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(23/06/2009 17:03:14)

Sun sort une bêta de de sa VirtualBox 3

Sun lève le voile sur la version bêta de VirtualBox 3.0, son hyperviseur de type 2 pour le poste client. Techniquement importante, la portée de cette annonce est obérée par le mystère entretenu par Oracle sur l'avenir de cette technologie après la finalisation de son rachat de Sun. Hier, on apprenait que Virtual Iron, racheté par Oracle il y a un mois, disparaissait complètement. Sur la liste des caractéristiques de cette bêta, figure en tête la capacité a supporter 32 processeurs virtuels sur des machines dotées de processeurs avec les extensions de virtualisation matérielle VT-x d'Intel et AMD-V du constructeur éponyme. Juste après, on trouve le support d'openGL 2.0 destiné à l'accélération 3D pour les OS Windows, Linux et Solaris. A titre expérimental, cette bêta supporte aussi Direct3D 8 et 9 sous Windows. VirtualBox s'installe au dessus de Windows, Linux, MacOS, OS/2 et OpenSolaris. Il supporte des machines virtuelles sous Windows (de 2000 à Windows 7), Linux, Solaris, OpenBSD et MacOS. Originellement développé par la société allemande Innotek, VirtualBox fait partie de Sun xVM, l'offre de virtualisation du constructeur qui inclut aussi xVM Server (hyperviseur de type 1 -natif- d'origine Xen pour processeurs Solaris et x86-64), xVM Ops Center (outils d'administration pour datacenter virtualisé) et Sun VDI (Virtual Desktop Infrastructure), un connexion broker pour virtualiser les postes de travail à distance. (...)

(23/06/2009 15:45:03)

Altran pousse 500 salariés vers la sortie

Les actionnaires d'Altran Technologies se réunissent aujourd'hui, mardi 23 juin, en assemblée générale, notamment pour parler du plan de départ de 500 personnes, un plan exclusivement basé sur le volontariat. « Cette formulation est une manière de maquiller des licenciements purs et simples, dénonce Williams Osters, délégué syndical CFE CGC. La direction culpabilise les salariés en inter-contrat, ayant quinze ou vingt ans de maison, avant de les pousser gentiment vers la sortie. » Les syndicats redoutent que ne se reproduise, à grande échelle, ce qui s'est passé pour Altran CIS (consulting and information services), la branche conseil de la SSII. « Une trentaine de postes ont été supprimés sous couvert de volontariat au cours des derniers mois », selon Williams Osters. Les syndicats dénoncent également les orientations prises par le groupe, comme la mise en place de formation « bidons, conçues pour leur prise en charge avantageuse par les fonds mutualisés », plutôt que de recourir à des formations qualifiantes et certifiantes. Les suppressions de postes concernent essentiellement les consultants qui travaillent pour des clients dans le secteur automobile. En raison de la crise économiques qui a fortement marqué ce marché, Altran a enregistré en 2008 un bénéfice net en recul de 47%, à 11,4 M€. Lors de la publication de ses résultats, le groupe indiquait qu'il « ne s'interdisait pas d'appliquer des mesures similaires à d'autres pays et d'autres secteurs si ces derniers subissent une forte dégradation tout au long de l'année 2009 ». Autrement dit, Altran envisageait de faire appel aux départs volontaires et au chômage partiel. La mise en oeuvre de ce programme sera débattue avec les représentants du personnel le 26 juin à Paris et le 29 juin à Toulouse. Les syndicats pourraient de leur côté manifester leur inquiétude et leur mécontentement dès aujourd'hui, au pied de la Tour Libertis qui abrite le siège social d'Altran à Levallois-Perret. (...)

(23/06/2009 08:07:09)

Dassault Systèmes investit 3 millions d'euros dans Bluekiwi

BlueKiwi Software, éditeur d'une plateforme de réseaux sociaux d'entreprise, réalise une levée de fonds de 4,7 millions d'euros. Sofinnova Partners, investisseur de la première heure dans la startup avec 5,3 millions de dollars à sa création il y a 3 ans, continue de faire confiance à Bluekiwi, cette fois-ci à hauteur de 1,7 millions d'euros. Par ailleurs, le numéro un français du logiciel, Dassault Systèmes, participe pour 3 millions d'euros dans cette levée de fonds. Carlos Diaz et Christophe Routhieau, les deux fondateurs de la jeune pousse, demeurent majoritaires. Les liens entre Bluekiwi et Dassault Systèmes ne sont pas nouveaux. L'éditeur de PLM (Product lifecycle management) a en effet été le premier client de la startup. Dès 2006, avant même la disponibilité de l'offre de réseau social de cette dernière, le directeur général des ventes de Dassault Systèmes, Arnaud Poujardieu, avait décidé d'adopter le concept pour ses équipes. En octobre 2008, il a finalement rejoint Bluekiwi en tant que DG... En plus de sa participation au capital de la jeune pousse, Dassault Systèmes signe aussi un partenariat technologique et commercial avec celle-ci. Comme précisé par le géant du logiciel français, Bluekiwi « bénéficiera de la technologie de Dassault Systèmes et de sa présence à l'international. » (...)

(22/06/2009 16:58:28)

Lefebvre Software poursuivra sa croissance externe

C'est la complémentarité qui guide la stratégie de croissance externe de Lefebvre Software. Viviane Ribeiro, présidente de l'éditeur français, l'a réaffirmé à ses clients accueillis vendredi 19 juin au Palais Brongniart pour la conférence annuelle « Interactives ». Parmi eux, des utilisateurs des logiciels Iris Finance et Iris Personnel, mais aussi ceux du produit Comptarel issu du rachat de Scod en 2007, et des solutions d'AS Group, acquis en novembre. L'objectif, pour Viviane Ribeiro, c'est que Lefebvre Software continue à être identifié comme un expert de la gestion financière et des ressources humaines et, désormais, de la consolidation et du reporting financier. « Etre un leader, c'est d'abord être reconnu comme un spécialiste ». Avec l'absorption d'AS Group, la société a doublé sa base installée. Elle compte actuellement 2 500 clients et 280 collaborateurs. Fin 2008, le chiffre d'affaires cumulé des deux éditeurs a atteint 31,7 M€ et fait grimper Lefebvre Software dans le top 20 des éditeurs français (16e place du Truffle 100). La présidente ne compte pas en rester là. « Nous voulons atteindre une taille qui nous permette de répondre à nos enjeux et suivre nos clients à l'international ». 10% du chiffre d'affaires est actuellement réalisé hors du marché français (Iris Finance existe en huit langues et se conforme à douze législations différentes). A l'horizon 2010, Viviane Ribeiro vise un chiffre d'affaires global de 50 M€ dont 20% réalisés à l'international. D'ici là, l'éditeur devrait procéder à une ou plusieurs acquisitions. Il porte ses recherches parmi les acteurs de la gestion des ressources humaines. D'autres pistes vont être aussi explorées, par exemple du côté des démarches liées pour partie au green IT, comme la dématérialisation. « Ces rachats se feront toujours par complémentarité avec nos offres, sans remettre en cause les produits rachetés », insiste la dirigeante. Les clients de Scod et AS Group soucieux de la garantie de service En ouverture de la journée utilisateurs, vendredi dernier, les clients d'AS Group et de Scod, soucieux de voir se maintenir la qualité de service sur l'assistance téléphonique autour des logiciels qu'ils exploitent, se sont vus confirmer le maintien des différentes équipes de hotline existantes. « L'avantage de la croissance complémentaire, c'est qu'elle ne génère pas de doublons », a commenté à ce sujet la présidente de Lefebvre Software. Viviane Ribeiro a aussi conforté les utilisateurs des produits pour les plateformes i (ex AS/400 et iSeries) d'IBM sur la pérennité des offres qu'ils ont choisies : « Nous nous tirerions une balle dans le pied dans le cas contraire : 80% de nos clients viennent du monde AS/400 ou utilisent cette plateforme. » Mieux, OpenIris, la gestion des immobilisations développée en J2EE, devrait elle aussi fonctionner prochainement sur AS/400. La présidente a par ailleurs présenté les prochaines améliorations d'Iris Personnel, en constante évolution, en raison notamment de la nécessité de suivre la législation. (...)

(22/06/2009 16:49:43)

Un jury de Parisiens plaide pour abaisser le seuil d'exposition aux ondes électromagnétiques

Un panel de Parisiens mandaté par la municipalité pour apporter un point de vue indépendant sur les questions relatives aux ondes électromagnétiques plaide pour une application large du principe de précaution. Imaginée en mars, cette conférence participative a réuni treize habitants de la capitale qui, après avoir été formés, ont remis leurs conclusions dans un rapport « ondes, santé, société ». Outre des remarques de bon sens sur une utilisation citoyenne des téléphones portables (limiter l'usage dans les transports en commun pour développer le « savoir-vivre ensemble », par exemple), c'est sur le terrain de l'émission des ondes que les réflexions des membres du « jury citoyen » sont les plus intéressantes. Ils préconisent ainsi, comme plusieurs associations l'avaient fait à l'occasion du Grenelle des antennes, « d'optimiser le réseau (technologie et implantation) pour atteindre un seuil de 0,6 volt/mètre », contre 2 V/m comme l'autorise la charte « antennes-relais » signée en 2005 par la Ville de Paris et les opérateurs. Soulignons que l'abaissement de ce seuil est d'ores et déjà expérimenté par plusieurs villes de l'Hexagone (dont Courbevoie et Pau), comme les conclusions du Grenelle des antennes les y ont autorisées. Les treize Parisiens consultés reconnaissent, certes, qu'il « n'y a pas de certitude au niveau de la santé » et que « le risque zéro n'existe pas ». Mais leur recommandation, qui se calque sur le seuil adopté par d'autres villes, « permettrait de réconcilier opérateurs, citoyens et associations ». Interrogée sur cette proposition par nos confrères du Parisien, Anne Hidalgo, première adjointe de Bertrand Delanoë, indique que des tests seront mis en place prochainement pour juger de la pertinence de ce niveau d'exposition. Le WiFi dans les bibliothèques à nouveau montré du doigt Dans un souci de faire de Paris « une ville numérique responsable », les Parisiens suggèrent, plus généralement, de modérer l'émission d'ondes, qu'elles émanent des équipements de téléphonie mobile ou de ceux liés à l'Internet sans fil. Ainsi, ils recommandent de substituer au WiFi une liaison filaire dans tous les bâtiments publics (administrations, bibliothèques, écoles, hôpitaux) ou, lorsque cela est impossible (par exemple dans les jardins publics), d'éloigner les sources des espaces destinés à accueillir les enfants. L'idée de remiser le WiFi au placard séduira à n'en pas douter certains employés municipaux, qui s'étaient battus pendant plusieurs mois pour que soient débranchés les points d'accès dans les bibliothèques. En arguant de troubles sanitaires, ils avaient obtenu le débranchement des installations en 2007 avant que la Ville ne décide, en octobre 2008, de les remettre en service. Sur ce sujet, Anne Hidalgo fait montre de moins d'enthousiasme qu'en ce qui concerne l'abaissement du seuil d'exposition à 0,6 V/m. « C'est une recommandation de bon sens. Nous examinerons les situations au cas par cas. Les discussions avec les opérateurs reprendront à la rentrée pour mettre au point une nouvelle charte d'ici à la fin de l'année », élude-t-elle. Enfin, le jury citoyen plaide pour une non implantation d'antennes relais près des établissements scolaires et la proscription de l'utilisation de téléphones mobiles dans ces mêmes établissements par les enfants (jusqu'au collège). Des mesures proches de celles avancées par la ministre de la Santé lors de l'ouverture du Grenelle des antennes, au mois d'avril. (...)

(22/06/2009 14:56:32)

SQLI muscle son pôle formation avec le rachat d'Aston Education

Le pôle formation de SQLI s'agrandit avec le rachat d'Aston Education, un spécialiste des technologies Microsoft basé à Bagneux et à Boulogne-Billancourt. Ce rachat, d'un montant de 1,8 M€, permet à la SSII française d'enrichir son catalogue de formations de 200 cours supplémentaires, qui recouvrent diverses technologies comme le décisionnel, le Web 2.0, les ERP, l'Open Source, le SaaS, le Cloud Computing, Java et Microsoft. « Nous avons sélectionné Aston Education pour son expertise dans la gestion des formations et aussi parce qu'elle est la seule société à être agréée par Microsoft en France pour délivrer des formations concernant l'ensemble de l'offre de l'éditeur, des logiciels les plus basiques aux solutions les plus pointues (comme Sharepoint) », explique Nicolas Rebours, directeur administratif et financier de SQLI. Les deux dirigeants d'Aston Education, Marc Augier et Jean-François Castelluccia, prennent la tête de SQLI Institut, le pôle formation du groupe. Cette entité compte désormais 200 consultants (dédiés, comme le veut le modèle économique de SQLI, ou occasionnels, comme le pratique Aston Education en faisant appel à des prestataires externes) et devrait réaliser un chiffre d'affaires supérieur à 7 M€ en 2009. La SSII possède désormais douze centres de formation en France et en Suisse. Malgré un contexte économique difficile (résultat net en recul de 40% en 2008), la SSII maintient sa politique de croissance externe et réalise sa treizième acquisition depuis 2005. D'ici à la fin de l'année, SQLI n'exclut pas la possibilité de procéder à d'autres opérations pour se renforcer sur des marchés verticaux comme SAP (un pôle que la SSII a récemment agrandi avec l'intégration de Naga Conseils), la santé (plus particulièrement l'informatisation des processus de soins en hôpital) et le MCO (maintien en conditions opérationnelles), qui s'adresse essentiellement aux secteurs militaire, de l'énergie et du nucléaire. Pour l'ensemble de l'année, la SSII table sur un léger repli de son chiffre d'affaires. Au premier trimestre 2009, le CA (qui n'inclut pas Naga Services) s'établit à 38,9 M€, en baisse de 2,7% sur un an. (...)

(22/06/2009 14:44:43)

Oracle tue Virtual Iron un mois après l'avoir racheté

Oracle fait disparaître Virtual Iron un mois après l'avoir acheté. Dans un courrier adressé aux revendeurs des solutions de virtualisation de Virtual Iron, Oracle leur annonce qu'il arrête les développements, qu'il ne fournira plus aucun nouveau client et qu'il sera interdit de vendre des licences supplémentaires aux clients actuels d'ici la fin du mois de juin. Virtual Iron était le seul, avec Citrix et Oracle / Sun, à proposer d'une technologie de virtualisation qui repose sur Xen. L'offre de Virtual Iron sera remplacée par l'environnement maison Oracle VM. Une fusion technique qui devrait prendre une douzaine de mois. Pendant ce temps, les utilisateurs de Virtual Iron ne pourront plus acheter de licences. Oracle s'est séparé de tous les salariés de l'éditeur à l'exception de la quinzaine d'entre eux qui a la charge d'un support qu'il est légalement obligé d'assumer. La politique de la terre brulée Selon la presse américaine, Virtual Iron comptait 2000 à 3000 clients dans le monde, nombre d'entre eux ayant acheté 500 à 1000 licences. Parmi eux, figurent le FBI et plusieurs fournisseurs d'accès Internet (ISP) américains et britanniques. Fin mai, LeMondeInformatique.fr s'interrogeait sur les motivations qui avaient poussé Oracle à racheter Virtual Iron. Ce n'était certainement pas l'appât du gain, la société ayant perdu 15,3 M$ sur un CA de 3,4 M$ en 2008. Nous nous demandions alors si ces motivations étaient d'ordre technologique ou stratégique. Désormais, la réponse est claire, Oracle appliquait une stratégie, celle de la terre brûlée. Cette coupe sombre n'augure rien de bon pour Sun xVM, l'offre de virtualisation de Sun, en passe d'être racheté par Oracle. D'autant que ce dernier a déjà fait savoir qu'il estime sa propre technologie meilleure que celle de Sun. (...)

(22/06/2009 14:22:57)

Hadopi : vers un filtrage a priori des commentaires ?

La loi Création et Internet pourrait avoir comme conséquence inattendue d'obliger les sites d'information à filtrer les commentaires de leurs lecteurs. Conçu comme le prolongement des promesses faites lors des Etats généraux de la presse écrite, le chapitre VI de la loi dite Hadopi définit notamment les conditions permettant à une publication d'obtenir le statut d'entreprise de presse en ligne. Parmi les critères retenus figure « la maîtrise éditoriale [du] contenu ». Sans trop entrer dans les détails, la loi renvoie à un décret qui précisera « les conditions dans lesquelles un service de presse en ligne peut être reconnu, en vue notamment de bénéficier des avantages qui s'y rattachent ». Le projet de décret que nos confrères d'Electronlibre.info ont pu se procurer, daté du 16 juin, réitère l'obligation de maîtrise éditoriale attaché au rôle d'éditeur du service de presse en ligne. Mais il s'aventure sur un terrain qui risque de faire se lever de nombreux boucliers en incluant dans le champ de ce qui soit être éditorialement maîtrisé les « messages postés diffusés sur les espaces de contribution personnelle ». Selon le projet de décret, l'éditeur est censé « mettre en oeuvre les dispositifs appropriés pour éviter la mise en ligne de contenus illicites » dans ces commentaires. En d'autres termes, c'est une obligation de modération a priori qui planerait sur les éditeurs de sites de presse. Ce dessein est d'autant plus surprenant - choquant, objecteront certains - qu'il s'inscrit en contradiction avec la teneur originelle de la loi Création et Internet. Dans son article 27-II, elle précise ainsi que « le direction ou le codirecteur de publication ne peut pas voir sa responsabilité pénale engagée comme auteur principal s'il est établi qu'il n'avait pas effectivement connaissance du message avant sa mise en ligne ou si, dès le moment où il en a eu connaissance, il a agi promptement pour retirer ce message ». D'un côté, donc, une loi prévoyant une modération a posteriori ; de l'autre, un décret d'application tablant sur un filtrage a priori. Cette seconde voie, si elle est retenue, serait inévitablement vue comme participant d'une volonté plus large de contrôle du Web manifestée à plusieurs reprises par le gouvernement avec Hadopi, le projet Loppsi 2, les poursuites intentées par Nadine Morano contre les commentateurs d'une vidéo la représentant sur Dailymotion, etc. Selon notre confrère Emmanuel Parody, le ministère de la Culture pourrait avoir décidé de faire machine arrière. Sur son fil Twitter, l'éditorialiste indique ainsi qu'un nouveau projet de décret introduit la possibilité de modération a posteriori. Il se calquerait donc sur la teneur de la loi qu'il est censé aider à appliquer. Nulle trace de ce nouveau texte n'est cependant visible, pour l'heure. (...)

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