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(05/06/2009 16:57:30)

La crise détourne les grands comptes du Fibre channel au profit de l'iSCSI

Sur le premier trimestre, malgré une hausse de 14,8 % des capacités de stockage livrées (2146 Péta octets*), IDC constate une baisse de 18,2% du chiffre d'affaires du secteur, à 5,6 Md$, dont 75% proviennent de la vente de systèmes de stockage externes (soit 4,2 Md$). Sur le marché des systèmes de stockage sur disques pour serveur, le cabinet d'études souligne que ce premier trimestre enregistre la plus faible croissance de demande en capacité depuis 2002. Quant à la baisse des revenus, elle est surtout due à un effondrement des ventes de configuration haut de gamme. En effet, celles de systèmes commercialisés à moins de 15 000 $ progressent de 9,9%. IDC observe aussi une hausse de 14,5% des ventes des configurations commercialisées entre 300 000 et 500 000 $. Mais le cabinet précise que les vendeurs de ce type de configurations ont appliqué des remises conséquentes, ce qui explique le maintien de ce secteur. A contre-courant du marché, le chiffre d'affaires des systèmes à base d'interface iSCSI a augmenté de 40,5%. IDC laisse entendre que cette forte croissance s'est faite au détriment de l'interface Fibre channel. Les entreprises choisissent des équipements mixtes et privilégient l'iSCSI dans un premier temps. Cette croissance profite à Dell, qui s'octroie 36% du marché, suivit par EMC, avec près de 16%. Sur l'ensemble du marché, EMC reste numéro un avec une part de 20,7% en valeur, suivi par HP (11,5%) et par IBM (11,3%). IDC ne prévoit pas de reprise du marché d'ici à la fin de l'année, voire début 2010. * 1 Péta octet représente 1 million de Go (...)

(05/06/2009 16:03:34)

Sam Palmisano démonte le buzz autour d'Oracle/Sun

« Scott McNealy et Larry Ellison se connaissent et travaillent ensemble depuis vingt ans. Là, ils ont décidé de transformer leur union commerciale en mariage financier. C'est tout. » Dans un entretien accordé au journal Les Echos paru aujourd'hui, Sam Palmisano explique que le rachat de Sun par Oracle ne le touche guère. De fait, le PDG d'IBM se doit de montrer une certaine impassibilité, dans la mesure où l'action d'Oracle est clairement vue par la communauté informatique comme un mouvement destiné à concurrencer de front IBM. Sam Palmisano s'empresse d'ailleurs de poser la question « Oracle va-t-il rester un acteur dans l'équipement informatique ? », et l'on sent bien dans ses remarques (« C'est un tout autre monde avec ses règles, ses cycles et ses coûts ») qu'il en doute fortement, et aimerait en faire douter Larry Ellison lui-même. Egalement interrogé par Les Echos sur la possibilité d'un gros rachat, comme SAP, afin de se développer dans le secteur des progiciels, le PDG d'IBM explique qu'il n'est pas dans les gènes d'IBM de dépenser des sommes folles pour réaliser de la croissance externe : « On préfère racheter pour 5 milliards de dollars une entreprise comme Cognos plutôt que de mettre 30, 40 ou 50 milliards d'euros sur la table. Quant à SAP, c'est un partenaire stratégique. Nous travaillons avec eux, pas contre eux. » (...)

(05/06/2009 12:57:35)

Goojet lève 6 M€ et lance sa deuxième version de widgets pour mobiles

Goojet, éditeur toulousain d'une application de personnalisation des interfaces mobiles, vient de lever 6 M€, fruits d'un deuxième tour de table auprès de ses investisseurs historiques, Elaia Partners, l'IRDI-ICSO et Partech International, rejoints par un nouveau, Orkos Capital, grand habitué des investissements dans des sociétés média et télécoms. En un an et demi, la startup a ainsi récolté 8,3 M€. Créé début 2007 par Marc Rougier, fondateur de Meiosys, un spécialiste de la virtualisation racheté en 2005 par IBM, et Ludovic Le Moan, fondateur d'Anyware Technologies (spécialiste des technologies mobiles et M2M revendu à Openwave), Goojet revendique 300 000 utilisateurs en France. La société (16 salariés) n'est pas encore rentable, mais espère le devenir à l'horizon de 2010. La levée de fonds lui servira à développer un modèle économique fondé sur trois piliers : l'intégration de services sponsorisés par des opérateurs mobiles (des accords sont en cours de discussion mais Goojet refuse de communiquer à ce sujet), des campagnes de publicité ciblée et l'ouverture d'un accès payant à certains services premium (pour le moment l'application est entièrement gratuite). Goojet compte également sur ce financement pour se développer à l'international, notamment en Grande-Bretagne, en Espagne et en Allemagne. L'application est téléchargeable sur plus de 500 terminaux mobiles différents (dont l'iPhone et le Blackberry) et elle est référencée par Android MarketPlace. Goojet propose à l'utilisateur de sélectionner une série de widgets - les 'goojets' - pour personnaliser son interface mobile plutôt que de se servir de celle proposée par les opérateurs. Les goojets sont à la fois des services Web (comme Twitter, FlickR, YouTube...), des mini applications et des services mobiles (conference call par exemple). La nouvelle version se divise en trois onglets : MyGoojet (qui regroupe les favoris de l'utilisateur), Messages et News, la partie sur laquelle la R&D de la société a le plus planché. Cet onglet regroupe les flux RSS, les activités des contacts, les recommandations de la communauté... Le profil est par ailleurs entièrement modifiable depuis le mobile, la version accessible par le Web a été simplifiée et un système de notification par SMS avertit l'utilisateur lorsqu'il a dépassé un certain nombre de messages non lus. (...)

(04/06/2009 17:44:47)

Gartner encourage les entreprises IT à potasser l'après-crise

Les entreprises IT et les DSI devraient d'ores et déjà commencer à préparer la sortie de la crise s'ils veulent éviter de se faire doubler par la concurrence, selon Gartner. Le cabinet d'études admet qu'il est impossible de faire des projections solides sur la date à laquelle le marché renouera avec la croissance, mais il estime que lorsque ce moment arrivera, il sera trop tard pour les entreprises qui ne l'auront pas anticipé. Gartner fixe le 1er juillet comme date butoir pour parachever les préparatifs de reprise économique. Gartner explique que de nombreuses sociétés ont réduit leurs effectifs et font travailler les salariés restants à plein régime. Le jour où le marché repartira, il leur sera impossible de répondre à la demande. Le cabinet encourage également les entreprises à profiter de cette période pour revoir leurs priorités. Les DSI devraient voir leur rôle renforcé, car le système d'information n'est plus vu uniquement comme une source de coût, mais également comme un moyen de réaliser des économies. Mark Raskino, analyste chez Gartner, reste optimiste : « il est peu probable que l'économie retourne à son ancien modèle, basé sur le crédit bon marché. Les entreprises devraient se retourner massivement vers les TIC pour se restructurer face à de nouvelles réalités économiques. » La récession économique mondiale a durement frappé le secteur IT. Selon Gartner, son impact serait pire que celui de l'éclatement de la bulle Internet. Les dépenses informatiques des entreprises ne devraient pas dépasser les 3,2 Md$ cette année, contre 3,3 Md$ en 2008, soit une baisse de 3,8%, contre 2,1% en 2001. C'est le matériel qui sera le plus touché, avec une chute de 15% des dépenses en 2009, (-12% pour les PC). Les services reculeront 'seulement' de 1,7%. (...)

(04/06/2009 16:19:17)

Intel acquiert Wind River et son expertise sur les systèmes embarqués

Intel va racheter Wind River Systems pour renforcer sa position sur le marché des systèmes embarqués et des équipements mobiles. Le fabricant de processeurs débourse 884 M$ en numéraire, soit 11,50 dollars par action pour s'offrir ce compatriote californien (basé à Alameda) qui développe des systèmes d'exploitation, des solutions middleware et des outils de conception de logiciels pour différents types de plateformes embarquées. Parmi les produits ainsi récupérés figure VxWorks, système d'exploitation temps réel utilisé tout particulièrement dans les secteurs de l'automobile, de l'aéronautique et de la défense. Les calculateurs du démonstrateur européen de drone de combat nEUROn (maître d'oeuvre Dassault Aviation) exploitent par exemple le système d'exploitation VxWorks 653 de Wind River. L'éditeur a également développé une plateforme Linux. Dans ses projets se trouve en particulier un environnement Linux pour les MID (mobile Internet devices) basés sur Moblin, distribution Linux pour processeurs Atom originellement soutenue par Intel et désormais confiée aux bons soins de la Linux Foundation. L'acquisition de Wind River, approuvée à l'unanimité par le conseil d'administration de l'éditeur d'OS embarqués, devrait être finalisée dans le courant de l'été. Elle est préalablement soumise à l'approbation des autorités de régulation anticoncurrentielles. Créée en 1981, Wind River emploie 1 600 personnes dans une quinzaine de pays. La société a réalisé un chiffre d'affaires de 359,7 M$ sur son exercice fiscal 2009, clos le 31 janvier dernier. Devenue filiale d'Intel, Wind River dépendra de la division Software et Services d'Intel, dirigée par Renee James. (...)

(04/06/2009 15:52:55)

Yahoo/Microsoft : Carol Bartz poursuit le jeu du ni oui ni non

Quelques jours après avoir déclaré que Yahoo pourrait accepter une offre de Microsoft à un prix élevé, Carol Bartz, PDG de Yahoo, a affirmé le contraire hier, lors de la conférence 2009 de la Bank of America et de Merill Lynch. « Yahoo n'a rien à faire avec Microsoft, en quoi que ce soit », a-t-elle ainsi scandé aux investisseurs. Selon elle, la société qu'elle dirige a devant elle un brillant avenir, « plus sain et plus simple » si elle n'entretient pas la moindre liaison avec le géant de Redmond. Et d'enfoncer le clou : « nous nous porterions mieux si nous n'avions jamais entendu le nom de Microsoft ». Carol Bartz a étayé son propos en expliquant que les stratégies Internet de Microsoft et de Yahoo étaient radicalement différentes. Selon elle, la société de Steve Ballmer souffre d'un complexe vis-à-vis de Google et ferait n'importe quoi pour arrêter cette « machine à fabriquer de l'argent ». Résultat, Microsoft s'éparpille, délaissant son véritable métier d'éditeur et lâche même du terrain à Google sur le marché des logiciels de bureautique et de communication. Yahoo, pour sa part, garde la trajectoire qu'il s'est fixé, à savoir Internet. La PDG estime par ailleurs qu'il serait plus judicieux que ce soit Yahoo qui rachète la division Internet de Microsoft, et pas l'inverse (tout en admettant que l'opération n'obtiendrait probablement pas l'aval des autorités de régulation anticoncurrentielle). Carol Bartz a reconnu qu'un simple partenariat entre les deux sociétés serait un bon moyen de concurrencer Google et de réduire les coûts d'exploitation de 700 M$, mais qu'un tel accord n'était pas essentiel pour Yahoo et ses 20% de parts de marché sur le secteur de la recherche en ligne (contre 64% pour Google et 5% pour Microsoft). (...)

(04/06/2009 12:37:07)

NetApp pourrait griller la politesse à EMC en rachetant Data Domain

NetApp marque un point dans la bagarre qui l'oppose à EMC pour mettre la main sur les outils de déduplication de Data Domain. Le conseil d'administration de l'éditeur a accepté à l'unanimité la deuxième offre de NetApp, comme il l'avait déjà fait le 25 mai dernier. NetApp devra toutefois mettre 400 M$ de plus sur la table (soit 1,9 Md$) pour se payer Data Domain, EMC ayant décidé entre temps de surenchérir à son offre en proposant 1,8 Md$. « Les synergies entre nos deux sociétés nous permettront d'accélérer notre croissance sur le marché de la sauvegarde sur disque, d'autant plus que nous sommes deux entités distinctes », a commenté Dan Warmenhoven, PDG de NetApp. Autrement dit, les offres des deux sociétés sont complémentaires, alors que celles d'EMC et de Data Domain se chevaucheraient. Selon Gartner, la déduplication fait partie des dix technologies clés pour 2009. Selon le cabinet, environ 30% des entreprises ont déployé des outils de déduplication. Cette technologie permet d'éliminer les données redondantes lors de leur archivage et de diviser ainsi par 20, voire par 30, les besoins en bande passante et en espace de stockage. EMC et NetApp développent déjà leurs propres offres de déduplication. En novembre 2006, EMC a d'ailleurs racheté Avamar, un spécialiste du secteur, pour 165 M$. Le constructeur commercialise également deux bibliothèques à bande virtuelle, le DL3D 3000 et le DL4000, qui intègrent les logiciels de déduplication de Quantum et de FalconStor. De son côté NetApp posséde sa propre technologie de déduplication, A-SIS-duplication. Si le rachat de Data Domain se réalise, cette solution sera intégrée dans une nouvelle ligne de produits complète. Les actionnaires auront le dernier mot Pour le moment, EMC n'a pas relevé son offre. Le numéro un mondial du stockage pense que les actionnaires de Data Domain n'approuveront pas la transaction, car l'offre de NetApp mixe numéraire et titres, alors que la sienne est entièrement constituée de monnaie sonnante et trébuchante. L'opération devrait se conclure dans les 60 à 110 jours prochains, sous réserve des conditions de clôture habituelle, comme l'obtention de l'approbation des autorités réglementaires et des actionnaires. (...)

(04/06/2009 11:08:50)

Semestriels : La progression de Linux SUSE ne compense pas le déclin de Novell

Le deuxième trimestre de Novell a été sauvé par le chiffre d'affaires généré par la maintenance et les abonnements. Les ventes de licences ont chuté de près de 32% à 30,3 M$. Une chute similaire (33 %) à celle de l'activité services à 27 M$. C'est la hausse de 4,9%, à 158 M$, de la maintenance et des abonnements qui a permis à Novell de n'afficher qu'une baisse de 8,5% de son CA total. C'est au prix d'une réduction drastique de ses dépenses marketing et vente (-12%) que l'éditeur, malgré une marge brute en baisse de 3%, parvient à afficher un résultat opérationnel multiplié par dix, à 17,6 M$. Ce qui lui permet d'annoncer un bénéfice net en hausse de 169%, à 31,2 M$. L'analyse des résultats par ligne de produits montre que seule la division Open platform solutions (Linux, etc.) progresse sur un an (+17,6% à 44 M$). Plus petite division il y a douze mois, elle se hisse à la troisième place. Elle doit sa performance à la hausse de 23% du chiffre d'affaires Maintenance et abonnement, à 38,8 M$ (Linux SUSE). Elle arrive derrière la division Systems and ressource management, qui, malgré le rachat de PlateSpin en février 2008, affiche une baisse de CA de 3%, à 45,3 M$. Ces derniers mois, cette division a vu partir un nombre conséquent de cadres supérieurs originaires de PlateSpin. La division Identity et security management enregistre une baisse de son CA de 16%, à 38,8 M$. Surtout, la division Workgroup (Netware et GroupWise) voit son CA chuter de près de 17%, à 87 M$. (...)

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