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(04/04/2008 15:48:03)
Google serait intéressé par Expedia
Les rumeurs n'en finissent pas de se multiplier dès qu'il s'agit de Google et de rachat. Ces derniers mois, le moteur de recherche avale société sur société. Il y a deux jours, on évoquait un possible rapprochement avec Skype, aujourd'hui c'est Expedia, site de voyages, qui serait convoité par le moteur de recherche. Les deux sociétés ont refusé de commenter ce ouï-dire, a priori peu crédible. Google étant un moteur de recherche qui dépend d'autres portails de voyage, racheter un de leurs concurrents ne pourrait que lui porter préjudice. Toujours est-il que la rumeur profite à Expedia, dont l'action a grimpé de 10%, selon le Wall Street Journal. (...)
(04/04/2008 14:49:16)Dell supprime plus de postes que prévu
Dell vient d'annoncer de nouvelles mesures drastiques qui devraient l'aider à économiser 3 Md$ d'ici trois ans. Le Texan de Round Rock pourrait bien dépasser ses objectifs de réductions d'effectifs, initialement fixés à quelque 8 800 licenciements, soit 10% de ses effectifs. Michael Dell, le patron du groupe éponyme qui a reculé à la seconde place du marché des PC derrière HP, a indiqué hier, jeudi 3 avril, à l'occasion d'une réunion d'analystes, qu'il envisageait d'aller plus loin dans la réduction du nombre de postes, ce qui devrait l'aider à réduire ses coûts. Sur les neuf premiers mois de l'exercice 2008, 3 200 emplois ont déjà été supprimés à son initiative. Cette semaine, l'entreprise avait fait savoir qu'elle fermait une usine à Austin, au Texas, envoyant ainsi 900 salariés au chômage. Au Canada, Dell a également fait fermer un centre d'appels à Edmonton, où travaillaient 900 personnes, et renoncé à recruter 1 200 nouveaux employés pour son centre d'Ottawa. Le directeur financier de Dell, Donald Carty, a indiqué que 5 500 coupes avaient déjà été effectuées, et que 1 000 suppressions de postes interviendraient au cours de ce trimestre. Il a ajouté que l'entreprise comptait racheter 1 Md$ de ses actions, après en avoir acquis pour 4 Md$, en 2007. De son coté, Keith Bachman, analyste pour le compte du cabinet BMO Capital Market aux États-Unis, a indiqué dans une note que Dell devait chercher à s'améliorer sur le plan opérationnel, pour rattraper les erreurs stratégiques commises par le passé. Michael Dell a également déclaré qu'il espérait que les coûts d'exploitation de l'entreprise auront reculé de 1% d'ici à la fin de l'année, en précisant qu'il ne souhaitait pas procéder à de nouvelles acquisitions d'envergure. Rappelons qu'en janvier dernier, le rachat d'EqualLogic lui avait coûté quelque 1,4 Md $ Pour Michael Dell, l'entreprise entre actuellement dans une grande phase de transformation. Un point de vue que ne partage pas l'analyste Keith Bachman, qui évoque les possibles conséquences du ralentissement de l'économie américaine sur les performances du constructeur. (...)
(04/04/2008 13:54:52)VMware loin devant ses concurrents pour les DSI américains
Un sondage conduit par Changewave, fait le point sur la situation sur le marché de la virtualisation des serveurs à fin janvier et de son évolution depuis octobre 2007. Les réponses de 1368 décideurs informatiques américains donnent VMware largement en tête sur ses concurrents. Tant en terme de base installé que de satisfaction des utilisateurs. Entre octobre et janvier, VMware est parvenu à gagner 3% de parts de la base installée pour atteindre 58%. Il est le seul parmi les cinq poids lourds du marché à progresser. Tous les autres -Microsoft, Citrix, IBM, Oracle- baissent ou stagnent. Les deux plus fortes baisses reviennent à Microsoft et Citrix qui perdent respectivement 4 et 6 points. Un tassement que les deux éditeurs doivent pouvoir justifier par l'imminence de l'arrivée de nouvelles versions. 54% d'utilisateurs satisfaits ChangeWave met en avant une autre explication : la grande satisfaction ("very satisfied") exprimée par 54% des utilisateurs de VMware. Seul IBM, avec 51%, évolue au même niveau, mais il ne s'agit pas des mêmes environnements technologiques. Citrix arrive à la suite, mais loin derrière (32%), suivi par Oracle (25%). C'est Microsoft qui ferme la marche avec seulement 20% de clients très satisfaits. [[page]]A la suite de cet état des lieux, ChangeWave s'est penché sur les perspectives d'avenir. Parmi les 10% de décideurs qui prévoyaient d'acheter des produits de virtualisation dans les trois mois, 76% choisiront VMware. C'est 5 points de mieux qu'en octobre. L'ensemble des concurrents perd un point à l'exception de Microsoft qui en gagne 13. Notons que les décideurs peuvent s'équiper auprès de plusieurs fournisseurs. Un contexte général qui se dégrade ChangeWave analyse en deux temps l'ensemble des opinions collectées. Il constate ainsi que VMware continue de gagner des parts de marché. Mais cet engouement intervient dans un contexte général qui se dégrade. L'institut note un net renversement de la tendance des perspectives d'investissement en logiciel des entreprises américaines. Pour la première fois depuis avril 2006, celles qui prévoient d'investir moins au cours des trois prochains mois (22%) sont plus nombreuses que celles qui prévoient d'investir plus (16%). Si la sécurité et le décisionnel sont parmi les plus affectés, la virtualisation s'en sort bien avec des prévisions d'achat stables par rapport à octobre. (...)
(04/04/2008 08:10:21)Windows XP sauvé jusqu'en 2010... pour les UMPC
Comme nous l'annoncions avant-hier, Microsoft a repoussé la date de fin de vie de Windows XP de deux ans, au 30 juin 2010. Cette fois, c'est officiel, les ultra-portables à bas coût, tels que l'EeePC d'Asus, ont donc sauvé le soldat XP. Sauf que cette annonce de Microsoft, tant attendue par les signataires de la pétition SaveXP, est beaucoup moins radicale qu'il n'y paraît. En effet, Microsoft avait déjà prévu de continuer de livrer XP aux pays émergents jusqu'à cette date, il s'agit donc pour l'éditeur d'une extension minime, qui ne concerne que les fabricants de PC ultramobiles (UMPC). Ces derniers ne peuvent en effet pas décemment espérer faire tourner l'ogre Vista - même le Q1 de Samsung, un UMPC à coût non négligeable, était repassé sous XP. Il leur aurait donc fallu se tourner uniquement vers Linux, ce que Microsoft ne peut accepter sans réagir. En annonçant cette date du 30 juin 2010, Microsoft a précisé que les livraisons de XP s'arrêteraient au plus tard un an après la date de sortie de Windows 7, le successeur de la version cliente de son système d'exploitation. Vu la tendance naturelle de Microsoft à prendre du retard sur les sorties de ses produits, cette nouvelle date butoir pourrait donc encore glisser dans le temps. (...)
(03/04/2008 18:03:09)Annuels ITS Group : +41% sur fond de campagne de recrutement
La société ITS Group, spécialisée dans le conseil et la gestion des infrastructures informatiques, affiche des résultats financiers en forte progression. Son chiffre d'affaires 2007 atteint les 50,3 M€, en hausse de 41% par rapport à l'an dernier. Le résultat net s'établit à 2,7 M€ (+40%) et la marge opérationnelle courante à 8,4%. La SSII, qui fête ses dix ans, vise les 100 M€ de chiffre d'affaires en 2011, avec une marge opérationnelle de 10%. Dans un plan baptisé Trajectoire 2011, elle détaille ses axes stratégiques : se développer en région (elle compte des agences à Paris, Nantes, Lyon, Lille, Laval) et renforcer son pôle conseil dans les projets d'infrastructures et d'infogérance pour les PME, notamment en s'appuyant sur iMedia, une société rachetée en janvier dernier. 214 recrutements en 2007, 250 prévus en 2008 ITS Group, qui emploie actuellement 600 salariés en France et en Suisse, compte par ailleurs intensifier sa politique de recrutement. Après avoir embauché 214 personnes en 2007, elle recherche 250 collaborateurs de plus cette année. Les profils sollicités : chefs et directeurs de projets techniques, spécialistes Unix (système et exploitation), des ingénieurs systèmes Microsoft, développeurs Java/J2EE et .Net. Des postes de directeur de projets sont également à pourvoir. ITS Group organise d'ailleurs la deuxième édition de ses « rencontres recrutement », le 10 avril prochain. (...)
(03/04/2008 17:37:24)Xcalia passe dans le giron du groupe Progress
Editeur français de produits de connectivité des données, Xcalia a accepté une proposition de rachat de la part de Datadirect, une des divisions du groupe Progress Software. Close en février dernier, la transaction a été rendue publique il y a quelques jours. Pierre Violo, ancien PDG et actionnaire de Xcalia, explique que les discussions duraient depuis l'été 2007 : « Progress voulait s'engager plus avant dans SDO [Service data objects, spécifications de l'Oasis pour un modèle de programmation unifiée fournissant une couche d'abstraction pour l'accès aux données, NDLR]. En faisant leurs études, ils ont jugé que Xcalia avait la meilleure solution, et ils nous ont approchés. » Eric Samson et l'équipe de développement restent en place Pierre Violo est resté actif environ deux mois avant de passer définitivement la main. « Je ne voyais pas quel rôle j'aurais pu jouer, dit-il, l'activité française devenant un pôle de R&D. » L'ancien PDG explique que l'éditeur avait justement pris la décision de lever le pied sur le développement à l'international pour favoriser la R&D. La quinzaine de collaborateurs, « essentiellement en R&D », continuera de travailler pour Datadirect, et devrait être rejointe par d'autres personnes. D'ailleurs Eric Samson, cofondateur de Xcalia en 2000 (sous le nom Libelis, la société proposait alors une implémentation de JDO, standard Java d'accès aux données), rejoint Datadirect au poste de directeur technique pour les services de données. Comme le souligne Charles Gold, vice-président marketing de Datadirect, « nous avons été impressionnés par la technologie de Xcalia mais aussi par les développeurs et les architectes ». [[page]] Comme il se doit, Pierre Violo considère que ce rachat par un éditeur d'envergure mondiale est une bonne chose pour les employés, les clients et la technologie. Seul hic, alors que Xcalia propose une plateforme d'intermédiation des données adaptable avec tout middleware, la solution risque de perdre en neutralité, dans la mesure où Progress est lui-même un vendeur de middleware, concurrent de Tibco, Oracle, BEA. « Absolument pas, répond Charles Gold. C'est tout l'héritage de Datadirect, nous travaillons en toute autonomie par rapport à Progress. Regardez notre pilote ODBC, il n'a aucune extension propriétaire. Si vous êtes un Business Objects et que vous voulez que votre solution fonctionne avec toutes les bases de données, vous choisirez notre logiciel. Trois cents éditeurs embarquent nos pilotes de connexion aux bases de données. Et vous verrez que tous les produits que nous proposerons respecteront cette neutralité. » Charles Gold souligne par ailleurs la proximité culturelle entre Datadirect et Xcalia, les deux sociétés étant extrêmement présentes dans les instances de normalisation ; Xcalia participait ainsi aux comités travaillant sur SDO et SCA. Les solutions Xcalia seront progressivement introduites dans l'offre logicielle globale, et prendront à terme le nom Datadirect. Xcalia était l'un des éditeurs du programme Idées de Microsoft. Le montant du rachat n'a pas été communiqué, Xcalia étant majoritairement détenu par des fonds d'investissement (notamment Innovacom, Iris Capital, I-Source et Cap Decisif). (...)
(03/04/2008 16:27:00)Premiers fruits de l'alliance Accenture/Sun autour de la sécurité
En septembre 2006, Sun et Accenture annonçaient leur intention de collaborer sur la sécurité et la gestion des identités. Un an et demi après, les premiers fruits de leur travail sont arrivés. Regroupés sous le nom d'Accenture Smart Identity Solution, ces logiciels gèrent tous les besoins en identification et en authentification forte des entreprises, aussi bien au niveau logiciel qu'au niveau matériel (avec entre autres la prise en compte des données biométriques), y compris une gestion fine des droits d'accès à certaines applications, dont SAP. Bâtie pour être intégrée dans des systèmes d'informations hétérogènes, l'Accenture Smart Identity Solution se présente sous la forme de modules préconfigurés, prêts à être implémentés dans l'infrastructure existante sans risques et à moindre coût. « Nous avons réalisé tout le travail amont [à l'implantation d'une solution de sécurité], donc nos clients peuvent déjà réaliser de substantielles économies en ne le faisant pas eux-mêmes », explique Mark Herring, vice-président de l'infrastructure logicielle chez Sun. En y ajoutant une plus grande flexibilité d'usage et une administration simplifiée, les deux sociétés promettent une réduction des coûts moyenne de 20%. Accenture Smart Identity Solution rassemble quatre solutions différentes qui peuvent aussi être utilisées de façon indépendante. La première, Accenture Entreprise Identity Management Solution, s'occupe plus particulièrement de la gestion d'identités. La deuxième, Accenture Solution for Control and Compliance, intègre les produits de gestion d'identités avec les outils SAP de gouvernance. La troisième, Accenture SOA Jumpsart Solution for Sun Java CAPS, facilite le déploiement de solutions SOA basées sur Java, et la quatrième, Accenture Secure SOA Solution, sécurise complètement la mise en place d'une architecture orientée service avec les partenaires, fournisseurs et clients d'une entreprise. (...)
(02/04/2008 17:31:42)Léo Apotheker devient co-PDG de SAP
Ainsi que l'on s'y attendait depuis un certain temps déjà, Léo Apotheker, actuel PDG délégué de SAP, vient d'être nommé co-PDG de l'éditeur allemand, aux côtés de l'actuel PDG Henning Kagermann. Selon Hasso Plattner, président du conseil de surveillance de SAP, Henning Kagermann a souhaité la nomination de Léo Apotheker comme co-PDG, afin de préparer sa propre succession. Henning Kagermann doit quitter la direction de l'entreprise au printemps 2009 pour prendre sa retraite. Les deux hommes dirigeront conjointement SAP, numéro un mondial des progiciels de gestion intégrés, qui vient d'achever l'absorption de l'éditeur français Business Objects, spécialiste du décisionnel. Léo Apotheker, fondateur de la filiale française, a rejoint SAP en 1988. Membre du comité exécutif depuis 2002, il est PDG délégué de SAP depuis mars 2007. Il a été nommé à ce poste alors que Shai Agassi, responsable des développements technologiques et promis à un bel avenir au sein de la société, avait préféré partir lorsque le mandat de Henning Kagermann à la tête de SAP avait été prolongé jusqu'en 2009. Le patron américain prend la main sur les ventes mondiales Parallèlement à la promotion de Léo Apotheker, le conseil de surveillance de SAP a nommé au comité exécutif de l'entreprise trois nouveaux membres, ce qui porte à dix le nombre total de ses membres. Il s'agit d'Erwin Gunst, de Bill McDermott et de Jim Hagemann Snabe qui prendront leurs fonctions le 1er juillet prochain. Erwin Gunst devient directeur opérationnel (COO, chief operating officer). Collaborateur de SAP depuis vingt ans, il était jusqu'alors président pour la région EMEA (Europe, Moyen-Orient, Afrique). Jim Hegemann Snabe, chez SAP depuis quinze ans, est désormais responsable du développement de l'offre intégrée SAP Business Suite et de la plateforme d'intégration SAP NetWeaver. Enfin, entré chez SAP en 2002 pour diriger le continent américain, Bill McDermott sera désormais responsable des ventes mondiales de SAP, une lourde responsabilité qui incombait jusque-là à Léo Apotheker. (...)
(02/04/2008 13:07:54)Telindus ouvre une centaine de postes en sécurité, réseaux et communications unifiées
Telindus Belgacom ICT, intégrateur spécialisé dans les réseaux et la sécurité, annonce pour l'année en cours, un plan de recrutement similaire à celui lancé il y a un an à peine. Après avoir embauché 130 nouveaux collaborateurs en 2007, en Ile-de-France et en régions, l'intégrateur poursuit sur sa lancée en annonçant l'ouverture d'une centaine de postes supplémentaires d'ici la fin de l'année. Les offres sont à pourvoir dans les domaines liés à la sécurité, aux réseaux, aux communications unifiées et à la vidéo-protection. Il s'agit d'ingénieurs avant-vente, de consultants, de techniciens et ingénieurs support et réalisation, et de directeurs de projet. «Nous devons faire face à l'évolution de nos effectifs, pour répondre à un besoin permanent d'expertises complémentaires sur un marché tendu », a commenté Fabienne Guillou, directrice des ressources humaines de Telindus. Des partenariats avec les écoles d'ingénieurs télécoms Pour accompagner ses recrutements, Telindus compte sur le soutien de grandes écoles d'ingénieurs, comme Telecom Sud Paris (ex INT), l'Esigetel, l'Epita, Télécom Lille ou encore l'Insa. Dans le cadre de ces partenariats, l'équipe RH est régulièrement sollicitée pour des simulations d'entretiens et du coaching de positionnement individuel auprès des futurs jeunes diplômés. Le fournisseur dispense aussi des formations auprès de ces écoles partenaires sur des technologies de pointe telles que les communications unifiées ou la sécurité. (...)
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