 0,55 %. Durant l'absence du fondateur, ce sont Tim Cook, directeur opérationnel de la compagnie, et Phil Schiller, directeur marketing, qui diriger l'entreprise et fait monter le buzz sur les nouvelles annonces produits, notamment l'iPhone 3GS, déjà en rupture de stock dans de nombreux points de vente. (...)

(29/06/2009 17:07:44)

Nec vise la 3e place du stockage et des serveurs en 2015

Six mois après avoir annoncé qu'il renonçait à vendre sous sa marque des micro-ordinateurs, NEC vient d'annoncer sa stratégie produits et ses conséquences sur sa politique de distribution. Le constructeur a commencé par rappeler qu'il restait un poids lourd de l'OEM et le 1er acteur de l'informatique et de l'électronique au Japon. Il a déposé plus de 70 000 brevets en 2008 et emploie toujours près de 145 000 salariés dans le monde. Cela étant dit, NEC présente en France et en Europe un tout autre visage que celui qu'il offrait jusqu'à l'an dernier. Tout d'abord, l'Hexagone est moins une entité autonome qu'une des régions de la zone EMEA (Europe, Middle-East & Africa). Ensuite, la page « PC » est définitivement tournée : l'objectif prioritaire est de devenir avant 2015 le n°3 du stockage et des serveurs, derrière IBM et HP. « Le but n'est pas de coller de nouvelles rustines sur les systèmes d'information mais de proposer une offre réellement différenciée », affirme Thomas Luquet, Directeur Marketing Solutions de NEC. Cette ligne de conduite l'amène à se focaliser sur des « niches », telles que les systèmes à tolérance de panne ou les datacenters économes (Eco Centers). Le deuxième axe consiste à renforcer les synergies entre les différentes divisions du groupe NEC : écrans, serveurs, impression de badges, systèmes de billetterie, etc. Le constructeur entend ainsi démontrer qu'il est capable d'équiper entièrement ses clients avec des solutions verticales (stades, complexes commerciaux, aréoports...). Un nouveau réseau de distribution De fait, le réseau de distribution de NEC ne sera plus le même : en lieu et place des revendeurs qui passaient par des grossistes généralistes, on trouve désormais des intégrateurs ou des éditeurs indépendants (ISV) qui s'adresseront à des distributeurs à valeur ajoutée (VAD). Malgré ce changement de registre, NEC jure qu'il aura une politique de distribution « 100% indirecte ». « Le fait d'être une structure agile et de taille humaine n'est certainement pas un handicap aujourd'hui, à l'heure où les plus gros faiseurs sont contraints de proposer des certifications spécifiques à leurs partenaires pour que ceux-ci comprennent leur politique de licences », lance Thomas Luquet. Quant à savoir quel sera le rôle de NEC dans le domaine du poste de travail, le constructeur est catégorique : tout est orienté vers la virtualisation. « Notre offre de virtualisation du poste de travail est simple : le retour sur investissement doit être inférieur à 1 an, voire immédiat », explique Thomas Luquet. Aujourd'hui, NEC ne compte donc plus qu'une soixantaine de partenaires en Europe et ne souhaite pas aller au-delà de 100. Ils passeront par des revendeurs à valeur ajoutée, sachant que le partenariat pour la France n'a pas encore été finalisé. NEC souhaite avoir stabilisé son nouveau réseau d'ici la rentrée. (...)

(29/06/2009 16:42:46)

Le marché du PC moins affecté que prévu en 2009, selon Gartner

Gartner revoit légèrement à la hausse ses prévisions sur les ventes de PC pour 2009, à la faveur d'un premier trimestre meilleur que prévu et dans la perspective d'un redémarrage au quatrième trimestre. En mars dernier, le cabinet d'études prédisait sur l'année un recul des livraisons de l'ordre de -12%, à 257 millions d'unités. Mais le marché mondial des PC traverse la crise avec plus de résistance qu'anticipé, surtout dans le secteur du grand public, à l'exception des pays de l'Est. Gartner évalue un repli limité à -6%, soit 274 millions d'unités (contre 292 millions un an plus tôt). Pour 2010, Gartner table même sur un retour à la croissance, avec une progression des ventes dépassant les 10%. Les analystes restent toutefois prudents, ils estiment qu'il est encore prématuré de parler d'un redressement du marché. En 2009, les ventes d'ordinateurs portables devraient enregistrer une hausse de 4,1% en volume. Le chiffre d'affaires ne suit pas la même voie puisqu'il perd 12,8%, en raison de la chute du prix moyen des portables (parfois au-dessous de la barre des 400 dollars) et de la concurrence exercée par les mini-portables. Pour 2009, il devrait s'en vendre 21 millions d'unités et 30 millions en 2010. Les ventes de PC de bureau en revanche sont en chute libre (-15,7%), avec 125 millions d'unités écoulées. Quant à la sortie de Windows 7, le 22 octobre prochain, elle ne devrait pas influer sur les ventes de PC, selon les analystes, les consommateurs ayant pris l'habitude de laisser passer un délai d'observation d'un an environ avant de changer de système d'exploitation. (...)

(29/06/2009 16:30:07)

IBM décline en France ses services autour des projets décisionnels

IBM diversifie ses angles d'approche des projets décisionnels avec une offre de services spécifique au sein de sa division GBS (Global Business Services). Baptisée Business Analytics and Optimization (BAO), soit en français « pilotage et optimisation des performances par l'analyse d'indicateurs métiers », cette offre implique 4 000 personnes dans le monde. Sur l'Hexagone, elle se concentre sur une centaine de personnes, consultants, architectes, experts en décisionnel. A la tête de cette équipe, Wilfrid Guerit met en avant la capacité de s'appuyer sur des actifs déjà constitués par IBM sur d'autres projets décisionnels. Il s'agit d'actifs « au sens large », à la fois capital immatériel et développements spécifiques pour un client, sur lesquels IBM a gardé la propriété intellectuelle, et qui peuvent être répliqués dans d'autres entreprises ou administrations aux métiers comparables (la gestion de la fraude, le suivi des dossiers de crédit, les déclarations de sinistres, la gestion du trafic routier...). L'accès aux expertises internes disponibles au niveau mondial est facilité par les outils de collaboration mis en place par Big Blue depuis plusieurs années, en particulier l'intranet BluePages et le réseau social Small Blue. Une organisation qui permet de « faire gagner du temps et de l'argent aux clients », résume Wilfrid Guerit en rappelant aussi la possibilité, pour les équipes BAO, de faire appel à la R&D d'IBM. IBM intègre son offre avec celle de ses concurrents Cette offre de services axée sur le décisionnel est évidemment soutenue par la division software. Celle-ci regroupe l'ensemble des solutions logicielles d'IBM, notamment celles acquises ces dernières années dans le domaine de l'analyse de données. IBM a directement participé au mouvement de concentration du secteur de la BI (business intelligence) en rachetant le Canadien Cognos, puis le Français Ilog et ses outils de gestion des règles métiers. Les solutions de gestion de contenu précédemment rachetées avec Filenet complètent l'offre. Big Blue est donc plutôt bien placé sur un marché du décisionnel qui pâtira moins de la crise que d'autres secteurs du logiciel cette année. IDC prévoit notamment en France une progression de 5,9% à 545 M€, sur les solutions et services BI. C'est toutefois un terrain sur lequel évoluent d'autres poids lourds du logiciel et de la BI, SAP/Business Objects, Oracle/Hyperion et Microsoft, ainsi que des spécialistes, comme SAS, Teradata ou MicroStrategy. Dans ce contexte, l'équipe BAO d'IBM compte agir avec pragmatisme et n'hésitera pas, sur le terrain, à intégrer ses produits avec ceux de ses concurrents. « Pourquoi remettre en question des produits qui donnent satisfaction », admet Henri Thouvenin, responsable des solutions Information Management de la division IBM Software Group France. Il présente comme une évidence la nécessité, pour IBM, de rester agnostique vis-à-vis des produits et de s'appuyer, au cas par cas, sur des solutions partenaires (comme par exemple, en France, la plateforme de marketing multicanale de Neolane). L'équipe BAO s'inspirera donc de ce qui est déjà en place chez le client pour lui proposer des solutions et elle bénéficiera des expertises mises à disposition par la division Software, par exemple pour l'élaboration d'indicateurs métiers très spécialisés. L'offre de services peut être décomposée en cinq volets. Elle comporte d'abord une approche stratégique du projet décisionnel, puis se décline sur quatre axes applicatifs : les outils de pilotage de la performance (issus de l'offre Cognos), les solutions analytiques avancées (outils de datamining, technologies issues du rachat d'Ilog), la gestion de l'information (qualité des données, gestion des données de références -MDM) et, enfin, la gestion de contenus (offre FileNet). Un ensemble d'applications qui reposent sur une architecture orientée services (SOA), souligne Henri Thouvenin. (...)

(29/06/2009 14:28:51)

Oracle / Sun : La justice américaine prolonge l'étude du dossier

Le département américain de la justice (DoJ) a besoin de davantage de temps pour examiner le projet d'acquisition de Sun par Oracle (pour un montant de 7,4 Md$) annoncé fin avril. Il a donc repoussé la date de remise de son accord, initialement prévue le 26 juin à l'issue d'une période d'examen de 30 jours. Oracle a indiqué qu'il était avec le DoJ « quasiment en mesure de résoudre tous les problèmes inhérents à cette opération », mais qu'une question concernant les licences Java restaient en suspens. « [Ce point] n'ira jamais dans le sens du rachat. Mais je m'attends à ce que l'enquête prenne rapidement fin et qu'elle ne retarde pas la clôture de la transaction, prévue pour cet été », a déclaré l'avocat d'Oracle, Dan Wall, du cabinet Latham & Watkins. A l'occasion de l'annonce du rachat, Larry Ellison, PDG d'Oracle, avait affirmé que Java représentait « le produit le plus important jamais acquis par la société. » Il a ajouté que le middleware basé sur Java, mis en exergue par l'acquisition de BEA (racheté en janvier 2008 par Oracle) puis celle de Sun, devrait devenir une activité aussi important que celle de son emblématique SGBD. Les actionnaires des deux sociétés doivent se prononcer à la mi-juillet sur la fusion. Certains d'entre eux du côté Sun ont déjà manifesté leur désaccord en déposant trois plaintes auprès de la SEC (Securities and exchange commission), l'organisme chargé de surveiller la bourse américaine. Selon ce groupe, la proposition d'Oracle est « injuste et insuffisante ». Ils affirment également que Sun a bafoué l'US Foreign Corrupt Practice Act, une loi qui contrôle les pratiques de corruptions à l'étranger. (...)

(26/06/2009 16:43:27)

HP supprimera plus de 1 000 postes au total en France

Un projet de 540 suppressions de postes a été communiqué par la direction française de HP au Comité de groupe, hier, jeudi 25 juin. Il touche 180 postes chez HP France, ce qui correspond à 10% environ des effectifs de la filiale, et 360 postes chez HP CCF (centre de compétences France), soit 15% des collaborateurs de cette entité impliquée sur les activités internationales du groupe. Moins touché lors des précédents plans sociaux de HP en France, cette entité historique de l'entreprise rassemble toujours près de 2 500 collaborateurs, notamment dans le grand centre européen de Grenoble, mais aussi à Sophia Antipolis où Compaq était implanté. En y ajoutant les 580 suppressions de postes annoncées fin 2008 dans le périmètre HP-EDS (faisant suite au rachat de la SSII), ce sont plus de 1 000 postes qui devraient donc être coupés sur l'Hexagone par le groupe américain. Ce n'est pas vraiment une surprise pour Jean-Paul Vouiller, délégué syndical central CFTC de HP France. « Fin mai, nous avions dit que nous redoutions la suppression de plus de 1 000 postes », souligne-t-il. Ce nombre sera probablement atteint, même s'il a été annoncé que les coupes prévues dans le périmètre HP-EDS devraient être revues à la baisse. Les syndicats rencontrent la direction de HP le 2 juillet La semaine dernière, dans la perspective d'un nouveau plan social, la CFTC s'inquiétait des demandes de baisses de salaires qui devaient être faites aux salariés de HP en France (les cadres de l'entreprise ayant déjà été consultés sur ce point). La date du 2 juillet a été proposée au Comité de groupe par le PDG de HP France, Yves de Talhouët, pour une première rencontre de négociation avec les représentants syndicaux de HP-EDS réunis en intersyndicale. « Nous écouterons ce que la direction nous dira, puis nous consulterons les salariés pour voir si ce qui est mis sur la table est suffisant pour éviter le conflit social », indique Jean-Paul Vouiller, en rappelant qu'un accord avait ainsi pu être trouvé lors des négociations menées en 2003. En 2005, en revanche, la direction avait annoncé la suppression de 26% des postes et avait voulu « entrer en négociation sans discuter, ce qui avait débouché sur quatre mois de bras de fer », rappelle Jean-Paul Vouiller. Pour régler le conflit, HP avait dû finalement mettre quelque 200 M€ sur la table et accepter de ramener les suppressions de postes à 17% de l'effectif. Des garanties sur le statut social des employés HP et EDS [[page]]A l'orée de cette nouvelle négociation, la CFTC souhaite que des moyens importants soient rapidement engagés, « pour éviter la désignation de ceux qui partiront et la désorganisation de l'entreprise pour ceux qui resteront ». Pour le syndicat, cela suppose « des garanties sur le statut social des employés HP et EDS, de tout faire pour limiter la restructuration et de faire appel au volontariat avec des indemnités de départ et de projet à la hauteur de la gravité de la crise financière actuelle ». La réunion du 2 juillet prochain donnera aussi aux représentants du personnel l'occasion d'évoquer un autre dossier, celui du projet de transfert de 600 employés HP vers EDS. A ce propos, le blog de la CFTC de HP indique aujourd'hui même que la phase finale de la consultation de ce projet « très contesté » a été suspendue, « suite à la présentation des rapports de l'expert et la saisie des CHSCT par les CE, contestée par la DRH ». (...)

(26/06/2009 16:14:17)

Le marché européen des serveurs baisse plus encore au deuxième trimestre

La dégringolade du marché des serveurs en Europe est en ligne avec celle qui existe au niveau mondial, selon les derniers chiffres d'IDC. Pour ce trimestre, qui s'achève dans quelques jours, IDC table sur une baisse de 39,3% du CA à 2,9 Md$ et sur une chute de 30% des livraisons à moins de 500 000 unités. Cette baisse trimestrielle est la quatrième consécutive. Elle succède à la baisse de 34,3% du CA au trimestre précédent. IDC estime que l'activité a atteint un niveau plancher. Mais le marché, qui se comparera bientôt aux premiers trimestres en récession, ne devrait pas connaître de croissance avant le troisième trimestre 2010. Dans cette estimation globale, les serveurs x86, tirés par la demande de serveurs lames et de projet de consolidation, reprendront de la vigueur plus rapidement que les autres segments de marché. (...)

(26/06/2009 13:52:14)

Microsoft et Publicis s'associent dans la publicité en ligne

Microsoft et Publicis ont signé hier un partenariat pour créer des outils numériques destinés au marketing et à la publicité. Cet accord porte sur trois axes : produire du contenu, développer des moyens technologiques pour mesurer les performances des campagnes de publicité et cibler au mieux les audiences. Le but est de suivre le comportement de l'internaute avec précision, afin de déterminer si les publicités sont judicieusement choisies et si elles se concluent par un acte d'achat. Les détails financiers de cet accord entre Microsoft et la société française de communication et de conseil en achats média n'ont pas été communiqués. Les deux groupes travailleront ensemble à travers Vivak (l'entité numérique de Pubicis) et utiliseront Admira, une solution conçue par Microsoft Advertising. Un premier projet, baptisé « The Pool », sera testé cet été sur des contenus vidéo de format court. Selon Forrester, le recours au format vidéo dans la publicité en ligne devrait quadrupler d'ici à 2013, pour atteindre un chiffre d'affaires de 986 M€ par an. Ce modèle est en effet censé retenir plus longtemps et plus efficacement l'attention des internautes, d'où son succès auprès des annonceurs. Les nouvelles maquettes publicitaires seront ensuite déclinées sur d'autres médias, comme les téléphones portables, la télévision et le marketing social (sur les réseaux communautaires). Sur le secteur très disputé du marché de la publicité en ligne, Publicis est également partenaire de Google . Les deux groupes coopèrent depuis plus de deux ans au sein d'une entité commune comptant une centaine de collaborateurs. (...)

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