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(01/04/2008 12:08:45)
HP rachète un spécialiste du cycle de vie des documents
L'Américain HP a indiqué hier avoir signé un accord pour l'acquisition de l'éditeur australien Tower Software. Cette société privée est spécialisée sur les solutions de « records management », conçues pour gérer le cycle de vie des documents, de leur création à leur archivage légal. Ce rachat permettra à HP d'ajouter à son offre des outils de e-discovery. Ces derniers sont utilisés pour mettre en place des procédures de conservation légale des documents afin, notamment, de pouvoir les retrouver et les produire comme preuve en cas de litige. Tower était déjà partenaire de HP. L'éditeur s'est vu offrir 3,11 $ par action, selon les informations communiquées par Robin Purohit, vice président et responsable des solutions de gestion de l'information de HP Software. Le montant du rachat n'a pas été précisé. Acceptée par les actionnaires de Tower, la transaction devrait être finalisée au cours de ce second trimestre. Le marché des solutions de gestion de contenus d'entreprise est actuellement dominé par par IBM et EMC, ces deux acteurs ayant racheté les spécialistes du secteur FileNet et Documentum. Ils sont suivis de l'éditeur indépendant Open Text. Microsoft occupe également une place significative avec son offre SharePoint. (...)
(01/04/2008 12:07:21)Arès vend ses progiciels Arcole pour 6 millions d'euros
Comme il en avait l'intention, Arès a officiellement cédé sa suite de progiciels Arcole (paie, RH) à l'éditeur De Gamma, pour un montant de 6 millions d'euros. Cette activité (qui compte 100 collaborateurs) a permis à Arès d'engranger 4 M€ l'an dernier. Arès souhaite se concentrer sur ses activités de services et d'intégration des systèmes d'information. Cette annonce laisse toutefois collaborateurs et syndicats perplexes quant à la stratégie adoptée ces derniers mois par le groupe. Arès, connu essentiellement par les entreprises comme étant un revendeur en gros de matériel informatique, était en effet parvenu à se tailler une réputation de véritable SSII, grâce aux prestations à forte valeur ajoutée qui s'articulent autour d'Arcole. En novembre dernier, la société avait même publié des résultats semestriels plutôt décevants, tout en précisant que ses activités services et progiciels lui permettraient de redresser la barre. (...)
(31/03/2008 18:40:10)Intel et STMicro se débarrassent de leurs mémoires Flash dans Numonyx
Numonyx voit enfin le jour. Annoncé il y a un an par Intel et STMicroelectronics, cette joint-venture réunit les activités de mémoire flash des deux fondeurs. Ils mettent en commun des activités actuellement peu rentables, voire en perte. Et sous le nom brillant de mémoire flash, on trouve surtout une activité focalisée sur les mémoires de type NOR, une "vieille" technologie qui sert au stockage fixe des données, comme c'est le cas dans un bios, ou à l'exécution de programmes résidents. Mais, lorsque l'on parle aujourd'hui de mémoires flash, les vraies vedettes sont celles de type NAND. Très demandées, elles jouent le rôle d'un disque dur ou d'une disquette. On en trouve partout. Dans les clés USB, bien sûr, mais aussi dans l'iPod, premier produit grand public à l'utiliser à grande échelle. A l'avenir, ce seront les téléphones portables qui devraient tirer le marché. Alors que les deux Sud-Coréen Samsung et Hynix se partagent 63% du marché Nand, Numonyx ne joue pas dans la même cour. Il devrait réaliser près de 90% de ses 3,6 Md$ de CA prévisionnel avec la vente de flash NOR. L'autre difficulté de naissance que Numonyx va devoir surmonter, c'est la concurrence de IM Flash Technologies, la joint venture qu'Intel à monté fin 2005 avec Micron sur le marché des mémoires flash... NAND. Intel et Micron viennent d'annoncer un nouveau record avec des mémoires NAND cinq fois plus rapides que les précédentes. Sur un marché hyperconcurrentiel, la guerre sera terrible. Selon iSuppli, le CA du marché des Flash NAND a baissé de 3,9% au dernier trimestre 2007, alors que l'institut s'attendait à une hausse de 3%. Numonyx sera détenu à 48,6% par STMicroelectronics, à 45,1% par Intel tandis que le fonds d'investissement Francisco Partners verse 150 M$ pour obtenir 6,3% du capital. On peut en extrapoler une valorisation d'environ 2,4 Md€. Parallèlement, Numonyx va recevoir 450 M$ pour financer ses dettes. Sur 8000 salariés, 2500 viendront d'Intel. La société affiche huit centres de recherche et développement. (...)
(31/03/2008 18:00:22)Le Munci va créer un syndicat professionnel
Le Mouvement pour une union nationale et collégiale des informaticiens (Munci) essaime sur le terrain syndical. L'association d'informaticiens a en effet entériné samedi, lors de son assemblée générale, la décision de créer un syndicat de branche en marge du Munci. Objectif de cette nouvelle structure, dont le nom n'a pas été dévoilé : la défense des intérêts collectifs chez les prestataires de services informatiques. « Concrètement, nous souhaitons fédérer les salariés et les indépendants des sociétés de prestations intellectuelles (conseil, ingénierie, informatique...) relevant de la branche Syntec », explique Régis Granarolo, président du Munci. Aujourd'hui, un nouveau club professionnel se créé chaque mois en France et en Europe, et de plus en plus de salariés souhaitent s'investir dans les élections des IRP (institutions représentatives du personnelles : délégués syndicaux, délégués du personnel, comités d'entreprise) de leurs sociétés. » Une nouvelle répartition des tâches devrait donc rapidement voir le jour entre le Munci et ce nouveau syndicat, dont les statuts sont en cours de d'analyse. En l'occurrence, un certain nombre de missions - notamment d'assistance juridique et de lobbying - lui seront dévolues. « Notre syndicat fonctionnera sur le même principe de démocratie participative que l'association, précise Régis Granarolo. Nous nous sommes par ailleurs rapprochés de l'Unsa (Union nationale des syndicats autonomes), et nous réfléchissons d'ores et déjà à l'opportunité de fusionner à terme avec un autre syndicat professionnel ». De son côté, le Munci entend renforcer son rôle d'information et de conseil auprès de ses adhérents. En particulier, le premier exemplaire d'une lettre de veille professionnelle, destinée à paraître à échéance trimestrielle, leur sera envoyée d'ici quelques semaines. De la même manière, un programme d'ateliers et de conférences thématiques est en cours de finalisation. L'association entend, en outre, renforcer son partenariat avec les éditeurs, pour permettre à ses membres d'accéder à des formations à moindre coût. Enfin, l'une de ses priorités sera cette année la création d'une cellule Emploi, assurant un suivi des offres et des recruteurs (lutte contre la discrimination à l'embauche, sociétés à conseiller ou au contraire à éviter...). (...)
(31/03/2008 15:54:59)OOXML à l'ISO : la France se serait abstenue
Selon nos confrères de CIO-online, la France aurait opté pour l'abstention dans le débat pour l'adoption ou le rejet du format bureautique Office Open XML (OOXML) comme un standard ISO (International Organization for Standardisation). Il y a quelques jours, une réunion de l'Afnor s'était terminée sans qu'un consensus se dégage. Les représentants de 87 pays se sont réunis samedi soir à Genève pour décider du sort d'OOXML. Ces même pays (sur les 157 que compte l'ISO) avaient déjà rejeté la demande de normalisation d'OOXML en septembre dernier. Les résultats officiels n'ont pas encore été annoncés mais, d'après certains analystes, il est fort probable que le 'oui' l'ait cette fois emporté. L'ISO souhaite prendre le temps d'avertir les pays membres, avant de rendre public le résultat du scrutin, mercredi. (...)
(31/03/2008 13:41:11)400 grévistes chez Capgemini
La question des salaires a entraîné une forte mobilisation des salariés de Capgemini à l'échelle nationale. Ils étaient 400, selon la CFDT, soit 22% des effectifs de la SSII française, à manifester vendredi dernier sur sept sites de France : c'est à Grenoble que la participation a été la plus soutenue (300 grévistes, selon la CFDT), suivie par Lyon, Nancy, Strasbourg ,Sophia-Antipolis, Paris et Montpellier. Un chiffre également relevé par la direction, qui fait état d'une participation de 226 grévistes sur le site de Grenoble et d'une centaine d'autres, répartis sur plusieurs sites de l'Est et du Sud de la France. Ce mouvement fait suite à l'appel de l'intersyndicale (CFDT, CFE-CGC, CGT, FO, CFTC) à participer, depuis le 5 mars dernier, aux assemblées générales à Lyon, Caen, Grenoble, Clermont, Rennes, Brest, Saint-Denis, Vernon, Toulouse, Bordeaux, Saint-Cloud, Montpellier et Aix, Nantes, Pau, Toulouse, Marseille, et Carry-le-Rouet. La dernière assemblée générale, qui avait eu lieu le 21 mars, devant l'immeuble Coeur Défense entre 13 heures et 14 heures, avait réuni plus d'une centaine de salariés. Les syndicats ne comptent pas en rester là, en appelant à une seconde manifestation, demain, mardi 1er avril, qui rassemblera les salariés des autres sites de Capgemini. « Le niveau de la mobilisation de vendredi était remarquable, et confirme l'ampleur de la grogne constatée lors des assemblées générales du mois de mars, souligne Yvan Béraud, secrétaire national du syndicat F3C CFDT. Il était aussi élevé qu'en 2005, date de la dernière grande mobilisation des salariés de Capgemini sur les salaires » Le syndicaliste prévoit pour demain, une mobilisation « un peu plus modérée, à l'exception de certains sites de province, comme la Bretagne et Midi-Pyrénées, où les salaires de certains techniciens ne dépassent pas les 2 000 € mensuels. » Les salariés réclament le retour des augmentations générales, supprimées depuis une vingtaine d'années chez Capgemini, pour rattraper le pouvoir d'achat, une augmentation immédiate des bas salaires, une revalorisation des frais professionnels, une refonte du système d'évaluation, et un accord salarial pérenne. » Ces questions seront abordées cet après-midi , à l'occasion d'une première négociation fixée entre les syndicats et la direction Celle-ci ayant déjà fait valoir que les minima salariaux pratiqués chez Capgemini étaient supérieurs à ceux pratiqués par la branche et que les enveloppes d'augmentations individuelles, qui ont profité à 80% des collaborateurs, étaient au moins égales à celles accordées par l'ensemble de la profession. (...)
(31/03/2008 13:18:02)Annuels SQLI : un chiffre d'affaires porté par les projets SAP
SQLI a publié un chiffre d'affaires annuel de 115,4 M€, en hausse de 27% par rapport à 2006. Le résultat opérationnel courant s'établit à 8,328 M€ (+47%), et représente 7,2% du chiffre d'affaires total (contre 6,2% un an plus tôt). La croissance organique passe de 12 à 16%. La SSII a multiplié les rachats cette année (Alcyonix , Urbanys, Amphaz et Iconeweb). Le rachat du Québécois Alcyonix, lui a permis de structurer ses méthodes CMMI (Capability maturity model integration), qui visent à améliorer les processus des sociétés de services en termes de délais, de gestion des projets, de gouvernance... SQLI affirme que les 2/3 de son chiffre d'affaires sont réalisés avec des niveaux de haute maturité CMMI 4 et CMMI 5. Elle a également créé un pôle d'expertise de haut niveau autour de l'environnement SAP, grâce au rachat du cabinet EoZen en décembre dernier. Ce pôle regroupe 350 consultants spécialisés. Pour 2008, SQLI confirme ses objectifs, et vise les 150 M€ de chiffre d'affaires, dont 20% à l'international. La société est déjà présente au Benelux, en Espagne, en Suisse, au Maroc et au Canada. Elle compte 1700 collaborateurs. La société envisage également de procéder à d'autres acquisitions, même de petite taille, mais à compétences très pointues. (...)
(28/03/2008 17:45:59)Bios : Phoenix achète BeInSync, spécialiste de la synchronisation
Phoenix Technologies, numéro un mondial des Bios (Basic input output system, qui fait l'interface entre la machine et le système d'exploitation) pour systèmes x86, annonce l'achat de BeInSync pour un montant estimé à 25 M$. Cette société israélienne est spécialiste de la synchronisation de fichiers en pair à pair. Phoenix Technologies, dont les Bios (Phoenix, Award, First.) sont enfouis dans la plupart des cartes mères des grands de la micro-informatique et des serveurs, inscrit cette acquisition dans son projet de plateforme "PC 3.0" dont l'élément essentiel est l'hyperviseur HyperCore qui a été présenté en octobre 2007. Cet hyperviseur a pour caractéristique d'être ultraléger et ajouté au Bios. Il permet déjà de faire fonctionner Hyperspace, un environnement applicatif indépendant de Windows. Au premier regard, la technologie de BeInSync se destine naturellement à la synchronisation des fichiers de données. Les utilisateurs pourraient disposer d'un référentiel pour sauvegarder leurs données, les synchroniser et y accéder dès lors qu'ils disposeraient d'un accès Internet. Une intégration attendue entre BeInSync et Hypercore L'autre éventualité, qui n'est pas exclusive de l'autre, serait la conjonction de la technologie de BeInSync et de l'hyperviseur Hypercore. Dans cette perspective, Phoenix pourrait alors proposer une approche originale à la gestion des machines virtuelles dans le cadre d'un environnement VDI (Virtual desktop infrastructure, infrastructure de poste de travail virtualisé). Une certitude, Phoenix compte bien proposer son développement à tous ses clients, autrement dit au ban et à l'arrière-ban du monde X86/64. Une offre qui ne pourra qu'avoir l'aval d'Intel. Début 1996, Intel est rentré au capital de Phoenix Technologies à hauteur de 6% pour un montant de 10,8 M$. Phoenix a racheté ces 6% à Intel début 2001, mais les deux sociétés sont restées très proches et collaborent étroitement. Notons que FolderShare (acheté par Microsoft en 2005) et Sharpcast sont considérés comme des concurrents de BeInSync. (...)
(28/03/2008 16:53:58)Syntec présente sa nouvelle politique emploi, sociale et formation
Syntec Informatique a dévoilé aujourd'hui les principales orientations de sa politique sociale, d'emploi et de formation pour l'année 2008. L'occasion pour Alain Donzeaud, vice-président de Syntec Informatique et président de la Commission des affaires sociales et de la formation, de présenter une série d'actions qui s'articulent autour de trois grands axes : la sensibilisation des entreprises du secteur à la mise en place d'une politique RH performante, l'adaptation des dispositifs légaux aux spécificités des entreprises de la branche, et la contribution de Syntec Informatique à chasser de nouveaux talents. Pour aider les acteurs des logiciels et services à développer une gestion efficace de leurs ressources humaines, le syndicat professionnel a choisi d'instaurer des échanges de bonnes pratiques. « Chaque mois, des matinées sociales réunissant une centaine d'entreprises adhérentes abordent des problématiques liées à a la formation continue, au DIF, ou à la discrimination », a exposé Alain Donzeaud lors d'une conférence de presse. Second volet de la politique d'orientation sociale initiée par la chambre professionnelle : l'harmonisation des dispositifs légaux aux spécificités des entreprises de la branche. « Deux négociations sont actuellement en cours, a ajouté le porte-parole de Syntec Informatique. L'une, sur la parité, l'autre sur la GPEC (Gestion prévisionnelle des emplois et des compétences). Nous réfléchissons parallèlement à la mise en application des lois dites TEPA sur le pouvoir d'achat dans les entreprises de la branche. » Considérant que l'une des modalités de cette loi - qui porte notamment sur le rachat des RTT et des jours de repos - empêche sa mise en application dans la profession, Syntec a pris les devants en alertant les pouvoirs publics sur le sujet. [[page]] La fédération syndicale compte également régler le problème de la comptabilisation des effectifs des sociétés prestataires dans les effectifs des entreprises clientes, une question qualifiée « d'importante bataille juridique », par le vice-président de Syntec Informatique. Le porte-parole a conclu en passant en revue les différents dispositifs permettant d'aider les entreprises à trouver de nouveaux collaborateurs. « Le site Changeursdemonde.com, lancé en mars 2007 pour sensibiliser les jeunes aux métiers de l'informatique, vient d'entrer dans sa deuxième phase, avec un nouveau blog et un jeu de simulation plus rapide, a expliqué Alain Donzeaud. Nous agissons aussi sur les sources d'approvisionnement des talents en collaborant avec les grandes écoles d'ingénieurs, et avec des organismes comme l'ANPE ou le Garp. » Syntec Informatique étudie également l'analyse des besoins en compétences et de leurs évolutions en conduisant des études métiers, et agit sur la formation dans la branche en collaboration avec le Fafiec, pour définir des priorités. (...)
(28/03/2008 15:08:58)L'image de marque de Microsoft en chute libre aux USA
Selon une étude publiée par CoreBrand, l'image de Microsoft est en perte de vitesse auprès des entreprises américaines. Le cabinet a interrogé 12 000 sociétés, à propos de leurs préférences en termes de marques (toutes catégories confondues : informatique, automobile, alimentation...). Microsoft subit un camouflet en passant de la 38ème à la 59ème place du classement, perdant ainsi 21 points (ce qui correspond à la plus forte chute du top 100 établi par CoreBrand). Une baisse d'autant plus sévère quand on sait que le géant de Redmond figurait en 11ème position en 2004, et en tête du classement en 1996 (parmi 1200 sociétés, dans 50 secteurs différents). James Gregory, chef de la direction de CoreBrand, a souligné que si ce déclin se poursuivait, Microsoft pourrait bien se faire griller la politesse par Toshiba (71ème, et qui gagne 10 places) dans les années à venir. Si on s'en tient aux fournisseurs du secteur informatique, Microsoft est en effet en deuxième position, devant Toshiba, et derrière IBM (18ème au classement général). Sony se classe 21ème [[page]] Dans son analyse, James Gregory identifie plusieurs facteurs à cette chute : les déboires rencontrés par Windows Vista dans les entreprises, la campagne publicitaire d'Apple aux Etats-Unis « I'm a Mac, I'm a PC » qui aurait pu ternir l'image de Windows, ainsi que les difficultés rencontrés par Microsoft pour diversifier ses activités, notamment dans le secteur de la publicité en ligne. CoreBrand se sert de quatre critères pour mesurer le taux de popularité des marques auprès des décideurs des entreprises : le niveau de connaissance de la marque, sa réputation, la perception de la gestion et les investissements potentiels. Parmi les autres sociétés du secteur informatique cités dans le Top 100 de CoreBrand on retrouve Sony (21ème), Xerox (49ème), Canon (82ème), Verizon Communications (90ème) ou encore Motorola (94ème). (...)
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