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(11/02/2009 12:15:50)

Sandisk se lance dans la production massive de mémoire à haute capacité

Lors de la dernière conférence Solid State Circuit, Sandisk a présenté sa technologie X4 qui permettra d'augmenter considérablement la capacité de stockage des cartes mémoire. Basée sur une gravure en 43 nanomètres, la technologie X4 stocke 4 bits d'information par cellule de mémoire flash, portant ainsi la capacité de stockage totale à 64 Go pour une carte mémoire SD classique, contre les 32 Go maximum actuellement proposés. Parallèlement à cette technique de gravure, Sandisk a dû développer un contrôleur pour éviter les erreurs d'attribution dans la répartition des données. Il y a un an, Sandisk avait présenté une technologie similaire - X3 - pour les cartes au format micro-SD, qui stockait jusqu'à 3 bits d'information par cellule de mémoire, pour atteindre 32 Go par carte. Les premières cartes utilisant la technologie X4 seront commercialisées avant juin 2009. Pour l'instant, Sandisk ne compte utiliser cette technologie que pour les cartes mémoire, et n'a pas mentionné d'adaptation éventuelle au secteur des disques SSD. Un choix que pourrait faire son concurrent Micron, qui envisage d'utiliser une technologie similaire pour doper la capacité de ses SSD, dont la capacité maximale est actuellement de 256 Go. (...)

(11/02/2009 09:06:45)

Techdays'09 : le tactile multipoint à l'honneur

Le 'multitouch' - ou tactile multipoint - était à l'honneur lors de la première journée des Techdays de Microsoft France, hier au Palais des Congrès de Paris. D'abord avec la présence sur scène du dessinateur François Cointe (qui officiait naguère sur Le Monde Informatique), émaillant le discours d'introduction avec ses dessins humoristiques réalisés sur 'Surface', la table tactile interactive. Puis Mitsu Furuta, de l'équipe relations techniques développeurs de Microsoft France, a brièvement montré les possibilités du kit de développement Surface pour Visual Studio, ainsi que la capacité de la table tactile à interagir avec des objets portant un 'tag' spécifique. Et l'équipe de Microsoft n'a pas manqué de rappeler non plus que Windows 7 disposera nativement de capacités tactiles. Surtout, l'après-midi, l'éditeur a donné la possibilité à deux start-up françaises, Intuilab et Stantum, de venir présenter leurs développements. Les deux ambitionnent de mettre à la poubelle le modèle Wimp (Windows, icon, mouse, pointer) qui régit les IHM (interfaces homme-machine) depuis 1973, au profit d'interfaces plus naturelles. Contrairement au tactile simple, couramment utilisé sur les bornes d'information, le multipoint accepte plusieurs points d'entrée. L'iPhone d'Apple a mis la technologie en lumière, avec la possibilité de réorienter ou de redimensionner des photos avec deux doigts. Des tables tactiles permettant la collaboration à distance La société toulousaine Intuilab, spécialiste de la création d'IHM, a décidé cet été de se lancer dans l'édition logicielle, et a sorti Intuiface, une suite logicielle pour exploiter les capacités des surfaces tactiles multipoints. Partenaire aussi bien d'Adobe (pour la technologie AIR, Adobe integrated runtime) que de Microsoft (pour son WPF, Windows presentation foundation), Intuilab a proposé une démonstration d'un scénario faisant collaborer plusieurs utilisateurs répartis sur deux écrans 'multitouch', reliés en réseau. A terme, explique Vincent Encontre, directeur général de la start-up, on pourrait arriver à « des salles de réunion virtuelles infinies ». En tout cas, il en est persuadé, « avec ce qui se prépare en Corée, dans 10 ans, tous les écrans auront des capacités 'multitouch', c'est le sens de l'histoire ». Davantage orienté sur les couches basses et les écrans de mobiles ou de PC tablettes, Stantum a commencé ses développements sous le nom de JazzMutant, et il s'agissait à l'époque, a raconté son PDG Guillaume Largillier, de « développer des nouvelles interfaces pour les musiciens », comme des « tables de mixage virtuelles ». En 2005 - « deux ans avant l'iPhone », s'est plu à rappeler Guillaume Largillier - Stantum a lancé son premier écran tactile multipoint « industrialisable ». Le savoir-faire de la start-up bordelaise a commencé à intéresser des industriels, si bien qu'elle livre aujourd'hui ses technologies en OEM. Des menus contextuels appelés par le pouce de la main opposée [[page]]Toutefois, pour Guillaume Largillier, il reste encore énormément de progrès à réaliser. Il faut améliorer la réactivité des systèmes, tout en prenant en compte le fait que les utilisateurs pourraient faire de faux mouvements. Ensuite, il faut résoudre une équation apparemment impossible : « Il y a de plus en plus de fonctions dans les logiciels, mais de moins en moins d'espace. En outre, on n'a pas la même précision avec les doigts qu'avec la souris. Et puis le nombre de gestes appropriés pour telle ou telle fonction est limité, on ne peut pas demander à un être humain d'associer un mouvement à chaque opération. » La solution proposée par Stantum consiste à utiliser au maximum les menus contextuels, appelés par le pouce de la main tenant l'écran - donc le pouce gauche pour les droitiers, les doigts de la main droite réalisant alors les opérations voulues. D'après Guillaume Largillier, il suffirait de quelques minutes pour s'y habituer. Et lui aussi en est persuadé, le 'multitouch' va envahir notre vie - d'autant que Windows Seven devrait le populariser. Le tout est de ne pas faire n'importe quoi pour ne pas rebuter les gens d'emblée. (...)

(11/02/2009 11:00:39)

Microsoft fait entrer l'empreinte carbone dans son ERP Dynamics AX

Microsoft ajoute un tableau de bord environnemental à son ERP pour PME Dynamics AX, l''Environmental sustainability dashboard'. Cette nouvelle fonction, gratuite pour les possesseurs du progiciel, fournit un rapport de la consommation électrique et des émissions de gaz à effets de serre de l'entreprise. Les utilisateurs entrent les données dans le logiciel à l'occasion de leurs manipulations habituelles (Microsoft cite l'exemple du paiement de la facture d'électricité) et celles-ci contribueront ensuite au calcul de la consommation énergétique globale de la société. Les types d'informations saisis, tels la consommation d'essence par exemple, sont ceux définis par la Global Reporting Initiative. L'Environmental sustainability dashboard déduit aussi de ces éléments la quantité de gaz à effet de serre émise à l'occasion de cette consommation énergétique. Les calculs tiennent aussi compte de la source d'approvisionnement électrique (unique ou mixée), lorsqu'il est possible de la connaître (nucléaire, hydraulique, charbon, etc.) Pour une empreinte carbone réelle et globale, il faudrait capturer directement les informations de consommation associées à chaque processus de l'entreprise et ce, pour l'ensemble de sa 'supply chain'. Selon Microsoft, le nouvel outil sera capable de récupérer des informations issues de capteurs dans sa prochaine version, et il peut d'ores et déjà gérer la consommation d'autres ressources que l'électricité, comme l'essence ou l'eau. Pour une PME qui, comme le rappelle Microsoft, n'a pas forcément les moyens d'un audit complet de son empreinte carbone, le tableau de bord de Dynamics AX devrait néanmoins constituer un moyen de de réduire celle-ci, et de diminuer du même coup les frais d'électricité et enfin, de s'adapter aux réglementations environnementales actuelles et futures. Reste pour tous les employés à s'astreindre à saisir les informations idoines au quotidien. (...)

(10/02/2009 17:16:18)

Google s'appuie sur l'ActiveSync de Microsoft pour la synchronisation de ses applications

Avec son nouveau service Google Sync, Google rejoint la longue cohorte des concurrents de Microsoft - Apple en tête - qui sont également des clients et des partenaires de l'éditeur. La société vient en effet de signer un accord de licence autour du protocole Exchange ActiveSync. Un fait que Google avait passé sous silence, mais dont Microsoft s'est félicité dans un communiqué officiel : cet accord de licence « est une reconnaissance claire des innovations dont est capable Microsoft », se félicite Horacio Gutierez, vice-président en charge de la propriété intellectuelle et des licences chez Microsoft. Concrètement, Google Sync - pour l'instant en bêta - permet de synchroniser les contacts et l'agenda d'un utilisateur entre son téléphone, sa messagerie Outlook ou Gmail et son calendrier Google. Chaque modification, qu'elle soit faite sur le téléphone ou sur le Web, est automatiquement synchronisée et 'poussée' vers le téléphone. C'est pour ce push que Google a installé ActiveSync sur ses serveurs d'hébergement : l'outil servira à envoyer les données Google (contacts Gmail, Gtalk, événements inscrits à l'agenda) vers le mobile. Ce service fonctionne avec les smartphones sous Windows Mobile, mais aussi les Blackberry, les Nokia, les Sony Ericsson et l'iPhone d'Apple. L'an dernier, Apple avait également dû souscrire une licence ActivSync pour se connecter aux serveurs Exchange des entreprises. (...)

(10/02/2009 16:58:04)

Intel annule sa conférence IDF de Taipei

La crise touche le marché des TIC dans son ensemble mais elle atteint plus particulièrement le secteur des composants. Pour preuve, Intel a décidé d'annuler sa conférence annuelle IDF (Intel developer forum) qui devait se tenir à Taipei, la capitale administrative de Taiwan. Le numéro un des processeurs réduit par ailleurs sa conférence de Pékin à une seule journée, le 8 avril 2009, au lieu de deux préalablement prévues. Pour Intel, les IDF sont à la fois un moyen de montrer ses innovations et un moment de rencontre entre ses techniciens et les développeurs qui travaillent avec ses composants. Le fondeur devrait utiliser le Computex de Taipei, qui se tiendra du 2 au 6 juin 2009, pour procéder aux annonces habituelles. De plus, pour ne pas décevoir ses développeurs, Nick Jacobs, directeur de la communication pour Intel Asie Pacifique, explique que l'entreprise organisera davantage de séminaires et de travaux en ligne avec ses développeurs, des opérations qu'il a multipliées ces dernières années. Le fondeur organise ses conférences à Taipei depuis 1996. Et la seule fois où il a dû annuler ses IDF asiatiques, c'était au premier semestre 2003 pour cause de virus du SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) ! Signe des temps, Intel n'est pas le seul à sacrifier ses conférences sur l'autel de la crise financière mondiale. Le Gartner Group a ainsi annoncé officiellement début janvier l'annulation de ses deux symposiums de printemps. Quant à Apple, il a décidé de ne plus honorer de sa présence les salons Macworld, consacrés annuellement à ses offres. (...)

(10/02/2009 15:58:29)

Techdays'09 : Visual Studio, Windows 7 et Azure, fers de lance de la stratégie de développement de Microsoft

Prévus pour durer trois jours, les Techdays ont démarré ce mardi matin au Palais des Congrès de Paris avec un tour d'horizon d'une heure des nouveautés concernant les développeurs. Devant un amphithéâtre quasiment comble, Thomas Serval, nouveau directeur plateformes et écosystème (suite à la nomination de Marc Jalabert au poste de directeur du marketing et des opérations, au comité de direction de Microsoft France), a passé en revue les technologies et concepts tels que Surface, LiveMesh, Windows 7, .Net 3.5, Solver Foundation, S+S, Azure... Développement et débogage PHP directement dans Visual Studio Le pivot de toutes ces démonstrations était l'atelier de développement Visual Studio ; une importance résumée par un slogan 'emprunté' à Tolkien : « un seul outil pour les programmer tous ». La seule véritable nouveauté était d'ailleurs l'annonce de l'intégration d'un plug-in PHP dans Visual Studio 2008. Intérêt: la possibilité non seulement de profiter de la puissance de Visual Studio pour écrire du PHP, mais aussi de déboguer directement le code produit. Jusqu'à présent, il fallait soit utiliser deux ateliers différents, soit, pour combiner Visual Studio et PHP, bidouiller une intégration, éventuellement avec des bouts de code fournis en Open Source, ou acheter un plug-in auprès de JCX Software (environ une centaine d'euros). Microsoft a conclu un accord commercial avec l'éditeur de ce plug-in pour inclure sa technologie avec Visual Studio. En France, la filiale de l'éditeur a même décidé de le fournir gratuitement, nous a précisé Laurent Ellerbach, responsable des relations avec les développeurs. Des milliers de personnes inscrites pour voir les nouveautés de Seven [[page]] Passant rapidement sur WPF (Windows Presentation Framework), l'interface riche qui devait se généraliser lorsque Vista aurait connu le succès, l'équipe de Microsoft a pris le temps de présenter Windows 7. « Vous vous êtes inscrits par milliers aux sessions sur Seven, on a dû réagencer l'agenda, il y a désormais deux sessions par jour », a expliqué Eric Mittelette, responsable des relations techniques développeurs. Survolant quelques nouveautés de Seven - dont la personnalisation de la barre de tâches, ou le support natif du 'multitouch' (manipulation des objets de l'écran avec plusieurs doigts) -, Microsoft a pressé les développeurs de tester leurs applications sur le système d'exploitation. L'idée, nous a expliqué par la suite Thomas Serval, est « que les éditeurs de logiciels tiers soient prêts et puissent bénéficier du raz de marée attendu avec Seven ». Le discours était certes le même avant la sortie de Vista, mais il est vrai que, de ce que la bêta laisse voir pour l'instant, Windows 7 est bien plus prometteur. Après avoir donné un aperçu des nouveautés qui viendront avec la version 2010 de Visual Studio - comme un éditeur de tests fonctionnels capturant automatiquement en vidéo les scénarios de test (un must pour les rapports de bugs) -, Microsoft a proposé une explication de texte toujours utile de sa stratégie S+S. S+S et Azure pour la plus grande liberté de choix possible Guère pressé de rejoindre le clan des éditeurs de Saas (applicatifs disponibles en ligne), Microsoft avait présenté sa stratégie Software plus services (S+S) qui a l'avantage de conserver l'importance des logiciels installés sur les postes clients. Puis est venu le train du 'Cloud computing', auquel Microsoft a rattaché ses wagons, avec l'annonce de Windows Azure. Au final, tout cela aboutit à « la plus grande liberté de choix possible pour le développeur et l'éditeur de logiciels », a expliqué Thomas Serval. Aujourd'hui, le développeur peut recourir à des briques techniques (comme SQL Server Data Services) voire des services applicatifs en ligne (comme Exchange Online), héberger son application en ligne (sur Azure - s'il s'agit d'une application .Net : la liberté de choix a tout de même ses limites), rien qu'en sélectionnant l'option de déploiement dans Azure au sein de Visual Studio. Et il suffit de modifier le fichier de configuration l'accompagnant pour modifier le nombre d'instances souhaitées. Zoomant sur un des services en ligne de Microsoft, l'outil de synchronisation LiveMesh, l'équipe de développement de Microsoft France a montré une première mondiale: l'utilisation du service de synchronisation de fichiers pour synchroniser une application, réalisant ainsi un service applicatif de collaboration en temps réel. (...)

(10/02/2009 15:41:27)

Annuels GFI Informatique : des contrats importants au 4e trimestre

La SSII française GFI Informatique a réalisé un chiffre d'affaires de 768,1 M€ en 2008, ce qui représente une croissance organique de +2,9% par rapport à 2007. A périmètre courant, c'est-à-dire sans tenir compte des acquisitions, sa croissance totale atteint 11,6% sur l'année. Le chiffre d'affaires réalisé par la France s'élève à 514,4 M€ (67% du CA total), soit une progression de 5% en croissance organique, et de 14% en croissance totale. En octobre 2007, GFI Informatique avait absorbé sa filiale Algoriel et racheté le groupe BTD. Rappelons qu'outre le conseil et l'intégration de systèmes, l'activité du groupe comporte un pôle Infrastructures et production et un pôle Solutions. L'activité d'édition de GFI Informatique le plaçait en 2007 au 6e rang des éditeurs français de logiciels, derrière Dassault Systèmes, GL Trade, Sopra Group/Axway, Cegid et Cegedim (selon le classement EuroSoftware publié fin 2008 par PricewaterhouseCoopers, avec PAC et l'Afdel, notamment). Sur le dernier trimestre 2008, toujours en France, la croissance organique se limite à 0,6% (+3,3% à périmètre courant) sur un chiffre d'affaires de 137,2 M€. La SSII indique avoir remporté plusieurs contrats importants sur cette période, malgré la crise économique, en particulier avec le Groupe Caisse d'Epargne, BNP Paribas, la RATP et EADS. Le pôle Solutions a également signé des contrats dans le secteur public avec ses offres de gestion des temps. +4,4% de croissance en Espagne [[page]] A l'international, le quatrième trimestre enregistre une légère croissance organique en Europe du Sud (+0,7% dont +4,4% en Espagne). En revanche, pas de croissance organique sur l'année pour trois régions, l'Espagne/Portugal, l'Italie et l'Europe du Nord, qui pèsent respectivement 14%, 8% et environ 6% du chiffre d'affaires total de GFI Informatique. Au contraire, au Canada, l'activité enregistre une croissance organique de +6,2% à taux de change comparable (et de +95% en tenant compte des rachats, en 2008, d'Accovia et Bell Solutions d'affaires). Enfin, au Maroc, la croissance organique s'élève à +26,8%, mais sur un CA de 4,1 M€ qui ne pèse qu'un peu plus de 0,5% du CA total. A noter que le groupe dit se fixer comme priorité de renforcer l'utilisation de ses centres de services en France, en Espagne, au Canada et au Maroc. Cette activité implique 1 200 personnes. GFI Informatique comptait fin décembre 6 079 personnes en France (9 893 au total dans le monde), avec un taux de rotation des effectifs de 16%. Ses résultats financiers complets seront communiqués le 17 mars 2009. (...)

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