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(21/05/2008 11:09:55)
BMC UserWorld : BMC guère touché par le rachat d'EDS par HP
A en croire Bob Beauchamp, président et CEO de BMC, le rachat d'EDS par HP serait plutôt une bonne chose pour lui. C'est à peine, d'ailleurs, s'il a évoqué HP, qui est pourtant son principal concurrent, devant IBM et CA, lors de son discours d'introduction mardi matin, à l'occasion de sa conférence utilisateurs à Lisbonne. Visant HP mais aussi IBM, Microsoft et d'autres, il a ainsi expliqué que BMC était le neuvième éditeur mondial et se consacrait à 100% aux logiciels d'administration, alors que d'autres du Top 10 vendaient aussi « des imprimantes, des bases de données, des systèmes d'exploitation, des offres d'outsourcing... » Lors d'une conférence de presse, Bob Beauchamp a ensuite reconnu que l'acquisition d'EDS avait des impacts négatifs, dans la mesure où BMC était justement en train de devenir la solution d'administration de référence chez EDS. Toutefois, a-t-il aussitôt enchaîné, il y a des aspects positifs. Il s'attend à ce que des acteurs du service, qui considéraient jusque-là HP comme un fournisseur neutre de ce point de vue, veuillent resserrer leurs liens avec BMC. BMC pas très enclin à racheter dans le service En outre, tout comme pour IBM qui est à la fois un compétiteur (si on considère la gamme Tivoli) et un apporteur d'affaires (en ce qui concerne la branche services), Bob Beauchamp pense que HP pourrait devenir un 'coopétiteur' : « Je m'attends à ce que nous ayons de bonnes relations sur le marché du mainframe », dit-il. BMC réalise encore en effet environ 40% de son chiffre d'affaires sur le mainframe. « Un marché à faible croissance mais très profitable », de l'aveu de Dev Ittycheria, qui a rejoint la direction de BMC suite au rachat de sa société, BladeLogic. [[page]] Quant à la possibilité que BMC suive le même chemin en rachetant une société de services et de conseil, elle est très faible, assurent en choeur tous les dirigeants de l'entreprise. Ce que résume ainsi Bob Beauchamp : « Dans le domaine des services, les acquisitions sont très risquées, car on achète des gens, qui peuvent partir ; nous ne sommes donc généralement pas très enclins à ce genre d'acquisition, mais nous examinons les opportunités. » Les ventes et le service dirigés par la même personne Dans tous les cas, BMC est loin de dédaigner le service : c'est sur cette branche que repose la nouvelle stratégie de vente du groupe. D'ailleurs, le patron de la branche services est aussi le patron des ventes, il s'agit de Cos Santullo. Qui a expliqué sa vision lors de la conférence utilisateurs : pour lui, l'important n'est pas de vendre des logiciels au client, mais de l'aider à aller vers son objectif. Pour un projet de vente, il faut donc un chef de projet qui connaisse bien le client et son métier, lequel fera appel à des spécialistes au sein des unités produits. « Une organisation comme celle-ci fonctionne très bien lorsqu'on a une masse critique, mais dans certains pays, en Europe notamment, les ressources peuvent être mutualisées entre plusieurs pays, nous a-t-il confié. Les partenaires, comme Devoteam, peuvent aussi intervenir dans le processus. » La France, forte de quelque 150 personnes, dispose de cette masse critique suffisante, assure Eric Lecoq, patron de la filiale. (...)
(20/05/2008 18:23:08)BMC UserWorld : BMC intègre l'automatisation de la gestion des serveurs
Lisbonne accueille jusqu'à jeudi la conférence utilisateurs de BMC. L'occasion pour l'éditeur d'expliquer en détail sa stratégie et sa vision à ses clients et ses partenaires. BMC est en effet venu sans annonce dans son chapeau, mais le redécoupage de l'offre lié à la récente acquisition de BladeLogic pourrait à lui seul suffire pour occuper plusieurs sessions. Président et CEO de BMC Software, Bob Beauchamp a ouvert le bal mardi matin en rappelant les bons résultats du groupe, tout juste annoncés (voir ci-dessus), et l'arrivée chez BMC de BladeLogic et de son patron, Dev Ittycheria, qui a accepté le rôle de vice-président senior du nouvel ensemble, avec la responsabilité d'en superviser le développement et la stratégie. BMC est depuis 5 ans le héraut du BSM (Business service management) et son positionnement reste identique. Le BSM vise à donner au service informatique les moyens d'optimiser son travail et de fournir à son client, la direction métier de l'entreprise, un service de qualité ainsi que la preuve de la qualité de ce service. Comme aime à le rappeler BMC, il ne s'agit pas seulement d'afficher des feux verts ou rouges pour certains composants techniques ou applicatifs, mais de redéfinir et de superviser des processus liés à des services business. L'offre BMC s'articule désormais en trois sphères autour d'une CMDB commune Avec l'arrivée de BladeLogic, BMC a gagné une suite d'outils d'automatisation dans le domaine des serveurs, qui vient compléter les outils que l'éditeur proposait déjà pour les réseaux (grâce au rachat d'Emprisa) et pour les clients (grâce au rachat de Marimba). Il devenait urgent, en effet, d'avoir une offre à même de superviser et d'automatiser la gestion de milliers de serveurs physiques et virtuels. Comme nous l'explique Peter Armstrong, évangéliste de BMC, « la virtualisation est typiquement un domaine qui a évolué très vite, nous ne pouvions nous permettre d'attendre deux ans, le temps d'écrire un outil nous-mêmes ». [[page]] BMC articule donc désormais son offre en trois sphères : le « service support », qui repose essentiellement sur l'offre Remedy de support aux utilisateurs, le « service assurance », qui repose essentiellement sur l'offre Patrol de supervision technique et les outils d'analyse prédictive hérités de Proactivenet, et le « service automation », comprenant donc la suite d'automatisation de la gestion des serveurs, des postes de travail et des réseaux. Les trois sphères sont soudées entre elles par l'offre Atrium, une série de technologies communes aux trois, dont la CMDB (Configuration management database, référentiel des actifs informatiques et de leurs interrelations) et un outil de workflow. Des gains de productivité observés chez les clients de BladeLogic/BMC En prévision de l'événement, Dev Ittycheria a compilé quelques exemples concrets d'économies et de gains de productivité réalisés par des clients grâce aux outils d'automatisation. Pour mettre à jour ses applications d'infrastructure sur 5000 serveurs, France Telecom n'aurait ainsi plus besoin que de trois jours, alors qu'il lui fallait quatre semaines auparavant. Le déploiement d'une application type chez Expedia, qui nécessitait 15 personnes sur 12 heures, ne demanderait plus aujourd'hui que 2 personnes sur 3 heures. Chez Capgemini, un administrateur pouvait superviser 22 serveurs avant, contre 166 aujourd'hui. Chez Telecom Italia, le temps de diagnostic d'un incident serait passé de 2 jours à 90 minutes, et le coût par incident de 435 à 295 euros. Une autre statistique attire l'attention chez Telecom Italia : le taux de succès lors du déploiement d'une application aurait grimpé de 38% à 94%. Dans son portfolio, BladeLogic dispose en effet d'un outil capable de prendre en amont le code d'une application et de l'accompagner au travers du processus d'assurance qualité jusqu'au déploiement, afin d'éviter le maximum d'erreurs, de configuration notamment. Cette échappée, du domaine de l'opérationnel vers le domaine des études et du développement, est un des chevaux de bataille de Peter Armstrong, qui s'avoue désolé que ce ne soit pas davantage la règle. Prendre en compte les conditions de déploiement le plus en amont possible devrait en effet garantir une meilleure adéquation des besoins. « Mais je suppose que le marché n'est pas encore assez mûr pour ça », soupire-t-il. (...)
(20/05/2008 17:11:03)Annuels S&H : Intégration PeopleSoft et conseil SIRH dopent les revenus
La société de services des Systèmes et des Hommes (110 collaborateurs) annonce des résultats 2007 qui dépassent ses objectifs. Le groupe, qui tablait sur une croissance d'environ 15% de son chiffre d'affaires 2007, a réalisé un CA en hausse de plus de 35% par rapport à l'année précédente, à 11,5 M€. Son résultat net a également progressé, à 641 000 € en 2007, contre 492 000 € en 2006 . Représentant à elle seule 65% du chiffre d'affaires 2007, l'activité « Intégration PeopleSoft et conseil SIRH » a relevé de 10 points sa part dans le chiffre d'affaire global ; les 35% restant ayant été générés par l' informatique décisionnelle (17%), le e-business (10%) et l'accompagnement au changement (8%).« Les bonnes performances de notre activité Intégration et conseil SIRH sont dues à une hausse des investissements de nos clients dans les systèmes d'information en ressources humaines, et sur Peoplesoft », commente le PDG Amadou Ngom. Côté recrutements, la SSII, qui comptait 25 nouveaux collaborateurs de plus l'année dernière (des consultants techniques et des fonctionnels RH, pour la plupart), envisage 40 nouvelles embauches d'ici la fin 2008. Les profils recherchés sont des ingénieurs ou des consultants fonctionnels ayant 2 à 4 ans d'expérience, de même que des jeunes diplômés. Mais c'est sans compter les tensions du marché de l'emploi sur certains profils : « Les candidats ayant entre 2 et 4 ans d'expérience, qui constituent notre coeur de cible, sont de plus en plus difficiles à trouver, déplore le PDG. Idem pour les jeunes diplômés qui constituent 25% de nos embauches. » Cette situation a eu des effets néfastes sur l'activité de la SSII, qui s'est vu dans l'obligation de suspendre certains projets en raison du manque de ressources. Pour son seul premier trimestre 2008, la SSII a dégagé un CA de 3,5 millions au global. En février 2008, la SSII s'est également ouverte à l'international, en créant une nouvelle filiale en Inde (à Puna). (...)
(20/05/2008 15:41:51)Bull devient porte-parole de Climate Savers Computing en France
Bull devient le représentant en France de l'initiative Climate Savers Computing. Celle-ci a été créée il y a près d'un an par des acteurs importants du marché comme Intel, Google, Dell, HP, IBM, Lenovo, Microsoft, de grands utilisateurs comme PG&E (énergie) et le World Wildlife Fund. Leur objectif est de définir de bonnes pratiques pour que les infrastructures informatiques consomment moins d'énergie, et par conséquent diminuent leur empreinte carbone. « Nous serons la tête de pont de l'association en France », précise Bruno Pinna, directeur marketing de Bull. Le rôle du Français consistera à communiquer de façon plutôt globale sur la démarche de Climate Savers Computing auprès d'un large public mais aussi à l'expliquer de façon plus précise aux associations, aux politiques, aux institutions, etc. Enfin, Bull sera aussi chargé de recruter de nouveaux membres dans le secteur des TIC en France. C'est Ahcene Latreche, responsable de programme marketing chez Bull en particulier pour le Green IT, qui sera le représentant de l'initiative chez le Français. (...)
(20/05/2008 13:05:37)Exchange Online gèrera des dizaines de millions de boîtes d'ici 5 ans
Chez Microsoft, l'offre Cloud Computing commence par les serveurs de messagerie. D'ici cinq ans, Microsoft prévoit que son offre Exchange Online hébergera des dizaines de millions de boîtes à lettres professionnelles. C'est la première annonce de la mutation d'une offre entreprise du modèle logiciel à celui de "logiciel et services" que Microsoft met progressivement en place. Chez Microsoft France, on insiste sur le fait que l'offre s'adresse à des entreprises qui disposent d'un service informatique. Il faudra toujours un informaticien pour paramétrer les services proposés. "D'ici cinq ans, la moitié des boîtes Exchange seront sur Exchange Online", a déclaré Chris Capossela, qui préside aux destinées de la ligne de produits Office. Cela représente effectivement des dizaines de millions de comptes si l'on considère les chiffres communiqués par les analystes de Radicati. Pour eux, 210 millions d'utilisateurs professionnels sont gérés par un serveur Exchange cette année et ce chiffre atteindra 319 millions en 2012. Microsoft affirme qu'il étoffe chaque mois ses datacenters de 10 000 serveurs. Microsoft brandit déjà le succès qu'il a remporté avec Exchange Online auprès de Coca Cola. Le plus gros producteur mondial de sodas vient d'abandonner IBM Lotus Notes pour confier ses 70 000 adresses mails aux soins de Microsoft Online. Pour les entreprises, le glissement vers une solution hébergée pourra se faire soit en gardant le modèle de facturation à la licence, soit en optant pour un modèle basé sur l'abonnement. Si Microsoft envisage une réduction de ses marges, il prévoit une augmentation de son chiffre d'affaires. Il n'y a pas que le serveur Exchange qui entame sa mutation du logiciel vers le service. Les variantes hébergées des serveurs Sharepoint, Office Communication Online et Office Live Meeting sont en phase bêta. Microsoft France précise que les dates des bêtas francisées (y compris pour Exchange Online) ne sont pas encore connues. (...)
(20/05/2008 12:59:03)Quand l'informatique est mise à mal par des abeilles tueuses, des enfants turbulents et des chèvres
Installer des systèmes informatiques dans certains villages reculés d'Afrique est louable mais souvent complexe et périlleux. Dans les pays en développement en général, les virus et les bugs ne sont en effet pas les seules sources de pannes. Et Inveneo, société spécialisée dans la fabrication d'ordinateurs et de systèmes de communication, pour de petits villages africains et d'autres zones isolées, en a fait l'expérience. Inveneo est une organisation à but non lucratif issue de la Silicon Valley qui se concentre sur l'informatisation de régions reculées de l'Afrique très en retard dans le domaine, dans des pays comme le Cameroun, au Nigeria et au Burkina Faso par exemple. La plupart de ses projets concernent les écoles, les hôpitaux, les centres communautaires et les camps d'aide. Les équipes rencontrent les mêmes problèmes qu'ailleurs comme l'absence d'accès à l'électricité, aux services Internet ou aux ordinateurs. Mais ce n'est pas tout. Et Inveneo doit beaucoup s'appuyer sur des partenaires locaux parce que l'Afrique réserve des problèmes très spécifiques aux informaticiens. Concours de jet de pierre sur panneaux solaires Ainsi, un jour de grand soleil à Gulu en Ouganda, au mois d'aout, par exemple. Le réseau Wifi installé par Inveneo dans un village a été coupé, privant ainsi d'Internet tous les habitants. Le système comprenait le package classiquement mis en place par l'entreprise : ordinateurs, panneaux solaires et réseau wifi. Le problème ? Une colonie d'abeilles tueuses avait élu domicile dans un boîtier Wifi installé sur une tour télé abandonnée. Résultat : court-circuit. L'informaticien de service n'a, dans de tels cas, pas tout à fait les mêmes compétences que dans le monde développé. En l'occurrence, Norbert Okec connaissait bien, heureusement, l'apiculteur local. Il lui a emprunté un costume protecteur et lui a demandé quelques conseils pour se débarrasser des abeilles. Il a donc attendu la nuit suivante pour grimper sur la tour télé, enfumer les abeilles et récupérer le boîtier Wifi. Inveneo aura ici appris une chose : le miel est un aliment conducteur... Dans un autre village, la société californienne a aussi installé un système dans un immeuble au toit en tôle ondulée. Dessus, il a installé des panneaux solaires. Des panneaux qui n'ont pas fait long feu. Depuis toujours en effet, les gamins du village jetaient des pierres sur ce toit rien que pour entendre le « clong » qui en résultait. Et ils n'ont pas changé leurs habitudes avec les panneaux solaires ! Même sans le « clong ». Plutôt que de poster des gardes jour et nuit devant l'immeuble, Inveneo a demandé à un de ses partenaires d'installer une protection de bois et de grillage à poules sur le toit. Et tout cela, c'est sans compter sur le goût immodéré des chèvres africaines pour les câbles Ethernet. Quand Inveneo l'a compris, elle a du trouver le moyen de cacher et protéger les câbles de façon très efficace pour que les animaux ne soient pas tentés. (...)
(19/05/2008 16:27:31)4 MdE de revenus pour le marché français de l'ERP en 2007
Selon le cabinet d'études IDC, les ventes de licences de logiciels ERP et les prestations de services associées ont progressé de 5,9% comparé à 2006, générant ainsi 4,03 Md€ de revenus l'an dernier. Les services constituent de loin la plus importante partie du chiffre d'affaires dégagé puisqu'ils ont occasionné 3,13 Md€ de facturation en 2007. Les revenus issus de la vente de licences et de services de maintenance se sont établis quant à eux à 899 M€, soit une croissance de 4,9% sur un an. Par domaines fonctionnels, « l'essentiel des revenus du marché des ERP s'articule encore aujourd'hui autour des modules classiques », à savoir la comptabilité / finance (30% des revenus licences et maintenance en 2007), la gestion des RH (17,5%), la GPAO (14,7%), la gestion commerciale (12,6%) et le CRM (11,7%). Les modules liés à la gestion de projet ou à la gestion de la chaîne logistique ne représentent respectivement que 3,1% et 8% des revenus du marché de l'ERP. A noter que les modules Ressources Humaines et CRM ont été les plus dynamiques en 2007 avec des volumes de ventes de licences en croissance leur respective de 7,1 et 6,5% en 2007. (...)
(19/05/2008 15:15:11)Deutsche Bank monte à plus de 6% au capital d'Atos Origin
Alors que l'assemblée générale qui doit décider du sort d'Atos Origin est fixée à jeudi prochain, Deutsche Bank a indiqué avoir pris une participation de plus de 6% dans la SSII. Dans un courrier daté du 16 mai et adressé à l'Autorité des marchés financiers, la banque allemande a en effet déclaré, à la suite d'une acquisition d'actions réalisée hors marché, détenir directement et indirectement par l'intermédiaire de ses filiales, 6,26% du capital et des droits de vote de la SSII française. Deutsche Bank se positionne maintenant derrière les fonds Centaurus et Pardus, qui ont, eux aussi, augmenté récemment leur participation dans la SSII pour détenir 23% de son capital et de ses droits de vote. Jeudi, les deux fonds demanderont la nomination de deux de leurs représentants au conseil de surveillance d'Atos, et également de trois administrateurs indépendants, de même que la révocation de l'actuel président. (...)
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