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(12/02/2009 18:13:59)

Annuels Capgemini : chiffre d'affaires étal par rapport à 2007

La SSII française Capgemini a réalisé en 2008 un chiffre d'affaires de 8,71 Md€, sensiblement égal à celui de son exercice 2007 (8,7 Md€) à taux de change et périmètre courants. Mais le groupe souligne qu'à taux de change et périmètres constants, son chiffre d'affaires a progressé de 5%. Le résultat net enregistre une hausse de 2,5% à 451 M€ par rapport à l'an dernier et la marge opérationnelle augmente de 1,1 point, pour s'établir cette année à 8,5% du chiffre d'affaires. Le groupe indique que cette marge a progressé dans chacun de ses quatre métiers. Elle s'élève à 12,9% dans les services de proximité, à 5,4% dans l'infogérance, à 12,8% dans son activité de conseil (contre 10,5% l'an dernier) et à 10,2% dans son activité intégration de systèmes. Capgemini disposait au 31 décembre 2008 d'une trésorerie nette de 774 M€. Les effectifs offshore pèsent 28% de l'effectif global Sur un an, 8 113 personnes sont venues grossir les rangs de la SSII. Près de la moitié de ces recrutements sont intervenus dans les pays offshore, en Inde et en Pologne, mais aussi en Chine, au Maroc et en Amérique latine. Au 31 décembre 2008, l'ensemble des effectifs offshore pesait 28% de l'effectif global de Capgemini, soit 25 275 personnes sur 91 621 au total. Sur l'année en cours, Capgemini ne dispose pas de visibilité au-delà du premier semestre 2009. A cet horizon, le chiffre d'affaires pourrait légèrement décroître, indique le groupe. Pour la rémunération des dirigeants, Serge Kampf et Paul Hermelin, le Conseil d'administration a retenu pour le calcul de la deuxième partie variable(**) de leur rémunération 2008 un pourcentage pondéré total de 110% (617 000 euros) du variable théorique pour le premier et de 113% (982 000 euros) pour le deuxième. Une croissance de +5,4% en France à périmètre constant En France, le chiffre d'affaires a augmenté de 5,4%(*) à 2,08 Md€ (un CA qui inclut le Maroc), soit 23,8% du chiffre d'affaires global. Sur l'Hexagone, la marge opérationnelle s'élève à 7,3%. Mais en Europe, c'est le Benelux qui réalise la meilleure croissance, +11,6% sur un CA de 1,3 Md€(*) avec une marge opérationnelle de 14,2% (-0,8 point toutefois). Sur la zone Royaume-Uni/Irlande, le chiffre d'affaires a légèrement décru, à 1,92 Md€ à périmètre constant (-13,8% à périmètre courant), mais la marge opérationnelle a progressé d'un point à 7,8%. Sur les autres pays européens, ainsi qu'en Asie et en Amérique Latine, le chiffre d'affaires s'est établi à 1,74 Md€ (+7,8% *). En Amérique du Nord, le chiffre d'affaires s'élève à 1,67 Md€ et enregistre une croissance de 3,4% à taux de change et périmètre constants (-3,1% à périmètre courant). La marge opérationnelle est en légère baisse, à 5,8%. Le groupe précise que, sur cette zone, les bonnes performances des métiers de l'infogérance, du conseil et des services de proximité ont fait « plus que compenser » la baisse du chiffre d'affaires de l'activité intégration de systèmes. Cette dernière pâtit des difficultés rencontrées sur le secteur des services financiers, mais également de la « substitution progressive des sous-traitants locaux par les ressources indiennes du groupe ». (*) Tant à périmètre courant qu'à périmètre constant. (**) lié au degré de réalisation d'objectifs qualitatifs. (...)

(12/02/2009 17:04:21)

L'arrêt de l'annuaire minitel reporté au-delà de 2011

Invoquant la crainte d'un amalgame entre l'arrêt de l'annuaire 3611 et celui de tous les services minitel, France Télécom et la régie publicitaire PagesJaunes n'arrêteront pas ce service en mars prochain, comme annoncé en juillet dernier, mais vers 2011. Derrière les 19 millions de connexions enregistrées sur le 3611 en 2008 (25% du trafic total), ce qu'il reste de la télématique française continue d'être une PME de taille respectable. En 2007 - les chiffres 2008 ne sont pas encore disponibles - le minitel a généré un CA de 100 M€ au travers de 10 millions de connexions auprès de 4000 services encore actifs, dont 40% à caractère professionnel. Une goutte d'eau par rapport au milliard d'euros annuel de la fin des années 90, mais avec des équipements totalement amortis. A cette époque, la Cour des comptes avait publié un rapport qui stigmatisait le fait que l'argent public avait été dilapidé dans la production de près de 7 millions de terminaux payés par les impôts de Français. La Cour s'interrogeait sur la dimension de service d'intérêt général d'une télématique dont la moitié des revenus provenait de ce que l'on appelait pudiquement à l'époque les messageries roses. Le Minitel a retardé l'adoption d'Internet Dès lors que le terminal minitel a été facturé aux consommateurs, en 1993, le nombre de terminaux et d'heures de connexion a commencé à décroître. Mais, tant France Télécom que tous les prestataires de services tiraient d'impressionnants profits de ce boîtier télématique gratuit. En 2002, 689 millions de connexions (hors 3611) avaient généré un CA de 485 M€, dont 313 reversés aux éditeurs de service. En 1999, un autre rapport de la Cour des comptes montrait comment l'intérêt économique de France Télécom à entretenir la manne Minitel a conduit la France à prendre beaucoup de retard sur Internet. " La Cour a relevé que le choix de développer une offre Internet grand public (Wanadoo) avait été tardif et n'avait pas été sans comporter des incohérences... même si les décisions essentielles ont été prises en 1995, Internet n'a été une véritable priorité pour France Telecom que depuis l'exercice 1998. Cette priorité n'a été clairement affirmée qu'à la fin de 1997". (...)

(12/02/2009 15:52:23)

Annuels Iliad : Free consolide sa place de deuxième FAI français

Avec l'arrivée de 1,3 million de nouveaux abonnés en 2008, le groupe Iliad, maison mère du FAI Free, fournit désormais un accès Internet à 4,2 millions de foyers français (+44,6%). Il doit 60% de cette hausse à la comptabilisation des 836 000 abonnés d'Alice, acheté en août dernier. 14 000 personnes, soit 1,6% des abonnés d'Alice ont quitté leur FAI lors de son rachat. Quant à la marque Free, elle atteint fin 2008 presque 3,39 millions d'abonnées, soit une hausse de 16,7%. Ce taux est nettement inférieur aux 27,5% enregistrés sur 2007/2008. Chez Free, le taux de dégroupage complet est passé de 81,5% fin 2007 à 85,6%. Chez Alice, il n'était que de 45% lors du rachat et atteint déjà 50,7%. Sur l'exercice, l'activité haut débit d'Iliad a généré un chiffre d'affaires de 1,53 Md€, en hausse de 30%. Le CA de Free (1,4 Md€) progresse de près de 19%. L'augmentation de la part des services optionnels (25% du CA grand public contre 22,4% en 2007) permet à Free de clore son exercice sur un revenu moyen par abonné mensuel (Arpu) de 36,9 € (+1,7%) en décembre. Chez Alice, l'Arpu progresse rapidement depuis le rachat, passant de 27 à 32 €. 25,5% de parts de marché dans l'ADSL Le rachat du FAI Alice à Telecom Italia, première opération de croissance externe d'Iliad, a permis à celui-ci de réaffirmer sa position de premier opérateur alternatif, derrière Orange, avec une part de marché qui est passée de 19,7% fin 2007 à 25,5% fin 2008. Une place menacée un temps par le groupe né du rapprochement de SFR, Neuf Cegetel, Club Internet et AOL France. L'essoufflement du rythme de recrutement de nouveaux abonnés au quatrième trimestre 2008 (100 000, -23% par rapport au quatrième trimestre 2007) semble être considéré par la direction du groupe comme une tendance à long terme. En effet, Iliad vise les 5 millions d'abonnés à la fin 2011, soit une augmentation de 19% sur deux ans. Iliad a aussi confirmé sa candidature pour l'obtention de la quatrième licence de téléphonie mobile. Sur le dossier de la fibre optique, le groupe s'est cantonné à indiquer qu'il confirmait vouloir atteindre un taux de couverture de 4 millions de foyers en 2012. Ce qui ne veut pas dire grand-chose. (...)

(12/02/2009 11:28:01)

Intel investit 7 Md$ sur deux ans aux Etats-Unis pour fondre en 32 nm

Paul Otellini, le pdg d'Intel a annoncé en grande pompe que son groupe allait investir 7 milliards de dollars sur deux ans pour faire évoluer ses usines américaines vers la technologie 32 nanomètres. Les trois sites concernés se trouvent en Arizona, en Oregon et au Nouveau-Mexique. La publicité autour de cet investissement intervient alors qu'Intel se dit en avance sur son plan de charge pour migrer de la technologie de gravure en 45 nm à 32 nm. Le premier processeur 32 nm à être produit devrait être le Westmere, un Nehalem (Core i7) pour machines individuelles. Il est attendu pour la fin de l'année. Le passage au 32 nm est une étape importante pour le numéro un mondial des semiconducteurs. Toutefois, rapporté aux 10 à 11 Md$ qu'Intel prévoit d'investir sur le seul exercice en cours, l'investissement annoncé sur le 32 nm ne représente qu'un peu plus d'un tiers sur un an. Sachant qu'Intel communique sur la somme de 3 Md$ pour construire une usine dernier cri, le groupe devrait aller bien au-delà pour faire évoluer l'ensemble de son outil de production. Intel concentre aux Etats-Unis ses unités à forte valeur ajoutée Il y a deux semaines, Intel annonçait la fermeture de cinq usines assortie d'un plan de licenciements estimé entre 5 000 et 6 000 personnes. Le groupe vient aussi de fermer une usine dans la région de Shanghai (2 000 salariés) en vue de la déplacer dans une autre région chinoise moins "coûteuse". A l'exception d'un site en Irlande et d'un autre en Israël, Intel concentre ses unités à forte valeur ajoutée aux Etats-Unis. Sa demi-douzaine de sites d'assemblage et de tests est installée dans des pays à bas salaire. Le groupe compte environ 84 000 salariés, dont 45 000 aux Etats-Unis. Un salarié sur deux est directement impliqué dans la production de composants. 75% de la capacité de production d'Intel est située sur son sol national où est aussi investi 75% de son budget de R&D. Il réalise 75% de son CA en dehors des Etats-Unis. (...)

(12/02/2009 11:18:18)

Annuels Devoteam : la SSII très prudente pour 2009 après les +17% de 2008

Comme a son habitude, la SSII Devoteam publie des résultats à deux chiffres : 17% de croissance organique à 460 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA), 24% en croissance totale. La société prévoyait initialement 430 ME de CA. Pour expliquer les chiffres 2008, Stanislas de Bentzmann, le co-président du directoire, souligne « nous sommes dans un modèle de croissance rapide, dû à notre spécialisation sur les infrastructures et à la part de l'international qui fait 50% du CA total. Ce sont des éléments différenciateurs ». 2009 ne sera peut être pas de la même veine, la société prévoit un maintien du CA semestriel pour les six premiers mois, mais reste dans l'expectative pour la suite. Le dernier rachat, celui de l'allemand Danet sera intégré dans dix huit mois. Devoteam garde la possibilité d'effectuer d'autres acquisitions cette année, « de manière à accompagner nos clients internationaux, tels que Orange implanté en Pologne, en Espagne et en Grande-Bretagne ». Coté recrutements, elle prévoit 3 à 400 embauches, de quoi pallier le turn over naturel des SSII, guère plus. (...)

(11/02/2009 18:11:14)

Annuels Dassault Systèmes : La prudence est au rendez-vous pour les objectifs 2009

A l'approche de la fin de l'année 2008, Dassault Systèmes a vu plusieurs de ses clients repousser la signature de leurs commandes à 2009. En conséquence, l'éditeur de PLM (Product lifecycle management) et numéro un du logiciel français s'est vu contraint de publier mi-janvier des résultats provisoires décevants. Du fait de ces reports de contrats, le quatrième trimestre de l'éditeur s'est en effet révélé nettement inférieur à ses objectifs avec un CA de seulement 384,4 M€ non Gaap (+3% par rapport à la même période en 2007 à taux de change constant). A l'annonce officielle des résultats le 11 février, Dassault Systèmes a confirmé ce montant ainsi qu'un chiffre d'affaires 2008 annuel (non Gaap) de 1,338 Md€ en croissance de 8% à taux de change constant. Le bénéfice de 198,0 M€ augmente de près de 11% par rapport à 2007 malgré une chute de 6,5% au dernier trimestre. La marge opérationnelle 2008, elle, représente encore 25,6% malgré une chute de 0,6 point. Bernard Charlès, PDG de l'entreprise, admet : « Nous avons surtout été surpris que cette baisse des ventes se produise en fin de quatrième trimestre. Nous sommes au final un peu au-dessous de la fourchette des objectifs que nous nous étions fixés pour 2008. Ce qui s'est passé, c'est que des clients pour qui la décision de signer ne s'imposait pas ont repoussé au delà du 31 décembre. Heureusement, certains d'entre eux ont finalement signé leur commande en début d'année. » Les ventes de nouvelles licences de CAO Catia, par exemple, après avoir fortement augmenté jusqu'au troisième trimestre ont brutalement ralenti en fin d'année, atteignant finalement une croissance de 10%. Et globalement, les ventes de nouvelles licences ont chuté de 22%. Enfin, si l'action a perdu 10% sur l'année, Bernard Charlès rappelle pour se rassurer que c'est deux fois moins que le Nasdaq ou le CAC40. Le patron de Dassault Systèmes estime néanmoins que son offre peut aider ses clients à faire face à la crise et compte sur ce constat pour remonter la pente. « 2009 s'annonce sous des auspices très difficiles, prévient le PDG. L'industrie est en souffrance dans beaucoup de domaines. Nous pensons pouvoir accompagner les entreprises avec des outils appropriés dans les inévitables changements de portefeuilles produits qu'ils vont devoir mener à bien. Nos produits leur donneront aussi la flexibilité pour restructurer leurs réseaux de fournisseurs dans des conditions acceptables. » 15% du CA dans de nouveaux secteurs industriels Pour se développer, l'éditeur veut aussi s'appuyer sur d'autres cibles que ses clientèles traditionnelles de l'automobile et de l'aéronautique. Il estime déjà à 15% de son CA la part prise par des secteurs qu'il ne ciblait que peu précédemment comme l'énergie, les biens de consommations, le high tech, le textile, les sciences de la vie. Autant d'industries qui sont à même, selon l'éditeur, d'utiliser aussi bien sa simulation, sa gestion de données que sa gestion de portefeuille produits. « Il devrait même être possible d'utiliser notre PLM collaboratif Enovia dans le monde de l'assurance. Nous allons beaucoup nous appuyer sur ces secteurs pour compenser l'absence de croissance de nouvelles licences dans nos secteurs traditionnels. » Pour traverser la crise, Dassault Systèmes compte aussi se développer dans les pays émergents (Amérique du Sud, Russie, Inde, Chine). Par ailleurs, les deux tiers du CA 2008 non Gaap de l'éditeur proviennent de l'indirect. Après sa réorganisation commerciale démarrée en 2006, il a augmenté de 10% les capacités de chacun de ses canaux de ventes (vente directe et par le biais d'IBM, vente indirecte spécialisée PLM, vente indirecte ex-Solidworks), autre levier pour endiguer le ralentissement de la croissance. L'éditeur annonce d'ailleurs avoir gagné 15 000 nouveaux clients en 2008. Enfin, Dassault Systèmes n'échappera pas à certaines mesures d'économie telles que la négociation plus serrée avec ses fournisseurs et ses sous-traitants ou la réduction des déplacements. Pour réduire ses dépenses immobilières, l'éditeur avait déjà regroupé, en 2008, certains de ses laboratoires de R&D redondants. (...)

(11/02/2009 17:31:05)

TechDays'09 : Microsoft insiste sur les notions de choix et d'ouverture

« C'est une grande première », a souligné Marc Jalabert, en désignant l'un des transparents de sa présentation : une diapositive n'affichant que des noms de partenaires, qui plus est éditeurs Open Source ou actifs dans le Libre, tels que Novell/Suse, Xandros, Sun, OpenOffice.org... Récemment nommé directeur du marketing et des opérations de Microsoft France, Marc Jalabert entretient depuis longtemps de bons rapports avec les communautés techniques, et a contribué - avant que Sam Ramji n'entre en scène - à une normalisation des rapports entre Microsoft et le monde de l'Open Source. En ouvrant la deuxième journée des Techdays, conférence parisienne accessible gratuitement aux utilisateurs des technologies Microsoft, Marc Jalabert n'a donc pas manqué de rappeler les efforts de Microsoft en faveur de l'interopérabilité et de l'ouverture, et nombre de démonstrations qui ont émaillé le discours d'ouverture - consacré aujourd'hui aux outils systèmes et progiciels - se sont efforcées de l'illustrer. L'édition R2 d'Office Communications Server, par exemple, peut être utilisée pour monter une conférence téléphonique directement depuis Outlook. Mais Microsoft a montré qu'il était possible pour un participant distant de s'y inscrire, pour se faire rappeler, en utilisant Firefox sur un système Suse Linux. Toujours côté Linux, Microsoft a montré comment un serveur Suse peut être administré depuis la console Systems Operations Center. Azure s'ouvrira aux langages dynamiques Plus tard dans la journée, lors d'une session consacrée à Azure, « un système d'exploitation dans le nuage », pour reprendre l'expression de Stève Sfartz, architecte chez Microsoft France, Microsoft a expliqué que la plateforme s'ouvrirait à des langages tiers, PHP, Python, Ruby, Java, tandis que le protocole OpenID permettra d'échanger des informations d'accréditation sur un mode standard. D'ores et déjà, les applications déployées sur Azure peuvent faire appel à des services écrits dans tout langage. Et toujours dans le domaine de l'interopérabilité et de l'ouverture, une session était consacrée aujourd'hui à « l'Agility Center », qui, comme son nom ne l'indique pas, est le fruit d'une initiative conjointe entre les filiales françaises d'IBM et de Microsoft. Ce serveur associe trois lames biprocesseurs dans un châssis BladeCenter S avec la solution de virtualisation de Microsoft, ainsi que les outils d'administration adéquats, pour 55 000 euros environ. L'idée, explique Marc Jalabert, est d'accélérer l'adoption de la virtualisation dans les PME, « sous-informatisées en France ». (...)

(11/02/2009 12:17:14)

Les ventes de processeurs vont reculer en 2009

Après un quatrième trimestre 2008 dans le rouge, les ventes mondiales de microprocesseurs pour PC devraient continuer à décroître en 2009. C'est la conclusion d'une étude conduite par le cabinet IDC, selon lequel les livraisons de puces ont reculé de 11,4% sur un an au cours des trois derniers mois de 2008. Une baisse qui devrait atteindre 15% pour l'ensemble de 2009. Sur l'ensemble de l'année 2008, le total des ventes enregistre malgré tout une progression de 10% en volume, mais de seulement 0,9% en valeur. Ces résultats positifs n'éclipsent cependant pas le catastrophique quatrième trimestre, au cours duquel IDC a observé « le pire déclin » depuis la mise en place de son observatoire des processeurs, en 1996. Sans surprise, la crise planétaire est à l'origine de ces contre-performances. La demande de PC s'est en effet tarie, une tendance observée par IDC au quatrième trimestre 2008, où les ventes mondiales d'ordinateurs ont reculé de 0,4% sur un an. « Après des signes d'affaiblissement en septembre, le marché s'est effondré en octobre et novembre », note le cabinet d'études. Le succès des netbooks - 10 millions d'unités écoulées l'année dernière - n'aura pas été suffisant pour contrebalancer le déclin observé sur les segments des laptops et desktops traditionnels. On mesure l'importance des netbooks à la lumière d'un indice communiqué par IDC : sans ces mini-PC, les ventes de processeurs auraient reculé de 21,7% en volume au cours du dernier trimestre 2008. Au palmarès des constructeurs, Intel reste loin devant ses concurrents et voit même sa part de marché augmenter en 2008. Le fondeur a vendu 80,3% des processeurs écoulés l'an passé (+2,9%), contre 19,2% pour AMD (-3,1%) et 0,4% pour VIA. (...)

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