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(04/04/2012 17:08:55)

Information Builders projette sa plate-forme BI dans les clouds partenaires

Information Builders, le leader mondial dans les solutions de Business Intelligence, a ajouté une série d'améliorations à sa plate-forme Webfocus BI (business intelligence) pour la rendre plus attrayante auprès des vendeurs de logiciels indépendants et des autres fournisseurs qui souhaitent proposer son outil de BI sous forme de service cloud.

En premier lieu, Information Builders a ajouté à son produit le support pour les déploiements multi-tenant, une architecture logicielle classique dans les applications cloud, qui permet au fournisseur de servir un grand nombre de clients à partir d'une seule instance d'application, et d'adapter son service à la demande.

Plus de sécurité pour les clients multitenant

De nouvelles fonctions de sécurité permettent quant à elles un contrôle plus précis des autorisations, en particulier pour définir quels éléments de la plate-forme Webfocus sont accessibles aux clients. Selon la déclaration d'Information Builders, les fournisseurs peuvent ainsi « se différencier de leurs concurrents et monétiser leur service de reporting, parce que leur offre peut être plus sélective et se comporter par exemple des rapports d'analyses standards, la planification de rapports, le partage de contenu entre utilisateurs finaux et l'administration déléguée. »

D'autres améliorations en matière de sécurité permettent d'intégrer les sources de données et le niveau d'un système utilisateur à des groupes LDAP (Lightweight Directory Access Protocol). Information Builders a également créé des « formulaires d'accueil de locataire » afin de faire entrer plus rapidement de nouveaux clients en direct dans le système.

Real multi-tenant ?

Boris Evelson, vice-président de Forrester Research a réagi avec circonspection à l'annonce d'Information Builders. « C'est tout ce que l'on met derrière les fonctionnalités multi-tenant qui compte vraiment », a-t-il dit dans un courriel. « Il ne faut pas confondre le multi-tenant avec la capacité de supporter des projets multiples, tout type d'applications, des services multiples, au sein d'une même entreprise. Tous les outils de BI en sont capables. Mais il y a toujours une fonction administrateur qui a accès à tout », a-t-il ajouté. « Dans un véritable environnement multi-tenant, il faut un administrateur locataire individuel unique et un superadministrateur. Cela suppose une refonte importante et c'est une nouvelle architecture pour la plupart des vendeurs traditionnels de BI. Si c'est ce que propose Information Builders, alors, c'est très appréciable, » a déclaré M. Evelson.

Webfocus 8 est basé sur un référentiel de base de données transformé qui repose sur « un nouveau système d'adressage hiérarchique du nom de Information Builders File System (IBFS). Celui-ci est entièrement intégré à notre nouveau sous-système de sécurité », a déclaré Jim Thorstad, directeur technique chez Information Builders. Le système permet d'isoler complètement les utilisateurs et des administrateurs locataires dans un environnement WebFOCUS partagé géré globalement par le fournisseur, » a-t-il ajouté.

(...)

(04/04/2012 11:21:33)

Annuels Acteos : 15% de progression annuelle

L'éditeur de supply chain, Acteos, publie ses résultats annuels. Le chiffre d'affaires se monte à 11,7 millions d'euros (ME) en 2011 en progression de 11% par rapport à l'exercice précédent. En France, le CA grimpe de 11% à 6,9 ME, en Allemagne, il progresse de 20% avec un CA de 4,8 ME (40% de l'activité). La rentabilité est également à deux chiffres, avec une marge brute en hausse de  12% à 9 ME, un résultat opérationnel en hausse de 23% à 0,6 ME, un résultat net qui double à 1,3 ME. (...)

(04/04/2012 11:19:27)

Aspaway réorganise son capital pour assurer sa croissance

Créée en octobre 2000, la société Aspaway a connu la 1ère formule du cloud, l'ASP, qui lui a donné son nom. Elle a traversé le on demand avant d'arriver aujourd'hui au SaaS.  Le tout sur une ligne simple : de l'hébergement dans le monde IBM. Un investisseur privé accompagnait de façon minoritaire les 4 fondateurs depuis leurs débuts. Indispensable pour assurer les investissements nécessaires. Il devait sortir au bout de 5 à 7 ans. Ce départ s'est réalisé plus tard que prévu.

Les dirigeants de la société voulaient de leur côté en garder le contrôle. « Nous étions de plus en plus sollicités par des entreprises voulant entrer dans notre capital » nous précise Michel Theon le pdg d'Aspaway, mais nous souhaitions,  les quatre associés fondateurs, rester majoritaires. Nous avions envie de continuer. « Bref, Aspaway a voulu rester le même tout en changeant d'actionnaire minoritaire. Un exercice peu commun dans le monde IT. Le cabinet Aelios Finance a accompagné la société et dégoté la formule du OBO, owner by out,  qui a permis de faire sortir le précédent investisseur privé pour faire entrer le nouveau, le fonds Alliance Entreprendre.

Devenir plus visible

L'arrivée d'Alliance Entreprendre rend la société beaucoup plus visible et lui permettra de réaliser des opérations de croissance externe. Mais de manière maîtrisée. « Nous sommes sur un marché dont tout le monde parle, note Michel Theon, mais les offres sont supérieures à la demande. Le client n'a pas grandi aussi vite que les nouveaux prestataires, partis très vite, sans forcément de qualité de service associée. Ils  vont se fragiliser, comme ce fut le cas pour plusieurs acteurs du marché de l'ASP au début des années 2000

Dans les deux années à venir, Aspaway compte effectuer une ou plusieurs opérations de croissance externe. La société se classe actuellement aux alentours de la dixième place en France sur le marché de l'hébergement avec beaucoup de compétiteurs entre 800 000 et 2 millions d'euros, donc à sa portée et qui auront du mal à tenir la distance. Aspaway en revanche reste sur une forte croissance organique.

« Il y en a qui vont souffrir »

« 2011 fut une année sportive, plus dure que les précédentes, avec des compétiteurs plus présents mais très en retard, et tirant les prix vers le bas » relève Michel Theon. La société a réalisé 9 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA) en croissance organique de 20%. « 2012 sera une année intéressante, où les clients vont regarder de près les tarifs et les prestations proposéesil y en a qui vont souffrir». La qualité serait tirée vers le bas, avec des disques lents, du stockage machine en lieu et place d'une virtualisation sur des baies. Ce qui explique la fragilisation prévisible de plusieurs acteurs de l'hébergement.

Aspaway prévoit également d'élargir ses offres, avec un axe cloud estampillé Aspaway et des offres verticales lancées avant l'été.

 

 

(...)

(04/04/2012 11:12:14)

Annuels Everwin : un CA de 8,3 millions en 2011

L'éditeur Everwin, né en janvier 2011 de la fusion entre MFP Soft et Apsilys, publie son premier exercice financier annuel. La société progresse de 18%, à 8,3 millions d'euros (ME) de chiffre d'affaires (CA), par rapport à l'exercice précédent des deux sociétés fusionnées.

Pour 2012, Everwin vise la même performance, avec un CA prévu entre 9,2 et 10 ME. Quinze recrutements sont prévus, dans le commercial ou le technique.

(...)

(04/04/2012 11:00:57)

Renouvellement des administrateurs du club des utilisateurs francophones de SAP

Lors de son Printemps le 20 mars 2012, l'USF (association des Utilisateurs Francophones de SAP) a réuni son Assemblée Générale. Celle-ci a renouvelé le Conseil d'Administration qui a ensuite reconduit Claude Molly-Mitton (en photo) comme président pour la troisième année consécutive. Quatre nouveaux entrants ont été élus : Alexis Beck Djevaguiroff (Président de la Commission « Ile de France - PME », Sequans Communications), Patrick Boquet (Thales Avionics), Eric Hoffstetter (Président de la Commission « Grand Est », Sew Usocome), et Andreas Latz (GDF Suez).

L'USF a annoncé vouloir poursuivre son développement. Cela passe notamment par la création de nouvelles commissions régionales. Classiquement, celles-ci s'adressent davantage aux PME que les commissions thématiques nationales. La prochaine à être créée devrait être celle de la région Rhône-Alpes. L'USF envisage également la création d'une telle commission régionale dans des pays francophones, notamment au Maghreb.

Toujours plus de collaboration interne et externe

S'alignant sur la croissance externe de SAP, l'USF a déjà intégré le club utilisateur de Business Object. En 2012, l'USF devrait étendre sa compétence à des produits comme Sybase et Success Factor. Mais une telle extension de compétences ne se fera pas au détriment d'une collaboration renforcée avec d'autres associations, notamment le Cigref.
La collaboration sera également renforcée en interne grâce à une refonte du site web de l'association. Celui-ci se verra doté de nouvelles fonctions collaboratives et de forums redynamisés.

Enfin, l'USF s'impliquera toujours plus dans le programme lancé fin 2011 en France à l'initiative conjointe de SAP et du « club international des dirigeants de clubs utilisateurs SAP », le Sugen : « Customer Connection ». Il s'agit d'un programme de co-innovation et d'influence sur la feuille de route SAP. (...)

(02/04/2012 13:57:25)

RIM dément vouloir abandonner le marché grand public

Dans une déclaration envoyée par mail à nos confrères du site Techworld.com, RIM affirme que son intention est de rester compétitif dans le secteur du « bring your own device » et de proposer une offre attractive sur ce marché. « Les informations qui prétendent que RIM se retirera du marché grand public sont tout à fait infondées », a déclaré Patrick Spence, senior vice-président et directeur général des ventes mondiales et du marketing régional. « Certes, nous avons fait savoir que nous allions recentrer nos efforts sur nos secteurs les plus productifs, et sur notre base clientèle professionnelle. Mais nous avons été très explicites sur le fait que nous continuerions à miser sur des secteurs grand public ciblés en nous appuyant sur nos points forts, à savoir le BlackBerry Messenger (BBM), la sécurité et la facilité de gestion de notre plate-forme. »

RIM a en outre précisé ses projets pour stimuler ses ventes de smartphones BlackBerry 7, et a confirmé son intention de lancer de nouveaux terminaux dans les prochains mois pour regagner du terrain sur le marché des smartphones d'entrée de gamme. Le constructeur va également chercher des partenaires pour offrir des fonctionnalités grand public qui sont peut-être absentes de l'offre de RIM. Même si, avec le BlackBerry, RIM a plutôt prospéré sur son marché traditionnel de l'entreprise, ses terminaux ont été bien accueillis ces dernières années par les adolescents et les étudiants, attirés notamment par le service de messagerie instantanée gratuit, BlackBerry Messenger (BBM).

 

Lors de la communication de ses résultats financiers en fin de semaine dernière, RIM a révélé que son chiffre d'affaires avait reculé de 25% au cours du dernier trimestre fiscal par rapport à l'année précédente, l'équivalent de 5,6 milliards de dollars. Cette baisse des recettes s'est accentuée après le lancement des smartphones BlackBerry 7 à l'automne 2011. Le BlackBerry 7 visait principalement les propriétaires de « feature phones » qui souhaitaient acquérir leur premier smartphone. Face au peu de succès de son mobile, RIM avait dû brader un grand nombre de smartphones BlackBerry et de tablettes PlayBook, pour liquider ses stocks.

 

RIM continue à croire que son prochain système mobile BlackBerry OS 10 - attendu à l'automne prochain - permettra de relancer l'entreprise et de faire à nouveau rentrer de l'argent. Le constructeur a demandé aux actionnaires de n'attendre aucun redressement avant cette date, et RIM les a avertis qu'elle ne communiquerait plus aucune information sur les performances financières de l'entreprise, au moins jusqu'à cette date.

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(30/03/2012 12:00:39)

Le gouvernement chinois demande au PDG d'Apple de mieux traiter les salariés

Selon les médias officiels, lors de sa rencontre avec Tim Cook, le PDG d'Apple, en début de semaine, un haut responsable chinois a appelé les entreprises étrangères à mieux traiter les salariés de son pays. Le fabricant de l'iPad et de l'iPhone avait déjà essuyé certaines critiques concernant les mauvaises conditions de travail dans les usines chinoises de son fournisseur Foxconn. Le lendemain de sa visite au maire de Pékin, Tim Cook a rencontré le vice-premier ministre Li Keqiang. Selon les experts, ces contacts étaient destinés à renforcer les liens entre Apple et le gouvernement chinois, à un moment où le pays a pris une importance primordiale dans la fabrication et les ventes de produits d'Apple.

Selon les informations diffusées mercredi par Xinhua News Agency, au cours de la rencontre, Li Keqiang a déclaré à Tim Cook qu'il espérait qu'Apple et les entreprises étrangères renforceraient leur coopération avec la Chine, et favoriseraient le développement industriel dans les régions centrales et occidentales du pays. Cependant, le vice-premier ministre a également manifesté son souhait que les multinationales fassent plus de cas de leurs ouvriers chinois.

Un audit mené par une ONG

En réponse aux critiques concernant les conditions de travail dans les usines de Foxconn en Chine, Apple a défendu sa politique. Pour preuve de sa bonne foi, le constructeur a également autorisé une ONG qui milite pour le droit du travail à effectuer un audit interne auprès de ses fournisseurs chinois. Mercredi, Tim Cook s'est lui-même rendu dans l'une des usines de Foxconn. Apple a ensuite publié des photos de son PDG où on le voit près d'une ligne de production de l'iPhone, sur un tout nouveau site de Foxconn qui emploie 120 000 personnes.

C'est la première visite de Tim Cook dans le pays en tant que PDG d'Apple. Celui-ci était déjà venu dans le pays en 2010, avant d'être nommé à la tête d'Apple. Il s'agissait alors d'enquêter sur les conditions de travail en vigueur dans les usines de Foxconn à la suite d'une série de suicides parmi les salariés.

Apple VS Proview, détenteur de la marque iPad en Chine 

En Chine, Apple doit aussi faire face à une bataille juridique très médiatisée à propos de la propriété de la marque iPad, un procès sensible qui pourrait déboucher sur l'interdiction de la vente de sa tablette emblématique dans le pays. Une entreprise chinoise peu connue du nom de Proview, et actuellement au bord de la faillite, avait acquis la marque déposée iPad pour la Chine en 2001. Proview affirme qu'elle n'a jamais revendu ses droits à Apple en 2009. Un tribunal chinois doit délibérer prochainement sur ce dossier.

Lors de la rencontre, le vice-premier ministre chinois, Li Keqiang, a également appelé à une concurrence loyale et une meilleure protection de la propriété intellectuelle entre les entreprises nationales et étrangères installées dans le pays. Tim Cook a répondu que son entreprise souhaitait approfondir sa coopération avec la Chine, dans le respect de la loi chinoise.

Mardi, un représentant de Proview a diffusé sur un microblog un message indiquant que son entreprise maintiendrait ses poursuites contre Apple concernant la propriété intellectuelle de la marqueiPad « pendant cinq ou dix ans », quels que soient les efforts entrepris par le PDG du groupe américain pour obtenir le soutien du gouvernement chinois. « Nous croyons fermement que, quelles que soient les conséquences de la visite de Tim Cook sur la relation entre Apple le gouvernement chinois, le verdict pour violation de la propriété intellectuelle par Apple est sur le point d'être connu, et l'entreprise devra être sévèrement punie, comme le prévoit la loi du pays », a écrit Li Su, qui dirige le conseil de gestion de Proview.

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(30/03/2012 11:26:15)

Oracle étoffe son offre dans la santé avec ClearTrial

Ce n'est pas la première fois qu'Oracle procède à des acquisitions dans le domaine de la santé et, plus précisément, dans celui des essais cliniques. En avril 2010, le groupe californien avait ainsi racheté pour 685 millions de dollars l'éditeur Phase Forward, situé sur la côte Est des Etats-Unis. Un an plus tôt, il avait déjà ajouté à son catalogue les solutions de Relsys, un éditeur californien spécialisé dans les solutions de pharmacovigilance. Cette fois, il rachète ClearTrial, une société qui propose des applications de gestion des tests cliniques disponibles en mode SaaS (software as a service). Le montant et les termes de la transaction n'ont pas été précisés. Celle-ci devrait être finalisée au cours de ce premier semestre.

Le coût des essais cliniques est à la hausse et les logiciels de ClearTrial vont apporter à l'offre d'Oracle des capacités supplémentaires d'analyse budgétaire et prévisionnelle pour essayer de diminuer ces dépenses, explique l'éditeur dans un communiqué. Les solutions ainsi acquises sont complémentaires aux produits qu'il possède déjà, ajoute-t-il en affirmant aussi que les investissements réalisés par les clients de ClearTrial seront préservés. Parmi les entreprises utilisatrices figurent quelques-uns des grands groupes pharmaceutiques mondiaux. On y trouve notamment l'Américain Genentech (du groupe suisse Roche) et Astra-Zeneca (fusion en 1999 du Suédois Astra et du Britannique Zeneca).

Un marché en croissance qui génère de solides marges

Pour l'analyste Ray Wang, PDG de Constellation Research, les rachats de ces trois éditeurs spécialisés illustre l'intention d'Oracle de couvrir le secteur de la santé de bout en bout, depuis la recherche sur les médicaments jusqu'à la gestion du dossier de santé des patients. Selon lui, l'éditeur devrait continuer à faire des acquisitions dans ce secteur, compte tenu de la croissance de ce marché entraîné par le vieillissement de la population et les marges importantes qu'il génère. Cette stratégie fournit aussi à Oracle l'occasion de vendre sa base de données et ses suites de gestion intégrées (il possède plusieurs ERP à son catalogue, dont une offre en mode SaaS, Fusion Applications, qu'il a commencé à commercialisé au cours des derniers mois) aux professionnels de la santé. Une stratégie qu'il met en oeuvre sans faillir depuis une dizaine d'années maintenant dans différents secteurs d'activité.

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(30/03/2012 10:21:20)

Infogérance d'infrastructure : SCC va renforcer son Service Desk

Composé 80 techniciens aujourd'hui, l'effectif du centre de support technique (service desk) mutualisé que SCC héberge dans ses locaux de Lieusaint (77) devrait passer à 150 personnes d'ici la fin 2013. Le revendeur grands comptes à déjà bien balisé son plan d'embauche de techniciens et d'ingénieurs en programmant trois sessions de recrutement. La première s'achèvera fin avril et vise l'entrée de 35 nouveaux collaborateurs dans la société. La seconde se terminera fin 2012 avec en ligne de mire le ralliement de 15 personnes. Enfin, une vingtaine d'autres personnes devraient être recrutées d'ici la fin 2013.

En embauchant de la sorte, SCC anticipe sur la forte croissance d'activité qu'il attend de son service Desk dans l'année et demie qui vient. A l'issue cette période, le chiffre d'affaires de cette structure qui compte actuellement une centaine de client devrait avoir été multiplié par deux. Elle le devra notamment à la récente signature d'un contrat d'importance avec un client industriel qui va monopoliser à lui seul 40 collaborateurs du support technique de Lieusaint. (...)

(30/03/2012 10:21:26)

Annuels SQLI : La SSII améliore sa rentabilité malgré un CA en baisse

SQLI confirme les résultats préliminaires envisagés il y a un mois. La SSII annonce une baisse de 5,4% de son chiffre d'affaires (CA) annuel à 164,7 millions d'euros. A périmètre comparable, les facturations sont en léger repli de 0,2%. La société explique s'être recentrée sur des activités stratégiques et l'amélioration de sa gestion (hausse du taux d'activité et baisse des frais de structure).

Les chiffres de la rentabilité sont positifs. Le résultat opérationnel courant grimpe de 5,7%, à 8,3 millions d'euros. Le résultat opérationnel progresse de 7,9% à 8,2 M€. Le résultat net part du groupe est en hausse de 5,9% à 4,1 M€. Le groupe tire un trait sur deux exercices annuels déficitaires.

SQLI aborde 2012 dans de meilleures conditions. La société a engagé un plan stratégique, le plan Boost qui en est à sa deuxième phase. Après celle de la rationalisation, elle entame celle de l'efficacité opérationnelle, marquée par de meilleures synergies entre les différentes entités. Elle n'exclut pas des opérations de croissance externe.

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