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(24/12/2007 13:56:54)
Dell empoche The Networked Storage Company, cabinet britannique
Dell a annoncé son intention d'absorber The Networked Storage Company (TNSC), société de conseil britannique spécialiste des méthodologies de migration de systèmes de stockage. En moins de deux mois, l'ex-numéro un de la micro aura procédé à deux opérations de croissance externe dans le domaine du stockage. La précédente, bien plus importante, portait sur la prise de contrôle d'EqualLogic, spécialiste du iSCSI, pour 1,4 Md$. On dispose de très peu d'information sur TNSC, sauf qu'elle a été fondée par Simon Pennock qui, fut un temps, dirigea EMC au Royaume-Uni. Le savoir-faire de TNSC permettra à Dell de renforcer ses compétences en matière de consulting sur le stockage en réseau. Dell, très actif en matière de rachats - alors que la société était réputée pour l'inverse - semble chercher à se repositionner comme l'interlocuteur privilégié des responsables de centres de calcul et de l'administration de parc. Ses raids au cours des six derniers mois sur des spécialistes du stockage et de l'administration à distance (Everdream, SilverBack Technologies) visent à se constituer une expertise qui lui manque cruellement pour l'instant. L'accord signé en octobre avec Citrix pour proposer une configuration " On-Demand Desktop Streaming" s'inscrit dans la même veine : proposer des solutions "standardisées" pour réduire le TCO. Pour Dell, l'écueil à surmonter est sa totale absence de référence. Lui qui a construit sa réputation uniquement sur le rapport prix/caractéristiques de ses machines doit désormais convaincre qu'il peut appliquer les mêmes recettes sur la matière grise. (...)
(24/12/2007 12:43:37)Un cheval de Troie corrompt les publicités Adwords
Selon BitDefender, un cheval de Troie pervertirait les liens publicitaires contextualisés générés par le système Adwords de Google. Le spécialiste en sécurité explique que Trojan.Qhost.WU - nom qu'il donne au cheval de Troie - remplace les liens publicitaires par d'autres, dirigeant les internautes vers des sources potentiellement dangereuses. Cette opération est réalisable en modifiant un fichier de configuration (Hosts file) dont le but est d'appliquer un nom de domaine à une adresse IP. Un processus utilisé normalement - et légalement - pour bloquer l'affichage de publicité. Si ce fichier est corrompu ou piraté, le navigateur dirige l'internaute vers une page Web qu'il n'a pas demandée. Si BitDefender identifie le malware comme étant de risque « moyen » - sans toutefois préciser le moyen de propagation -, l'éditeur insiste sur le fait que l'internaute télécharge des publicités depuis un serveur « pirate » qui n'est pas celui de Google. Cela soulève dans la foulée la question du retour des campagnes lancées par Adwords et celui de rémunérations induites. (...)
(24/12/2007 12:41:45)Top 10 de 2007 : Les gros du progiciel avalent les gros du décisionnel
L'année a commencé sous les meilleurs auspices pour le décisionnel, avec l'annonce par NCR de l'indépendance prochaine de Teradata. De fait, la 'BI', pour Business intelligence, a le vent en poupe, comme le soulignera PAC (Pierre Audouin Consultants) dans le courant de l'année, grâce à deux facteurs. D'une part, certaines entreprises commencent à considérer qu'analyser leurs performances en temps quasi-réel leur donne un avantage compétitif. D'autre part, le durcissement des législations renforce le besoin de gouvernance et d'outillage adapté. Visiblement, les géants de l'informatique ont fait le même calcul. Microsoft occupe le terrain à coups de préannonces de sa solution Performance Point Server. HP crée en début d'année une division BI, 'Business Information Optimization', et annoncera par la suite vouloir acheter dans ce domaine des leaders. Problème : HP est loin d'être le seul à voir dans le décisionnel un créneau porteur. Car si les gros du décisionnel complètent leurs offres (Cognos rachète Celequest puis s'attaque à l'analyse financière avec Applix, Hyperion reprend Decisioneering, Business Objects s'offre Cartesis puis BO vise les données non structurées avec Inxight), les gros du progiciel décident rapidement d'entrer dans la danse en rachetant les gros du décisionnel. C'est Oracle qui ouvre le bal, avec le rachat d'Hyperion pour 3,3 Md$. Puis SAP se fait la main en reprenant Outlooksoft, spécialiste de la gestion des performances financières, avant de frapper un grand coup en rachetant Business Objects pour 4,8 Md$, une somme très inhabituelle pour le géant allemand du progiciel. Alors que Cognos se félicite d'être un des derniers indépendants sur ce marché, Teradata, devenu indépendant le 1er octobre, fait alliance avec SAS. Dans la mesure où les éditeurs de progiciels veulent intégrer la BI à leur offre, les éditeurs spécialisés se doivent d'offrir une gamme complète et si possible technologiquement plus avancée. Las, Cognos ne profite pas longtemps de son discours marketing : IBM met 5 Md$ sur la table pour s'emparer de l'éditeur canadien. Malgré tous ces rachats, il y a fort à parier que les gros du progiciel n'ont toujours pas fini de compléter leur offre. Oracle a montré qu'il avait de l'appétit, en proposant 6,7 Md$ pour racheter BEA. Une offre jugée inamicale et repoussée avec succès, mais qui a mis au grand jour l'interrogation principale du secteur : qui sera le prochain racheté ? (...)
(24/12/2007 10:09:20)SAP met son offre CRM 2007 à l'heure du Web 2.0 et de la VoIP
Pour faciliter l'adoption de ses solutions, SAP s'est mis au diapason des usages popularisés sur Internet. SAP CRM 2007, la dernière version, tout juste livrée, de son application de gestion de la relation client (GRC) tire ainsi parti des technologies Web 2.0. « Les attentes des utilisateurs sont dictées par les expériences qu'ils vivent quotidiennement, admet Renaud Sibel, responsable du développement de l'offre CRM pour l'Europe. Dans un contexte professionnel, ils s'attendent donc à pouvoir personnaliser leur environnement de travail à la manière d'un Yahoo ou d'un iGoogle. » Des fonctions qui n'ont rien d'accessoires dans des projets de CRM qui requièrent une réelle adhésion des utilisateurs pour réussir. L'éditeur s'est appuyé sur Ajax pour développer l'interface de SAP CRM 2007. Il est devenu possible de réorganiser l'affichage, de déplacer ou de masquer des zones de saisie, de renommer des libellés, de recevoir des flux RSS ou d'afficher placer des widgets. Des fonctions de VoIP dans un processus complet L'autre évolution importante de cette nouvelle version réside dans l'ajout de fonctions de communication dans des processus métiers complets, avec l'arrivée de SAP Business Communications Management. Un recours à la voix sur IP qui sera notamment mis à profit dans le centre d'appels. Les agents qui traitent les appels entrants pourront, par exemple, faire intervenir directement un expert dans la conversation en lui transférant parallèlement la fiche client. Si l'expert n'est pas à son poste, il sera joint de la même façon sur son mobile et à la fin de l'appel, c'est lui qui clôturera le ticket d'incident avec un SMS. SAP CRM 2007 inclut une nouvelle application de gestion prévisions de vente qui propose de recourir à des scénarios de type « what if » (que se passera-t-il si ?) pour effectuer des mesures d'impact sur les objectifs. Dans la démarche de vente, une autre application, Real-Time Offer Management, permet de récupérer sur les clients des informations qui serviront à augmenter le volume des ventes par des recommandations ou des offres pertinentes (vente incitative, vente croisée...). La nouvelle version couvre aussi la gestion des pièces de rechange (approvisionnement, inventaire, visibilité par dépôts, réservation, retour). Des solutions verticales pour les télécoms, la high tech... SAP propose des déclinaisons verticales de SAP CRM 2007. L'une de ces solutions, adaptée aux besoins du secteur des télécommunications, servira par exemple à gérer les campagnes de marketing dans le cas d'offres packagées composées d'éléments vendus habituellement de façon séparée. Elle s'ajoute à la solution de prise de commande déjà disponible. D'autres versions verticalisées de l'offre (il en existe 19) ont été développées pour le secteur public, la finance, l'industrie de la high tech et celle des biens de consommation. Le mois dernier, Oracle, le principal concurrent de SAP sur cette offre CRM, profitait de sa conférence utilisateurs annuelle pour pré-annoncer trois solutions destinées aux équipes commerciales. Ces nouveautés, qui ne sont attendues que pour le premier semestre 2008, seront les premières pièces de Fusion Applications, la nouvelle génération d'applications d'Oracle, construite sur une architecture orientée services. (...)
(21/12/2007 17:13:03)Le Blackberry fait la richesse de RIM son inventeur
3e trimestre fiscal 2008 (clôture le 1er décembre) Chiffre d'affaires : 1,67 Md$ (+ 100 %) Bénéfices nets : 370 M$ (+111,2 %) Research in Motion, société canadienne mieux connue sous l'acronyme de RIM et encore plus pour sa ligne de terminaux mobiles Blackberry, vient d'achever un excellent troisième trimestre. Sur un an, la société a cru de façon exponentielle et maintient une marge brute supérieure à 50%. Le CA se répartit entre 80% pour les ventes de Blackberries (3,9 millions d'exemplaires), 14% de service et 4% de logiciels. Sur le trimestre, RIM a recruté quelque 1,65 million de nouveaux abonnés, ce qui porte leur nombre total à 12 millions environ. RIM annonce disposer d'une réserve de liquidités de 2,13 Md$. En un an, l'image de RIM a aussi beaucoup évolué. Fut un temps, l'on craignait que la société, très ancrée dans le modèle propriétaire et axé sur les marchés professionnels, ne se fasse balayer par des concurrents plus gros et moins spécialisés comme Nokia, du côté de la téléphonie, ou Microsoft, pour l'informatique. Aujourd'hui, RIM est tellement admiré qu'on lui prête des pourparlers avec Microsoft et, les premiers Blackberries grand public commençant à avoir du succès, RIM serait en train de préparer un iPod killer, la série 9000 de sa ligne grand public Pearl. Ce serait une révolution pour une société qui a toujours été centrée sur le "bénéfice produit" plutôt que de s'attacher au côté paillette. Le prototype n'aurait même plus de clavier. (...)
(21/12/2007 16:19:36)Smile ouvre un observatoire du Web
L'intégrateur de solutions Open Source Smile a développé Woozweb.com, un observatoire du Web associé à un service de monitoring. Totalement gratuit, ce site (en version bêta pour le moment) offre une série d'informations sur plus de 6000 grands sites français, sélectionnés dans différents domaines (médias, finance, emploi, sites de e-commerce...). Cet outil est principalement destiné aux professionnels du web, mais aussi à toute entreprise souhaitant recueillir des informations sur les sociétés concurrentes. L'internaute peut sélectionner les sites qui l'intéressent, et les placer sous surveillance afin d'en suivre les performances (temps d'affichage de la page, disponibilité du site, technologie utilisée...). Un service d'alerte est également disponible. Si la personne s'inscrit, elle a également la possibilité (toujours gratuitement) de rajouter cinq sites non référencés, mais dont elle souhaite suivre l'évolution. Smile a par ailleurs annoncé son intention d'enrichir la base de données de son observatoire (10 000 sites dans six mois), en prenant en compte les attentes des entreprises. Deux types de surveillance sont proposés, à haute fréquence (toutes les 15 minutes) et à basse fréquence (hebdomadaire).Woozweb.com repose sur douze serveurs (tournant tous sous Linux Debian) répartis sur trois datacenters. Smile emploie 220 collaborateurs répartis dans cinq agences, et table sur un chiffre d'affaires de 14 M€ en 2007 (contre 9 M€ en 2006). (...)
(21/12/2007 12:36:19)SQLI reprend le cabinet EoZen
Nouvelle acquisition pour SQLI qui se renforce dans le conseil SAP avec le rachat du cabinet EoZen. Ce dernier devrait réaliser 21 M€ de chiffre d'affaires en 2007, SQLI pour sa part table sur 120 M€. Grâce à ce rachat, SQLI veut créer un pôle d'expertise de haut niveau dans le monde SAP, en intégrant les 150 consultants SAP de EoZen aux 200 qu'elle compte déjà. De plus, EoZen est bien implanté à l'international : Bénélux, Pays-Bas, France, Singapour, avec des clients présents dans le monde entier. SQLI a déjà procédé à plusieurs rachats et ne compte pas s'arrêter là. Il y a un an, la société reprenait Clear Value, plus récemment, en novembre, Urbanys, Amphaz et Iconeweb. La société compte désormais 1700 collaborateurs en Europe. (...)
(21/12/2007 12:23:16)Matthew Szulik abandonne les rênes de Red Hat
Alors que Red Hat vient d'annoncer un chiffre d'affaire record de 135,4 millions de dollars pour le troisième trimestre 2007 (soit une hausse de 28% par rapport à l'an passé), le PDG de la compagnie Matthew Szulik a annoncé sa démission. Invoquant des raisons familiales, il laisse les rênes de l'entreprise qu'il a dirigé pendant huit ans à James Whitehurst, qui dirigeait jusqu'à présent la compagnie aérienne Delta Airlines. Pour justifier ce choix, Matthew Szulik explique qu'il « cherchait quelqu'un qui pourrait nous donner un commandement efficace avec une vision stratégique ». Et il précise que James Whitehurst est « un cadre qui a une culture technologique qui avait l'habitude d'utiliser Slackware [NDLR : l'une des premières distributions Linux]. Il comprend Linux ». Malgré cette démission, Matthew Szulik reste à la tête du comité d'administration de Red Hat, et servira encore un certain temps de porte-parole vis-à-vis de la communauté open source, cette dernière ne connaissant pas James Whitehurst. Ce dernier arrive alors que Red Hat essaie de se réinventer en fournisseur d'une plateforme globale, au même titre qu'un Microsoft, alliant système d'exploitation, outils de virtualisation et plateforme middleware. (...)
(21/12/2007 10:58:04)Départ emblématique chez Cisco : Charles Giancarlo rejoint Silver Lake
Le directeur du développement de Cisco, Charles Giancarlo, vient d'annoncer qu'il quitterait la société le 31 décembre pour aller rejoindre une société d'investissement de la Silicon Valley, Silver Lake, à un poste de direction. Pour l'anecdote, Silver Lake a déjà hébergé des dirigeants en période de transition : Ed Zander entre Sun et Motorola, Michael Capellas entre MCI et First Data. C'est le deuxième départ cette année d'un haut dirigeant de la société, Michelangelo Volpi, vice-président en charge de la division des routeurs, ayant quitté Cisco en février dernier. Faut-il voir dans ces démissions une crise dans une société qui figure pourtant au top 10 des entreprises qui rémunèrent le mieux ses dirigeants et qui enregistrait jusqu'à maintenant un des plus faibles turnovers tous secteurs confondus ? Ou simplement l'effet de « l'horloge biologique », seule explication fournie par Charles Giancarlo, 50 ans, lors de la conférence de presse donnée à l'occasion de son départ ? Vice-président depuis 2005, Charles Giancarlo a joué un rôle important dans la stratégie de croissance externe de la société mais également au niveau du développement des technologies émergentes telles que la mobilité, la communication unifiée, la sécurité ou encore la vidéo. Il a aussi dirigé la branche grand public du groupe, Linksys. Charles Giancarlo sera remplacé par un groupe composé de sept managers qui rendront des comptes au PDG de Cisco directement, John Chambers. Baptisé « Development Council », ce groupe semble d'ailleurs être une nouvelle tendance de management chez Cisco, John Chambers ayant déclaré que ces « équipes de managers aident la société à bouger plus vite ». Quelles que soient les raisons des départs des hauts dirigeants de Cisco, John Chambers, pour sa part, n'a pas l'intention de quitter la société de sitôt : il prévoit de la diriger encore trois ans, peut-être même cinq. Un élément peut-être déterminant dans la décision de Charles Giancarlo, qui était jusqu'alors pressenti comme le successeur de John Chambers. (...)
(21/12/2007 09:37:41)IBM doit racheter l'éditeur de SGBD Solid Information
IBM a signé un accord pour racheter Solid Information, éditeur d'une base de données hautes performances. Son produit, SolidDB, est une base qui se charge entièrement en mémoire vive - on parle en anglais de « in-memory database » - afin d'accélérer le temps de réponse. Tout la comme la solution concurrente de Kabira, SolidDB est surtout utilisée dans le domaine des télécoms, afin de réduire les temps de latence. En tant que partenaire d'IBM, Solid a déjà mené des tests montrant que son moteur pouvait considérablement augmenter les performances de DB2, la base d'IBM. D'après Solid Information, un test mené dans les laboratoires d'IBM a démontré que « les accès aux données stockées dans IBM DB2 ont été accélérés d'un facteur 40 ». La base était sur un serveur quadri-processeur sous AIX, et « alimentait en temps réel quatre instances de SolidDB 6, chacune tournant sur une lame IBM BladeCenter T HS20 ». Ce qui a permis de traiter « plus de 15 000 transactions par seconde (tps) et par lame avec un temps de réponse moyen d'une milliseconde, pour un total dépassant les 60 000 tps, soit plus de 40 fois le taux que le serveur de données IBM DB2 pourrait traiter seul ». A noter que le moteur SolidDB est aussi disponible pour MySQL. Le montant de la transaction n'est pas dévoilé, dans la mesure où l'éditeur appartient aujourd'hui à des fonds privés, dont les principaux sont Apax Partners et CapMan. D'après Reuters, Solid Information aurait réalisé un chiffre d'affaires de 14,4 M$ en 2007. (...)
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