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(11/04/2012 11:34:51)

Solucom croque Eveho et ses 2 filiales

Solucom a de l'appétit. Après l'acquisition de son homologue Alturia Consulting le 2 avril, le cabinet de conseil vient de racheter la société Eveho et ses deux filiales, Eveho Actuariat et Eveho Services. Comme Alturia Consulting, ces entreprises délivrent des prestations de conseil en organisation et management, tout particulièrement aux acteurs du monde l'assurance, de la bancassurance, ainsi qu'aux groupes mutualistes et de protection sociale.

Fondée en 2005, le groupe Eveho compte aujourd'hui plus d'une trentaine de collaborateurs. L'an dernier, l'entreprise a réalisé un chiffre d'affaires supérieur à 3,5 M€. Une envergure moindre que celle d'Alturia Consulting qui affichait de son côté 80 collaborateurs et un chiffre d'affaires de 9 M€ au moment de son rachat. Ces deux opérations ont été financées en numéraire. (...)

(11/04/2012 11:18:15)

Obligée de se réorganiser, Overlap lance un PSE

Chez Overlap l'année fiscale commence le 1eavril. Le 3, Georges Horoks P-dg et fondateur organisait un kick off. Pour la 1èrefois dans la vie de l'entreprise, c'était l'annonce d'un PSE, et d'une réorganisation. La société veut économiser 4 millions d'euros en année pleine. Pour y arriver, elle supprime un étage de direction. Le dga est parti, Georges Horoks assume en direct la direction commerciale, pilotant les agences régionales, là où co-existaient un directeur Ile-de-France et deux directeurs régionaux, un pour le sud, l'autre pour le nord.

Un million d'euros seront dégagés par des économies classiques sur les frais de déplacement et des honoraires. Le PSE porte sur 10% des effectifs qui seront ramenés à 315 personnes. Un plan soumis à l'accord des représentants du personnel. Tous les services seront touchés, sauf le commercial qui au contraire sera renforcé avec une dizaine de recrutements. « J'ai identifié comme cause de nos difficultés le manque de bras en commercial » note Georges Horoks.

« Peu d'intégrateurs peuvent en dire autant »

Pour lui les difficultés sont venues d'un ou deux clients grands comptes eux-mêmes en, difficulté. « L'un d'eux est passé de plus de 8 ME de commandes à 1 ». Sinon, « Overlap est très bien positionné, sur les infrastructures IBM et HP évidemment, mais pas seulement , nous sommes très présents en infogérance et en virtualisation. Nous alignons plus de 16 collaborateurs consultants Citrix, peu d'intégrateurs peuvent en dire autant, et nous avons un pôle Oracle, des compétences VMware et Symantec. »

Overlap entend bien repartir de l'avant et devenir bénéficiaire sur son nouvel exercice, grâce à la fois aux économies réalisées et à de nouveaux débouchés commerciaux.

(...)

(11/04/2012 11:11:12)

Le poids du marketing digital s'accroit dans les entreprises

« En matière de marketing, les mots clés sont aujourd'hui multicanal en temps réel, mobilité et social » a estimé Karim Bahloul, directeur des études et de la recherche d'IDC France. Selon la dernière livraison de l'Observatoire SAS-IDC sur le marketing digital, les budgets globaux consacrés au marketing sont à peu près stables mais le poids du marketing digital, lui s'accroît, précisément pour couvrir les thèmes actuels. Et les DSI ont bien sûr leur rôle à tenir pour accompagner les directions marketing dans cette voie.

Selon IDC, le poids du digital dans les budgets marketing a crû de 40% sur la dernière année, passant de 15 à 21% du budget global. Cependant, cette croissance n'est pas uniforme. Le marketing social et les applications pour mobiles sont en pleine explosion mais demeurent pour l'instant marginaux avec encore moins de 10% du budget. A l'inverse, l'e-mail marketing commence sa descente aux enfers même s'il est encore très utilisé. Le plus gros du budget reste consacré, en masse et sans évolution notable, au web classique, y compris au e-commerce. Les efforts sur le référencement et l'optimisation du parcours client consomment toujours, notamment, une grosse part du budget digital.

Le web se sophistique

Les sites web sont ainsi progressivement rendus toujours plus sophistiqués. Les enseignes y intègrent de plus en plus du multi-canal, des outils sociaux et une optimisation pour les mobiles. Un des points importants reste la personnalisation de la relation. Il s'agit pour l'enseigne d'identifier son client et d'adapter ses propositions aux attentes individuelles de celui-ci. Parmi les points d'individualisation de la relation, il y a la géolocalisation. Ainsi, l'Etablissement Français du Sang a mené une opération de promotion par SMS géolocalisés : lorsqu'un donneur passait à côté d'un centre de collecte, il recevait un SMS pour l'inciter à s'y rendre. Karim Bahloul précise : « ce genre de campagne suppose d'utiliser des données fournies par les opérateurs. »

Saisir une opportunité au lieu de suivre le troupeau

Côté réseaux sociaux, les entreprises commencent à acquérir une certaine maturité. Les entreprises qui ont une vraie stratégie sont minoritaires (environ un quart) et celles qui investissent le sont encore plus (environ 4%). Mais l'attitude générale cesse malgré tout d'être un vague « j'y vais parce qu'il faut y aller » avec un résultat nul pour devenir une opportunité d'offrir un meilleur service aux clients. L'exemple typique reste l'envoi de promotions aux fans via les outils sociaux. Un moitié des entreprises sont très en retrait sur ces sujets.

Les freins au déploiement de vrais outils sociaux ne sont pas techniques. Toutes les technologies nécessaires sont en effet disponibles. Par contre, il semble toujours compliqué de calculer un retour sur un investissement et donc de débloquer des budgets. Et, évidemment, les modifications à mener sur les procédures et méthodes internes pour s'adapter à la nouvelle donne est une difficulté qu'il ne faut pas négliger. (...)

(10/04/2012 10:45:45)

Facebook débourse 1 milliard de dollars pour Instagram

Facebook crée la surprise en déboursant 1 milliard de dollars pour racheter Instagram qui développe une application de partage de photos pour terminaux mobiles dont l'utilisation s'est popularisée. Une transaction qui s'effectue en numéraire et en action, alors que la société de Mark Zuckerberg prépare son entrée en bourse. Le fondateur de la société rappelle que ses équipes travaillent depuis des années pour offrir le meilleur environnement de partage de photos en famille et entre amis. Désormais, elles vont collaborer étroitement avec celles d'Instagram pour le partage de photos sur mobiles entre personnes ayant les mêmes centres d'intérêt.

« C'est une étape importante pour Facebook parce que c'est la première fois que nous rachetons un produit et une société ayant autant d'utilisateurs », a souligné le jeune entrepreneur. « Nous ne prévoyons pas de faire beaucoup d'autres acquisitions de ce type, si ce n'est aucune autre ».

Des données sur les usages d'Instragram

L'application rachetée a d'abord été disponible sur iPhone avant d'être également proposée pour les terminaux sous Android. Mark Zuckerberg a insisté sur le fait qu'il voulait conserver son indépendance à Instagram, ajoutant que les utilisateurs du logiciel pourraient continuer à publier leurs photos vers d'autres médias sociaux tels que Twitter et n'auraient pas à les partager sur Facebook.

Le montant élevé de cette acquisition surprend beaucoup d'observateurs. Néanmoins, Dan Olds, analyste du cabinet The Gabriel Consulting Group, trouve que c'est intéressant pour Facebook. Il estime que ce rachat peut l'aider de diverses façons. « D'abord, il y a près de 10 millions d'utilisateurs d'Instagram, la grande majorité d'entre eux s'en servant pour publier sur Facebook. » L'analyse note qu'en possédant Instagram, la société de Mark Zuckerberg pourra renforcer l'intégration entre les deux. Un rapprochement plus étroit fournira au réseau social davantage d'informations sur ce que les utilisateurs font avec Instagram. Cette transaction aidera aussi à trouver des moyens d'analyser ces données et de les monétiser. « Cela pourrait aussi apporter à Facebook une brique qu'ils pourront utiliser avec leur propre application de type 'Pinterest' », ajoute Dan Olds. 

Pour Patrick Moorhead, analyste chez Moor Insights & Strategyt, Facebook devra étendre ce qu'Instagram peut faire. « C'est une initiative judicieuse pour eux s'ils l'intègrent comme une marque séparée et continuent à innover », estime-t-il. « Sinon, cela deviendra une répétition sans vie de Flickr ».

(...)

(06/04/2012 09:19:11)

Dépenses IT : Syntec Numérique prévoit une croissance de 1,2% en 2012

La profession dans son ensemble (SSII, éditeurs, conseil en technologie) confirme une croissance 2011 de 3,6% et une prévision de 1,2% pour 2012. Au mois de novembre dernier, le syndicat professionnel parlait de 1%. La progression est pour le moins faible, les membres du Syndicat ne cachent d'ailleurs pas un climat des affaires tendu. Derrière cette tendance globale, le cabinet IDC, qui a réalisé l'enquête (*), remonte des tendances venues des DSI ou des membres du Syntec. Dans le 1er cas, la tendance est plutôt positive, avec les prestataires elle l'est moins.

49% des DSI interrogés prévoient une augmentation de leur dépense informatique externe, 27% une stabilisation, 24% une diminution. Leur propension à externaliser les prestations IT augmente. 39% des DSI prévoient cette progression pour l'externalisation dans le domaine applicatif, 47% voient une stabilisation, 13% une diminution. Pour l'externalisation de l'exploitation, 32% la voient en augmentation, 61% stable, 8% en baisse. L'acquisition de logiciels packagés est en augmentation pour 37% des DSI, stable pour 44%, en baisse pour 19%. Enfin, 56% prévoient d'externaliser les fonctions applicatives, 35% de les stabiliser, 9% de les baisser.

Sans surprise, la mobilité, la modernisation des infrastructures  et l'achat de logiciels en SaaS sont les trois plus puissants leviers de croissance pour les DSI interrogés.

Les carnets de commande sont en amélioration

De leurs côtés, les prestataires sondés par IDC montrent « un niveau d'activité moins dynamique mais toujours positif ».  Les carnets de commande sont en amélioration pour 37% des sociétés, sans changement dans 40% des cas, dégradés pour 23%. La taille des nouveaux projets gagnés est en augmentation pour 25% des sociétés, stable pour 46%, en baisse dans 29% des cas. Le nombre de nouveaux projets gagnés augmente dans 34% des cas, est stable dans 39%, baisse dans 27%. Dernier item, celui du nombre total d'appels d'offres constatés, il est en hausse de 23%, stable dans 29% des cas, mais en baisse dans 48% des réponses.

Ces pourcentages concernent le 1ertrimestre 2012 comparé au 1ertrimestre 2011. L'enquête constate un effet de base défavorable puisque le 1ertrimestre 2011 était positif, et pointe trois facteurs : la diminution de la demande, la pression sur les prix, des cycles de décision allongés. IDC estime que 34 % des adhérents du Syntec Numérique interrogés constatent une renégociation des contrats en cours par les clients, 24% subissent un allongement des délais de paiement, 26% une plus grande difficulté à se faire référencer chez ces clients.


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Achats : le Syndicat dénonce

Guy Mamou-Mani et les dirigeants du Syntec Numérique insistent d'ailleurs fortement sur les politiques d'achat de leurs grands clients.  Depuis un mois, le Syndicat professionnel a mis en place une nouvelle politique. Si l'un de ses adhérents constate une volonté brutale de faire diminuer les prix chez un grand client, il alerte le Syntec Numérique. Celui-ci se déplace au plus niveau, pour rencontrer l'entreprise en question, également au plus haut niveau, mais pas dans un but d'affrontement.

Il s'agit de se parler. « Nous comprenons que des sociétés veulent diminuer leurs tarifs, nous allons les écouter, mais elles doivent comprendre aussi que nous ne pouvons aller au-delà de certains seuils vitaux », explique Pascal Brier, Président de la Commission Communication du Syntec Numérique. « On comprend que le client veut faire des gains de productivité, mais il faut qu'on les partage ».

« On nous demande de baisser les prix, mais c'est la méthode qui pose problème » explique GuyMamou-Mani. « Ce sera du winwin, certaines attitudes, certains comportements d'achat sont devenus trop brutaux. On discute avec toutes les entreprises qui ont ce comportement, on ne cède sur rien. Les DSI, les directions achat, les directions générales que nous rencontrons ont d'ailleurs un bon comportement, il faut aller plus haut pour négocier».

Le Syndicat s'inspire des outils et de l'esprit instillés par Jean-Claude Volot, médiateur national de la sous-traitance et des relations interentreprises au travers de sa Commission. Donc en évitant toute issue judiciaire, au profit d'une négociation et d'un partage de la valeur ajoutée. Un voeux pieux ?

 (Nous reviendrons demain sur l'aspect social de cette conférence)

 (*) L'enquête terrain a été réalisée en février mars 2012 à partir d'une enquête terrain semestrielle menée auprès de 210 dirigeants de PME et ETI, une enquête trimestrielle avec 50 dirigeants de grands comptes, 50 DSI (panel semestriel). Des consultations et tours de table qualitatifs la complètente avec des adhérents du Syndicat, des analystes financiers et marché, des organismes nationaux et internationaux.

 

 

(...)

(05/04/2012 11:58:19)

Micropole nomme un directeur des régions France

Jean-Paul Goury devient directeur des régions France chez Micropole et entre au comité de direction de la société. Jusqu'alors, cette fonction était exercée par le directeur général adjoint Cédric Pin. Les régions représentent 20% du CA de Micropole, l'objectif est de passer à 30% dans trois ans.

Jean-Paul Goury était directeur régional Rhône-Alpes depuis 2006, il avait rejoint la société en 2003. Auparavant, Jean-Paul Goury avait évolué chez Gammaprog (consultant SI), CSO Informatique (directeur agence lyonnaise), Focal (directeur commercial), Innetis (directeur commercial ingénierie).

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(05/04/2012 11:40:18)

Croissance externe pour Damilo avec les rachats d'Arkes Informatique et Timarance

Le groupe de conseil et de services d'ingénierie informatique présidé par Michel Teman continue de grandir à coup de rachats. Déjà acquéreur de huit sociétés depuis 2008, Damilo a repris Timarance et Arkes Informatique fin mars 2012. Ces deux structures ont été créées en 2001 par Hali Hassaine qui en devient aujourd'hui le directeur des opérations. Basées à Paris, elles ciblent les grands comptes, notamment ceux des secteurs de la banque et de l'industrie. Une clientèle à qui elles proposent des services autour de l'infrastructure des systèmes d'information (gestion des ressources IT, intégration et infogérance d'exploitation).

Pour Damilo, les activités menées par Timarance et Arkes constituent un axe de développement stratégique. Principalement présent dans le monde de l'applicatif, le groupe souhaite en effet renforcer ses positions sur les marchés de la production et l'infrastructure « où les gros contrats se signent aujourd'hui ». En 2010, Damilo avait commencé à opérer ce mouvement en rachetant Architech, une société justement présente sur le marché des infrastructures. Celle-ci passe également sous la direction opérationnelle d'Ali Hassaine pour développer les synergies avec Timarance et Arkes.

Un pôle infrastructure de 70 personnes et bientôt 100

Au total, le pôle infrastructure de Damilo dispose aujourd'hui d'un effectif de 70 personnes constitué pour moitié des collaborateurs d'Architech d'une part, et de ceux de Timarance et d'Arkes d'autre part. A très court terme, l'effectif des trois sociétés devrait passer à 100 personnes. Avec ses deux dernières acquisitions, le groupe dispose d'ores et déjà d'un effectif de 480 collaborateurs, présents en France, en Belgique et au Canada. En 2011, il a dégagé un chiffre d'affaires de 48 M€ (dont 15% hors de France et 10% dans l'infrastructure) tandis que Timarance et Arkes en réalisaient 3 M€. Fort de son nouveau périmètre d'activité, Damilo anticipe que ses revenus atteindront 54 M€ cette année.

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(05/04/2012 11:35:16)

3 000 visiteurs attendus à la 16e édition de la Mêlée Numérique

Le salon La Mêlée Numérique s'apprête à franchir un nouveau cap cette année, à la fois en termes de visitorat (3 000 personnes sont attendues les 25 et 26 avril prochains au Centre des Congrès Diagora à Labège, près de Toulouse), d'exposants (150) et de contenus (60 ateliers et conférences).

Considéré depuis plusieurs années comme un des principaux salon TIC en province, La Mêlée Numérique renforce par ailleurs son attractivité en annonçant les interventions de personnalités influentes du monde Internet. Parmi elles, on peut notamment citer Loïc Le Meur, un des blogueurs les plus suivis au niveau mondial, Georges Nahon, Président de Orange Labs à San Francisco, Frédéric Cavazza, suivi par plus de 45 000 personnes sur Twitter, Pierre Cauchois, responsable chez Microsoft des relations techniques avec les développeurs Mobilité & Embarqué, Robin Chase, élue par le magazine Times parmi les 100 personnes les plus influentes du monde et fondatrice de Zipcar, Edial Dekker, Pdg de Gedsy, Michel Ktitareff, correspondant des Echos dans la Silicon Valley et spécialiste des clean technologies, ou encore Gilles Perrault, Président de l'association ACCID et du Comité 21.

Trois nouvelles thématiques seront proposées durant les deux jours du salon : la ville du futur, la mobilité et les enjeux du big data et de l'open data. Autre temps fort du salon : la remise des 10èmes Trophées de l'économie numérique, le 25 avril en fin d'après-midi. Enfin, La Mêlée Numérique renouvelle son système de Convention d'Affaires, qui permet aux professionnels de préparer en amont de l'événement des rendez-vous personnalisés.

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(05/04/2012 10:30:09)

Yahoo licencie 2 000 salariés pour économiser 375 millions de dollars

Selon un communiqué, l'entreprise de services Internet a commencé à informer les employés sur la nature de ces licenciements et sur les évolutions à venir dans l'entreprise. En procédant à ces suppressions d'emploi, Yahoo espère économiser 375 millions de dollars. Selon le site Web de l'entreprise, basée à Sunnyvale en Californie, Yahoo comptait environ 14 100 employés à temps plein au troisième trimestre 2011. « Les mesures annoncées aujourd'hui marquent une étape importante dans la construction d'une entreprise plus audacieuse, mais aussi plus petite, plus réactive, plus rentable et mieux armée pour innover aussi vite que nos clients et au rythme rapide de ce secteur », a déclaré Scott Thompson, PDG de Yahoo, dans un communiqué. « Nous allons concentrer nos efforts sur nos activités principales et redéployer nos ressources pour les affecter à des priorités plus urgentes. »

Ancien président de PayPal, propriété d'eBay, Scott Thompson, qui a pris ses fonctions à la tête de Yahoo en janvier dernier, a également déclaré que les utilisateurs et les annonceurs étaient sa priorité. « Nous prenons des mesures énergiques pour atteindre cet objectif, «  a-t-il ajouté. « Malheureusement, pour y parvenir, nous avons dû prendre la décision difficile de supprimer des postes. Nous accordons beaucoup de valeur à nos personnels et à toutes leurs contributions dans Yahoo. » Pour l'instant, le communiqué ne précise pas dans quels départements auront lieu les dégraissages.

Une restructuration avant la cession de l'entreprise ?

Début avril, certaines informations laissaient entendre que les dirigeants de Yahoo étaient en train de préparer une réorganisation majeure, laquelle se traduirait par des milliers de licenciements. Ces dernières semaines, les analystes du secteur déclaraient que Yahoo cherchait sans doute à réduire ses coûts, avec en arrière-plan l'idée d'attirer des acheteurs en vue d'une revente. D'autres analystes ont plutôt estimé que le PDG de Yahoo voulait remettre l'entreprise sur pied.

Le pionnier de l'Internet a pris beaucoup de retard face à des géants comme Google et Facebook. Ces derniers mois, Yahoo était en pleine turbulence. À commencer par des bouleversements en septembre au niveau de la direction, avec l'éviction de l'ancien CEO Carol Bartz. Ces perturbations ont donné lieu à de nombreuses rumeurs, certaines annonçant même que Microsoft et Google envisageaient de racheter Yahoo. Depuis, le co-fondateur de Yahoo, Jerry Yang, a quitté l'entreprise, suivi par le président du conseil d'administration Roy Bostock et de trois autres administrateurs.

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(05/04/2012 10:21:33)

L'arrivée de Free Mobile n'a pas simplifié les forfaits des concurrents

Seuls 15% des personnes interrogées pensent que les tarifications des forfaits mobiles sont désormais plus claires depuis l'arrivée de Free Mobile. A l'inverse, 83% ne s'y retrouvent toujours pas : pour 11% c'est encore moins compréhensible qu'avant, tandis que rien n'a changé pour 72% des sondés.

D'autre part, il apparaît que la cote de popularité des opérateurs dépasse les 60% de satisfaction. En tête de ce classement, SFR (69% de personnes interrogées ont une très bonne ou assez bonne image de la marque) devance, dans l'ordre, Orange (66%), Free (62%) et Bouygues Telecom (61%).

Cette étude a été réalisée en ligne par Harris Interactive pour Jechange.fr, les 21 et 22 mars 2012, auprès d'un échantillon de 1.474 individus représentatifs de la population française âgée de 18 ans et plus.

Pour consulter l'étude : www.jechange.fr/telecom/mobile/news/etude-jechange-free-mobile-complexite-04-04-2012-2524

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