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(20/12/2007 17:42:12)

Rapprochement Google/DoubleClick : les US approuvent, l'Europe enquête encore

La Federal Trade Commission américaine (FTC) a tranché : elle n'empêchera pas Google de racheter DoubleClick (une société spécialisée dans la régie de la publicité en ligne). Après huit mois d'enquête, la commission a en effet estimé que cette opération ne portait pas préjudice à la concurrence. Ce rachat, dont le montant s'élève à 3,1 Md$, avait déjà été approuvé par les services de la concurrence australiens et brésiliens. Les autorités européennes se sont montrées beaucoup plus réservées de leur côté. Bruxelles a en effet estimé que cette fusion « pourrait donner lieu à des pratiques restrictives et anticoncurrentielles vis-à-vis des acteurs présents sur le marché, et de ce fait, porter préjudice aux consommateurs ». La Commission européenne a donc lancé une étude approfondie, et communiquera son avis définitif le 2 avril prochain. Eric Schmidt, PDG de Google, s'est déclaré satisfait du soutien de la FTC, tout en ajoutant « nous espérons que la Commission européenne aboutira à la même conclusion, mais nous sommes confiants ». (...)

(20/12/2007 17:31:01)

Groupama détient 17,23% du capital de Cegid

Comme prévu, le groupe d'assurances Groupama et l'éditeur de logiciels de gestion Cegid ont signé le 19 décembre un partenariat industriel pour développer des offres destinées aux professionnels de l'expertise comptable et aux plus de 2,5 millions de TPE-PME. Cet accord s'accompagne d'une prise de participation de 17,23% de Groupama dans le capital de l'éditeur, qui correspond à 15,85% des droits de vote de Cegid Group. Le nouvel actionnaire a acquis le titre Cegid à 55 € alors que celui-ci était coté à 41 €. Christian Collin, secrétaire général de Groupama, a expliqué que « la valeur intrinsèque de l'éditeur » était « très supérieure au cours de la bourse », ce matin, lors d'une conférence de presse commune avec Jean-Michel Aulas et Patrick Bertrand, respectivement président et directeur général de Cegid. Il est précisé que le nombre de titres vendus à Groupama est susceptible de faire l'objet d'un ajustement en fonction de l'évolution des cours de bourse. Clause de non concurrence pour Jean-Michel Aulas Jean-Michel Aulas s'est engagé à rester quatre ans à la présidence du groupe qu'il a fondé. L'accord entre les sociétés prévoit aussi qu'il ne concurrence pas Cegid pendant dix ans et qu'il ne vende pas son solde d'actions à un concurrent de Groupama. Les autres actionnaires, Apax et Eurazeo, s'engagent également à ne pas céder leur solde à une banque ou une assurance. A court terme, Cegid et Groupama prévoient de proposer de nouveaux services aux dirigeants et aux experts comptables, mais aussi aux notaires, avocats, huissiers, collectivités locales, associations ou agriculteurs. Sur le terrain de la profession comptable libérale, Jean-Michel Aulas évalue à 60% la part de marché actuelle de sa société, en rappelant que ce secteur est sur le point d'évoluer de façon « extrêmement significative », notamment avec la fourniture de conseil aux entreprises. De son côté, Groupama apporte la force de son réseau (2 500 agences, 6 600 commerciaux) et sa place de troisième assureur des TPE/PME avec Gan Assurances. « Ce potentiel va nous permettre de mieux vendre nos produits de base, indique Patrick Bertrand. Chaque groupe reste sur son secteur d'expertise mais s'appuie sur l'autre pour développer son activité ». De fait, les deux acteurs escomptent ici bénéficier d'un effet de « prescription » pour démultiplier l'acquisition de nouveaux clients. Christian Collin, de Groupama, voit un potentiel de développement tout à fait considérable dans les TPE/PME, aux prises avec une réglementation qui évolue constamment. Les compétences métiers de Groupama permettront notamment à Cegid de compléter ses logiciels de finance (avec des services d'assurance multirisque industrielle, par exemple), de fiscalité (conseil sur la retraite complémentaire, bilan patrimonial...) et de gestion des ressources humaines (conseil sur la prévoyance ou l'épargne salariale...). Les deux acteurs prévoient aussi d'investir sur Comptanoo, le portail de solutions de gestion et d'outils de collaboration en ligne. (...)

(20/12/2007 17:22:40)

Harmony en version 5.0 M4, mais toujours sans accord avec Sun

Geir Magnusson a profité de la sortie de la version 5.0 Milestone 4 d'Harmony pour réitérer ses critiques à l'égard de Sun. Harmony est le projet d'implémentation par la Fondation Apache de la plateforme Java Standard Edition. Mais avant de pouvoir prétendre à ce titre, Harmony devra passer les tests de compatibilité mis au point par Sun, le TCK (Test compatibility kit). C'est là que le bât blesse. Alors que, lors de l'ouverture de Java il y a un an, Geir Magnusson estimait que cela ne remettait pas du tout en cause les travaux sur Harmony, le leader du projet est aujourd'hui remonté. « La licence que Sun offre à Apache pour le TCK [nous] empêche de distribuer notre implémentation indépendante sous licence Apache », indique-t-il. Pour lui, Sun est en contradiction avec son propre processus d'élaboration des spécifications Java (le JCP) - ce qui pousse Apache à s'opposer aux spécifications émanant de Sun lors des votes du JCP. Sun craint qu'un Java sous licence Apache ne provoque des divergences Sun a répondu de son côté qu'Apache pouvait utiliser le programme TCK de son choix, y compris l'option gratuite pour les organismes à but non lucratif. Et un porte-parole a rappelé les propos de Rich Green, vice-président Software de Sun, qui expliquait en août dernier sur son blog que Sun savait que le choix de la licence GPL lors de l'ouverture de Java pourrait poser problème... mais que c'était comme cela, et puis c'est tout. « Nous savions quand nous avons choisi la GPL et un modèle gratuit pour la technologie Java que nous ne pourrions pas satisfaire les désirs de tout le monde. C'est le cas pour le projet Harmony de la Fondation Apache. » Pour Rich Green, permettre la sortie d'une implémentation de Java sous licence Apache présente des risques de divergence, le code pouvant alors être repris et modifié et finalement devenir incompatible avec le reste du monde Java. Quoi qu'il en soit, du code Harmony est déjà dans la nature : IBM a annoncé il y a quelques jours en avoir utilisé « une quantité significative » pour son Java SDK 6, installé dans « des centaines de produits IBM ». (...)

(20/12/2007 16:14:35)

SFR rachète bien NeufCegetel

La confirmation est arrivée du rachat de NeufCegetel (opérateur fixe, voix et internet, entreprises et grand public) par SFR (opérateur mobile voix et données, entreprises et grand public). Le groupe Louis-Dreyfus se retire donc des télécoms où il avait constitué NeufCegetel par croissance externe. Financièrement, SFR finance l'opération par un prêt de sa maison mère Vivendi. SFR diminuera dans les trois ans à venir son dividende pour rembourser ce prêt, de son côté Vivendi procèdera à une augmentation de capital pour assurer le prêt à SFR. SFR qui détenait déjà 40,5 % du capital de NeufCegetel reprend les 29,5% détenus par Louis-Dreyfus et lancera une Opa sur les 21,5% du flottant. Vivendi est déjà actionnaire majoritaire de Canal+ et de Vivendi Games, deux sociétés de contenus, dont il n'entend pas se défaire, sous réserve de l'avis des autorités de la concurrence européennes. (...)

(20/12/2007 16:15:13)

Creative Commons propose une option pour un usage commercial

Lorsque la clarté des licences Creative Commons a été mise en cause dans une procédure judiciaire - abandonnée au début du mois - Lawrence Lessig, PDG de Creative Commons, avait promis de rendre encore plus claire l'utilisation de ses licences. C'est désormais chose faite avec les deux additions : CC+ et CC0. Loin d'être une licence supplémentaire, le CC+ est un protocole pour permettre l'utilisation d'une autre licence (commerciale par exemple) aux côtés d'un usage normalement non commercial. Ainsi Lawrence Lessig prend l'exemple de photos mise sur Flickr avec une licence non-commerciale (donc la situation même qui a failli valoir un procès à sa compagnie) : « CC+ vous permettra de continuer à proposer votre travail au public pour un usage non commercial, mais il vous assurera aussi une façon simple d'en licencier les droits commerciaux à ceux qui voudront l'exploiter pour le profit. » CC+ peut être implanté immédiatement. Au contraire, le protocole CC0 a pour but de faire immédiatement tomber dans le domaine public l'oeuvre qu'il recouvre. Et d'assurer aux utilisateurs qu'il n'y a aucun droit intellectuel rattaché à cette oeuvre. Une version bêta de CC0 devrait être disponible dès le 15 janvier 2008. Et la compagnie annonce également Science Commons, un protocole pour rendre les bases de données scientifiques interopérables entre elles. (...)

(20/12/2007 12:37:44)

Les applications tirent le 2e trimestre d'Oracle vers le haut

Oracle continue d'impressionner la bourse par la réussite insolente de sa massive politique de croissance externe. Tous les indicateurs sont au vert. Les bons résultats affichés traduisent le fait qu'Oracle est en passe de réussir son pari d'ajouter un gros morceau de logiciels applicatifs à l'imposant gâteau de son SGBD. C'est ainsi que le CA des nouvelles licences sur les applications a progressé de 63% contre seulement 28% pour les SGBD et le middleware. Sur le deuxième trimestre, le CA généré par les nouvelles licences SGBD a représenté 66% du CA licence, le reste revenant aux applications. Il y a un an, le rapport était de 72% pour les SGBD et de 28% pour les applications. Cerise sur le gâteau, Oracle conduit sa mutation en améliorant encore sa rentabilité. (...)

(20/12/2007 12:34:45)

Le MIT alimente un supercalculateur en pédalant

Le Massachusetts Institute of Technology (MIT) a eu pendant quelques minutes le supercalculateur le plus écologique du monde. En effet, la semaine dernière, 10 étudiants ont pédalé pendant 20 minutes pour alimenter en électricité un SiCortex SC648 chargé de réaliser un calcul sur la fusion nucléaire. Cet exploit avait une triple vocation : entrer dans le livre des records Guiness, participer au concours « Innovate or Die » et mettre l'accent sur la nécessité de trouver de nouvelles énergies alternatives. Selon un porte-parole de l'institut, durant ces 20 minutes, le SiCortex a réalisé plus de calculs que tous ceux ayant eu lieu jusqu'aux années 60. (...)

(20/12/2007 12:13:31)

700 MHz : la FCC rejette les opérateurs traditionnels

L'autorité de régulation des télécoms américaine (FCC) a publié hier la liste des 96 participants retenus pour les enchères sur la bande passant des 700 Mhz. Sur les 266 candidatures soumises, seulement 96 ont en effet été retenues, les 170 restantes ayant toutefois encore la possibilité de réitérer leurs prétentions à une portion de la bande des 700 Mhz en complétant leurs dossiers avec les informations manquantes requises par la FCC. La liste des candidats peut être consultée sur le site de la FCC, mais d'ores et déjà, on peut noter de grands noms des télécoms américains parmi les prétendants refusés dont notamment AllTel, AT&T Mobility Spectrum, Chevron, Qualcomm ou encore Verizon. Chose assez étonnante d'ailleurs car ces acteurs du marché du réseau ne manquent pas d'expérience en matière de constitution de dossier de candidature. Il semble que la FCC ait préféré donner aux opérateurs régionaux et aux initiatives nouvelles. Ainsi, Vulcan Ventures, société dirigée par le co-fondateur de Microsoft Paul Allen, et Google Airwaves, filiale du géant de la recherche sur Internet, figurent déjà parmi les 96 candidats retenus au milieu d'opérateurs télécoms régionaux. (...)

(19/12/2007 16:42:05)

Toshiba, septième à s'allier avec IBM pour la gravure en 32 nm

Et de sept. Toshiba est le septième fondeur à se joindre à un groupe qui se fédère autour d'IBM pour aborder à moindre coût le passage à la gravure en 32 nanomètres. Le Japonais rejoint les Américains AMD et Freescale (ex-Motorola à partir de 2004), le Coréen Samsung (premier producteur mondial de composants mémoires), le Singapourien Chartered Semiconductor Manufacturing et l'Allemand Infineon (ex-Siemens à partir de 1999). Ce groupe ressemble bel et bien à une coalition. Il suffit de constater l'absence d'Intel. Manque aussi à l'appel Texas Instruments qui fond les processeurs de Sun. Sachant que les premiers composants en 45 nm commencent à être livrés, la bascule sur le 32 nm devrait se faire vers 2009. (...)

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