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(19/05/2008 12:55:42)
Les syndicats d'IBM et d'EDS France appellent à la grève
Les appels à la mobilisation se multiplient dans les services informatiques. Quelques jours seulement après Capgemini , c'est au tour des syndicats d'IBM et d'EDS France d'appeler à cesser le travail demain, mardi 20 mai, à l'échelle nationale. Chez IBM France, la grève portera sur les salaires et plus spécifiquement sur le retour des augmentations générales. Les organisations syndicales demandent notamment des hausses de plus de 4,5% pour tout le monde. Il y a quelques mois seulement, l'action des salariés d'IBM Italie pour revaloriser leurs niveaux de rémunération avait porté ses fruits, grâce à une grève virtuelle massive sur Second Life qui avait permis aux syndicats de négocier un accord sur les salaires. Chez EDS France, après un - appel à la grève lancé fin avril sur les salaires , les syndicats appellent à une nouvelle mobilisation contre « l'absurdité » du plan social en cours annoncé avant le rachat d'EDS par HP . Les trois centres de la SSII situés à Villeneuve d'Ascq (Nord), Freyming-Merlebach (Moselle) et Lingolsheim (Bas Rhin) cesseront bientôt leur activité, ce qui devrait conduire à 80 licenciements, soit près de 3,5% des effectifs de la filiale française. Le CE est convoqué le 20 mai pour examiner le détail de ce PSE. Ils redoutent bien sûr aussi les conséquences de l'absorption de leur société par HP. (...)
(19/05/2008 11:44:03)Microsoft sonne de nouveau à la porte de Yahoo
Microsoft n'a pas dit son dernier mot dans l'interminable feuilleton pour le rachat de Yahoo. Alors que le moteur de recherche s'était acharné à faire la sourde oreille quand le géant de Redmond proposait 44 Md$ pour son rachat - ce qui avait abouti au retrait de cette offre le 3 mai - le groupe présidé par Steve Ballmer pourrait reprendre l'initiative et relancer des négociations. C'est ce que Microsoft a indiqué hier, 18 mai, précisant qu'il « envisageait une alternative qui ne porterait pas sur l'acquisition de la totalité de Yahoo ». A la place, l'éditeur explique qu'il cherche d'autres pistes pour développer ses activités online et ses revenus issus de la publicité. Après le retrait de l'offre de Microsoft, les dirigeants du groupe étaient pourtant successivement montés à la tribune pour exprimer leur volonté de tourner la page. Le message était clair : Yahoo ayant laissé passer cette chance, il n'y aurait pas d'autre main tendue. Bill Gates lui-même s'était fendu d'une déclaration, estimant que Microsoft allait désormais se concentrer sur sa stratégie d'indépendance. Puis vint le grain de sable Icahn Les regards s'étaient alors tournés vers le richissime Carl Icahn. Celui-ci, amer après le rejet de l'offre de Redmond par le conseil d'administration de Yahoo, menaçait en effet de lancer une bataille de mandats (proxy fight) afin de remplacer une partie des administrateurs du moteur de recherche. Réponse de Yahoo : cette initiative isolée est dénuée de fondement et « reflète une importante incompréhension des faits entourant la proposition de Microsoft et de la rapidité avec laquelle notre conseil a évalué l'offre et y a répondu ». Les discussions qui viennent de reprendre entre Yahoo et Microsoft pourraient être une des conséquences de l'initiative de Carl Icahn. Les dirigeants du géant du Web pourraient ainsi désirer éviter d'offrir le navrant spectacle d'un proxy fight lors de l'assemblée générale qui se tiendra le 3 juin. Elles illustrent également l'importance cruciale pour Microsoft de s'allier avec un acteur de poids dans le domaine de la publicité en ligne pour constituer une véritable alternative à Google. Même si l'éditeur semble résigné à ne pas acquérir totalement Yahoo, il pourrait lui proposer un accord de coopération visant à la mise en ligne de publicités dans ses pages de recherche. (...)
(16/05/2008 17:53:28)Le coût total de possession, critère numéro un des DSI américaines
Le coût total de possession est le premier critère de choix d'une solution technologique pour les 4700 responsables informatiques interrogés par le cabinet bostonien Aberdeen Group. Ce critère apparaît dans 43% des réponses. Il est suivi de très près par les fonctionnalités du produit (42%). Viennent ensuite, bien plus loin, la solidité du fournisseur (24%), sa connaissance et son expérience des spécificités d'un marché (24%), son expertise sur un secteur ou une industrie (22%) et, pour finir sa réputation (21%). Parallèlement à ces critères, ces responsables informatiques ont élu les acteurs les plus influents sur leur travail en 2007. Les trois premiers éditeurs mondiaux de logiciels applicatifs arrivent en tête. Derrière Microsoft, Oracle et SAP, on trouve IBM, Cisco et HP (voir le tableau ci-dessous). Aberdeen pense que le thème du décisionnel détrônera celui de la mobilité Les technologies relatives à la mobilité, qu'ils estimaient en 2006 être le domaine devant connaître la plus forte croissance en 2007, se retrouvent avec la présence de RIM (Blackberry) en douzième position. Un nain parmi les mastodontes alentours. On notera aussi la huitième place de Salesforce.com, emblématique de l'intérêt porté au logiciel en ligne, ainsi que la onzième de Google. Un classement étonnant si l'on ne pense qu'à la faiblesse des offres professionnelle du moteur de recherche. Pour 2008, la mobilité devrait céder le pas au décisionnel sur le podium des technologies les plus dynamiques. Toutefois, au terme de cette année, il sera difficile d'identifier les sociétés qui bénéficieront de cet intérêt. En effet, 2007 a vu l'absorption de trois spécialistes - Cognos par IBM, Business Objects par SAP, Hyperion par Oracle - et d'importants efforts d'enrichissement fonctionnel par les éditeurs de PGI. (...)
(16/05/2008 17:30:59)Yahoo s'estime plus qualifié que Carl Icahn pour juger de l'offre de Microsoft
La réponse de Yahoo à Carl Icahn ne s'est pas fait attendre. Au milliardaire qui souhaite renouveler le conseil d'administration, coupable à ses yeux d'avoir lésé les actionnaires en refusant l'offre d'acquisition de Microsoft, Yahoo répond que Carl Icahn ne dispose pas de toutes les informations et que le conseil actuel est le plus qualifié pour gérer les affaires du groupe. Roy Bostock, président du conseil d'administration de Yahoo, écrit : « Malheureusement, votre lettre reflète une importante incompréhension des faits entourant la proposition de Microsoft et de la rapidité avec laquelle notre conseil a évalué l'offre et y a répondu. » Ajoutant : « Un examen objectif des faits conduit à une seule conclusion : que le conseil actuel de Yahoo, composé de neuf personnalités indépendantes et du CEO Jerry Yang, est le meilleur et le plus qualifié pour offrir le plus de valeur à tous les actionnaires de Yahoo. » Yahoo se dit prêt à examiner toute offre d'achat... une obligation par rapport aux actionnaires La lettre insiste sur le soin apporté à l'examen de l'offre de Microsoft - le 'top management' de Yahoo et de Microsoft se serait rencontré en personne sept fois -, en expliquant que ce ne serait pas dans le meilleur intérêt des actionnaires de renouveler totalement le conseil de Yahoo dans le seul but de reprendre langue avec « un ex-acheteur potentiel qui a depuis publiquement déclaré qu'il abandonnait sa proposition ». Tout en précisant être absolument ouvert à toute proposition, y compris venant de Microsoft, « si cela apporte à nos actionnaires de la valeur ». Cette réponse de Yahoo apparaît donc surtout comme un moyen de rassurer les actionnaires ; il faudra a priori plus que cela pour décourager le milliardaire habitué à ces coups boursiers. (...)
(16/05/2008 12:56:44)Annuels Risc Group : un chiffre d'affaires porté par les dernières acquisitions
Risc Group, fournisseur français de solutions de sécurité informatique, publie les résultats de ses douze derniers mois d'exercice fiscal. Exceptionnellement celui-ci n'est pas annuel, mais durera 15 mois pour s'achever fin juin 2008. Risc Group achève donc ces douze mois sur un chiffre d'affaires en hausse de 63%, à 64 M€ (+25% à périmètre constant). Le secteur des PME est particulièrement dynamique en France : en 12 mois, il a pratiquement été multiplié par dix, en générant un chiffre d'affaires de 14,71 M€, contre 1,45 M€ un an plus tôt. Cette montée en puissance est notamment le fruit des acquisitions de Backup Avenue, spécialisée dans la sauvegarde, en juillet 2007, puis d'Ornis (un opérateur de services informatiques) deux mois plus tard ainsi que d'Itemos (toujours dans le secteur de la sauvegarde en ligne). A elles trois, ces sociétés ont généré un chiffre d'affaires de 6,5 M€, uniquement en France. En France, Risc Group a enregistré une croissance de 70%. L'activité de la SSII se divise en deux pôles : un pôle historique TPE (regroupant Risc Security et Itemos) et un nouveau pôle dédié aux PME et aux grands comptes, piloté par Ornis et Back Avenue. A l'international, la progression est légèrement plus modeste, mais reste très forte (+51%), sauf en Allemagne, en repli de 8%. La SSII possède également des filiales en Belgique, Italie, Espagne et Suisse. Le groupe envisage d'étendre sa couverture internationale, notamment en Europe de l'Ouest et de l'Est. (...)
(16/05/2008 11:08:48)Annuels Avanquest : des ambitions sur Internet sur fond de pertes
2007 sera un mauvais crû pour Avanquest. L'éditeur clôt une année 2007 mouvementée, ponctuée par trois rachats (Nova, Emme et Software Paradise), qui s'achève sur un chiffre d'affaires de 116,2 M€ et une perte de 1,2 M€. « Sans se réfugier derrière des excuses, nous pouvons invoquer la chute du dollar et de la livre, ainsi que les méventes dans le secteur grand public », commente le PDG Bruno Vanryb. A elle seule, la chute du dollar a un impact de 2 M€ sur l'exercice. Le PDG souligne que la société a toujours su réagir. En 2002, par exemple, elle était parvenue à vendre tout ce qui n'était pas logiciels, son activité de base, soit le tiers de son chiffre d'affaires, ce qui lui a ensuite permis d'enchaîner trois exercices bénéficiaires. Aujourd'hui, Avanquest veut passer massivement à la vente sur le Web. Cela inclut la vente proprement dite, mais également d'autres notions comme le marketing viral. L'ouverture du mode SaaS Pour le secteur entreprise, qui représente 22% de l'activité (dont 15% en Grande-Bretagne), ce passage à davantage de ventes sur Internet aura une conséquence forte. C'est par ce canal que le groupe, à partir de sa filiale anglaise Software Paradise, souhaite vendre aux entreprises dans toute l'Europe. Une démarche qui sera accompagnée par une équipe de télévendeurs, par la création d'un catalogue et par l'ouverture du mode SaaS (software as a service) permettant d'utiliser des logiciels en ligne sur abonnement. L'objectif est clair, « nous voulons faire d'Avanquest la boutique en ligne de référence », souligne Bruno Vanryb. Une communauté d'utilisateurs[[page]] L'éditeur/revendeur compte également sur le mélange de plusieurs phénomènes apparus sur Internet (notamment grâce au Web 2.0) pour refondre sa stratégie : la gratuité (l'éditeur se rémunère en général par les mises à jour après la vente gratuite), le téléchargement, le système d'abonnements aux logiciels en ligne, les blogs, le phénomène des portails et celui des communautés. Ces tendances observées sur le Web se traduiront dans la politique d'Avanquest. La société va créer une communauté d'utilisateurs (pour devenir le « Facebook du monde du logiciel »), en matière de portails. Elle va s'adresser aux entreprises, créer un système de vente en mode SaaS après des tests menés avec Earthlink (un spécialiste des TPE) aux Etats-Unis. Enfin, 80% des ventes devraient se faire en téléchargement. Concernant sa stratégie globale, la société table d'abord sur sa réelle internationalisation. C'est l'un des rares éditeurs français implanté durablement aux Etats-Unis, où il a débuté en 1996 avec un seul salarié pour réaliser aujourd'hui 45% du chiffre d'affaires total du groupe. Avanquest s'implante également en Asie. Sur 2008, l'éditeur compte réaliser 115 à 120 M€ de chiffre d'affaires sur 2008, avec un résultat opérationnel entre 4 et 6%. (...)
(16/05/2008 06:49:43)Carl Icahn veut renouveler le conseil d'administration de Yahoo
Accusant le conseil d'administration de Yahoo d'avoir été irresponsable en déclinant l'offre de rachat faite par Microsoft, le milliardaire Carl Icahn est passé à l'action. Il a envoyé au président du conseil d'administration Roy Bostock une lettre proposant 10 nouveaux membres (y compris lui) pour renouveler totalement le conseil lors de la prochaine assemblée générale en juillet prochain. Carl Icahn avait clairement laissé entendre qu'il chercherait à peser de tout son poids à l'occasion du prochain vote, au travers d'un 'proxy fight' (bataille de mandats). Il dit ainsi avoir rassemblé 59 millions de parts et d'options, et demandé à la FTC (ministère américain du Commerce) son feu vert pour racheter 2,5 Md$ d'actions de Yahoo - sachant que la capitalisation boursière du moteur de recherche est de 38,6 Md$. Carl Icahn avait déjà pesé lors du rachat de BEA par Oracle Dans sa lettre, Carl Icahn indique qu'il préfère les perspectives offertes par une acquisition par Microsoft à celles, qu'il juge « exagérément optimistes », que Yahoo peut offrir en restant indépendant. En revanche, il n'aborde pas un point préoccupant : le fait que Microsoft prétende désormais qu'une fusion ne l'intéresse plus. L'éditeur de Redmond n'a de son côté pas commenté l'initiative de Carl Icahn. Des analystes cités par Reuters expliquent que Jerry Yang, le patron de Yahoo, aura plus de mal à sortir des griffes de Carl Icahn que de celles de Steve Ballmer. Pour mémoire, c'est lui qui avait fait pression sur le conseil de BEA pour accepter la proposition de rachat d'Oracle, après que ce dernier avait officiellement retiré son offre. (...)
(15/05/2008 15:33:29)Les ventes en ligne en hausse de 30% au premier trimestre
Les Français ne rechignent pas à faire leurs emplettes sur le Web, un canal de distribution qu'ils ont largement adopté. En témoignent les conclusions de l'étude réalisée par la Fevad (Fédération du e-commerce et de la vente à distance), qui portait sur le marché du commerce électronique au premier trimestre 2008. Avec un chiffre d'affaires de 4,9 MdE, les ventes en ligne ont progressé de 30% sur un an. Une performance d'autant plus remarquable qu'elle s'inscrit « dans un contexte de ralentissement général de la consommation », note la Fevad. De fait, même si la croissance en valeur s'est légèrement tassée par rapport à celle enregistrée en 2007 (35%), elle reste largement soutenue, en grande partie grâce à l'arrivée de nouveaux internautes sur le marché en ligne. Plus de 21 millions de Français passent ainsi par les cybermarchands pour certains de leurs achats, soit 3,1 millions de nouveaux venus en un an. + 49% de boutiques en ligne en un an De même, le nombre de boutiques en ligne connaît une véritable explosion avec 39 600 acteurs, soit une croissance de 49% sur un an. Enfin, la progression du chiffre d'affaires s'explique par le niveau de confiance qu'accordent les internautes aux marchands en ligne. Ils sont ainsi 62,4% à déclarer avoir confiance dans la vente via Internet, contre 60,8% l'année précédente. Le mois dernier, la DGCCRF rappelait pourtant qu'un cybermarchand sur trois est en infraction. Certes, seules quelques-unes des anomalies relevées sont d'ordre délictuel, mais pléthore d'acteurs omettent d'afficher des mentions obligatoires, voire se laissent aller à des publicités mensongères. (...)
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