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(04/06/2009 11:01:51)

Les entreprises veulent des clients virtualisés ressemblant de très près à un poste classique

Une étude sur la virtualisation des postes clients, conduite à la demande d'Intel et de Citrix auprès de quelques centaines de décideurs informatiques américains en 2007 et 2008, indique que la stratégie de ces deux fournisseurs correspond à leurs attentes. Le contraire eut été étonnant. L'enquête souligne aussi que les gestionnaires de parc attendent avant tout de ces approches un meilleur contrôle du poste client. L'enquête a le mérite d'embrasser la diversité des approches techniques désormais incluses dans la notion fourre-tout de "virtualisation des postes clients". Depuis que ce vocable est à la mode, s'y trouvent regroupés les "terminal services", les services hébergés, les flux (streaming) d'applications et de systèmes d'exploitation ainsi que la virtualisation du poste client proprement dit. C'est cette dernière approche, alors que la décevante croissance des autres est loin d'indiquer une généralisation de leur adoption, qui semble recueillir le plus de suffrages pour l'avenir. On notera, en particulier, que le streaming d'applications n'a connu que 1% de croissance entre 2007 et 2008. Les entreprises veulent des postes "virtualisés" qui auraient tous les avantages des micros, y compris la portabilité, mais sans les inconvénients. Ces contraintes d'administration et de sécurisation qui plombent les budgets des DSI. Ca tombe bien. Tant Citrix, en association avec Intel, que VMware et d'autres oeuvrent à produire des hyperviseurs de type 1 (natif) pour poste de travail. C'est sur cette brique de base que se construira ce que l'étude appelle des "client-based virtual containers". A la différence de ceux pour serveurs, les hyperviseurs de type 1 pour postes de travail doivent intégrer des fonctions complexes pour, en résumé, gérer l'interopérabilité des données entre les OS présents et supporter le partage de l'affichage avec, en sus, la contrainte d'interagir avec les couches basses des micros (interface USB, etc.) et de s'adapter à une foultitude de drivers. Ces postes de travail d'un nouveau type présenteraient l'avantage de faciliter tant la vie de leurs utilisateurs que de ceux qui les administrent. (...)

(03/06/2009 17:29:45)

La réduction des coûts chez Atos passe par le recrutement... de stagiaires

Atos Origin a présenté hier son plan Jeunes Talents 2009. La SSII prévoit d'embaucher 3 500 personnes, dont 700 en France, d'ici à la fin de l'année. Pour la moitié, Atos recherche des jeunes diplômés, y compris des personnes qui font leur entrée dans la vie active. Le plan comprend un deuxième volet, qui concerne les offres de stage. Atos en propose 800 (dont 500 en France), soit deux fois plus que l'année dernière. Elles sont accessibles aux étudiants de première et deuxième année d'école de commerce et d'ingénieur ou en licence. « Avec ces stages, nous voulons non seulement apporter une première expérience professionnelle aux jeunes, mais également les conforter dans l'idée qu'ils ont fait le bon choix en choisissant une filière informatique », justifie Jean-Marie Simon, DRH du groupe. Pour Mondher Hamida, secrétaire général du Specis Unsa (syndicat professionnel d'études, de conseil, d'ingénierie, d'informatique et de services), « il n'y a rien de nouveau dans cette annonce, Atos a toujours fait appel à de jeunes diplômés et à des stagiaires et ce pour une simple raison, bénéficier de compétences dans les nouvelles technologies (Web 2.0, J2EE, Java, .Net...) à moindre coût ». Ce qui est nouveau en revanche, selon le syndicaliste, c'est la volonté d'Atos de communiquer à ce sujet et de dynamiser des synergies auparavant éparpillées dans les différentes branches du groupe. « Le mot d'ordre est clair, il s'agit d'améliorer la marge de la société avant la fin du mois, et ce quels que soient les moyens employés, poursuit le Mondher Hamida. Syndicats comme salariés observent avec inquiétude ces mouvements qui laissent présager une grosse opération financière au courant de l'été. » De leur côté, les salariés d'Atos ne relâchent pas la mobilisation. Les organisations syndicales CFDT, CFE-CGT, CGT et Specis Unsa se sont récemment regroupées sous une même bannière, baptisée « SOS Atos ». L'intersyndicale fustige la politique de réduction des coûts entamée il y a quelques mois par la SSII. Selon elle, « la nouvelle direction voudrait faire payer [aux salariés] toute la facture : ses erreurs et la crise ». Le plan, qui s'est accéléré avec l'arrivée de Thierry Breton à la tête de la SSII en novembre dernier, prévoit un gel des salaires, une multiplication des licenciements, une gestion partiale des congés, une nouvelle annulation du plan de formation, des modifications du remboursement des frais de déplacement ainsi que le regroupement de plusieurs sites parisiens au sein d'une même entité. Mondher Hamida dénonce au passage certaines pratiques d'Atos, qui n'hésiterait pas à placer des ingénieurs en inter-contrat « un peu n'importe où, comme des pions, quitte à faire office de livreurs de matériel dans les mairies. » Pour manifester leur mécontentement, les salariés d'Atos ont organisé une première journée de manifestation le 26 mai dernier. Selon les syndicats, à moyen terme, c'est la désertification pure et simple qui menace Atos. (...)

(03/06/2009 17:09:26)

Entretien avec Guy Forget : l'IT au service des champions

LeMondeInformatique.fr s'est rendu à Roland Garros, à l'occasion des Internationaux de France, pour vous faire découvrir les outils IT mis en place Porte d'Auteuil. Avant un reportage consacré aux coulisses technologiques du tournoi, nous vous proposons de retrouver, en vidéo, un entretien exclusif avec Guy Forget. Le capitaine de l'équipe de France de Coupe Davis présente les outils IT mis à disposition des tennismen pour disséquer leurs performances. Concrètement, les joueurs reçoivent, seulement quelques minutes après la fin d'une rencontre, un DVD recensant l'ensemble des points disputés. « Au lieu de faire 'rewind' avec un magnétoscope, on clique sur le point qu'on désire et il s'affiche à l'écran », explique ainsi Guy Forget. Mise au point par IBM, cette technologie permet aux champions et à leurs entraîneurs d'accéder à de nombreuses données statistiques : points gagnés sur secondes balles, vitesse des services selon l'angle choisi, nombre de fautes non provoquées en coup droit, scenario des balles de break, etc. Retrouvez notre entretien avec Guy Forget dans la rubrique vidéo. (...)

(03/06/2009 16:16:18)

Les Français réclament l'entrée des TIC dans la santé

Selon une étude menée par TNS Sofres pour le Conseil national de l'ordre des médecins, 91% des Français sont favorables à l'utilisation des nouvelles technologies dans le secteur de la santé. Etonnamment, les médecins manifestent un enthousiasme plus mesuré. Ils sont 68% à estimer que la mise en place du dossier médical informatisé leur sera réellement utile dans l'exercice de leur métier, et 62% à juger pertinent le déploiement d'une messagerie professionnelle sécurisée. Parmi les avantages du développement des TIC dans la santé, les médecins citent en priorité l'amélioration de la coopération entre professionnels (48%), la centralisation des informations médicales des patients et l'accélération des échanges entre médecins (38%). C'est essentiellement la transparence qui motive les attentes des patients dans l'Hexagone. Ils souhaitent pouvoir consulter les informations échangées entre médecins à leur sujet (75%) et savoir qui a eu accès à leur dossier médical (78%). En ce qui concerne la carte vitale, la confiance est de rigueur puisque 85% des personnes interrogées ne voient pas d'inconvénient à ce qu'elle donne accès à l'ensemble de leurs informations médicales. Les 15% restants n'y sont pas formellement opposés mais préfèrent donner leur accord au préalable. S'ils plébiscitent l'entrée des TIC dans la santé, les Français devront néanmoins faire preuve de patience. Le chantier du dossier médical personnel a pris beaucoup de retard , comme l'a souligné la Cour des comptes en février dernier, dénonçant l'immobilité des groupements d'intérêt public (GIP) créés en 2005 pour mettre en oeuvre le DMP. Depuis, le gouvernement a décidé de fusionner les trois principaux GIP au sein d'une même entité, l'Asip (Agence des systèmes d'information partagés de santé), dirigée par Michel Gagneux et chargée de redynamiser le DMP. « Cette consolidation permettra d'améliorer le pilotage du projet qui, jusqu'à présent, était éparpillé entre diverses institutions qui, au mieux, ne communiquaient pas, et au pire entraient légèrement en concurrence », explique Yannick Motel, délégué général du Lesiss, un groupement d'industriels des systèmes d'information sanitaires et sociaux. Il souligne également « la logique de concertation de l'Asip, qui tient compte des avis de tous les acteurs : patients, praticiens et industriels. » (...)

(03/06/2009 16:00:13)

LeMondeInformatique.fr en (quasi) direct du Forrester IT Forum de Berlin

Si le site de France 2 permet de suivre en direct les matches disputés à Roland Garros, LeMondeInformatique.fr fait plus fort en vous proposant de vivre, presque comme si vous y étiez, le Forrester IT Forum qui se tient cette semaine à Berlin. Pour cela, il suffit de vous rendre sur le blog d'Olivier Rafal, qui assiste aux conférences et rapporte, dans ses différents billets, l'essentiel des propos des analystes, réunis pour réfléchir à la question de la création de valeur. Notre envoyé spécial décrit notamment la 'keynote' de Bobby Cameron, le 'principal analyst' de Forrester, qui a rappelé l'importance de faire connaître au reste de l'entreprise la valeur de l'IT. Retrouvez le Forrester IT Forum sur le blog d'Olivier Rafal. (...)

(03/06/2009 12:29:48)

Le marché de l'infogérance épargné par la crise, pas par la guerre des prix

Avec 5% de croissance en 2008 par rapport à 2007, le marché français de l'infogérance a atteint 6,6 milliards d'euros. En 2007, il se montait à 5,6 milliards d'euros, en croissance de 5,9%. Ce marché affiche donc une progression légèrement supérieure à celle du marché des logiciels et services. « Le marché français de l'infogérance s'inscrit toujours dans une dynamique, mais loin de ce qu'on a connu et cette dynamique est écrasée par l'effet prix », observe Elisabeth de Maulde, présidente de Pierre Audoin Consultants. Effectivement, la crise n'atteint pas directement le marché de l'infogérance. Il subit un impact déjà observé les années précédente, celui de la guerre des prix. Un impact sensible surtout dans l'infogérance d'infrastructures. Une autre tendance forte apparaît, qui durcit également le marché : le changement d'attitude des clients. Ils renouvellent les contrats mais le plus souvent avec le même prestataire. Ce qui a un effet positif en pérennisant ce prestataire, mais au moins deux conséquences plus négatives en durcissant les conditions tarifaires et en bloquant la concurrence. Le périmètre de l'infogérance s'élargit Les clients élargissent de plus en plus volontiers le périmètre d'infrastructures ou d'applications infogérées. En 2008, l'offshore d'infrastructures (avec les serveurs restant en France mais la téléadministration à l'étranger), ou bien le help desk à distance se sont développés. C'est du "business" en plus. Parallèlement, de plus en plus d'entreprises y compris dans le midmarket songent à infogérer. Toutefois, les contrats mettent de plus en plus de temps à être signés. Effets positifs et effets négatifs se mélangent donc en permanence sur ce marché. Les acteurs de l'infogérance sont logiquement peu affectés par les changements d'un marché très stable. A deux exceptions près. Le rachat de EDS par HP fait passer cet ensemble à la troisième place au détriment de Cap. IBM et Atos restent, dans cet ordre, aux deux premières places. Autre observation, Orange fait une percée grâce à son réseau, ses capacités d'hébergement et le poids du groupe France Télécom en France. (...)

(03/06/2009 12:21:54)

Windows Seven arrive le 22 octobre

Après un long silence de Microsoft, propice à moult rumeurs, l'éditeur lève enfin le voile sur la date de lancement du tant attendu Windows Seven. C'est le 22 octobre prochain, comme l'avait annoncé Acer le mois dernier, que sera commercialisé le système d'exploitation sur lequel compte le géant de Redmond pour refermer l'amer chapitre Vista. Microsoft manquera donc la période de rentrée des classes mais sera largement dans les temps pour inonder le marché de son nouvel OS pour les fêtes de fin d'année. En annonçant cette date, Microsoft rompt avec les cycles d'un nouvel OS tous les trois ans qu'il présentait pourtant comme immuable lorsque, au cours des derniers mois, lui était posée la question de la date de sortie de Seven. Entre Vista et Seven, il ne se sera finalement écoulé que deux ans et demi. Pour accompagner son nouvel OS, l'éditeur s'appuiera sur un programme de mises à jour offertes aux acquéreurs d'un PC vendu avec Vista dans les mois précédents la commercialisation de Seven. Baptisée 'Windows Upgrade Option', cette démarche n'est guère une surprise : Microsoft avait proposé une initiative similaire avant le lancement de Vista (Vista Express Upgrade), et des blogs bien informés avaient révélé, dès le début d'année, qu'un tel programme serait réintroduit pour Seven. Si l'éditeur n'a pas encore communiqué la date à partir de laquelle les consommateurs pourront trouver des machines ouvrant droit à cette mise à jour, cela devrait être rendu possible dès le 1er juillet. La gratuité de la mise à jour n'est cependant pas certaine. Elle dépendra en réalité des OEM qui pourront, comme ils en avaient le droit pour le passage de XP à Vista, en fixer le prix. Ces partenaires devraient, selon le blog consacré à Seven par Microsoft, recevoir des copies de l'OS dans le courant de l'été, la version RTM (Release to manufaturing) étant prévu après la mi-juillet. Reste une inconnue dans l'équation Seven : son prix. Microsoft n'a encore communiqué aucune information à ce sujet et seul Dell a contribué à alimenter cette thématique. Selon le constructeur texan, le prix moyen des licences sera plus élevé qu'il ne l'était pour Vista, ce qui pourrait obérer les ventes, ou à tout le moins retarder l'adoption du nouveau système d'exploitation. (...)

(03/06/2009 10:44:13)

SAP France met en place un programme de benchmarking

SAP France attend 3 000 personnes sur deux jours (2-3 juin) à la Porte de Versailles pour son World Tour 2009, organisé trois semaines après sa conférence utilisateurs mondiale d'Orlando. Pour les clients français, c'est l'occasion notamment d'en savoir plus sur l'offre décisionnelle SAP Business Objects Explorer Accelerated dévoilée par l'éditeur sur Sapphire. En ouverture de la conférence, Pascal Rialland, directeur général de SAP France, a annoncé l'arrivée d'un programme gratuit de benchmarking qui permettra aux entreprises françaises de comparer leurs processus métiers à ceux des autres clients SAP de même taille ou évoluant dans le même secteur d'activité. Ce programme passe en revue 28 processus-clé. Il a été lancé il y a un an aux Etats-Unis et 4 000 entreprises américaines y ont déjà contribué. « Nous travaillons à sa mise en place en France avec l'USF [club des utilisateurs de SAP francophones] », a précisé Pascal Rialland.

Entre démonstrations d'applications et témoignages clients, SAP a programmé quelque 150 présentations dans le Hall 1 de la Porte de Versailles. Celles-ci sont réparties entre sept espaces suivant que les thématiques abordées s'adressent aux directions informatiques, aux directions financières, aux acteurs de la banque/assurance, au secteur public et au monde de la santé, aux autres secteurs industriels ou aux PME. Le dernier espace est consacré aux plus récentes évolutions de l'offre SAP : la Business Suite 7 qui unifie l'ERP avec les autres applications -en particulier avec la gestion de la relation client (CRM) et la gestion de la relation fournisseur (SRM), l'offre de maintenance Enterprise Support qui prévaut désormais et la solution décisionnelle Explorer Accelerated. Cette dernière sera d'abord livrée pour les utilisateurs de l'entrepôt de données SAP BW. Elle sortira plus tard pour les applications non SAP. Le nouveau produit associe l'interface de recherche intuitive de BO, jusque-là connue sous le nom de Polestar, et le logiciel SAP Netweaver BW Accelerator, qui exploite la technologie d'analyse en mémoire TREX de SAP et s'appuie sur une partie matérielle pour parcourir et indexer les données de BW. Elle a été conçue pour avoir la capacité d'explorer plusieurs téraoctets de données et délivrer une réponse en moins d'une seconde. Pour la partie matérielle, livrée sous forme de serveurs lames, SAP s'appuie sur des partenaires (HP, IBM, Sun et Siemens). Avec l'interface d'Explorer, l'affichage de la réponse livre aussi d'autres informations associées aux éléments de la requête, qui peuvent fournir un éclairage complémentaire pour prendre une décision.

En dépit des importants remous générés depuis un an par l'augmentation du tarif de la maintenance, la session qui a été consacrée hier aux services apportés par Enterprise Support n'a guère attiré les participants du SAP World Tour. Dans la grande salle plénière, une trentaine de personnes seulement y ont assisté, tandis qu'au même moment, à la mi-journée, les espaces thématiques faisaient le plein : une soixantaine de personnes sur le village Direction financière, par exemple, où l'on expliquait comment réduire les cycles de clôture, et une cinquantaine sur le village Direction informatique, où l'exposé portait sur l'industrialisation des tests logiciels.

Les limites des critères de performance

Plus tôt dans la matinée, en ouverture de la conférence, SAP avait convié des orateurs plus inhabituels. Les analyses de l'économiste Daniel Cohen et du philosophe et ancien ministre de l'Education nationale Luc Ferry ont montré les limites des critères de performances imposés aux entreprises. Le premier a rappelé les risques de la sous-traitance à outrance. « Quand on externalise tout, on n'a plus aucun contrôle de ce qu'on met sur le marché », a-t-il notamment argumenté au fil de son exposé. « L'immatériel pur ne peut pas se substituer à la chaîne de valeur traditionnelle de l'entreprise. Le curseur va revenir, on va sans doute réinternaliser un certain nombre de risques pour s'assurer de la qualité de cette chaîne de valeur. » Quant à Luc Ferry, il a rappelé que nous avancions à toute vitesse mais sans savoir où ni pourquoi. Poussées par la concurrence, « il faut que les entreprises tournent, sinon elles tomberont. Mais cela ne constitue pas un projet. Le monde nous échappe de toute part, mais comment reprendre la main et à quel niveau ? », interroge le politique, en précisant que ce ne peut certainement pas être au seul niveau national.

En proposant à ses utilisateurs une vision élargie par rapport aux problématiques de gestion qui les ont attirés sur cette conférence, SAP rappelle aussi sa nouvelle ligne. Depuis quelques semaines, l'éditeur met l'accent sur ses solutions de développement durable appliquées à la gestion des risques sanitaires et de l'environnement, ainsi que sur son propre engagement dans cette voie. A l'occasion de Sapphire Orlando, il a publié son rapport de développement durable pour l'année 2008. Il vient également de racheter l'éditeur Clear Standards qui a développé une solution en ligne de calcul des émissions de gaz à effet de serre. (...)

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