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(26/02/2009 12:27:23)

Steve Ballmer espère toujours un accord avec Yahoo

Steve Ballmer a, une nouvelle fois, exprimé son intérêt pour un rapprochement entre Microsoft, le groupe qu'il préside, et Yahoo. A l'occasion d'une conférence devant les analystes de Wall Street, le 24 février, le patron de l'éditeur est ainsi revenu à la charge, soulignant que les vaines tentatives de rachat qui ont rythmé 2008 n'ont pas découragé Microsoft. Le PDG n'entend pas rester le témoin impuissant du faible succès rencontré par son groupe sur le terrain de la recherche en ligne. Face à la crise, Steve Ballmer juge nécessaire de poursuivre les investissements, seul moyen d'en sortir plus fort. Cette stratégie passe par un rapprochement entre les deux rivaux du géant Google, qui doivent s'allier pour « créer davantage de concurrence » à ce dernier. Selon Steve Ballmer, échaudé par la tentative ratée de rachat malgré une offre de 47,5 Md$ formulée il y a un an, l'acquisition de l'intégralité des actifs de Yahoo ne serait plus à l'ordre du jour. Au contraire, il semble pencher pour un accord commercial autour des technologies de recherche, un sujet sur lequel il aimerait avoir « une conversation raisonnable avec la direction de Yahoo, mise en place depuis l'arrivée de Carol Bartz ». Cette dernière, nommée le mois dernier, a remplacé Jerry Yang, le PDG qui avait refusé mordicus toute idée de rapprochement entre les deux acteurs. Steve Ballmer ne veut pas être le nouveau Jerry Yang Steve Ballmer a d'ailleurs réservé un mot aimable à l'ex patron de Yahoo : « Je ne veux pas être le Jerry Yang de ce marché », a-t-il indiqué, en référence aux investissements infructueux et aux décisions stratégiques contestées par de nombreux actionnaires du cofondateur de Yahoo. « Toute cette histoire m'a permis de comprendre à quel point les actionnaires pouvaient être frustrés lorsque les dirigeants négligent les performances. » Le changement de direction chez Yahoo marquerait-il une évolution des mentalités ? Les déclarations de Blake Jorgensen, directeur financier du portail depuis mai 2007, semblent aller dans ce sens. Rebondissant sur les propos tenus par Steve Ballmer, mais sans citer nommément Microsoft, il a indiqué que Yahoo n'était « pas opposé à un accord qui maximiserait la valeur de l'activité, que ce soit par un partenariat ou une vente ». L'opposition de principe ne serait donc plus de mise au sein du portail. Cité par l'AFP, Blake Jorgensen a avancé une explication à cette évolution des comportements en évoquant le pragmatisme de Carol Bartz - qu'on pourrait alors opposer au dogmatisme de son prédécesseur : « C'est quelqu'un de très décidé, qui agit sur l'instinct [...]. Elle ne supporte pas les idiots ». (...)

(25/02/2009 17:05:43)

Steve Ballmer promet une version finale de Windows Azure avant fin 2009

L'offre de 'cloud computing' de Microsoft devrait sortir dans une version finalisée au moment de la prochaine conférence développeurs, la PDC de novembre prochain. Azure, nom de ce Windows dans les nuages et des services associés, avait justement été dévoilé lors de la PDC 2008 de Los Angeles. Dans un entretien avec des analystes financiers sur les perspectives futures, le PDG de Microsoft Steve Ballmer a affirmé que l'éditeur sera en mesure de commercialiser cette nouvelle offre avant la fin de l'année. Toutefois, aucun détail n'a été donné pour l'heure sur la tarification. Microsoft a juste laissé entendre qu'il respecterait le principe de la tarification à l'usage, mais que les clients acceptant de payer à l'avance pourraient bénéficier de réductions de tarifs. (...)

(25/02/2009 17:03:32)

Annuels Logica : Des revenus 2008 légèrement supérieurs aux prévisions

La SSII Logica a clos son année fiscale 2008 sur des revenus légèrement supérieurs à ses prévisions. Le groupe anglo-néerlandais a publié un chiffre d'affaires de 3,588 Md£, en progression de 5% à périmètre courant. Ses dirigeants tablaient sur des revenus globaux en hausse de 4% sur l'exercice 2008. En revanche, le bénéfice net avant impôt s'est établi à 44 M£, et recule ainsi de près de 50% par rapport aux 84 M£ dégagés l'année précédente. Le résultat d'exploitation a, quant à lui, baissé de 22% par rapport à 2007, pour atteindre 86 M£. En France, l'activité est restée soutenue en 2008 et représente 20% de l'activité globale de la SSII : sur cette période, le chiffre d'affaires réalisé dans l'Hexagone a progressé de 5%, à 721 M£. Le résultat opérationnel ajusté atteint 55 M£, suite à une marge opérationnelle en progression de 7,6 % (contre 6,9 % en 2007). Une performance due, selon la SSII, à une amélioration de sa productivité et à une politique basée sur la réduction des coûts dans ses différentes divisions et au sein de ses fonctions centrales. Logica a également réussi à améliorer la structure de ses coûts en freinant ses recrutements onshore, c'est à dire en France. A l'inverse, la SSII a gonflé ses équipes de support offshore pour ses clients français au Maroc (29 clients, 33 projets en 2008) et en Inde. Au cours du second semestre, la SSII a réussi à progresser malgré le contexte économique incertain : en France, les revenus des secteurs de l'industrie, de la distribution et des transports ont pu progresser de 8% en 2008, pour s'élever à 281 M£. Toujours dans l'Hexagone, Logica a également affiché une hausse de ses activités d'outsourcing (+32%, CA à 232 M£), dopées par des contrats significatifs avec Michelin ainsi qu'avec plusieurs acteurs du secteur bancaire et public. (...)

(25/02/2009 16:50:41)

Chute de 14% du marché des serveurs au 4e trimestre 2008

Si, en 2008, les ventes de serveurs ont progressé en volume, elles ont néanmoins reculé en valeur. Une évolution qui s'illustre dans un quatrième trimestre noir, marqué par une baisse du nombre d'unités vendues et du chiffre d'affaires enregistré par les constructeurs. Au quatrième trimestre, le marché des serveurs a ainsi baissé de 14% en valeur, à 13,5 Md$, selon IDC, tandis que le volume des livraisons baissait de 12%. Faisant suite à un troisième trimestre, lui aussi, en baisse (-5,2% en valeur à 12,6 Md$, -2,8% en volume), il clôt une année 2008 en baisse de 3,3% en valeur à 53,3 Md$, et en légère hausse sur les volumes, +2%, avec 8,1 millions d'unités livrées. IDC voit la baisse continuer en 2009. La reprise ne pointera son nez, au mieux, qu'en fin d'année. 2009 sera consacrée aux projets avec un fort retour sur investissement et un abaissement des coûts d'exploitation tels que ceux sur la virtualisation et la consolidation. Les serveurs x64 particulièrement affectés Au quatrième trimestre, pour la première fois depuis 2002 (explosion de la bulle Internet), les trois segments du marché des serveurs ont essuyé une baisse en valeur. La plus forte, -16,8%, revient au créneau des serveurs d'entrée de gamme (moins de 25 000$). Le milieu de gamme (entre 25 000$ et 250 000$) baisse de 14,5%, et le haut de gamme (plus de 250 000$) perd 7,5%. Ces chiffres, fondés sur la valeur des systèmes, ne recouvrent pas exactement les segments de marché par architecture et par système d'exploitation. Les ventes de systèmes x64 décrochent le triste record de la plus forte baisse tant en valeur (-17% à 6,5 Md$) qu'en volume (-11,7% à 1,8 million d'unités). HP et Dell continuent d'occuper les deux premières places. Sun se fait remarquer avec une hausse de plus de 21% de ses ventes x64 mais, partant de presque rien, il n'atteint que 2,8% de part de marché. Pour les systèmes x64, l'année s'achève sur un CA en baisse de 5,3%, à 27,8 Md$, malgré une légère hausse des livraisons (+2,8% à 7,7 millions d'unités). Bonne santé des serveurs lames A contre-courant de l'ensemble du marché, la demande toujours en hausse au quatrième trimestre pour les serveurs lames n'aura eu aucun effet sur l'économie générale, y compris sur les serveurs X64 qui absorbent pourtant 85% des livraisons de lames. Avec une hausse de 8,8% des livraisons, le CA de ce type de serveurs progresse de 16,1% au quatrième trimestre, à 1,4 Md$, ce qui représente 10,4% du marché total et 18,5% de celui des serveurs x64. Ce dynamisme profite surtout à HP, qui s'octroie 54,8% des ventes, et un peu à IBM, numéro deux avec 21,7% des ventes. Leurs challengers, Dell, Sun et Fujitsu, connaissent tous des croissances supérieures à 60%, mais en sont encore à jouer les figurants. Sur l'ensemble de l'année, les ventes de serveurs lames ont progressé de 33,3%, à 5,4 Md$, soit près de 20% des ventes de serveurs x64. Conséquence du tassement des ventes de serveurs x86, les machines sous Windows Server voient leur CA baisser de 17,8%, à 4,8Md$ (35,3% du marché), et leurs livraisons de 10%. Seulement en baisse de 7%, à 1,8Md$, les ventes de serveurs sous Linux gagnent 1% de part de marché, à 13,3%. Quant aux serveurs sous Unix (hors Linux), ils n'enregistrent qu'une baisse de 6,2%, à 4,9 Md$. Du coup, leur part de marché progresse de 3 points, à 36,2%. (...)

(25/02/2009 16:20:53)

Improve se transforme en éditeur de son socle technique de développement

La mue est presque achevée. Improve, dont le nom était synonyme en l'an 2000 d'une société de services spécialisée dans les technologies Java et Internet, devient de plus en plus un éditeur - d'une sorte un peu particulière. Après des soucis financiers en 2003, l'entreprise est de nouveau sur les rails, et affiche pour son année fiscale 2,837 M€ de chiffre d'affaires pour un effectif de 25 personnes, et un résultat net de 148 K€ - ou, « pour être plus juste, précise son PDG Pierre Dubéry, de 53 K€ avant crédit impôt recherche ». Surtout, l'offre Improve Foundations est devenue mature. Initié notamment par Didier Girard (aujourd'hui chez Sfeir), Stève Sfartz (aujourd'hui chez Microsoft) et David Duquesne (qui continue de porter l'offre), ce socle de développement est désormais appuyé par Atos Origin, et des discussions sont en cours avec Bull et Capgemini. Plus de 60 logiciels et outils Open Source intégrés dans le framework Improve Foundations est né de la volonté de fournir aux développeurs un framework prenant en compte toute la partie technique, en s'appuyant principalement sur des outils Open Source existants - plus de 60 logiciels sont ainsi intégrés. Grâce au socle, le développeur n'a pas besoin d'être un champion de J2EE ou de la persistance de données, et il peut se concentrer sur le code métier. Les premières tentatives de commercialiser la solution n'ont guère été couronnées de succès. Mais le socle est désormais proposé sous forme de souscription, et les entreprises commencent à adhérer au principe, explique David Duquesne : « Elles reconnaissent que l'Open Source est quelque chose de génial, mais qui demande beaucoup de temps, en veille technologique et en compréhension. En outre, cela pose des problèmes d'efficacité des développeurs du client, avec les cobolistes, les débutants ou encore les développeurs en offshore... » Autre bénéfice d'un tel socle : cela permet d'harmoniser les développements entre plusieurs prestataires. La garantie d'un support de 5 ans sur la pénultième version Des clients comme les Galeries Lafayette, Renault, le Régime social des indépendants ou encore Monoprix (qui avait commencé à se constituer son propre socle), sont aujourd'hui convaincus. Lorsqu'elle adhère à la communauté, une entreprise bénéficie du socle technique constitué par Improve ainsi que de son code source, « mais aussi d'une équipe à plein temps pour le gérer », insiste David Duquesne. Et comme tout éditeur proposant de l'Open Source, Improve fournit l'assurance d'un support pérenne : la SSII s'engage sur 5 ans pour la version n-1 de son socle. A terme, les activités de prestation, « qui représentaient il y a 6 ou 7 ans 90% du chiffre d'affaires », note Pierre Dubéry, devraient complètement disparaître - sauf s'il s'agit d'assurer le support de socles techniques. L'édition d'Improve Foundations devient prioritaire. A tel point que Pierre Dubéry entend séparer les deux activités d'Improve, pour leur donner plus d'autonomie. En 2010, il y aura donc d'un côté l'édition de progiciels pour le secteur de la santé (qui constitue aujourd'hui 45% du chiffre d'affaires), et de l'autre l'animation de la communauté Improve Foundations. (...)

(25/02/2009 16:07:27)

Un datacenter à la sauce netbook bientôt chez Microsoft

Lors de l'une de ses réunions bisannuelles avec les analystes de Wall Street, Steve Ballmer, le PDG de Microsoft, a annoncé que sa société prévoyait le développement d'une déclinaison de Windows Server spécialement dédiée aux serveurs équipés de processeurs pour netbooks. Celle-ci, baptisée Windows Server Foundation Edition, devrait être disponible d'ici un mois ou deux. Dans le même temps, lors de la TechFest à Redmond, Jim Larus, directeur de l'architecture logicielle des futures salles serveurs, une division de Microsoft Research, a présenté un prototype de datacenter fonctionnant avec des processeurs pour netbooks. Ces processeurs dispensent une puissance équivalente à environ un tiers de celle des processeurs couramment installés dans les serveurs, alors qu'ils ne requièrent qu'entre un dixième et un cinquième de la consommation électrique des puces traditionnelles. Une aubaine, mais construire un datacenter entier nécessiterait tout de même de multiplier le nombre de puces ; le gain n'est donc pas évident. Mais Jim Larus en est persuadé, même en multipliant par trois le nombre de processeurs nécessaires dans une salle de serveurs, l'utilisation de ces puces réduirait de façon significative la consommation électrique totale. Et ce, d'autant plus facilement qu'avec une dissipation thermique moindre, ces processeurs ne génèrent pas de gros besoins en matière de climatisation. Les outils d'économie d'énergie des netbooks exploités par les serveurs ? Lors de sa démonstration, Jim Larus a utilisé un châssis traditionnel équipé avec 50 processeurs bicoeurs branchés directement sur une prise d'électricité standard et sans gros ventilateurs associés. Et pour aller plus loin dans l'économie d'énergie, il a démontré comment les capacités de mise en veille développées par ces puces pour préserver la batterie des portables peuvent servir dans un serveur en fonction de la charge de travail. Pour autant, les serveurs à bas coût ainsi conçus ne sont pas immédiatement utilisables. Les processeurs ayant été pris tels quels, les cartes leur servant de support intègrent des extensions inutiles dans un serveur (comme des sorties vidéo) et occupant plus de place que ce qui est habituellement souhaitable. Plus gênant, ces puces ne sont pas aussi rapides que les processeurs habituellement installés dans les serveurs. Certaines tâches risquent donc de ne pas pouvoir être effectuées sur ces serveurs « low cost ». Nombre d'améliorations et de tests sont donc encore nécessaires. (...)

(25/02/2009 15:10:11)

Le Saas a séduit 61% des entreprises, selon Markess

Le cabinet Markess International s'était intéressé une première fois au SaaS (Software As A Service) en 2006 et il vient de réaliser une nouvelle étude sur le sujet. Entre les deux éditions, le progrès du SaaS est indéniable, même si la généralisation n'est pas encore pour demain. Ainsi, aujourd'hui, 61% des répondants déclarent utiliser des solutions de type SaaS, 23% savent qu'ils ne le font pas et 16% ignorent si ce mode est utilisé effectivement dans leur entreprise. Mais il y a une grande différence entre les profils d'adoptants : les organisations recourant au SaaS sont soit petites (moins de 99 employés), soit grandes (plus de 2000 employés) ; les structures moyennes sont sous-utilisatrices. En moyenne, il y a environ 2,5 applications en mode SaaS dans les organisations interrogées. De 2006 à 2009, le marché du SaaS a crû de 18%, passant de 1,5 à 1,75 Md€. Une nouvelle croissance de 10% est attendue d'ici à 2010. Le secteur public est particulier dans son approche puisque son usage majeur concerne les plateformes de marchés publics dématérialisés. Au delà, le principal usage du modèle SaaS est dans la communication d'entreprise (messagerie, agenda partagé, conférence web, gestion de projets...) pour 38% des répondants, avec une croissance attendue de 12% d'ici à 2010. Les créneaux les plus dynamiques demeurent cependant la GRH (e-paye, e-recrutement...), avec 31% d'utilisateurs et 18% de croissance attendue, et la gestion des relations clients (21% d'utilisateurs et +22% de croissance attendue). Pendant la crise, des croissances à deux chiffres Les logiciels et services employés appartiennent à plusieurs catégories majeures avec, au premier chef, le stockage et la sauvegarde (18% d'utilisateurs, +10%) suivis des services 2.0 (réseau social, blog, wiki... 17% d'utilisateurs, +13%) et de la sécurité (16% d'utilisateurs, +6%). En revanche, le PGI, progiciel de gestion intégré, semble rester trop complexe à mettre en oeuvre de cette façon. Même si le SaaS est par définition en dehors de l'entreprise, le DSI est cependant dans les deux tiers des cas la source de validation technique de la solution et une aide au choix des produits proposés. Les deux tiers des répondants estiment en outre qu'une part croissante de leur budget sera consacrée au SaaS contre 7% qui pensent que le budget va baisser. Dans ce dernier cas, selon Markess International, le SaaS n'est pas réellement réduit mais peut rester à périmètre constant avec une négociation tarifaire ou bien subir les réductions de personnels et donc de nombre d'utilisateurs, base essentielle du coût du SaaS. Parmi les avantages, une amélioration de la productivité et de la collaboration Si, pour la plupart des répondants, le retour sur investissement rapide, la facilité d'accès et la possibilité de développer le travail nomade ou multi-sites sont des motivations à basculer en mode SaaS, ceux ayant déjà opté pour au moins un applicatif SaaS ajoutent l'amélioration de la productivité et du partage collaboratif. Les utilisateurs sont plutôt séduits par l'absence d'investissement initial en licences et dans la possibilité de pouvoir déployer aisément de nombreux produits, même quand les ressources informatiques internes sont limitées. A l'inverse, le principal frein pour l'adoption du SaaS reste la double crainte de la confidentialité et de la disponibilité en tous temps des données et applications. Une autre difficulté tient à la bonne compréhension et même à la connaissance des offres présentes sur le marché, signe qu'il manque des consultants spécialisés sur le créneau. Le prestataire prioritairement contacté lorsqu'une organisation cherche une offre de type SaaS reste en premier lieu un éditeur classique ayant développé une offre de ce type (38% des répondants) et en second lieu des 'pure players' comme Salesforce.com (30%). Enfin, c'est généralement à l'occasion d'une migration applicative que le modèle SaaS est envisagé. (...)

(25/02/2009 14:45:20)

Microsoft fait des erreurs de calcul sur les primes de départ de salariés licenciés

La DRH du siège de Microsoft semble avoir eu quelques difficultés à calculer le montant exact des indemnités versées aux salariés licenciés. La semaine dernière, 25 collaborateurs concernés par les suppressions de postes annoncées fin janvier par l'éditeur ont en effet touché des excédents sur leur prime de départ. Certains ont perçu entre 4 000 et 5 000 dollars de trop au titre de leurs indemnités. Mais si pour quelques uns, le trop perçu a dépassé les 5 000 dollars, à l'inverse, une vingtaine d'autres ont eu la mauvaise surprise de toucher un chèque inférieur au montant qu'ils auraient dû percevoir. Un chèque pour une vingtaine de salariés sous-dédommagés Après s'être aperçue de ces erreurs, Lisa Brummel, vice-présidente des ressource humaines du groupe, avait d'abord demandé aux salariés concernés par ces excédents de lui retourner le trop-perçu. Puis elle a subitement décidé de faire volte-face, estimant que les remboursements demandés n'avait pas de sens, au vu d'une situation qualifiée « d'unique et d'exceptionnelle ». Entre temps l'affaire avait été largement relayée sur le Web. La vice-présidente s'est donc excusée par courrier auprès des salariés sur-dédommagés, et leur a précisé qu'ils pouvaient quitter l'entreprise sans avoir à reverser d'excédents Les 20 personnes qui ont perdu leur emploi en recevant moins que ce qu'ils devaient avoir ont également été identifiées et ont reçu une lettre et un chèque de dédommagement. (...)

(25/02/2009 12:42:43)

Antitrust : Google aux côtés d'Opera et de Mozilla contre Internet Explorer

Après Opera et Mozilla, c'est au tour de Google de prendre part à l'enquête antitrust ouverte par la Commission européenne contre Microsoft. Le dossier, ouvert à la suite d'une plainte d'Opera, concerne l'inclusion d'Internet Explorer dans Windows. Une vente liée qui serait de nature à nuire à la concurrence sur le marché des navigateurs Internet. Comme Mozilla l'a fait au début du mois de février, Google vient de demander à Bruxelles l'autorisation de participer à la procédure lancée contre Microsoft. La Commission ayant répondu favorablement à la requête de l'éditeur de Firefox, il paraît probable qu'elle accède également à celle de Google, lui aussi présent sur le marché des navigateurs avec Chrome. Si Google recevait l'aval de Bruxelles, il n'hériterait cependant pas d'un rôle de plaignant - seul Opera possède ce statut - mais simplement de tiers impliqué dans l'affaire considérée et susceptible d'apporter son expertise. Google se pose sans vergogne en champion de la lutte contre les quasi-monopoles Dans un billet publié sur son blog officiel, le géant de la recherche en ligne explique que l'expérience accumulée depuis le lancement de Chrome est un élément susceptible d'épauler la Commission dans son évaluation des solutions à apporter aux conséquences néfastes de l'inclusion d'IE dans Windows. Le billet de blog reprend les arguments développés par Mozilla et Opera, et dont Bruxelles s'est fait l'écho : Microsoft profiterait de sa situation de quasi-monopole dans le secteur des systèmes d'exploitation pour imposer son propre navigateur. Cette ventée liée serait de nature à nuire à la concurrence, à l'innovation et à réduire les choix des consommateurs. Et Google - lui-même en situation de quasi-monopole sur son marché - de citer l'exemple de la mobilité, un domaine dans lequel « Microsoft ne peut lier Internet Explorer à un OS dominant et où, par conséquent, son navigateur est moins utilisé ». Si, à l'issue de la procédure menée par l'UE, les accusations portées à l'encontre de Microsoft étaient confirmées, l'éditeur de Redmond pourrait se voir contraint d'incorporer des navigateurs alternatifs à Internet Explorer dans Windows. Fin janvier, Microsoft avait communiqué un document à la SEC - le gendarme des bourses américaines - dans lequel il expliquait qu'il encourait une forte amende ainsi que l'obligation de distribuer des produits concurrents. (...)

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