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(08/01/2009 18:04:29)

Dell ferme sa plus grosse usine irlandaise : 1 900 postes supprimés

Dell a décidé de fermer sa principale usine irlandaise, située à Limerick, supprimant ainsi 1 900 postes. Dès septembre, le constructeur avait évoqué l'éventualité de supprimer certains de ses sites de production. Le Texan a précisé que « toute [sa] production de desktops et de serveurs destinés à l'Europe, au Moyen-Orient et à l'Afrique migrerait de Limerick vers son site de Lodz, en Pologne, et des partenaires industriels tiers. » La dépêche de Dell précise que la proportion des 1 900 postes de Limerick qui serait directement transférée en Pologne n'est pas encore clairement définie. « La production sera adaptée à la demande », a simplement précisé Rafal Branowski, porte-parole de l'usine de Lodz. (...)

(08/01/2009 16:16:10)

Prudent, EMC se lance dans un plan d'économie et de réduction d'effectifs

EMC, numéro mondial du stockage professionnel, a décidé de se séparer de 2 400 salariés, soit 7% de ses effectifs (38 000 personnes). Malgré des résultats au quatrième trimestre en phase avec ses prévisions, le groupe réagit à son tour face à la crise. Il annonce un programme de réduction de ses coûts de 350 M$ pour cette année et de 500 M$ pour l'an prochain. Les résultats préliminaires du quatrième trimestre qui vient de s'achever portent sur un chiffre d'affaires d'environ 4 Md$, en hausse de 4% par rapport à la période correspondante de l'exercice précédent. Le résultat par action anticipé est en phase avec les prévisions des analystes boursiers. Les résultats définitifs seront publiés le 27 janvier prochain. EMC compte appliquer des recettes d'économie classiques : consolidation des fonctions de back-office, réduction des surfaces de locaux et des niveaux de management, diminution des contrats de sous-traitance et des frais de déplacements. EMC souligne que sa filiale VMware n'est pas affectée par ce train de mesures restrictives. Les charges associées à la réduction de sa voilure s'élèvent à 200 M$ sur le trimestre qui vient de s'achever. 100 M$ viendront grever l'exercice qui commence et 125 M$ celui de l'an prochain. (...)

(08/01/2009 14:36:09)

Programme PM'up : 200 PME soutenues par l'Ile-de-France

Mis en place par la région Ile-de-France, le programme PM'up va permettre à 200 entreprises ayant un projet de développement de recevoir un soutien financier et un accompagnement individualisé pendant trois ans. Ce bouquet d'aides vise les PME les « plus prometteuses », évoluant dans des filières ou territoires identifiés comme prioritaires et qu'il convient d'assister, a fortiori dans une conjoncture difficile. Parmi les filières retenues figurent, en particulier, les industries de la création, les éco-activités, les systèmes complexes, les sciences de la vie, les loisirs, la mobilité, la mécanique ou encore les services financiers. La région entend favoriser « la création d'emplois stables sur le territoire francilien » en soutenant la capacité d'innovation et d'anticipation de ces entreprises au moment où elles atteignent une taille critique. Plusieurs dizaines de ces PME évoluent dans les TIC Mené du 5 mai au 1er juillet 2008, l'appel à projets PM'up a conduit l'Ile-de-France à retenir pour l'instant 187 dossiers, sur les 338 déposés en ligne. Parmi les lauréats figurent plusieurs dizaines d'acteurs du secteur des TIC (technologies de l'information et de la communication). Certains d'entre eux sont déjà connus sur le marché depuis quelques années. Dans cette liste, non close, on trouve notamment des éditeurs tels que Fimasys (fournisseur de progiciel financier), Legal Suite (suite juridique), Neolane (planification et exécution des actions marketing), Spring Technologies (solutions de gestion du cycle de vie des produits -PLM), Intercim/Pertinence (optimisation des procédés de fabrication complexes), ou encore Temis (logiciels de Text mining). Un certain nombre de représentants du monde Open Source y figurent également, parmi lesquels Wallix et Nuxeo, respectivement éditeurs de solutions de sécurité et de gestion de contenu, ou encore la société de services en logiciels libres Linagora. Des projets de développement à l'international Wallix, qui développe le logiciel AdminBastion, va par exemple bénéficier, pendant trois ans, d'un accompagnement par des conseillers-experts, ainsi que d'un financement (environ 150 000 euros) pour des aides au conseil, au développement à l'international et au recrutement. La société va notamment utiliser les fonds pour renforcer sa stratégie de vente indirecte. Pour Linagora, l'apport financier a également été sollicité en vue d'une expansion internationale, en Europe et aux Etats-Unis. Les éditeurs Fimasys, Nuxeo et Neolane visent aussi la conquête de nouveaux marchés à l'exportation. Sur trois ans, par exemple, Nuxeo prévoit 55 créations de postes, dont 33 en Ile-de-France. Le projet présenté par Spring Technologies, lui, met en avant l'enrichissement de la suite logicielle Atelier numérique. L'éditeur prévoit 76 emplois de plus sur trois ans, dont 60 sur le territoire francilien. Dans une perspective de développement durable [[page]] A noter que le soutien apporté par la région Ile-de-France s'inscrit dans une stratégie de développement durable, avec un objectif de diminution de l'empreinte écologique des entreprises bénéficiaires. L'apport financier, plafonné à 200 000 euros par entreprise, peut ainsi monter à 250 000 euros si la PME s'engage à investir pour réduire son empreinte, ou si elle recrute un collaborateur handicapé ou défavorisé. Si l'on considère l'ensemble des 338 entreprises candidates, qui cumulaient 11 617 salariés au moment où elles ont déposé leur dossier, les effectifs prévisionnels à trois ans s'établissaient à 20 507 salariés, ce qui représente potentiellement près de 8 900 créations d'emploi. Globalement, les entreprises candidates se situaient majoritairement sur Paris (37,8%) et les départements de Seine et Marne (15,8%), des Hauts-de-Seine (12,5%) et de l'Essonne (11,6%). La majorité comptait moins de 50 salariés (84,2%), l'effectif moyen s'établissant à 34 salariés pour un chiffre d'affaires de 4,5 M€. Leurs perspectives de développement sur trois ans prévoient un effectif moyen de 60 salariés et un chiffre d'affaires moyen de 9,9 €. (...)

(08/01/2009 11:53:20)

Lenovo supprime 2 500 emplois et revoit les salaires de ses managers

Dans la foulée de 2008, les annonces de plans sociaux se multiplient en ce début d'année dans le secteur informatique. Dernier contributeur à la longue liste des plans de restructuration , le chinois Lenovo. Dans un communiqué adressé à la Bourse de Hong Kong, où il est coté, le fabricant d'ordinateurs a en effet annoncé qu'il allait supprimer environ 2 500 emplois, soit 11% de ses effectifs. Le groupe informatique, né du rachat en 2005 de la division PC d'IBM, fait à son tour les frais d' un ralentissement général de ses ventes au niveau mondial, surtout en Chine. Ces mesures devraient lui permettre d'économiser quelques 300 M$ sur l'année fiscale 2009-2010 close le 31 mars. En attendant, les coûts de restructuration ont été estimés à 150 M$, dont la quasi totalité sera imputé au cours du trimestre actuel. Lenovo a également prévu de réduire la rémunération de ses managers de 30 à 50%, et de geler les primes. Le groupe entend parallèlement maîtriser les dépenses sur d'autres fonctions, comme les ressources humaines, les finances et le marketing. Lenovo avait publié un bénéfice net en chute de 78% pour la période allant de juillet à septembre 2008 à 23,44 M $, son plus mauvais score depuis le rachat de l'activité PC d'IBM. Il a annoncé ce jeudi qu'il prévoyait également des pertes pour la période d'octobre à décembre. (...)

(08/01/2009 10:46:16)

Sun acquière Q-layer et sa gestion d'infrastructure 'cloud'

Sun Microsystems achète Q-layer, un éditeur belge de solution d'automatisation de gestion d'infrastructure destinée au cloud computing. Les détails de l'acquisition n'ont pas été dévoilés, mais l'opération donne quelques éclaircissements sur la direction que prend Sun dans la grande compétition du 'cloud' qui s'annonce passionnante pour 2009. Q-Layer, fondée en 2005, propose en fait un ensemble d'outils pour bâtir, administrer et faire évoluer de façon simple et transparente des datacenters, isolés ou distribués, internes ou externes. L'éditeur belge a entre autres développé la plateforme NephOS, couche d'abstraction du datacenter, et VPDC (Virtual private datacenter), portail qui permet de créer de façon simple et graphique son infrastructure 'cloud'. Il ne s'agit pas de bâtir un cloud, mais de simplifier la mise en oeuvre de ressources, physiques ou virtuelles, distribuées. NephOS s'installe au dessus des infrastructures physiques ou virtuelles qui fonctionnent avec les OS et les hyperviseurs de Vmware, Xen, Sun et Microsoft. La plateforme s'appuie sur trois composants principaux. D'abord, un langage unique permet aux administrateurs de créer des scripts portables sur les environnements Linux, Windows et Solaris. Ensuite, un outil de modélisation propose de représenter, visualiser et gérer la topologie du datacenter. Enfin et surtout, le Data Center Abstraction Layer (DAL), comme son nom le laisse entendre, constitue le coeur de la couche d'abstraction. C'est ce système qui crée la logique d'automatisation et d'orchestration du datacenter. Il évite à l'administrateur de devoir agir directement sur des ressources physiques ou virtuelles identifiées de l'infrastructure. En lieu et place, il propose des fonctions de haut niveau dans le système, comme 'démarrage', 'arrêt' ou 'backup', qui déclencheront un enchaînement automatisé d'actions vers les ressources concernées. Ces dernières peuvent être par exemple des hyperviseurs, des VLANs ou des systèmes de gestion de fichiers. Une couche d'abstraction de l'administration physique du datacenter Le DAL gère en permanence la réservation des ressources ('provisioning') du datacenter de façon cohérente et en considérant les serveurs avec leur équipement complet : connectivité, bande passante et stockage, mais aussi les services. L'orchestration des ressources tient également compte des éléments nécessaires à l'intégration et à la configuration du réseau, de la sécurité, des sauvegardes et des niveaux d'accès des utilisateurs et des administrateurs. Le portail VPDC, quant à lui, s'exécute au dessus de NephOS pour que les utilisateurs finals définissent, déploient et fassent évoluer leur propre datacenter virtuel en fonction des besoins du moment, par de simples drag-and-drop d'icônes représentant les ressources (serveurs, stockage, réseau et applications). VPDC propose en quelque sorte aux entreprises de bâtir et de gérer leur infrastructure de cloud en libre service. Plutôt que d'acquérir des racks ou des serveurs physiques, l'utilisateur achète un ensemble intégrant puissance CPU, mémoire, capacité de stockage et capacité réseau. A partir de ces éléments, il bâtit son datacenter virtuel sans toucher aux machines physiques. Reste à trouver les applications pour ce type d'environnements... Même si, a priori, le SDK (kit de développement logiciel) de Q-Layer promet le déploiement de ce que l'éditeur appelle fort opportunément des CloudApps. (...)

(07/01/2009 17:35:14)

Intel revoit à la baisse ses prévisions du quatrième trimestre

Intel s'attend à une chute de 23% de son CA pour le quatrième trimestre fiscal 2008 par rapport à la même période l'année précédente, suite à une baisse de la demande de processeurs. Selon le fabricant de puces, son CA trimestriel atteindrait 8,2 Md$, soit également 20% de moins que le trimestre précédent. Intel révise ses attentes une semaine avant la présentation de ses résultats prévue le 15 janvier prochain. Cette annonce intervient alors que les entreprises high-tech subissent de plein fouet la crise économique globale, avec un ralentissement des ventes de logiciel et de matériel. Intel a aussi prévenu qu'il subirait une perte plus importante que prévu dans certains investissements réalisés dans d'autres entreprises. Il signale une provision pour dépréciation d'actifs de 950 M$ au quatrième trimestre, liée à ses investissements dans Clearwire. Intel était une des cinq entreprises à avoir investi 3,2 Md$ l'an dernier dans l'opérateur Wimax avec Google, Comcast, Time Warner Cable et Bright House Networks. Le cours de bourse de Clearwire a atteint un pic de 17$ par action en février 2008 avant de chuter de façon constante. Mercredi, il dépassait à peine 5$. En tout, Intel prévoit désormais une perte de 1,1 à 1,2 Md$ due à des investissements dans d'autres entreprises, alors qu'il pensait qu'elle ne dépasserait pas 50 M$. L'entreprise estime par ailleurs que ses dépenses en R&D se limiteront à 2,6 Md$ alors qu'elles devaient représenter 2,8 Md$. Et elle estime enfin que ses charges dues à la restructuration et à la détérioration de ses actifs se monteront à quelque 250 M$. (...)

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